Cette histoire est récente, elle a commencé un dimanche après-midi sur internet... Il y a une semaine, en fait.
Miss et moi vivons dans le même appartement, mais j'étais ce week-end en visite chez mes parents, et je tuais le temps à discuter avec elle sur msn.
A notre conversation, nous avons ajouté un autre couple rencontré sur un site spécialisé, et qui partage les mêmes goûts sexuels que nous. Très vite, la conversation fut classée X et je me retrouvais à commander ma miss via un chat sur internet ! C'est amusant...
Je lui expliquais donc comment miss devrait m'accueillir lorsque j'allais revenir chez nous, en train, quelques heures plus tard :
Miss se vêtirait d'un porte jarretelle en latex, auquel serait accroché une paire de bas. Elle se chausserait de belles bottes. Elle ne porterai ni culotte ni string et prendrais soin de ne laisser aucun poil sur son pubis ni ses lèvres. En haut, elle portera simplement un bustier.
Sur tout cela, elle portera une courte jupe, un leger gilet et un grand manteau.
A l'autre bout du clavier, ma miss n'en pouvait plus. Elle était excitée comme une folle par le fait que je lui donne des ordres, que je la commande de s'habiller comme une salope pour moi. (pardonnez-moi ce mot cru, mais il fait partie de notre vocabulaire hard qui est le compagnon nécessaire de nos moments chauds).
Alors que je devais me déconnecter pour partir prendre mon train, miss m'envoyais des textos me suppliant de bien m'occuper d'elle, me suggérant quelques trucs bien cochons etc... si bien que mon trajet d'1h30 me sembla bien court, tant je continuais à lui donner des ordres par sms :
- elle devrait être bien mouillée en venant me chercher à la gare, car je vérifierait sur place
- son anus devrait également être lubrifié avec un lubrifiant très gras pour que l'effet dure longtemps
Comme elle se caressait en lisant mes messages très vulgaires je lui ordonnait de continuer à se caresser tout en s'enfilant sa paire de boules de geisha. A la gare, elle devrait les avoir dans sa poche pour que je vérifie leur humidité
Enfin, a la gare, elle devrait m'attendre dans le hall, les jambes bien écartées...
En descendant du train, plutôt que de suivre les passagers et d'arriver dans le hall par la droit, je vaux faire la surprise d'arriver par la gauche.
Surprise : ma miss était bien là, aussi ravissante et excitante que je ne le pensais, maquillée parfaitement, mais n'écartait pas les jambes comme je le lui avait demandé... dans ma tête je me dis qu'elle sera punie...
Echangeant avec elle un long baiser, je passe ma main longuement sur ses fesses mais déjà je sens miss mal à l'aise : trop de gens. Il faut la rassurer, après tout, ce n'est qu'une première pour se genre d'exhib, soyons délicat.
Je lui donne la main et la fait passer devant moi pour monter les escaliers, afin que je puisse profiter du spectacle par derrière et en contrebas. Je la conduit alors vers une petite ruelle afin de vérifier si elle avait fait correctement ce que je lui avait demandé.
Sur le chemin de la ruelle, j'ouvre son manteau afin de voir ses vêtement, et j'écarte son gilet pour apercevoir sa poitrine sous son bustier. Je suis ravi car tout est parfait, et miss est plus belle et plus excitante que jamais.
Pour l'amener à la ruelle, je la la prend pas la taille et glisse ma main dans sa poche... j'avais oublié les boules de geisha ! Elles sont bien là et bien humide : je suis enchanté.
Malheureusement, la ruelle s'avère être une déception, car contrairement à ce que j'imaginais, celle-ci était un lieu de passage assez fréquenté... or ainsi vêtue et dans la nuit tombante, je n'aurai voulu exhiber miss devant tout le monde. Nous continuons donc vers la ville, mais en faisant quelques détour...
Un premier en passant par la banque, où j'ai retirer de l'argent au guichet automatique, tout en pelotant les fesses de miss pas en dessous de sa jupe, et un second détour par le traiteur chinois où nous avons emporté un plat... Là aussi en attendant d'être servis, je ne me suis pas gêné pour caresser le galbe de ma douce qui n'osait rien dire mais avait le visage rouge-feu...
Sorti de là, nous nous précipitons enfin vers notre immeuble... a peine la porte principale fermée, je pousse miss contre la porte et l'embrasse en enfonçant directement un puis deux doigt en elle... son vagin était chaud et terriblement moite, la tête de ma belle était tirée en arrière, elle savourait un moment qu'elle attendait depuis le début de l'après-midi...
Je me recule alors, et lui ordonne de retirer sa jupe et son gilet. Elle me regarde les yeux effrayé :"quoi ici?", je lui prend alors son visage en main et lui répète fermement mon injonction... immédiatement elle s'exécute : enlève son manteau, laisse tomber sa jupe et retire son petit gilet.
Je ne rêvais pas : nous étions dans le couloir de notre immeuble, moi habillé et autoritaire et elle calée contre la porte, a peine vêtue d'une paire de bottes, de bas, d'un porte jarretelles (en latex) et d'un bustier (en latex également) ! Nous étions tous deux au comble de l'excitation. Je me remet encore à la pénétrer de mes doigts que j'essuie ensuite sur ses joues.
La regardant dans les yeux, je lui ordonne "sors ma queue de mon pantalon" ce qu'elle fait sans discuter avant de se mettre à me caresser doucement. Je lui donne alors l'ordre de se mettre a genoux avant d'enfoncer mon sexe dans sa bouche.
Je profitais d'un moment exceptionnel. Une pipe d'enfer, pratiquée par ma douce dans une tenue de salope et cela dans le hall de notre immeuble à la tombée de la nuit... Et encore, ce que j'ai pas encore dit et qui rajoute à mort à mon excitation c'est le fait que de chaque coté de la porte de l'immeuble, il y a une grande vitre de 30cm de largeur qui part du sol et rejoint le plafond : n'importe quel passant attentif aurait pu apercevoir ce qui se passait de l'autre coté de la porte.
Après quelques minutes, j'ordonne à ma soumise de reprendre sa jupe et son gilet en main, de ne reprendre que son manteau et de monter jusqu'à notre appartement (au 3em) par les escaliers et en grimpant devant moi...
Nous sommes a peine arrivé dans l'appartement que j'arrache le manteau de ma miss que j'assois d'un geste ferme sur le fauteuil avant de me mettre à la caresser et à la complimenter pour son bon comportement... Aussi "peu respectueux" que cela puisse paraitre, dans ces moments, miss adore se faire insulter, je ne me prive donc pas pour lui dire très clairement ce que je pense de cette salope.
Je lui explique alors que j'adore quand elle se soumet si bien, et qu'il était hors de question que notre jeu s'arrête à cette soirée, qu'elle allait alors prendre une feuille de papier et un bic et qu'elle allait recopier le texte que je lui dicterait et que j'avais inventer dans le train.
Il s'agit d'un contrat de soumission par lequel elle me prie de bien vouloir prendre en charge son éducation de pute afin de la transformer pour qu'elle passe du statut de petite fille sage à celui de véritable chienne soumise et prête à tout.
Je ne recopierai pas ce contrat ici car il fait 3 pages (j'espère avoir pensé à tout). Si la demande était forte je pourrai néanmoins vous le recopier une autre fois.
J'installe donc miss à genoux et lui dicte son texte, en l'arrêtant de temps à autre pour la remercier en la caressant ou en m'enfonçant dans sa bouche. A en juger par la chaleur et l'humidité de son sexe, ce contrat l'excitait au plus haut point.
Une fois finit je l'oblige à relire ce qu'elle a écrit. En résumer, elle déclare s'offrir à moi et exécuter les moindres de mes désirs sexuel, me fait don de son corps qui m'appartient quand je veux, où je veux, quand je veux, comme je veux et sur lequel je peux faire exécuter ce que je veux par qui je veux. En effet, être exhibé devant d'autres ou être obligé de sucer d'autres hommes ou de baiser avec eux sur mes ordres est un de ses fantasmes que je connais très bien !!!
Je ferai de mon mieux pour le réaliser mais je ne suis pas encore prêt à cela...
Après cette séance d'écriture et quelques petites récompenses, nous entamons une pause afin de manger un petit peu... en effet miss n'avait rien avaler de la journée, et cumulée à ces émotions, sa tête tournait de manière désagréable. Nous dégustons donc les mets chinois en causant de cul et de notre week-end.
Après cela, nous nous relançons sur les suites qu'on va donner à ce petit contrat, aux fantasmes qu'on va assouvir, aux gens que nous pourrions faire participer à nos ébats à l'avenir...
Pour continuer, je demande à miss de me faire un bisous sur mon sexe, dressé et dur, mais là je triche : alors qu'elle me fait un bisous tout doux j'attrape sa tête à deux mains et force violemment l'entrée de sa bouche : je me branle littéralement dans sa bouche, sa salive dégouline alors qu'elle m'avale en entier. Je sais très bien qu'elle adore être traitée de cette façon, surtout lorsqu'en plus je l'insulte de salope ou de pute, ou d'autres gentillesses du genre.
Je la redresse alors à quatre pattes sur le fauteuil et lui explique que j'allais la punir de n'avoir pas écarté les jambes dans la gare... Je commence alors une série de fessées : celle avec le plat de la main qui claquent fort mais qui ne font guère mal... mais qui donnent tout de même les fesses toutes rouges !
Son corps est pris d'un spasme à chaque coup, c'est déliceux à voir, d'autant que je ne me contente pas de punir ses fesses, et commence à flageller son sexe avec une spatule de cuisine... nous attendons en effet une cravache commandée à correspondance pour ce genre de plaisir.
Les fesses rouges et le clitoris gonflé et endolori, je me met alors à lui caresser l'entrejambe de mon propre sexe. Gonflé à bloc il est tout doux. Elle toujours à 4 pattes, je me branle littéralement entre ses fesses, avant de prendre un léger recul et de m'immiscer d'un coup violent dans son sexe... un cri s'échappe : après toutes ses heures elle attendais cela avec impatiente !
Je la prend alors comme elle aime temps, violemment, par grands coups, tenant très fermement ses hanches de mes mains ou tantôt lui tirant les cheveux, tantôt l'étranglant légèrement ou encore l'étouffant de mes mains... ses cris redouble et mon sexe trempé glisse en elle comme dans du beurre.
Après un moment je me retire enfin et lui passe un petit gode métallique. Le modèle petit et pas très large avec comme consigne d'en enfoncer 2cm dans son anus.
Connaissant très bien ma douce coquine (qui n'a rien d'une douce à ce moment précis) je sais que la pénétration anale lui fait énormément de bien mais lui fait également très très peur...
Une fois les 2cm enfoncé, je lui ordonne bien sur de continuer un peu plus alors que j'enfonce à nouveau mon sexe dans sa bouche... Comblé de ces caresses buccales et excité comme un fou par le spectacle qu'elle m'offre en m'obéissant ainsi à la manière d'une véritable putain, je me replace derrière elle et la pénètre alors que le gode est toujours enfoncé à moitié dans son derrière.
Petit à petit, tout en la pénétrant, je repousse le gode avec mon ventre tandis qu'elle hurle comme un animal... Je la gratifie de toutes ces insultes qui la fond tant jouir et je sens quel pied d'enfer elle prend en ce moment : je suis à la fois fier et comblé, prenant moi même un panard terriblement excitant, tant physiquement que mentalement.
Toutefois, mes limites d'homme se font sentir et je lutte de plus en plus fort contre l'éjaculation, tout en la retournant pour la prendre a genoux, elle le dos posé contre le fauteuil, en la tenant par les chevilles, ses jambes repliées sur elle et ses pieds sur ses oreilles, elle est écartée comme une femelle avide de sexe qui attend que son mâle vienne la remplir... Je la fais me supplier de continuer à la bourrer, je la fait hurler qu'elle aime être prises comme une pute, qu'elle rêve de sucer des bites en se faisant prendre comme une chienne, qu'elle attend impatiemment de se faire prendre à la chaine par plusieurs mâle dominant qui l'utilisent comme un vide-couille.
Voyant ses seins qui pointent terriblement sous son top en latex, je la commande de se caresser les seins et de se pincer les têtons... la vue de se spectacle en est trop pour moi : brusquement je me relève et jouit sur tout son corps dans un cris totalement bestial...
Je me rend alors compte que je dois ressemblé à une bête sauvage, couvert de sueur, les cheveux en battaille : je mécroule à coté d'elle sur le fauteuil et nou snous embrassons amoureusement : il faut bien ça pour se remettre d'un moment aussi "hard"...
Cela ne durera pas longtemps car a peine avons nous un peu récupéré que ma miss se saisit de ma main pour commencer à se frotter le sexe avec, comme elle le fait si souvent, couchée sur le ventre et ma main entre ses jambes : elle n'en avait pas encore assez la coquine... mais là je suis out... impossible de faire autre chose que de la caresser et de lui frapper et pincer un peu les fesses...
Il est passé minuit, nous nous couchons a peine une heure après la fin de notre petite séance coquine, on en rediscute encore et je n'y crois pas : je suis à nouveau excité comme un fou et la prend une dernière fois en levrette sur le lit. Je la saisis à grand coups, moins rapide mais beaucoup plus fort, en la tenant très fermement par les hanches... curieusement elle ne crie pas mais je la sens complètement absorbée par le plaisir. Je jouis bien plus rapidement que la fois précédente, et en elle cette fois-ci. Elle me confiera juste après qu'elle ne savait pas ce qui lui arrivait, qu'elle était comme dan sun autre monde complètement incapable de crier ou bouger... elle réagissait à mes coups sur le lit d'une façon radicalement différente de comment elle réagissait il y a une heure ! Sans doute aurat-elle pris deux sortes de plaisir différents...
Comme toujours elle s'endormira avant moi, le visage paisible d'un ange et le corps lessivé de tant d'effort... Depuis ce dimanche dernier notre semaine ne cesse d'être agité par des séances de ce genre...
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