FANTASME avec ma fille Zoé, irréalisable, improbable, à moins que …
Cela fait maintenant plusieurs années que je n'ai plus d'activité sexuelle avec ma femme. Celle-ci, prétextant depuis sa ménopause n'avoir plus envie de faire l'amour, ou encore que je lui fait mal lorsque je la pénètre, malgré que je lui mette du gel lubrifiant. J'ai tout essayé, je essayé de lui faire comprendre mon besoin d'avoir un minimum de sexe, je lui ai démontré par des articles paru dans des revus que pratiquer le sexe était bon pour le moral et la santé, je lui ai proposé d'aller voir un gynéco, ou un sexologue. Je l'ai même menacé d'aller voir ailleurs, bien que ça ne soit pas dans ma nature, étant un homme fidèle, mais le manque de sexe me manque cruellement, j'aimerai à nouveau sentir un corps de femme entre mes mains, la toucher, sentir son odeur, et surtout sentir les muscles de son vagin se resserrer autour de ma verge, j'en ai marre de devoir me satisfaire seul ! Mais rien n'y fait, elle ne veut plus rien savoir, question sexe. Ceci étant dit, je fait actuellement un rêve qui me réveil à chaque fois. Depuis quelque temps je fabule et fantasme sur le corps de notre fille, c'est une belle jeune fille d'un certain âge avec deux enfants à charge, elle à un visage d'ange, un corps de déesse, une poitrine à faire rêver tous les hommes, certains se retourne même lorsqu'ils la croisent. Elle à un postérieur bien proportionné à croquer. Nous sommes une famille qui parlons de tout avec nos enfants, rien n'est tabou, et nous sommes ouvert à toutes les discutions. Mais en ce qui concerne le sexe chacun à ses convictions, et il y à une limite que je n'ose pas aborder avec elle, de peur de la choquer, de commettre l'irréparable et de casser l'image qu'elle a de son père. Alors plutôt que de risquer de casser quelque chose, c'est à dire le cocon familiale, et l'image qu'elle a de moi, je préfère fantasmer et continuer comme avant, à moins qu'un jour elle ne tombe sur mon fantasme et décide de faire le plus beau cadeau qu'elle puisse me faire, c'est à dire, offrir son corps à moi et qu'on fasse l'amour ensemble, c'est hélas mon plus grand souhait. Lorsque nous sommes ensemble, ce qui arrive régulièrement, je fais bien quelques allusions au niveau du sexe, de son corps, il m'arrive même de frôler sa poitrine ou ses fesses, sans jamais dépasser une certaine barrière, qui pourrai la vexé ou la choquer. Alors le soir venu, dans ma chambre, je me met à fantasmer sur Zoé et sur son corps, si parfait à mess yeux, et je vous assure qu'elle a ce qu'il faut, là ou il faut. Mon fantasme est donc le suivant. Profitant d'une journée ou nous sommes seul tout les deux à la maison. Je me glisse derrière elle et je lui demande de me présenter ses mains, elle me montre ses poignets devant elle, tandis que moi, j'en profite pour lui mettre des menottes, d'un air étonnée, elle me demande ce que je fais, et pourquoi je la menottes ? Je lui dit que c'est pour un jeu, et je l’emmènes dans ma chambre ou j'avais déjà préparer un foulard pour la bâillonner, afin qu'elle ne puisse ameuter le quartier et un crochet fixer en haut de la porte afin d'y accrocher ses main menotter. Une fois ceci fait, je m'approche d'elle et je lui explique que ça fait quelque temps que je fantasme sur elle et sur son corps, que je trouve d'ailleurs très appétissant et désirable, et vu que je suis en manque de sexe du fait que sa mère ne veut plus faire l'amour, que j'en ai plus qu'assez de me branler seul, que je suis trop timide pour demander à une autre femme, de peur d'un refus, je profite de l'occasion qu'elle soit là avec moi, et du fait que nous soyons seul, rien qu'elle et moi pour satisfaire mon envie de relation sexuelle. Que je lui demande pardon pour ce que je vais lui faire, mais que ça fait trop longtemps que je n'ai pas fais l'amour à une femme, bon gré, et malgré elle. Zoé, les yeux grands ouvert, veut me dire quelque chose, mais étant bâillonnée je ne comprenait pas, et ne voulant pas lui enlever son bâillon de peur qu'elle cri, je continuais mes investigations, je vint prés d'elle et je commence à sentir son corps essayant de reconnaître son odeur de femme unique, en même temps que je la sent en la palpant, avec mes mains je touche ses cheveux, son cou, sa poitrine ou je m'attarde quelques instants, je les presses, les pinces, les malaxes, puis je descend plus bas sur son ventre, puis ses cuisses bien musclés et fines, remontant un peu et venant toucher ses fesses bien fermes, redescendant à nouveau sur l'arrière de ses jambes, descendant jusqu'aux mollets, puis sur ses pieds. A partir de là, je débute l'effeuillage de Zoé, je commence par lui enlever ses chaussures, puis je lui masse doucement les pieds. Ma fille se sentant incapable de faire quelque chose qui puisse freiner ou arrêter ce que j'étais en train de lui faire, décida de participer passivement aux manipulations. Remontant ensuite sur ses cuisses que je caresse tendrement, j'arrive vers le haut de ses cuisses et à son entrejambe, Zoé, se débâti alors, voulant me faire comprendre que je devais m'arrêter là, je lui fait comprendre aussitôt qu'il n'y a pas d'échappatoire et que si elle ne cessait pas de se débattre, je lui ligoterait aussi ses pieds, et cela ne lui laisserait alors plus aucune liberté de mouvement, et que tôt ou tard j'arriverais quand même à mes fins. Cela dit, elle revint au calme et se laissa faire, car elle ne voyait pas d’échappatoire. Arrivé à hauteur de sa petite culotte, je hume à travers le tissu son odeur de femelle, que je trouve très agréable. Je retire son dernier rempart avant d'atteindre son nid d'amour. Je pose une main sur sa vulve la caressant, en même temps j'irrite légèrement son clitoris, et de temps à autre je glisse mon majeur entre ses grande lèvres. J'entends comme la respiration de Zoé deviens plus ample et plus rapide, laissant échapper quelques gémissements. Et du coup mon doigt commence à sentir venir à lui la liqueur d'amour de ma fille, je ne savais pas qu'elle était aussi sensible à ce niveau là. Peu de temps après je remonte avec mes mains sur ses hanches et en remontant je prend sa robe avec et je la passe au-dessus de sa tête, je la monte jusqu'à pouvoir la passer de sa tête puis au dessus de la porte. Je reviens avec mon visage au niveau de son entrejambes et je viens boire son jus qui suinte bien maintenant de ses lèvres vaginales. Zoé Se tortille dans tous les sens, me laissant comprendre qu'elle aime être bu. En même temps que je bois son jus d'amour, je lui plante mon majeur dans sa chatte faisant des vas et vient, ce qui a pour effet de la faire gémir plus intensément. Après quelques minutes de ce breuvage si spécial, je remonte vers sa poitrine, et je lui défait son soutien-gorge, laissant ainsi apparaître sa belle poitrine assez volumineuse et relativement ferme. Je les embrasse avidement, je les suce, je fais tournoyer ses tétons entre
mes doigts, Zoé, se laisse allé et apprécie ce moment, en fermant ses beaux yeux marron. Je profite maintenant totalement de ce corps emprisonné et qui ne peu se soustraire à mes palpations et à ma langue si désireuse de venir lécher ce corps si sublime, ainsi que mes mains qui ne cessent de caresser sa peau si douce au toucher et si enivrant. Cela fait si longtemps que je n'ai pas touché un corps de femme que j'ai du mal à me remémorer combien c'était bon, doux, chaud et tellement agréable au toucher. Sentant maintenant Zoé plus coopérative et désireuse d'aller plus loin, ayant réveillé ses sens ainsi qu'ayant activer ses désirs sexuelles, je lui propose de lui enlever son bâillon ainsi que les menottes, à la condition qu'elle ne cri pas et qu'elle se laisse faire ! Elle me fait signe de la tête, ce qui me laisse penser qu'elle est d'accord. Une fois son bâillon et les menottes ôtés, Zoé me met les bras autour du coup et me dit, Papa je t'ai observé à plusieurs reprises, quand tu prenais ta douche, et j'ai pu voir quelques fois, lorsque tu bandais, la taille de ta verge, et à ces moments là, j'enviais maman de recevoir celle-ci en elle. Et petit à petit je me suis dis, pourquoi elle et pas moi ? Et moi aussi je me suis mise à fantasmer sur ce que nous pourrions faire ensemble, et voilà que ce jour arrive, moi aussi j'avais peur de te choquer, il faut croire que tu as entendu ma prière, d'être enfin seul et de pouvoir goûter à ton sexe. Je suis donc totalement à toi et je me laisserai faire. Elle enleva sa robe complètement, et se coucha sur le lit, jambe bien écartés et attendant que je vienne la prendre.
Ce récit à été écrit, alors que je fantasme toujours sur ma fille Zoé. A ce jour il ne s'est rien passé de tel entre nous, Zoé n'est même pas au courant de ce fantasme, ni que je l'ai mis par écrit sur la toile, j'ai trop de respect pour elle, et je ne voudrais pas casser la bonne ambiance qu'il y a entre elle, moi et la famille, je n'ai jamais forcé une personne, même ma femme, à faire quelque chose, si elle n'était pas d'accord et si elle n'était pas consentante. Il en va de même pour ma fille, je ne forcerais jamais quelqu'un à faire ce qu'il ne veut pas, ne serait-ce que par respect pour la personne, elle même. Je vais donc devoir continuer à me satisfaire manuellement, à moins que Zoé ne découvre ce récit un jour, et décide d'accéder à mon fantasme secret... En tout cas moi, j'ai trop peur et je suis trop timide, pour lui en parler et pour lui en faire part. Je laisse faire le temps et qui sait, peut-être qu'un jour ... En tout cas l'avenir nous le dira, et je ne manquerais pas alors de vous le faire savoir.
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