C'est ma première tentative dans ce genre d'écriture. Il reste sûrement des fautes que je n'ai pas vues. Ne me châtiez pas trop fort pour ça...
Elle attendait qu'il entre dans la pièce, trépidante d'excitation, ne sachant pas à quoi
s'attendre. Elle ne portait qu'une petite culotte en soie noire qui ne cachait pas grand
chose, et des souliers aux talons un peu relevés qui mettait merveilleusement en
valeur son exquis postérieur. Les tons de topaze et de feu de son ombre à paupière et
de son rouge à lèvre foncé s'agençaient avec sa chevelure ardente. Elle se tenait
debout, près du mur, quand il arriva
Il ne portait que des boxer courts, noirs et moulants. Elle ne pu se retenir de se mordre
la lǜre en découvrant sa silhouette beaucoup plus athlétique et musclée que ce que
ses vêtements amples laissaient suggérer. Son regard se souda au sien. Il avança
vers elle, tranquillement, avec un sourire énigmatique et une démarche semblable à
celle d'un grand félin. Elle recula jusqu'à ce que son dos touche le mur. Il continua son
approche. Elle sentit son torse dur frôler le bout de ses mamelons durcissants.
Le regard toujours soudé à ses yeux, sans dire un mot, il pris ses mans, qui
semblaient minuscules et fragiles dans la grosseur des siennes et les ramena au
dessus de sa tête. Avec une seule main, avec une pigne de fer dans un gants de
velour, il garda ses deux mains prisonnières. Il glissa soudainement son autre main
entre ses jambes, la plaça sur ses fesses et la souleva sans difficulté pour l'amener à
sa hauteur. Il approcha avec une lenteur inexorable sa bouche de la sienne pour
l'embrasser voracement tout en écrasant ses seins avides de sensations avec ses
muscles pectoraux. Après un temps difficile à définir, il rompit le baiser pour approcher
sa bouche de son oreille. Sa bouche et sa langue commencèrent une danse
langoureuse entre son oreille et son coup jusqu'à ce qu'elle se mette à trembler. Ces
tremblements combinés à la pression que le bras qui la soutenait exerçait sur son
entrejambe avait rendu sa culotte trempée.
Il la déposa et la guida fermement mais tendrement face contre le mur. Il la fit se tenir
en Y, les mains appuyées sur le mur. Elle sentit ses mains se glisser sous sa culotte,
malaxer généreusement ses fesses, puis faire descendre sa culotte pendant que sa
bouche donnait des frissons délicieusement insupportables le long de sa colonne. Il
ne put s'empêcher d'embrasser et mordiller les deux délicieux globes qu'il avait devant
lui. Il se releva, la pris par les hanches et colla ses fesses sur son membre qu'elle
sentit durcir au travers du doux tissu de ses boxer. Ses deux immenses mains
empoignent pleinement sa poitrine et sa bouche recommença le même ballet sur sa
nuque jusqu'à ce que ses genoux fléchissent.
À ce moment, il repris ses deux mains, les replia derrière sa tête, les attacha
ensemble avec un foulard de soi, puis attacha le tout autour de son cou. Être coincée
dans cette posture donnait des allures victorieuse à ses seins magnifiques. Il revint
devant elle et la fit mettre à genoux. Elle sentit son intimité s'ouvrir comme une fleur à
l'aube et l'humidité gagner ses cuisses lorsqu'il se dénuda et attira son visage vers
son entrejambe et son membre qui continuait de se dresser. Il lui ordonna de garder la
bouche fermée et ne fit que déposer son visage sur son pénis. Il caressa ses cheveux
d'une façon qui lui donna une délicieuse chair de poule sur tout le corps pendant qu'ilsemblait simplement apprécier la chaleur et la chaleur de son visage sur son pénis,
qui compléta rapidement son érection.
Il l'aida à se relever et la guida vers la salle de bain. Quand l'eau de la douche fut à la
bonne température, il utilisa un autre foulard pour lui cacher la vue. Il l'enlaça dans ses
bras et la guida sous la douche en l'embrassant de plus belle. Il se mit ensuite à laver
avec une lotion dont l'odeur était fruitée, et qui rendait leurs corps si glissants. Ses
mains parcouraient son corps sans friction. Sa vue bloquée décuplait les sensations.
Chaque courbe était parcourue. Ses doigts traçaient des lignes autour des ses
cuisses, de ses fesses, sous ses seins. Le plaisir et le désir de toucher cet homme
qu'elle ne pouvait voir et la frustration de devoir se contenter de subir commençaient à
lui faire perdre la tête
Un main se mis à faire des ronds de plus en plus rapprochés autour d'un de ses
mamelons pendant que le doigt et l'index de l'autre main, remontant le long de sa
cuisse, se plaçaient de chaque côté de ses grandes lèvres. Le doigt savonneux
commença de délicates caresses, lentes et langoureuses, sur le bout de son sein
tandis que les doigts sur son pubis pinçaient et faisaient rouler les grandes lèvres. Ce
manège devint rapidemetn une torture et elle demanda pitié. Il mordilla délicatement
son oreille en murmurant...''Non''. Ses doigts écartent alors petites et grandes lèvres et
il modifia leur position pour que l'eau qui coule sur son corps prisonnier passe
directement sur son clitoris. À ce contact, elle fut prise d'un plaisir fulgurant. Des chocs
électriques et divins rayonnaient de sa grotte de Vénus. Elle se mit à gémir, mais la
main de son mamelon se plaqua sur sa bouche et lui dit ''chut'' avec un ton doux et
joueur.
Il enleva son clitoris de l'eau et recommença le massage avec ses doigts autour de
ses grandes lèvres, tout en gardant sa main sur sa bouche. Elle perdit le compte du
nombre de fois ou il alterna entre massage de ses lǜres et eau sur le clitoris. Il mis
finalement fin à la torture, la rinça et la sécha. Il libéra ses mains que pour les attacher
dans son dos l'instant d'après.Il la plaqua contre le mur, remit sa main sur sa bouche
et sa langue plongea sur ses seins. Il passa une éternité à titiller de sa langue et à
aspirer entre ses lèvres les mamelons de chacun d'entre eux. Elle cru devenir folle. Il
utilisa ensuite le foulard qui cachait ses yeux pour attacher ses chevilles ensemble. Il
prit délicatement sa tête entre ses deux mains, l'embrassa tendrement puis la pris
dans ses bras telle une mariée pour la conduire vers le sofa, pour davantage de
délicieux tourments
Il s'assied sur le divan et la coucha à plat ventre sur ses genoux, les fesse vers le
plafond. Elle sentait les soubressauts du sexe en érection sous elle. Les puissantes
mais délicates mains commencèrent à pianoter un concert de sensation sur son dos
qui la firent rapidement tomber dans un état second. elle n'en sorti que lorsqu'un doigt
entreprenant écarta sa fente pour se poser sur son clitoris. Il commença un jeu de
délicates pression qui la rendirent fébrile, puis devint immobile, appuyant légèrement
sur son bouton qui n'en voulait que plus.Elle se mis à se tortiller pour avoir de la friction, quand un pincement intense ainsi
qu'un bruit sourd la firent sursauter quand sa main s'abbatti sur ses fesses, laissant un
élancement et une chaleur lancinants. Plus surprise qu'endolorie, mais avec les
chutes du Niagara entre les jambes, elle se retourna surprise, avec le peu de liberté de
mouvement qu'elle avait. Il la regarda avec un air carnassier en lui ordonnant de ne
pas bouger. Elle lui lança un regard défiant qui lui valut une autre claque sur chaque
fesse. Ça n'améliora pas l'inondation dans son bas ventre, mais elle décida tout de
même de docilement se replacer. Le doigt continua son lent et tortueux ballet sur son
clitoris. L'anticipation et les sensation lui donnaient envie de se débattre et de hurler,
mais ses fesses qui chauffaient encore l'encourageaient à rester immobile. Le temps
perdit tout son sens. La frustration l'emporta une fois de plus, mais deux autres bonnes
claques sur les fesses la ramenèrent à la raison.
Après une éternité, il releva soudainement ses mains ligotées vers le plafond,
enfonçant son visage dans les coussins et la rendant encore plus immobile. Un
deuxième doigt rejoint le premier sur son clitoris et des caresses plus vigoureuses
suivirent. Après toutes cette attente, elle senti sa jouissance monter en elle. Des
tremblements de plus en plus prometteurs s'éveillaient entre ses jambes quand la
sensation d'une vigoureuse claque remplaça ses doigts, puis une autre, et une autre,
et une dernière magistrale qui lui coupa le souffle et la laissa haletante, confuse entre
le plaisir et la douleur, désirant à exploser l'orgasme au bord duquel elle était passé. Il
la laissa reprendre son souffle avant de recommencer à caresser son
clitoris...lentement...si lentement
Le supplice recommença de plus belle, mais en plus, son pouce commença à exercer
une légère pression à l'entrée de sa fente mouillée, sans jamais y entrer. L'exquise
torture continua. Le souvenir encore cuisant des claques sur ses fesse s'estompa pour
laisser place à un désir difficile à contenir qui se manifesta par des tremblements
qu'elle ne réussi plus à contenir, ce qui lui valu une dernière paire de claque
retentissante qui lui firent voir des étoiles de plaisir et de douleur délicieuse à la fois.
Il la retourna sur le dos, lui dit ''Il semble que le plaisir te rende indisciplinée'', appuya
fermement une des ses mains sur sa bouche pour taire ses protestations et appuya la
paume de son autre main sur son entrejambe LA chaleur et la pression exercée dans
son bas ventre irradiait des sensations douce et exaltantes pendant qu'il la regardait
dans les yeux en faisant de lent mouvements circulaires.
Lorsqu'elle finit par échapper un gémissement, il la lâcha de ses mains et vint se
placer à califourchon au-dessus de sa tête. Il amena ses couilles vers la bouche avide
et lui ordonna de doucement promener sa langue dessus pendant que lui-même
caressait son pénis en faisant des va et vient avec sa main, quelques pouces au-
dessus de son visage. Elle s'attaqua à la tâche du mieux qu'elle pouvait, lapant
avidement les globes devant elle. Elle sentit les doigts de l'autre main de l'homme
pincer légèrement ses mamelons. Doucement quand il était satisfait des coups de langues, fermement lorsqu'elle s'éloignait des mouvements qu'il aimait. Après
quelques minutes, son membre était redevenu une poutre d'acier qu'il se mit à frotter
partout sur le visage de sa captive avec de lents mouvements. Ce manège et avoir cet
objet de convoitise si près d'elle lui mirent l'eau à la bouche. Elle voulait goûter ce
membre avant de l'avoir en elle.
Après un temps qu'elle ne pouvait quantifier, il s'enleva, la mis sur son épaule telle
une vulgaire poche de patate, lui donna une bonne claque sur les fesses pour le
plaisir et se dirigea avec elle vers la chambre à coucher...
Il la déposa devant le lit et lui ordonna de rester debout sans bouger et lui donna une
claque sur chaque fesse pour lui rappeler les conséquences de l'indiscipline. sa
bouche et ses mains commencèrent un chemin complexe. Il débuta par ses fesses et
remonta le long de son dos et sa nuque, n'épargnant pas ses oreilles. Une main se
posa fermement sur sa bouche tandis que l'autre se glissa lentement sous ses
cheveux pour la masser, causant mille frissons. Lorsqu'elle sentit le souffle chaud
s'approcher de son coup, elle crut défaillir. Les lèvres et la langue qui parcoururent
son cou mirent sa volonté à rude épreuve, mais le souvenir cuisant des claques sur
ses fesses parvint à lui faire garder son calme.
Le doux tourment prit fin. Il se dirigea vers elle et attira son visage contre son torse
chaud. Elle pouvait sentir ses battements de cœur dans sa poitrine, et au travers de
son pénis qui frottait la sienne entre la base de ses seins. Ses mamelons se firent
prendre en tenaille entre ses doigts immenses. Il plongea à nouveau son regard
intense dans le sien. Il augmenta lentement la pression jusqu'à ce que
l,écarquillement dans les yeux de sa compagne lui indique que la mince ligne entre
plaisir et douleur. Il testa sa volonté en lui demandant d'une voix diabolique ''tu n'as
qu'à ne pas rester parfaitement immobile si tu préfères que ce soient tes fesse qui se
prennent 10 claques chaque...''
Une émotion nouvelle l'envahit, entre la pure terreur à l'idée d'un tel châtiment, quand
4 claques avaient été si intenses, mais le début d'orgasme que son jardin secret
venait d'expérimenter à entendre ça racontait une autre histoire. Après un moment qui
lui parut sans fin, la pression se relâcha et de délicates caresses les remplacèrent.
Son souffle chaud descendit le long de son ventre. Il sursauta quand le chatouillement
d'une langue se produisit dans son nombril. Les caresses prirent fin immédiatement. Il
se releva, la regarda d'un air sévère en se dirigeant derrière elle pendant qu'elle le
regardait en implorant sa clémence du regard, mais en lui envoyant, ne sachant pas
pourquoi ni d'où lui venait une telle impulsion, un sourire des plus baveux.
Une main se déposa sur ses fesses. Elle trembla en voyant dans le miroir l'ampleur de
l'élan qu'il prenait. La main massive s'élança, elle ferma les yeux, se crispant
d'anticipation puis...rien. Il se moqua gentiment d'elle, puis recommença le manège
une fois, deux fois. Avant la troisième fois, elle lui dit qu'elle n'en pouvait plus. Sa
réponse ''Alors supplie moi de mettre fin à ton supplice avec la plus forte claque que tu t'es prises à date!'' la pris de cours. Il la regarda avec intérêt, comme s'il pouvait lire
dans ses yeux qu'elle tournait sa langue 7 fois dans sa bouche avant qu'elle ne
réponde ''Je t'en supplie, donne moi ma plus grosse claques à date'' pendant qu'elle
se sentait rougir d'embarras mais appréciant la moiteur nouvelle qui se répandit entre
ses cuisses. L,explosion de douleur qui lui coupa le souffle lui fit encore revivre cette
mystérieuse émotion dans laquelle ses fesses lui criaient ''ça va pas!'', tandis que par
devant, ça disait ''ça va. ça va même très bien, j'en veux plus!''
Elle réalisa à ce moment qu'elle était couchée sur le ventre au bord du lit, les genoux
sur le plancher et le poid de son tourmenteur appuyé sur elle. Le membre tant
convoité se glissa entre ses mains. Une main se glissa à nouveau dans ses cheveux,
une autre l'empoigna par les hanches. Il lui murmura en mordillant son oreille qu'elle
était libre de bouger ou de gémir comme elle voulait, mais que la parole lui était
interdite. La bouche entreprit alors de dévorer passionnément son cou. Elle libéra
toute la tension accumulée en se tortillant de plaisir dans le peu de liberté de
mouvement que l'imposante machine au-dessus d'elle lui laissait. Elle put enfin
explorer cet jouet qu'elle désirait, duquel elle était curieux un surprenant sentiment de
fierté et de pouvoir, malgré son état de vulnérabilité extrême, s'empara d'elle
lorsqu'elle sentit le rythme cardiaque de l'homme augmenter rapidement et qu'il retira
son membre de ses délicats doigts.
Il retourna derrière elle et elle eut pratiquement un blackout quand une langue
s'écrasa à plat sur sa chatte et commença de lents mouvements de droite à gauche,
haut en bas, tout en restant à plat. Lentement. tranquillement, bien appuyés. Les
vague de plaisirs déferlaient sur elle. Cette danse eut pour effet de bien l'ouvrir. Elle
entendit l'enveloppe d'un préservatif s'ouvrir et le bruit du latex. Un objet long et dur se
présenta à l'entrée de sa fente humide...et sa fesse gauche explosa d'une exquise
douleur quand une main s'abat dessus. Quand les étoiles devant ses yeux se
dissipèrent, il était à genoux devant elle, son pénis déposé sur sa joue. Il lui montra en
riant ses deux doigts dans le condom et guida son membre rigide dans sa bouche
sans autre forme de procès. Elle frétilla d'excitation en goûtant enfin à l'objet de son
désir, mais ça ne fit qu'empirer l'immense frustration et le désir insupportable qui
brûlait entre ses jambes. Elle fit de lent mouvements de rotation autour du gland,
comme il lui en donna l'instruction pendant que ses doigts donnaient de délicieux
frissons à son dos.
À nouveau, la fierté et le sentiment de pouvoir se manifestèrent quand des spasmes
de plus en plus rapides débutèrent dans son membre qu'il retira de sa bouche. Une
fois de retour derrière elle, c'est son clitoris qui fut, enfin, la cible des assauts de sa
langue. Sans pitié, avec de délicats et précis mouvements, il promena sa langue sur
son petit bouton. L'extase se mélangea à une forme incroyablement excitante de panique
quand l'intensité augmentante menaça de la faire s'évanouir. Elle était de plus en plus
sensible, mais sa langue de plus en plus douce, la gardant ainsi coincée à la limite de
l'extase et la conscience. Elle s'aperçut qu'il avait arrêté quand elle entendit encore un
condom. Elle se demanda sérieusement combien de fois elle pourrait encore supporter le manège. Elle se raidit en appréhendant la claque quand elle senti l'objet
se présenter à l'entrée de son intimité.
Il lui fallut un bon moment pour comprendre ce qui lui arrivait quand la supernova de
sensations provenant de son vagin arriva à son cerveau quand il commença de lent
va et vient avec sa queue en elle. En quelques seconde le désir accumulé explosa en
spasmes et tremblements de plaisirs extrême qui furent tels qu'il eut à la maintenir
fermement par les hanches, ce qui ne fait qu'augmenter le plaisir. Quand elle se calma
finalement, l'intensité de l'instrument qui la pilonnait augmenta de plus bel. Chaque
coups résonnait dans son corps. Le temps n'existait plus, l'espace n'existait plus, mais
la nouvelle explosion qui lui arracha une séquences encore plus explosive de
spasmes et gémissements. quand elle eut terminé de se tortiller de plaisir, il la tourna
sur le dos au centre du lit et lui détacha les chevilles. Ses mains se posèrent sur
l'intérieur de ses cuisses et lui écartèrent largement. Sa langue agile tortura
doucement son clitoris avant qu'il se positionne au-dessus d'elle, son regard dans le
sien. Sa bouche attaqua la sienne en même temps qu'il la pénétra à nouveau d'un
rythme encore plus endiablé. Il ne le maintenu pas longtemps avant qu'elle ne sente
tous les muscles de la bête au-dessus d'elle se crisper quand une vague de plaisir le
fit s'affaisser sur elle. Elle sentit le membre en elle prendre encore plus d'expansion et
lui donner de délicieuses sensations avec chaque pulsation de plaisir. Ça la fit elle-
même repartir dans une explosion qu'il garda tout de même malicieusement la
présence d'esprit d'amplifier en faisant rouler un mamelon entre ses doigts en en
mordillant délicatement l'autre...
Quand elle se réveilla elle était détachée, couchée sur son large torse, blottie dans
ses bras. Le rythme apaisant de sa cage thoracique qui la soulevait sans difficulté à
chaque respiration et les caresses hypnotiques de ses doigts la plongèrent dans une
délicieuse torpeur. Elle se réveilla quand le soleil frappa son visage. Elle était la
minuscule cuillère dans les bras de l'homme qui lui avait fait vivre ses sensations.
L'eau à la bouche lui vint à la vue de l'érection matinale de celui qui dormait près
d'elle...
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