Vingt quatre ans de vie commune, n’ont pas eu raison de notre amour, j’adore mon mari comme au premier jour et il me le rend bien. A l’aube de la cinquantaine, nous faisons l’amour trois à quatre fois par semaine. j’apprécie qu’Armel s’occupe de moi, même si je jouis moins souvent.
En vingt quatre ans, je ne l’ai jamais trompé, et il ne m’est jamais venu à l’idée d’aller voir ailleurs.
On ne peut qualifier nos vingt quatre ans de vie sexuelle de trépidante, mais nous avons fait l’amour dans pas mal de lieux insolites. Comme le train, ou manuellement dans l’avion. Pour attiser notre libido, il nous arrive de regarder des films porno ensemble, nous avons testé la plupart des positions, et avons même fait l’acquisition d’accessoires, tel que sex-toys et autres.
Il y a un gadget, qu’Armel affectionne particulièrement. C’est un œuf vibrant télécommandé. C’est très agréable, mais très gênant aussi d’être à la merci de son partenaire, quand il a la télécommande. Quand je fais le ménage, il me demande de le mettre une nuisette. C’est à ce moment, que mon coquin de mari, actionne le jouet.
Je m’arrête aussitôt, paralysée, mais excitée aussi. Le jouet a différente position, de un à quatre. Mon mari prend plaisir à y aller crescendo. Appuyée sur l’aspirateur, l’autre main sur les hanches, je commence à onduler, prise par le plaisir. Je gémis jusqu’à atteindre l’orgasme, sous les rires de mon vicieux mari. Je le traite de salaud, lui dis que ma petite chatte est toute mouillée maintenant.
La seule chose que nous n’ayons jamais testé, c’est la sodomie, malgré l’envie de satisfaire le fantasme de mon mari, ma lubrification naturelle, n’a jamais été suffisante pour qu’il puisse me pénétrer. Je dois vous avouer aussi, que je n’ai jamais été bien prête pour ça.
Depuis que nous avons regardé un film porno dédié au candaulisme, Armel s’est mis en tête de me voir faire l’amour avec un autre homme.
Je ne lui ai pas franchement dit non, mais je n’ai pas besoin de me faire sauter par un autre homme que lui, et encore moins pendant qu’il me regarde. Je lui ai simplement dit que pour satisfaire son fantasme, il aurait déjà fallu qu’on trouve un mec qui soit d’accord, qu’on ne connaisse pas et qui me plaise vraiment.
Comme il voyait que je n’étais pas enthousiasmé par son fantasme, il a insisté en me disant que ça aurait mis un peu de piment dans notre couple. Depuis vingt quatre ans que je fais l’amour uniquement avec lui, ça m’aurait fait du bien de changer de partenaire. Je lui ai dit que j’aurais tout simplement pu prendre un amant, mais il avait envie de me voir me faire baiser, alors.
Parfois il me fait voir des photos de mecs qu’il trouve sur Internet. Sans vraiment y regarder, je lui dis que les mecs ne me plaisent pas. Une fois, il m’a fait voir la photo d’un mec, en me disant:
« Je suis certain que celui-ci va te plaire ».
Effectivement le mec est très séduisant, le crâne totalement lisse, un visage au regard viril.
Comme tous les ans, Armel s’absente une semaine pour participer au salon de sa profession. Le premier soir, au téléphone, il me demande de passer le lendemain après mon travail, dans un magasin d’informatique pour récupérer un CD qu’un certain Hervé lui a préparé.
A dix sept heures, j’étais dans le magasin, et demandé Hervé, afin de récupérer le CD. On m’a fait patienter quelques minutes, puis Hervé est arrivé. Il correspondait tout à fait, à la photo. J’ai tout de suite compris qu’Armel m’avait envoyé faire la connaissance du mec parfait.
J’ai récupéré le CD, et en ai profité de lui demander conseil pour l’achat d’une tablette numérique. Comme c’était l’heure de la fermeture, il m’a proposé de continuer notre conversation devant un verre. Je n’ai pas hésité une seule seconde pour accepter son invitation, je trouvais Hervé très sympathique et… surtout très beau.
Assise devant lui, plus rien autour de nous n’existait, je buvais ses
paroles, jusqu’à ce qu’il me fasse éclater de rire.
-Ça me fait plaisir de te faire rire… ça prouve au moins que tu n’es pas coincée. Tu sais ce qu’on dit d’une femme qu’un homme fait rire?
-Bien sûr, je connais mes classiques… on dit qu’il a gagné le droit de la mettre dans son lit ! Dommage, dommage… je suis marié.
- Dommage?... Donc si tu n’étais pas mariée, nous pourrions passer un moment ensemble…
-N’est pas ce que nous faisons ? Ne sommes nous pas ensemble ?
-Je voulais dire...un moment beaucoup plus intime…
J’ai répondu à sa conclusion par un sourire et nous avons repris notre conversation, jusqu’à ce que le serveur nous indique qu’il était l’heure de la fermeture.
-Eh bien puisqu’ils nous mettent à la porte, veux-tu continuer notre conversation autour d’une pizza à côté, ou préfères-tu qu’on la prenne, et qu’on la mange chez moi?
-Si tu n’habites pas trop loin, je suis partante. Je prendrais un taxi pour rentrer.
C’est ainsi que je me suis retrouvée chez Hervé. Comme si ce qui allait suivre était inéluctable, je me rendis les toilettes, afin de me refaire une beauté. Avant de sortir j’ai glissé une main à l’intérieur de ma culotte, pour vérifier que ma toison que j’avais rasée il y a quelques jours, ne donne pas l’impression de na pas avoir été entretenue.
Après avoir mangé la pizza, Hervé m’a proposé un thé. Assise à côté de lui, je l’écoutais avec attention, mais je n’avais qu’une hâte, qu’il me prenne dans ses bras, qu’il m’embrasse, qu’il m’arrache mes vêtements, qu’il me baise… mais il restait distant.
Je regrettais vraiment de ne pas mettre mise en jupe, courte de surcroît, j’avais l’impression de ne pas être désirable dans ce pantalon. Je me suis décidé à lancer les hostilités.
Je lui demande s’il est marié, s’il a des enfants, s’il vit avec quelqu’un…
Il me répond qu’il est divorcé, qu’il à deux enfants, et qu’il n’a pas de petite amie dans sa vie...ni dans son lit.
-Un bel homme comme toi, avec ton boulot tu dois en rencontrer des femmes, j’aurais pu penser que tu n’avais que l’embarras du choix.
-Et bien tu pensais mal… les femmes viennent au magasin pour leur ordinateur, pas pour moi… quand je rencontre des femmes qui me plaisent, elles sont comme toi, elles sont mariées.
-Heu…
-Je crois savoir que ton mari est au salon de la domotique à Paris, je ne voudrais pas que tu penses que je profite de la situation, mais si tu te sens seule ce soir, tu peux oublier que tu es mariée.
-Dans le bar, c’est bien toi qui m’as proposé de passer un moment plus intime.
J’ai sorti le porte-monnaie mon sac, y ai mis mon alliance, et lui souris.
-Qui t’a dit que j’étais marié ?
Hervé m’a enfin enlacé, et après un long et fougueux baiser, nous nous sommes levés pour nous déshabiller. Nos vêtements sont restés là ou ils sont tombés, éparpillés sur le sol. Hervé m’a pris la main, et m’a conduit vers la chambre. En entrant, j’ai croisé mon image dans un miroir, j’ai presque été surprise de me voir entièrement nue, et comme si je n’avais pas vu que mec que je connaissais depuis à peine deux heures, s’était déshabillé en même temps que moi, ça m’a semblé surprenant qu’il soit nu lui aussi, sa queue imposante, balançant entre ses jambes. J’avais tellement envie de faire l’amour avec lui, que je me suis allongée sur le lit, rien n’aurait pu me retenir.
Avec Hervé, j’ai eu l’impression de participer à un match de rugby, ou aux violentes actions suivaient des remises en jeu. La lumière de la chambre étant allumée, le grand miroir au bord du lit me renvoyait l’image d’une putain qui se donne sans retenue au premier venu. Tantôt sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, tantôt en levrette, les seins ballants au rythme des coups de boutoir de son partenaire, tantôt empalée sur sa grosse bite, les seins emprisonnés dans ses grandes mains, j’étais à son entière disposition, je profitais du plaisir qu’il me donnait, je jouissais sans aucune retenue, à plusieurs reprise.
Après une longue étreinte, nous nous sommes assoupis, enlacés l’un contre l’autre.
Quand j’ai ouvert les yeux, j’ai regardé le radio réveille, il était quatre heures. Un peu affolée, je me suis levée, me traitant de folle..
« Qu’est-ce que tu as fait ? Dans quels draps tu t’es mise?
Sans réveiller Hervé, je me suis éclipsée.
A son retour du salon, Armel ne m’a fait aucune allusion, posé aucune question. Ce n’est que deux jours plus tard, qu’il m’a demandé si j’étais passé cherche le CD au magasin, comme il me l’avait demandé. Il ne m’a rien demandé de plus, mais je restais persuadée qu’il avait organisé cette rencontre.
Plusieurs jours plus tard, Paul m’a ressorti deux ou trois photos de mecs disposés à me faire l’amour devant lui. Je lui ai proposé de réaliser son fantasme à deux conditions.
Que je choisisse le mec, et qu’il me laisse le rencontrer toute seule, pour la première fois.
Armel n’a eu aucune objection quant à mes conditions. Je lui ai demandé s’il avait toujours les coordonnés du mec vu sur les photos. Après quelques recherches sur son PC, il a retrouvé les coordonnées.
C’est avec l’aval de mon mari que j’ai pris contact par mail avec Hervé, parce que c’est de lui qu’il s’agissait. Sans lui dire que j’avais passé la nuit avec lui, lors de son salon.
Nous sommes convenus d’un rendez-vous le samedi soir vingt heures, dans un restaurant gastronomique. Armel était très heureux de mon initiative. Je ne lui ai pas dit où nous avions rendez-vous, mais je lui ai dit que j’avais un bon feeling avec ce mec, déjà il ne m’invitait pas dans un bar ou autour d’une pizza, mais dans un bon restaurant.
Cette fois, c’est parfaitement rasée, maquillée, habillée très sexy, tailleur très court avec un chemisier blanc très fin, donc presque transparent, un string et un soutien gorge couleur chair, qui donne un peu de volume à mes petits seins, des bas auto-fixant, exactement la tenue qu’Armel aime me voir porter, que je suis allée au rendez-vous.
Juste avant de partir, Armel m’a fait un dernier bisou.
- Ma chérie tu es magnifique… irrésistible...
- Et tu m’envoies passer la soirée un autre homme ?
- Pour moi, c’est comme si tu allais dîner avec tes copines.
-Sauf que là je vais dîner avec un mec, à qui tu as proposé de sauter ta femme… j’espère qu’il ne va pas me sauter dessus, irrésistible comme je suis, il va vouloir tester la marchandise...
-Il ne va pas te violer dans le restaurant, dès que vous avez terminé de manger, tu m’appelles je viendrais te chercher à la porte du restaurant.
- Doucement mon chéri, si le mec me plaît, j’ai bien l’intention de baiser avec lui après le restaurant
- Dans ce cas je viendrais te chercher à la porte de l’hôtel.
J’ai retrouvé Hervé devant le restaurant. Dans un premier temps, il a semblé embarrassé, ce n’était visiblement pas moi qu’il attendait. Je lui ai confirmé que j’étais la femme mariée qu’il attendait, il m’a dit qu’il ne comprenait pas tout, mais qu’il était ravi.
En dînant, je lui ai expliqué le concours de circonstances. Le fantasme de mon mari, la photo qu’il m’avait montrait, mon mari qui m’envoyait le voir alors qu’il était au salon. J’avais vraiment pensé que c’était la solution qu’Armel avait trouvée pour me conduire à partager son fantasme. Comment aurais-je pu croire au hasard et ne pas terminer dans son lit.
Il m’a confirmé qu’il écrivait des macro-commandes pour l’entreprise ou travaillait Armel, mais qu’ils ne se connaissaient pas. Je lui ai avoué que je n’avais pas eu de rapport sexuel avec un autre homme que mon mari depuis plus de vingt quatre ans, et qu’il y a très longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir au lit, qu’il était un amant exceptionnel.
Après dîner, comme si c’était naturel, nous sommes allés chez lui. Cette fois nous avons pris une coupe de champagne qu’il avait mis au frais et c’est au rythme d’une musique douce que nous nous sommes effeuillés mutuellement, avant de passer au lit. Le lit n’était pas dressé comme la fois précédente, il était nickel, les draps propres, parfumés à la lavande.
Une fois au lit, nous ne nous sommes pas jeté l’un sur l’autre comme la première fois. Hervé m’a touchée, caressée, léchée la chatte. J’avais presque oublié cette phase préliminaire si agréable, j’avais presque oublié qu’on puisse jouir sans être pénétrée par un sexe d’homme. J’avais l’impression de faire l’amour avec un mec différent «Hervé».
Cette fois il était prévenant, attentionné, attentif à mon plaisir, il n’avait pas cet instinct bestial que j’avais senti en lui la première fois.
Comme la première fois je me suis donnée entièrement, j’ai joui sans retenue, j’ai pris autant de plaisir à jouer la femme libertine, que j’avais pris à jouer la pute la première fois.
Après un ultime assaut ou il m’a littéralement « collée au plafond », où le préservatif ne m’a pas empêché de sentir son puissant jet de sperme, nous nous sommes serré l’un contre l’autre, nous étions tous les deux en nage.
Je me suis levée pour aller aux toilettes, quand j’ai entendu le vibreur de mon téléphone dans mon sac à main. Armel m’avait envoyé plusieurs textos, pour me demander comment ça se passait. Je suis revenu au lit, j’ai pris le préservatif rempli de sperme et je l’ai tenu en face du sexe d’Hervé pour prendre une photo. Puis j’ai envoyé la photo à Armel.
«Je suis en train de passer un moment mémorable, bonne nuit, à demain dans la matinée».
Comme j’étais nue, à genoux sur le lit, Hervé a pris mon téléphone, il m’a pris en photo dans cette position avec le préservatif en évidence à la main. Il a envoyé la photo à Armel.
« Armel merci pour le cadeau...ta femme est super bonne au lit ».
J’étais à peine réveillé, quand ma main a frôlé l’énorme queue d’Hervé, constatant qu’elle était en érection. Après l’avoir sucé, je me suis glissée sur lui et je m’y suis empalée dessus. C’est dans une parfaite osmose que nous avons joui ensemble, mon corps tout entier vibrait, quand j’ai
senti son jus remplir le préservatif.
Après avoir déjeuné, nous sommes allés ensemble dans la douche. On s’est savonnés mutuellement, je lui massais le crâne bien lisse, objet de mon fantasme, pendant qu’il me massait les seins et ma chatte bien lisse, je sentais ses doigts aller et venir en moi, me titiller le petit bouton bien décalotté, ce qui ne tarda pas à me faire jouir.
Avant de se quitter, sachant que je ne serais pas libre le prochain week-end, nous avons pris rendez-vous pour le samedi d’après, mais à la maison cette fois, en présence de mon mari. Je lui ai demandé s’il aurait pu faire un test HIV, car j’aurais souhaité qu’il n’utilise plus de préservatif. Pour ma part, comme tous les ans à cette époque, j’avais fait une prise de sang la veille et j’aurais les résultats en début de semaine.
Je suis rentrée à la maison un peu avant midi, Armel avait préparé le repas, il avait mis « les petits plats dans les grands ». Je le sentais excité, dès que je m’approchais de lui, il ne manquait pas de me toucher, de me caresser, mais je lui ai systématiquement demandé de me laisser tranquille. Il m’a proposé de faire une sieste, mais j’ai refusé. Quand nous nous sommes couchés le soir, j’ai refusé qu’il me touche.
-S’il te plaît… laisses-moi, ne gâche pas tout, j’ai tellement joui la nuit dernière que je n’ai pas envie de faire l’amour avec toi ce soir.
-Qu’est-ce qu’il t’a fait de spécial ? Me demande-t-il
-Rien de spécial, il m’a simplement fait jouir comme jamais.
-Mais…chérie...
-C’est bien toi qui as voulu que j’aille me faire sauter par ce mec, c’est toi qui m’as dit que ça m’aurait fait du bien de changer de partenaire.
-J’avoue...mais…
-Hé bien tu avais raison, ça m’a fait énormément de bien, ça faisait un bail, que ça ne m’était pas arrivé de jouir comme ça..
-Oui… mais je veux qu’on partage ce plaisir.
-Tu veux que le mec te baise ?
-T’es folle !
-Mets tes doigts dans ma chatte, tu ne les mets plus souvent, imagines-toi qu’il m’a fait jouir une fois au lit, et une autre fois sous la douche, rien qu’avec ses doigts.
-Il ne t’a pas sauté ?
-Non il ne m’a pas sautée… il m’a fait l’amour...l m’a fait l’amour comme un dieu, c’était si bon. Tu n’as pas eu les photos ?
-Si… tu as l’intention de le revoir ?
-Bien sûr que je vais le revoir, pas le week-end prochain, mais le suivant, je l’ai invité ici, c’est ce que tu voulais, non ?
-Tu es un ange ma chérie.
-C’est précisément ça, pour toi je suis un ange et un ange n’a pas de sexe, donc tu oublies mon cul.
Paul n’a pas insisté. Ce n’est que le mercredi soir suivant, que je lui ai fait comprendre que j’avais envie de faire l’amour. Il ne s’est pas contenté de planter sa queue dans ma chatte, non, comme d’habitude, il m’a touchée, caressée, léchée.
Je fermais les yeux pour savourer le plaisir qu’il essayait de me donner, mais dans ma tête j’étais avec Hervé. Puis je souvient m’être abandonné, au point de gémir quand j’ai senti sa bite me pénétrer, ça a dû tellement l’exciter d’entendre sa femme gémir, qu’il s’est aussitôt répandu en moi. Il m’a dit que s’était fantastique… je ne lui ai pas dit que je ne partageais pas son sentiment.
Chaque fois qu’Armel m’a fait l’amour avant le samedi tant attendu, c’est-à-dire trois ou quatre fois, ça a été le même fiasco.
Durant la semaine nous avons préparé notre soirée, Armel voulait acheter des vêtements dans un sex-shop, si je l’avais écouté, j’aurais reçu Hervé toute nue, finalement il m’a accompagné pour acheter une tenue et des sous-vêtements sexy. J’avais préparé le lit, draps neufs et parfumés.
Le vendredi Hervé m’a donné le code qui me permettait de consulter le résultat de sa prise de sang par internet, j’ai scanné le résultat de la mienne… nous étions près l’un pour l’autre.
A dix neuf heures trente, la sonnette retenti. Armel est allé ouvrir. Depuis le salon ou j’étais installée, je tendais l’oreille, ils se sont présenté mutuellement et Armel a invité Hervé à me rejoindre au salon. Depuis la cuisine, Armel m’a dit que j’aurais pu faire visiter l’appartement à Hervé.
En lui faisant voir la chambre d’amis, je lui ai dit que j’avais préparé le lit pour mon mari, en lui faisant voir la chambre conjugale, je lui ai dit que j’avais préparé le lit pour nous.
Il m’a allongée sur le lit, il a relevé ma jupe et retiré ma culotte pour me caresser la chatte. Armel nous a interrompus en venant nous dire que l’apéro était servi. Sous le regard de mon mari, je me suis relevée, j’ai réajusté ma jupe sans remettre ma culotte.
J’ai dîné à côté d’Hervé, en face Armel. Quand Hervé ne mangeait pas, il glissait une main sous la table, me caressait, me mettait un doigt. J’avais commencé le repas sans culotte, je l’ai terminé les seins à l’air, vêtu uniquement de mes bas auto-fixant, et de ma jupe repliée à la taille. Nous ignorions totalement la présence d’Armel, qui s’occupait à servir et desservir la table.
Nous étions installés au salon quand Armel nous a apporté un thé à la menthe, j’avais ouvert le pantalon d’Hervé et sortis sa belle queue bien raide, que je pris en bouche.
Après avoir bu le thé, j’ai demandé à Armel de rester assis sur le fauteuil. Je me suis plantée devant lui, et lui ai demandé de me débarrasser de ma jupe. Il en a profité pour glisser sa main entre mes cuisses.
-Alors mon petit mari, tu vois comme le chatte de ta femme est mouillée ?
Aller, retires ta main…ce soir la chatte de ta femme va avoir droit à une belle queue. Tout à l’heure, c’est le sperme d’Hervé qu’elle va boire.
Je suis revenu à côté d’Hervé, après l’avoir sucé, je me suis empalée sur son calibre.
-Mon chéri, admire cette belle bite dans le cul de ta femme…celle-là au moins elle est bien raide… pas comme la tienne.
Après ces prémices, nous avons laissé mon mari au salon, et sommes allés dans le lit conjugal poursuivre nos ébats. C’est à l’issue d’une étreinte bestiale, qu’Hervé m’a fait hurler de plaisir en crachant son foutre dans le fond de mes entrailles.
J’ai juste prononcé le prénom de mon mari, je me doutais qu’il était juste derrière la porte entrebâillée de la chambre. J’étais sur le dos, les jambes écartées.
-Mon chéri...tu as ce que tu voulais, tu es cocu, Hervé n’a pas baisé ta femme dans ton lit, il l’a faite jouir...il a rempli le cul de ta femme avec sa semence épaisse. Approche, je sens que ça coule, lèche le jus d’Hervé, pour que ça ne souille pas les draps.
Tel un enfant qui saute dans le lit de ses parents, Armel est venu au lit pour lécher ma chatte. J’ai cru qu’il ne s’arrêterait jamais.
-Allez hop, c’est propre, va dormir à côté, n’oublie pas d’aller chercher les croissants demain matin, bonne nuit.
Depuis cette soirée, je suis une femme comblée, une semaine sur deux je passe mes nuits avec Hervé, chez lui ou à la maison.
Armel, qui m’aime malgré tout, dort avec moi, quand je ne suis pas avec Hervé. La seule exigence d’Hervé est que s’il nous arrive de faire l’amour quand il n’est pas là, nous utilisions des préservatifs.
Chez Hervé, j’ai pris goût à me voir pendant que je fais l’amour, j’ai demandé à mon mari d’installer des miroirs dans notre chambre. Il voulait que nous laissions la lumière allumée, pendant nos rapports, mais je lui dit que les miroirs c’est pour me voir quand je jouis, avec toi ça ne risque pas d’arriver, ce n’est pas la peine de gaspiller de l’électricité.
La chose qui me semblait la plus rédhibitoire dans le fantasme d’Armel, était de faire l’amour avec un autre homme devant lui. Je pensais que ça m’aurait bloqué, mais c’est tout le contraire, c’est moi qui lui ai proposé d’installer une chaise au bord du lit. De temps en temps, on le convie à s’y asseoir pour nous regarder, c’est mieux que nous mater que depuis le couloir. Quand il est assis au bord du lit, je prends plaisir à commenter les sensations que j’ai avec Hervé. Le summum étant quand je demande à mon amant, de m’enculer. Hervé n’a aucune difficulté à enfiler son sexe qui est trois centimètres plus long de celui d’Armel. Dix neuf centimètres au lieu de seize. et un peu plus épaisse, dans les mêmes proportions. Armel est stupéfait de voir cette énorme queue perforer mon petit trou.
Il arrive à mon mari, qu’en plus de me lécher après qu’Hervé se soit vidé en moi, Hervé lui dise. «Allez, ce soir tu as de droit de baiser ta femme »
C’est Hervé lui même, qui met le préservatif sur le sexe d’Armel. Je reste froide, allongée sur le dos, quand Armel vient entre mes cuisses, il se tripote un peu pour obtenir une érection à peu près normale, et il me pénètre dans la position du missionnaire, sans m’embrasser. Il est tellement excité que quelques secondes suffisent pour qu’il éjacule.
A chaque fois, Hervé récupère le préservatif en se moquant.
-Chérie, tu as senti quelque chose? Ça ne valait vraiment pas le coup ?En plus il n’y a presque pas de jus.
Après vingt quatre ans de vie commune, mon mari accepte sans rechigner cette situation, quand je lui propose de ne pas utiliser de préservatif pour nos rapport, il n’ose pas.
-Quoi? Si Hervé l’apprenait, je n’aurais plus le droit de te faire l’amour.
-Arrêtes tu es mon mari, et tu reste l’homme de ma vie, celui que j’aime plus que tout. Tu as autant de droit que lui, sinon plus. D’ailleurs, j’ai décidé de mettre un terme à cette situation. Après tout, tu as obtenu ce que tu voulais...me voir baiser avec un autre homme…
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