Béa et Francine, deux belle sœur, sont en conflit depuis des mois. Francine à même promis à Béa de lui mettre une rouste. Par un pur hasard, les deux femmes se rencontrent un jour de marché. Aussitôt, Francine court après Béa, qui se faufile entre les voitures, pour éviter l’affrontement. Soudain, elle se retrouve face à face. Le choc est terrible, envoie Francine au sol. Profitant de cet avantage, Béa saisit sa belle sœur par les cheveux, et la traîne sur trois, quatre mètres. Se geste a pour effet de faire remonter la robe, sur le ventre de Francine. Là, on s’aperçoit qu’elle ne porte pas de culotte. Par pudeur, des passant descendent la robe sur les cuisses. Béa aussi s’aperçoit qu’elle n’a pas de culotte. Elle pèse de tout son poids sur sa belle sœur. Elle la bloque en lui mettant la main au cou, comme si elle voulait l’étrangler. Francine saisit le poignet de Béa, pour essayer de se dégager. en vain. Béa glisse une main en arrière, saisit le bord de la robe, la remonte sur les cuisses. Mais Francine fait bloc en fermant ses cuisses, ce qui gâche les plans de Béa. Elle parvient à la faire glisser jusqu’au hanche. Là, la chatte réa-parait, entièrement épilée. Malgré l’espace réduit, Béa lance une main entre les cuisses de Francine.
-Aie...aie...elle a arraché la touffe de ma chatte.
Mais Francine serre les cuisses. Le passage étant difficile d’accès, Béa insiste pour remonter la robe jusqu’au cou, et la faire passer par dessus. Ainsi, toute nue, Francine serait plus vulnérable. Elle insiste tellement, que se sont les seins qui son mis à nus. Elle fait la tentative de serrer le bout de l’un d’eux. Francine hurle de douleur. Écarte machinalement ses jambes.
-Aie...aie...arrêtez là, elle me fait mal...aidez moi…
Mais Béa a décidé d’humilier sa belle sœur. Elle se retourne, s’assoit sur son ventre, dos à elle. Dans cette position, elle a une vue imprenable sur la chatte de sa belle sœur. Francine envoie un coup de pied à la face de Béa. Celle-ci bloque la jambe sous son bras. Le second suit le même traitement. Francine se retrouve plier en deux, la chatte offerte à sa belle sœur. Béa s’attaque au fin duvet, histoire de faire crier Francine. Elle saisit les lèvres intimes, les écarte. Elle caresse la fente de bas en haut, jusqu’au clitoris, qu’elle décalotte.
-Tiens, tiens...regardez ce petit bouton, comme je l’ai bien décalotté…tu le sens toi…
-Oui, je le sens...mais arrêtes, tu sais l’effet que sa fait aux femmes quand on le caresse.
Calmement, Béa fait tourner un doigt sur le petit bouton. Silencieuse jusqu’à présent, Francine émet des petits gémissements.
-T’aimes ça, hein? Salope…
-Arrêtes...s’il te plaît, je vais être toute mouillée.
-A bon, tant que ça. Fait voir dit Béa en enfonçant deux doigts dans la chatte de Francine. Et ça veut dire quoi quand elle est dans cet état…
-Qu’elle a envie de se faire branler.
-A bon, et c’est ce que fait ton mari.
-Oui...d’autres hommes aussi.
-La salope...racontes moi un peu.
-L’autre jour, je réparai la clôture. Comme je me savais seule, j’ai enfilé une simple nuisette. Quand j’ai levé les bras, ma nuisette est monté sur mes hanches. En plus, je n’avais pas mis de culotte. Un jeune beur, qui passait par là, m’a vu. Il s’est approché, a mis un doigt dans ma petite chatte. Cette salope s’est mise à mouiller. Pour la calmer, cet enfoiré n’a rien trouvé d’autre que de me la branler. Quel salaud...trois fois il m’a fait jouir…
-Comme ça...il te branler comme ça…
Lentement, Béa commence à branler la chatte de Francine. Celle-ci tortille du cul, gémit de plaisir.
-Oh Béa...c’est bon ce que tu me fais...oh oui, je jouis...je jouis...t’arrêtes pas...ah...ah...
Béa s’assied sur le trottoir, et oblige Francine à se coucher sur ses genoux, sur le ventre. Elle lui demande de rehausser sa croupe, pour que tous les gens voit sa petite chatte. On distingue le clitoris, toujours décalotté.
Puis Béa enfonce deux doigts dans la chatte, et le pouce dans le petit trou.
-Ah, gémit Francine...je me souviens, cet arabe aussi m’avait mis un doigt dans le cul...oh putain, que c’est bon...Vas-y Béa, amuses toi avec moi. Ma petite chatte n’a pas été sage...punis la.
Les gens sont scotchés sur place, en voyant Francine humilier par Béa, une femme de quatre vingt kilos, qui n’en fini pas de jouir. Elle en est à son cinquième orgasme, et elle en redemande.
Le groupe de curieux à augmenter. Certains personnes n’hésitent pas à participer. En lui doigtant le clitoris, en enfonçant leurs doigts dans sa petite chatte, ou dans son petit trou.
Francine hurle de plaisir.
Soudain, une voiture arrive. C’est Florence, la sœur de Béa.
-Oh non, pas elle, dit Francine en ce cachant, elle est trop méchante.
Florence s’avance, saisit Francine par la touffe de sa chatte, et la tire jusqu’à la voiture. Francine hurle de douleur. Une fois à l’intérieur, elle la couche sur ses genoux, et lui donne la fessée. Francine est en larmes. Mais Florence n’en reste pas là. Elle enfonce deux doigts dans la chatte de Francine.
-Oh la, fait Florence, mais t’es toute mouillée, Qui t’a fait ça.
-C’est ta sœur, elle m’ branlée tout l’après midi. Elle m’a fait jouir cinq ou six fois.
-Ben...je vais prendre la relève. T’as envie que je m’amuse avec ta petite chatte.
-Oh oui...j’ai envie, branle moi, fais moi jouir.
Les deux sœurs vont s’amuser avec Francine, toute la nuit.
Quand Francine, entièrement nue rentre chez elle, au petit matin, sa chatte est toute rouge, totalement épilée. Son clitoris, énorme, est obligé de rester décalotté.
-Oh ma chérie, que t’ont elles fait.
-Si tu savais...elles se sont amusées toute la nuit avec ma petite chatte. J’ai pas arrêté de jouir.
-Je suis là, maintenant, va te reposer...ta petite chatte en a bien besoin.
Je me connecte ou je m'inscris