Le voyage de retour dure près d’une d’heure, pendant lequel, Valérie n’a pas lâché l’énorme mandrin, qui remplissait sa bouche. Elle a sucé, léché, gobé les grosses couilles avec un appétit grandissant, jusqu’à l’éjaculation.
Finalement, elle s’est relevée à moins de cinq cent mètres de la résidence, juste le temps de remettre de l’ordre dans sa tenue.
A l’arrivée, elle fait promettre à Samir de ne pas faire de bruit jusqu’à la porte de l’appart. Ils rentrent sur la pointe des pieds, sans croiser âme qui vive.
A peine à l’intérieur, Samir la saisit par la taille, la colle contre le mur. Le jeune arabe, veut finir ce qu’il a si bien commencé. Valérie essaie de se défendre, mais Samir d’une main, maintient ses poignets au-dessus de sa tête et de l’autre main, il déboutonne la mini robe qui bientôt se retrouve à terre. La belle se retrouve en string et talons hauts. Samir se recule légèrement, admire le corps magnifique de Valérie. Il ne sait plus ou poser ses mains, entre les seins aux bougeons durcit, ou la petite chatte à peine dissimulée par le string. Mais il veut aller jusqu’au bout. Il veut entendre Valérie crier sous ses coups de boutoirs.
Il la retourne face au mur, la fait s’appuyer sur ses avants bras, lui ordonne de se cambrer.
–Vas-y salope...cambres-toi bien...c’est ça, oh putain...quel cul.
Et de peloter, malaxer les deux magnifiques fesses. Puis il pose ses mains bien à plat sur chaque une d’elle, et doucement les écarte au maximum, découvrant par cette manœuvre toute l’intimité de ma belle épouse. Se positionnant à genoux dans le dos, il écarte le string et approche son visage du petit cul cambrée. Sa langue se pose sur le petit trou, qu’elle agace de petits coups légers, pendant qu’un doigt glisse sur les grandes lèvres, pénètre dans la chatte inondée. Valérie, très sensible à ces caresses cambre encore plus sa croupe, et gémit de bonheur. Le jeune beur s’en donne à cœur joie, la langue tourne autour du petit trou et enfin s’enfonce petit à petit dans la caverne, pour l’instant, interdite.
Valérie gémit de plus en plus fort, surtout que Samir enfonce maintenant deux doigts dans la chatte trempée, et commence à la branler.. Samir délaisse quelques instants le petit cul offert, et sa main gauche saisit un sein gonflé par le désir.
Imaginez la scène, une superbe femme en appuie sur ses mains, face au mur, la croupe cambrée qui ondule sous les caresses d’un jeune maghrébin, qui a une
main entre les fesses de la belle, deux doigts qui fouillent son intimité et l’autre main qui caressent alternativement les seins fermes qui balancent doucement.
Heureux de voir sa victime apprécier le traitement, Samir délaisse les seins lourds de désir et fait glisser lentement le mini string le long des cuisses de Valérie, qui ne se défend pas. Une fois que le bout de tissu est à terre, Samir écarte de nouveau les belles fesses et reprend son travail de linguiste, pour le plus grand plaisir de Valérie qui tortille son magnifique fessier en gémissant de plaisir. Samir continue pendant plusieurs minutes à lui bouffer le cul tout en faisant coulisser ses doigts dans la chatte inondée.
Soudain il se relève malgré la déception de la belle brune, lui prend le bras et l’emmène à proximité du canapé de cuir blanc. Là il pose ses mains sur les épaules et appuie doucement. Très vite, elle est obligé de s’agenouiller, le visage juste à la hauteur d’une énorme protubérance dissimulée par la toile du jean.
– A ton tour! Au travail et mouille le bien lui, dit-il en sortant l’objet du délit
Sans discuter ma femme ouvre sa jolie bouche et avale lentement le calibre dur, et palpitante, au grand plaisir du dépanneur. Pendant quelques instants on entend plus que le bruit de succion, et quelques commentaires flatteurs, puis le jeune beur interrompt la belle suceuse
–Doucement, je ne veux pas jouir encore dans ta bouche, j’ai d’autres idées, tourne toi et mets-toi à quatre pattes sur le canapé
Mon épouse obéit et se met en position de levrette, Samir saisit ses hanches et approche son dard brûlant de la petite chatte débordante de mouille.
– Vas-y doucement, ta queue est tellement grosse...
–T’inquiètes pas, tu es tellement trempée que ça va rentrer tout seul.
Et saisissant les hanches il fait pénétrer doucement le gland entre les grandes lèvres puis s’arrête, et au moment où la brunette s’interroge, il pousse brutalement et la bite gigantesque qui s’enfonce d’un coup sec.
–Oh salaud, je t’avais dit d’y aller doucement, dit-elle en essayant de se libérer
Une grande claque retentit, laissant apparaître la marque des doigts, sur la fesse.
–Aie...aie... tu me fais mal !
–Mais non, je sais que t’aimes bien te faire un peu prier! enfin si tu ne veux pas que je prenne ta chatte, tu sais ce qui va arriver
–Non Samir...pas ça
Samir sort sa bite et place le gland sur le petit œillet frémissant.
– Non...je t’en prie pas ça... tu vas me déchirer
– Je suis sûr que tu as du gel quelque part, si oui, dis-moi ou tu le cache.
– Là, dit-elle en montrant un petit meuble.
En ouvrant le tiroir, Samir met à jours une collection de menottes, de godes, du gel et d’autres accessoires érotiques.
–Ouah...Regardez moi ça, la petite coquine a plein de choses sympas.
Prenant les menottes il attache les poignets de la belle en ignorant ses protestations.
– Je sens qu’on va bien s’amuser, je vais te prendre par le cul et tu en redemanderas, petite salope
–Non non, s’il te plaît pas ça...j’ai toujours refusé cette faveur à mon mari..
N’accordant aucune attention aux gémissements de la belle, il l’allonge sur le canapé à plat ventre tout en glissant un gros coussin sous le ventre. Saisissant une seconde paire de menottes il attache la cheville droite au pied du canapé et fait de même avec l’autre cheville.
Ma chérie est maintenant à plat ventre, les poignets et les chevilles attachées et maintenus bien écartés, le coussin sous son ventre, le petit trou offert.
--Regardez moi ça, comme c’est beau, sourit Samir.
–Détaches moi, enlève moi les menottes, je ferais ce que tu veux, je t’en prie
Samir fouille encore dans le tiroir et sort un gros gode à ceinture, pas très long mais par contre d’un diamètre impressionnant. Il contemple longuement le gode puis s’approche de la tête de sa victime. Il passe la ceinture derrière la tête brune et ordonne.
–Ouvres la bouche.
–Que veux-tu…
Avec dextérité il enfonce le gode énorme dans la bouche ouverte de Valérie, qui rougit de colère. Samir n’en n’a cure, il contemple son œuvre. La belle est uniquement vêtue de ses escarpins,ou au bout de l’un d’eux, se trouve le string resté accroché. La scène est d’un érotisme absolu.
A ce moment-là, Samir aperçoit une caméra posée sur le bahut, et s’en empare.
–Souriez-vous êtes filmée...
–Hou….hou….
–Ne t’inquiètes pas c’est ta caméra, je te laisserais le film tu pourras le regarder avec ton mari
Alors tranquillement Samir positionne le caméscope de manière à pouvoir filmer toute la scène puis satisfait du résultat, il s’approche doucement et caresse longuement le dos puis les fesses au milieu des quelles il glisse sa main pour une caresse possessive. Enfin il se glisse entre la fourche formée par les jambes écartelées, puis prenant le gel il commence à enduire copieusement le petit anneau, que sa propriétaire essaie tant bien que mal de contracter.
–Pas la peine de lutter, e petite salope, je vais t’enculer, je vais profiter de ton petit cul, magnifique c’est vrai, je vais en profiter toute la nuit
–S’il te plaît...non Samir, ne m’’encule pas...
–Je sais que t’aimes ça, ne me dit pas qu’avec un cul pareil tu ne t’es jamais fait sodomiser, n’importe quel mec qui te vois à envie de t’enculer et je ne vais pas me priver, en attendant tu vas bien sucer ce beau gode.
Joignant le geste à la parole il fait coulisser légèrement d’avant en arrière le gros gode dans la bouche largement distendue. Valérie sachant ce qui l’attend, ouvre grand les yeux, et supplie du regard son bourreau.
Celui-ci prend la camera en main et fait revenir le film en arrière puis met en lecture en prenant soin d’orienter l’écran vers ma belle.
– Regarde comme tu es bandante ! Comment veux-tu que j’ai pas envies de te prendre le cul quand je vois ça?
Et de lui montrer toutes les images, puis remet le film à zéro, la remet en place et la redémarre.
Tranquillement il se replace entre les jambes écartées, pose ses mains sur les fesses, les écarte fermement et reste un moment à contempler le sublime spectacle. Pendant ce temps la belle cherche désespérément à s’échapper, à moitié étouffée par le gode, elle ne peut produire que de faibles balbutiements. Le pire c’est qu’en se tortillant elle ne se rend pas compte qu’involontairement elle se cambre de plus en plus pour la plus grande joie de Samir.
Celui-ci en profite pour introduire son pouce dans le petit cul offert après l’avoir préalablement copieusement enduit de gel lubrifiant.
– Ah...ah... gémit Valérie, appréciant quand même l’intromission.
-- Déguste bien ma belle ça c’est l’apéro
Alors il se relève, il repositionne le coussin sous le ventre de ma femme, de ses deux mains il écarte fermement les deux globes fessiers, pose le gland sur le petit œillet et commence à pousser doucement mais fermement.
Réussissant à libérer sa bouche du gode monstrueux, Valérie s’écrie.
--Non Samir, hurle-t-elle, non...
Pendant quelques secondes le petit anneau résiste vaillamment à l’envahisseur, il ne se passe rien. Le visage de ma femme est envahi par une sueur trahissant sa peur et soudain. Un cri terrible de Valérie, qui ne supporte pas cette sodomie.
Le gland, en buté contre le petit trou, est soudain comme aspiré et disparaît dans le petit orifice soudain distendu.
Les cris de douleur redoublent de puissance.
Samir en se sentant aspiré s’est soudain arrêté, puis il recommence à forcer l’étroit conduit, insensible aux gémissements. Après avoir replacé le gode au fond de la bouche de la belle suceuse, il reprend son lent forage. Centimètre par centimètre, le dard monumental s’enfonce et au bout d’un long moment, il sent ses couilles en butée contre les fesses.
Valérie, au cours de cette terrible intromission a cessée de gémir, le souffle coupé par la douleur, elle a l’impression qu’un énorme fer rouge s’est introduit jusqu’au fond de son ventre. Le gode qui envahit sa bouche l’empêche de respirer, et des larmes de douleurs envahissent ses yeux grands ouverts et des gouttes de sueur coulent le long de son visage.
Lorsque Samir s’arrête, elle croit que son supplice va prendre fin, hélas pour elle.
–Putain, t’es trop bonne, tu me serres bien, je vais te bourrer ton petit cul de salope.
Samir la saisit fermement par ses hanches, et commence doucement à se retirer, quand il ne reste plus que le gland il s’arrête et se renfonce dans le cul sans défense. Quand son bas ventre bute sur les fesses, il se retire d’un seul coup
– Oh gémit la belle enculée
– Ah je vois que tu commences à aimer.
Il replace son gland sur le petit trou qui arrive encore à se refermer. Voyant que la belle brune se crispe, il lui assène une claque formidable sur la fesse. Valérie, surprise, se relâche et Samir en profite pour s’enfoncer d’un seul coup au fond de l’étroit orifice
– Oh que c’est bon, dit-il, j’adore enculer une petite bourge comme toi, hein c’est bon, t’aimes la grosse bite à Samir salope.
– Ah...ah...oui...ah...hou...hou...
Maintenant Samir va et vient dans le conduit dilaté, il s’en donne à cœur joie, fessant le jolie cul, rebondi. Les cris de Valérie se sont mués en gémissements ou la douleur le partage avec le plaisir, et bientôt ses fesses partent à la rencontre du gros phallus pour mieux être empalées.
– Oh oui...c’est bon, vas y défonce moi avec ta grosse queue
Samir, soudain s’arrête, il se penche vers le tiroir ou se trouve plusieurs godes, en choisit un de taille moyenne et le présente devant la petite chatte délaissée. Il enfonce le gode et met le moteur en marche, quelques va et vient puis il l’enfonce complètement, satisfait il recommence ses allers retours dans le petit cul dilaté
– Te voilà bien emmanchée, c’est bon une bite dans tous tes trous...
–Oui...oui...t’arrêtes pas...baises moi, encules moi...
Pendant de longues minutes on entend les gémissements de Valérie, les ahanements de Samir et les vibrations du gode dans la chatte inondée. Samir vérifie que la caméra enregistre bien, il la prend en main et filme en gros plan sa bite enfoncée dans l’étroit conduit.
–Ton mec sera content de te voir si bien emmanchée
Puis reposant la caméra il reprend son pitonnage intensif
–C’est bon d’être serré comme ça, je sens que ça monte
–Oui...continue mon chéri, n’arrête pas...mon mari ne me fait pas tout ça...
Soudain la bite envahissante se gonfle encore plus
– Non ne jouis pas dans mon petit trou...non, Samir, ne fais pas ça…
Samir obéissant, avant que le plaisir ne soit complètement monté se retire, tenant la base de son sexe serré il se relève et contournant le canapé, arrache littéralement le gode qui envahissait la bouche gourmande, et qui empêchait Valérie de s’exprimer correctement. Il remplace le gode par sa bite congestionnée dans la bouche de ma femme.l.
Valérie n’a pas le temps de dire ouf que sa bouche et sa gorge sont envahies par de puissantes giclées de sperme onctueux, le débit est si fort que la belle suceuse ne peut tout avaler et de longues traînées de sperme et de salive mélangés s’écoulent de la commissure de ses lèvres. Pendant ce temps, Samir a plongé le gode dans le cul dilaté.
La bouche complètement obstruée, elle ne peut même pas gémir et doit subir jusqu’au bout l’éjaculation sauvage.
Enfin le flot se tarit, Samir oblige la belle à bien nettoyer sa queue qui commence seulement à ramollir.
–Salaud tu m’as fait mal, en plus je ne voulais pas te sucer après que tu m’es sodomisée
–Je vais t’enculer encore et encore et tu me suceras quand je le désirerais, c’est moi qui commande et en plus n’oublies pas que tu es attachée
Toute la nuit, le jeune arabe a baisée Valérie dans toutes les positions, par tous les trous, sa bouche sa chatte et son petit trou étaient en permanence occupés soit par la bite de Samir soit par les godes.
A mon retour, Valérie m’a avouée sa nuit torride passée avec Samir. Elle a finie par me parler du film, j’ai aussitôt foncé sur la caméra et l’ai visionné. Valérie ne savait plus où se mettre, alors je l’ai invitée à s’agenouiller et à me tailler une pipe, pendant que je regardais ébahi les ébats de ma petite pute de femme. Elle m’avoua, que pendant qu’elle me suçait, elle imaginait Samir en train de l’enculer.
La nuit a été très longue, j’ai refait ce que Samir lui avait fait subir, mais avec ma petite queue, je n’étais pas à la hauteur. A un moment je lui ai demandé si elle aimerait le revoir. Elle m’a avoué dans un souffle que oui, qu’elle aimerait, mais seulement si j’étais d’accord.
Je lui ai répondu que pour ma part j’étais d’accord, mais que je mettais une seule condition. Pouvoir les mater.
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