Apprentissage de petite salope

Récit érotique écrit par admin le 26-11-2009
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Catégorie Infidélité

« Tout le long de la soirée, organisée par l’hôpital, il était à mes côtés, me faisant compliments sur compliments et me demandant si sous ma jupe j'étais comme sous mon bustier… sans sous-vêtement ». Je lui ai répondu pleine de sous entendu : « tu n’as qu’à t’en rendre compte par toi même. Il m'a dit : « OK viens dans les toilettes ». Sans me demander si l’on pouvait nous observer je l'y ai suivi, prenant tout de même la précaution de lui laisser un peu d’avance. Une fois aux W-C et après nous être assurés qu'il n'y avait personne d’autre à l'intérieur, je me suis retroussée lentement. Quand il a vu que, de plus, j'avais mis des bas, il est devenu frénétique ; j'ai relevé un peu plus ma jupe lui dévoilant mon string au travers du quel il pouvait voir la toison brune de ma chatte par transparence. Il a avancé sa main pour me toucher, comme dans son vestiaire de l’hôpital. J'ai ouvert mes jambes pour lui permettre de mieux appliquer sa caresse.
Ses doigts fureteurs n’ont eu aucune peine à écarter l’élastique pour venir s’introduire dans ma fente… déjà trempée…tu t'en doutes. Le médius bien rentré dans ma motte, il le faisait coulisser comme un petit membre, me provoquant des frissons dans tout le corps. J’étais dans un état pas possible, surtout que je coulais, en partie, en pensant à ta queue qui devait être bien grosse et bien raide au même moment…
Il était habile le salaud, mais j’étais encore plus excitée en pensant à cette situation, assez paradoxale, qui me faisait laisser rentrer des doigts dans ma chatte, tout en sachant que mon amant en titre était au courant.
Cette dualité me mettait en transe en me faisant comparer, bien involontairement, sa caresse à la tienne. Sa manière de me tenir la motte…son gros doigts qui coulissait en moi…son autre main qui me tenait aux hanches, pour me pousser contre sa main qui me baisait la chatte…du salaud, rien que du salaud que je te raconterais en détail pour te faire bander…
Mon corps bougeait tout seul, d’avant en arrière, comme dans le coït…me faisant désirer encore plus.
N’y tenant plus, ayant envie de me sentir possédée, remplie, pleine d’une grosse queue bien raide, je lui ai dit : « ce soir, si tu es libre, je suis prête à me laisser sauter ». Il s'est agenouillé et m'a retiré mon string complètement trempé, puis, très adroitement a posé sa bouche sur mon minou, faisant glisser sa langue dans le sillon de mes lèvres afin de recueillir la sève qui en coulait. Sa langue a virevolté sur toute ma motte avant de s’enfoncer dans ma chatte en manque de queue. Son nez est venu buter sur mon clito, ce qui a déclenché un orgasme fulgurant alors qu’il était en train de me manger le ventre. Il s'est levé et nous sommes retournés dans le restaurant en attendant la fin de la soirée. Le fait de me sentir complètement nue sous mes vêtements m'excitait encore plus. Vers 23 heures nous sommes partis avec un temps de décalage et je l'ai suivie jusque chez lui. Sa femme était en voyage à l’étranger, nous étions donc tranquille. Très rapidement, il m'a poussée contre le mur du couloir, reprenant ses caresses là où il les avait laissées…
Ses doigts reprirent ma chatte avec encore plus de vigueur et sachant que nul n’entendrait j’ai pu me laisser aller à gémir. Appuyée à la cloison, j’avais le bassin en avant et déjà deux doigts me pénétraient la chatte, totalement libre d’accès puisque le string avait été ôté au restaurant. L’autre main avait entrepris le déboutonnage de mon bustier et mes seins avaient jailli, direct dans sa bouche. Goulûment il commencé à me sucer les pointes, qui sont toujours très érogènes depuis que tu me les travaille. Sa main sur ma motte et ses doigts dans ma vulve me faisaient frémir et gémir de désir. Sa bouche suçait et mordait dans une caresse qui, tu le sais, me rend folle d’envie…Nerveusement j’ai fait sauter le bustier, puis, d’une main rapide la jupe a atterri à mes pieds. Il faut dire que je n'avais plus grand-chose sur moi vu qu’il m’avait demandé de ne garder, que mes bas et mes souliers à talons.
Mes mains, libres, ont commencé à défaire le zip de son pantalon pour en extraire sa queue qui devenait de plus en plus grosse. La prenant dans ma paume j’ai commencé à le masturber pour anticiper le plaisir que j’allais avoir quand il me la rentrerait dans la chatte. Le bout coulait légèrement, permettant une lubrification de toute la longueur de la verge, dont je sentais l’impatience à travers les soubresauts qui l’animaient. Cette masse de chair chaude et nerveuse me mettait en transe. J’allais me faire prendre, mettre, enfiler…j’allais jouir en me faisant sauter et en pensant à toi qui savais que j’étais en train de le faire !!! Il m'a entraînée vers sa chambre, jetée sur le lit conjugal puis s'est lui-même déshabillé, ce qui m'a permis de détailler à nouveau ce sexe que j’avais eu l’occasion de branler à au moins deux reprises, puis, nu comme un vers s'est allongé à mes cotés.
Nous n'avons pas perdu de temps. De suite il a de nouveau plaqué sa bouche sur ma chatte bombée, me faisant un cunnilingus long et profond, arrachant de ma gorge des soupirs de bien être, j'ai joui très rapidement et sauvagement, en pensant à toi qui devenait mon « cocu » d’amant, même si le terme est impropre puisque tu étais au courant et qu’un amant n’est pas cocu…(un mari si). Après cela c'est moi qui lui ai prodigué une fellation chaude et profonde lui massant les testicules remplis du foutre qui allait dans quelques minutes inonder ma chatte. Mais avant cela je voulais sentir sa bite grossir, durcir du désir qu'il avait pour moi. Il me disait que j'étais magnifique, que ma chatte était douce, mes nibards somptueux, mon cul d’enfer. Il me caressait les seins, roulant mes pointes entre ses doigts, les faisant saillir encore plus. Après de longues minutes, il s'est couché sur moi en me faisant bien écarter les cuisses et en me prenant aux hanches. J'ai senti sa queue contre ma chatte, mes lèvres s'ouvraient à l'intrus, son gland pénétrait doucement mon intimité et maintenant pour la première fois un autre membre que le tien prenait possession de ma chatte de petite salope. Je me sentais devenir totalement pute…plus bébé…pute, pour de vrai ; puisque maintenant je ne branlais plus Germain, je baisais avec…et j’avais à l’esprit ton assentiment de salaud à m’avoir amenée à cette situation qui me faisait jouir et mouiller comme une salope. J’étais la maîtresse de deux queutards. Un m’avait amenée à devenir une salope avide de baise et l’autre venait combler ces envies de queue qui me prenaient de plus en plus souvent. J’allais pouvoir continuer à me faire prendre le plus possible, à me faire rentrer de la bonne queue dans la chatte, à jouir…comme j’aime jouir, c'est-à-dire souvent…
Ca m’excitait de voir cette longue bite s’enfoncer progressivement dans ma vulve en chaleur et je me mettais à penser à ta queue qui avait fait pareil il y a quelque temps. Salaud, tu es un salaud et tu me fais jouir en me faisant baiser avec un autre homme. Avant, j’avais honte et pas envie. Maintenant je veux que sa longue verge aille jusqu’au fond de mon ventre, jusque là où ton membre a déjà déchargé des dizaines et des dizaines de fois.
Je repensais à toi et cela augmentait mon désir, je n'avais plus qu'une envie : qu'un foutre nouveau jaillisse dans mon vagin, il me proposa de mettre un préservatif, je lui dis que c’était obligatoire. Il se retira et enfila une capote non allergique. La nouvelle pénétration fut intense de jouissance…ça y est, comme une pute…je me faisais mettre comme une pute. Ce type qui me baise n’est pas mon amant. Il a enfilé une capote, comme avec une pute. Après m’avoir bien limée, bien baisée, il déchargera. Il s'excitait et m'excitait en continuant son mouvement de va et viens sur mon corps, masturbant mon clitoris avec son gland chaque fois qu'il pressait dessus. Celui-ci était d'ailleurs bandé au maximum. Des ondes de plaisir parcouraient mon ventre et le corps tout entier. Sa langue fouillait ma bouche, ses mains écrasaient ma poitrine sexy sans aucun ménagement. De petits orgasmes irradiaient mon être, j'étais bien et je me disais c'est extra, pourquoi avoir tant attendu pour me donner à d'autres.
A présent, mon salaud de JP, je crois qu'il te faudra me freiner plus tôt que de m'encourager. Il s'est redressé et ouvrant le compas de mes cuisses ses yeux se posèrent sur mon minou qu'il allait posséder et que je lui offrais. C'est moi-même qui saisis son membre et le fit glisser sur mes lèvres pour qu'elles épousent la forme de son pieu. M'ouvrant à lui, il poussa lentement sa queue qui investit mon canal vaginal. Petit à petit, son membre emplissait mon intimité qui jusque là n'avait été possédée que par toi. Il plongea au plus profond de moi et s'y immobilisa quelques instants, le temps pour chacun de nous de profiter de cette possession réciproque et voulue. Il se retira et replongea au fond de mon corps, sa cadence augmentait au fur et à mesure des allers retour dans ma chatte qui se contractait un peu plus chaque fois, ses couilles claquaient sur mes fesses, je sentais l'orgasme prendre forme en moi, sa queue se dilatait, je sentais son gland doubler, tripler même et je savais que l'explosion était proche. Mes seins avaient doublée de volume, ma chatte aspirait cette bite pour en tirer le maximum de jouissance, je soufflais, ahanait, criait de plaisir… « Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est bon de se faire meeeeeeeeeeeettre…aaaaaaaaaaaaaaah salaud, c’est salaud…je me fais prendre par une autre biiiiiiiiiiiiiiiiiite et je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis…je suiiiiiiiiis, je suiiiiiiiis, ààààààààààààààhhhhhhhhh, salooooooooope…âââââââââh que j’aime ça, me sentir remplie par une bonne queue…ôôôôôh et l’autre, l’autre, qui doit se braaaaaaaaaanler en pensant à mooooooooooooooi… ouiiiiiiiiiiiiiiii, branles toi JP, oui, vas-y secoues ta grosse pine pendant que je m’envoie en l’air, âââââââââhhhhhhh que je me sens pute à me faire dooooooonner de laaaaaaaaaa queue en pensant à toooooooooooooi, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je jouis de la tête et de la chatte…». Je l'encourageais verbalement à se retenir avant de se vider en moi. Je voulais que ça dure longtemps, comme avec toi. Je voulais profiter de ce membre qui me remplissait la chatte et que j’avalais à grands coups de rein. Je voulais sentir cette pénétration me dilater la vulve…sentir ses mains qui me poignaient les nibards revenir se planter sur ma croupe de petite pute. Je voulais sentir cette sensation de plénitude à être remplie par une bonne bite à grands coups de rein. Il se retenait comme pour mieux affirmer sa domination, alors qu'à présent je jouissais à chaque poussée de ce braquemard qui me bourrait dans un rythme d’enfer !!!. Nous étions en nage tellement nous nous donnions. Il continuait à me posséder, il retardait son plaisir en me disant: « depuis le temps que tu me fais patienter, je veux profiter pleinement de ce que tu me donnes, tu seras marquée de mon foutre ». Je répondais par l'affirmative à ses dires, en jouissant comme une femelle en rut qui de donne à l’orgasme crapuleux. Puis dans un râle animal, il planta ses mains sur ma croupe de belle salope, pour bien s’enfoncer au fond de mon utérus et j'ai senti les salves de son sperme qu'il projetait en moi. Nous sommes restés un long moment accouplés, lui en moi, sa queue dans mon ventre qui continuait à bouger. Je l’ai vidée, même si moi aussi je suis épuisée de jouissance, de stupre, d’orgasme.
Titubante j’allais prendre une douche, puis me dépêchais de rentrer chez moi où je comptais dormir d’un sommeil réparateur…

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26-11-2009 0 21659

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