Voilà plus d’une heure, que Valérie, ma ravissante épouse, se prépare à la salle de bains. Malgré ses quarante ans, Valérie est d’une extrême beauté.
Elle est entièrement nue, quand je la rejoint. Je veux la caresser, mais elle me repousse énergiquement.
Quand je vois mon épouse, si belle, j’ai un vieux fantasme qui refait surface. Mais elle a toujours refusé quand je lui proposé.
C’est de la voir se faire prendre par un autre homme, devant moi.
-Arrêtes Aurélien, dit-elle, tu reçois ton meilleur pote ce soir. Ce sera la première fois que je le vois, je veux me faire belle.
-Mais tu es belle ma chérie, tu lui plaira, c’est certain. Mais ça ne t’empêche pas de me faire un câlin.
-N’insistes pas, mon chéri. D’ailleurs, tu devrais aller au salon, il va pas tarder à arriver.
Convaincu que mon épouse à raison, je la laisse finir de se préparer. Cinq minutes plus tard, on sonne à la porte.
-Gino, comment va. On s’embrasse...allez, rentre. Mon épouse se prépare, elle ne va pas tarder.
-Et toi, mon ami, ça va. J’ai reçu la photo de ta femme. Elle a l’air pas mal gaulée.
-Tu vas voir, elle est magnifique.
Soudain, Valérie apparaît, vêtue d’un courte jupe, et d’un bustier. Une bombe.
En voyant cette beauté divine, Gino ne trouve pas les mots, pour la saluer. C’est elle qui débloque la situation.
-Bonsoir, dit-elle, mon mari m’a beaucoup parler de vous.
-En bien, j’espère, répond Gino. Lui aussi m’a parlé de vous. Il m’a dit que vous étiez belle...il est en dessous la vérité.
-Merci...j’avoue que vous n’êtes pas mal non plus.
Pendant que Valérie prépare les apéros, on se remémore nos exploits de jeunesses. Surtout en se qui concerne les filles.
-Tu te souviens de Sophie, demande Gino.
-Oh putain, si je m’en souviens...elle aimai la queue celle là .
-La sodomie surtout, poursuit Gino. Elle adorait se faire enculer. Toutes les femmes font ça maintenant.
-Ben...figures toi que Virginie n’a jamais voulu. A peine si elle suce, et encore, il est hors de question qu’elle avale. Elle dit que c’est pas bon. J’ai beau lui dire d’essayer, refus complet.
-Tu t’y prends peut-être mal...non, je rigole.
La discussion est interrompu par l’arrivée de Valérie. Celle-ci pose le plateau sur la table basse de salon, et s’assied sur le canapé. Ceci à pour effet de faire remonter la jupe, haut sur les cuisses. Je suis assez surpris par cet attitude.
-De quoi parliez-vous, demande Valérie en souriant à Gino.
-Rien de bien précis, dis-je. Des souvenirs du lycée...santé.
-Santé, répondent Gino et Valérie.
-Bon, je propose qu’on passe à table.
C’est Valérie qui s’occupe de service. Chaque fois qu’elle sert Gino, elle plie sur ses jambes, cambre sa croupe. Si e n’est pas de la provoc, ça y ressemble.
Juste avant le dessert, je rejoint son épouse à la cuisine.
-C’est quoi ça...tu l’aguiche ou je me trompe.
-Jaloux mon chéri...comme c’est gentil. Je l’allume, sans plus.
-Mais tu l’excite là ...et s’il se faisait des idées.
-T’inquiètes mon amour, je sais ou il faut s’arrêter. Allez, va t’asseoir, j’apporte le désert.
A table, l’attitude de ma femme, n’a guère changer. Quand elle sert la chantilly, elle essuie la cuillère avec sa langue, lèche langoureusement ses doigts. Tous ça, d’une façon érotique.
Quatre coupes de champagne plus tard, Valérie devient est de plus en plus provocatrice.
Elle prétexte du besoin de se rafraîchir, pour s’esquiver.
Elle revient de la salle de main dix minutes plus tard, vêtue d’un peignoir blanc.
-Je vais vous laisser entre hommes, dit-elle. Vous devez avoir tellement de chose à vous dire.
-Mais non ma chérie, dis-je. On va prendre un dernier verre.
-Allez Virginie, insiste Gino. Je repart demain.
-D’accord, dit la jeune femme...un dernier verre.
Je l’invite à s’asseoir entre moi et Gino. Valérie accepte, et
s’installe, jambes repliées sous ses cuisses. Tandis qu’elle pose des questions à Gino, concernant sa vie, je glisse vicieusement un doigt sous le peignoir.
Surprise, elle me demande de la suivre à la salle de bains.
-C’est quoi ça...tes vieux démons qui ressurgissent...tout à l’heure, tu me reprochais de l’aguicher, et maintenant...tu veux quoi...que je couche avec lui pour assouvir ton fantasme.
-Oh ça va, te fâches pas ma chérie, je voulais juste qu’on joue un peu. C’est vrai que t’imaginai baser avec lui, m’a traversé l’esprit.
-C’est ça que vous combiniez tout les deux. Tu veux m’offrir à lui...c’est ça que tu veux. Attention, je suis plus une gamine, j’ai quarante ans maintenant. Et comment vas-tu procéder.
-Bien, je vais commencer, après, tu as carte blanche.
-Carte blanche...OK. Si c’est ça que tu veux. Tu viendras pas te plaindre après.
Je rejoins Gino sur le canapé, suivi de Valérie. Comme prévu, elle s’installe entre nous. Je force ma femme à tourner son visage, et l’embrasse.
Tandis que le baiser s’éternise, Gino dénoue la ceinture, et ouvre le peignoir. Il découvre le corps merveilleux de Valérie.
Il commence à caresser les superbes seins, se penche pour les sucer, aspire les bouts.Virginie se laisse aller à ses caresses. Elle se retourne, et prend les lèvres du bel italien.
C’est moi qui me charge d’ôter le peignoir. Valérie se retrouve entièrement nue devant les yeux ébahis de Gino.
Je demande à Gino de se mettre à l’aise. Pendant qu’il se déshabille, je murmure à l’oreille de mon épouse.
« Tout va bien se passer ma chérie.»
« Tu vas pas être déçu, mon cœur.»
Gino prend la main de Valérie, la guide vers son sexe, qu’elle saisit à pleine main. Elle doit être surprise par l’énorme calibre de Gino. Elle se penche, et prend la queue en bouche. Elle entame une savante fellation, tandis que Gino caresse la chatte, la pénètre, fait tourne le majeur sur le clitoris entièrement décalotté. Je vois les doigts de mon copain, s’amuser avec la petite chatte de mon épouse.
Et Valérie commence à prendre du plaisir, se trémousse sur le canapé. Puis Gino demande à Valérie de s’allonger, d’appuyer sa tête sur mes genoux, et d’écarter les jambes. Je vois le petit bouton de Valérie, aspiré par les lèvres de Gino, jusqu’à disparaître. Après l’avoir longuement lécher, il présente sa queue et la pénètre. Valérie lance un grand soupir.
-T’es bien ma chérie, que je demande.
-Oh mon amour, si tu savais comme elle est bonne sa queue.
Gino demande à Valérie de se mettre à quatre pattes. Il veut la prendre en levrette. La queue reprend ses va et vient dans la chatte de ma femme. C’est dans cette position, que Valérie atteint son premier orgasme.
-Chéri, sort ta bite que je la suce…
-Ah non, je répond, ce soir tu appartiens à Gino.
-Peut-être pour la nuit, poursuit le bel italien.
-Pourquoi pas, dis-je en souriant.
Quand Gino se retire, c’est pour que Valérie le suce, avant de la prendre dans une autre position. Ma femme se délecte de la queue de mon pote. A tel point qu’il ne peut se retenir de cracher dans la bouche de Valérie. L’éjaculation est interminable. Valérie garde plusieurs minutes la bite dans la bouche. Celle-ci avale tout, à mon grand désarroi. Je n’ai jamais eu droit à une telle faveur.
,
Je me demande jusqu’où sa femme est prête à aller.
A me demandé si je n’ai pas commis une erreur. Je sais pas pourquoi, j’ai l’impression que je vais vivre un cauchemar.
Valérie ne me calcule pas, quand Gino la fait crier de plaisir.
Je suis installé sur le fauteuil, assiste, impuissant, à la scène. Valérie est allongée sur le côté, Gino, collé à elle en train de la baiser. Elle m’envoie un grand sourire.
-J’ai toujours carte blanche mon chéri...regarde.
-Je me surprends à crier...non, pas ça…
Valérie saisit la queue de Gino, l’imbibe de mouille, et la dirige vers son petit trou. Gino sait que c’est la première fois que ma femme se fait sodomiser. Aussi, y va-t-il doucement.
Un rictus de douleur apparaît sur le visage de mon épouse. Elle serre les temps. Elle pousse un « ouf» de soulagement, quand la queue la pénètre entièrement.
-Regarde mon amour comme il m’encule...quelle bite.
-Pas trop mal, demande Gino.
-Oh non mon chéri...c’est tellement bon…vas-y, caresse ma petite chatte aussi, et mon petit bouton...putain...c’est bon.
Valérie se tord le cou pour embrasser Gino. Elle est en train de m’humilier. Je suis pris à son propre jeu. Je ne peux voir ma femme se faire sodomiser.
Après avoir atteint un terrible orgasme, Valérie s’approche de moi, me murmure à l’oreille.
« Chéri, tu prendras la chambre d’amis cette nuit? Avec Gino, on prend la nôtre. Bisous mon amour, passe une bonne nuit.»
Impossible de dormir. Je passe toute la nuit à entendre les hurlements de plaisir de ma femme, quand Gino la fait jouir.Et des orgasmes, elle en a plusieurs. La nuit est torride.
Le lendemain, Valérie et Gino me rejoignent sur la terrasse.
-Désolé mon chéri, je t’aurai bien rejoint cette nuit, mais j’étais trop occupée à me faire baiser. Et toi, t’as bien dormi.
-Pas trop...vous avez été un peu bruyant.
-C’est vrai, confirme Gino, ta femme a tendance à crier quand elle jouit.
-Au fait, reprend Valérie, Gino vient s’installer dans la région, on pourrai l’héberger en attendant qu’il trouve un appart.
-Le temps qu’il ait le temps de te baiser, tu veux dire.
-Mais mon chou...c’est ce que tu voulais. Tu regrettes pas. Moi, le seul regrat que j’ai, c’est d’avoir attendu d’avoir quarante ans, pour me faire enculer par une grosse queue.
Avant qu’il parte, Gino m’a proposé de faire une partie à trois.
T’en dis quoi. C’est pas grave s’il est mieux monté que toi.
Je sais que je suis bien moins monté que Gino, mais est-ce une raison pour humilier. Je préfère regagner ma chambre.
De ma fenêtre, je vois mon épouse se faire prendre en levrette au bord de la piscine.
En une nuit, je viens de perdre Gino, mon meilleur pote, et Valérie, l’amour de ma vie.
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