Baisée par son chien

Baisée par son chien.

Cécile sort de la salle de bains, après avoir pris une douche bien chaude.

La jeune épouse avait toujours adoré sentir l’eau couler sur son jeune corps. Tout en s’essuyant, elle se caressa, appréciant ses seins bien fermes, le galbe parfait de ses hanches.

Elle aimait son corps, car elle savait l’effet qu’il avait su les hommes. Quoi de mieux qu’un joli déhanché, un petit sourire coquin, voire une petite gâterie, à l’insu de son mari bien sur, pour obtenir leurs faveurs. Comme lors de cette soirée, ou elle avait tailler un pipe à un inconnu, après quinze jours de mariage.

En sortant de la douche, elle s’admira dans le miroir.

On lui disait souvent, qu’elle avait un visage magnifique, mis en valeur par de délicieux sourires. Elle aurait pu faire mannequin. Elle se trouvait belle, avec ses yeux bleus pétillants, et ses longs cheveux soyeux. Elle trouvait anormal, que son corps n’appartenait qu’à un seul homme, alors que d’autres pourraient en profiter.

La jeune femme sursauta, en attendant un bruit venant du salon.

Une pointe d’inquiétude la saisit. Son mari ne rentrait avant demain ce soir.

Était- ce un cambrioleur ?

Soudain, elle tressaillit, traversée par une charge électrique. Nick, un doberman de trois ans, lui lécher la chatte, déclenchant une vague de plaisir dans son corps.

Elle tenta de le repousser, mais glissa, et se retrouva au sol, sur le dos. Cette chute eut pur effet d’ouvrir le peignoir, dévoilant son superbe corps, nu.

Nick recula l’espace d’une second, puis revint à la charge, lapant avec application, l’entrejambe de Cécile.

La jeune femme voulut résister, mais trouvait cela, très excitant. La langue du chien sur son clitoris, la comblait plus que tout ce qu’elle avait pu connaître. D’une façon presque pathétique, elle essayait faiblement de le gronder, entre deux hoquets de plaisir.

-Non...Ni...mon dieu...Nick..a..arrête...putain...c’est pas bien...faut pas…

Mais le chien n’arrêta pas, redoublant même d’ardeur, accentuant son léchage du sexe, de sa jeune maîtresse. Cécile poussait des râles de plaisir, se tortillait comme un ver sur le sol, à chaque coup de langue.

Son bas ventre la brûlait, et un plaisir intense se répandait dans tout son corps. Elle se sentait à deux doigts de jouir.

Soudain, Cécile ne sentit plus la langue de Nick, laper sa chatte. Elle se releva, et poussa un cri suppliant.

-Non!! Reviens Nick...reste….continu…

Le chien la regardait, la langue pendante. Il ne c’était reculé, que d’un petit pas, et Cécile tenta de l’approcher, se cambrant vers son museau, pour qu’il reprenne son cuni interrompu. Mais le chien détourna la tête.

La jeune femme arracha son peignoir, et s’écarta, pour à nouveau lui présenter sa chatte. Avec deux doigts, elle décalotte son clitoris. Nick, surpris par ce petit bouton rose, incline la tête, et s’approche. Il frôle le petit organe avec son museau humide, puis le lèche avec sa grosse langue. C’est trop pour Cécile, qui hurle de plaisir, quand elle atteint l’orgasme, laissant Nick médusé.

Mais Nick se détourna encore, puis soudain, lui sauta dessus, essaya d’enserrer son corps, avec ses pattes avant.

Cécile poussa un petit cri surpris, jamais son chien n’avait fait ça. Elle s’allongea au sol et aperçut entre les pattes de l’animal sa bite tendue.

Elle était rouge et luisante, apparemment plus grosse que la queue de son mari...

En l’espace d’un instant tout se bouscula dans la tête de Cécile.

Elle était à la fois dégoûtée par ce que tentait de faire le chien et troublée par le

plaisir qui pulsait dans son corps, après le cuni qu’il venait de lui faire.

Elle recula maladroitement...

D’un côté Cécile savait qu’elle avait déjà été trop loin, qu’elle devait arrêter, mais

de l’autre, un instinct puissant lui dictait de prendre ce sexe en elle, de le laisser

lui remplir sa chatte, son ventre...

Déboussolée, elle se retourna et tenta de s’éloigner d’abord en rampant, puis à

quatre pattes. Dans sa tête, l’idée que c’était un acte contre-nature commençait à

l’emporter.

Puis elle sentit Nick juste derrière elle. Le chien lui sauta à nouveau dessus,

l’enserrant entre ses pattes avant.

La jeune mariée poussa un nouveau cri, surprise en sentant quelque chose de

dur, chaud et humide frotter contre sa cuisse.

Le chien s’agitait pour essayer de la pénétrer, comme si c’était sa femelle, mais

n’y arrivait pas.

Dans un état second, Cécile tendit la main, pour saisir cette grosse queue, qui

allait et venait, entre ses cuises, sans savoir ce qu’elle allait en faire.

Cécile se dit qu’elle allait l’éloigner de sa chatte, mais au final, elle le guida vers

sa fente.

La bite de Nick était à peine rentrée dans son orifice de femelle que celui-ci la fit pénétrer entièrement d’un grand coup de rein, arrachant un gémissement à sa maîtresse.

L’animal ne lui laissa pas le temps de souffler et se déchaîna sur elle, comme si elle allait être la dernière femelle qu’il pourrait saillir de toute sa vie.

Cécile, la bouche grande ouverte, haletait comme la dernière des chiennes.

Ses seins ballottaient d’avant en arrière au rythme d’enfer que lui imposait la bête. La bite du chien lui défonçait littéralement la chatte...

Chaque coup de boutoir de l'animal lui envoyait des décharges de plaisir dans son ventre, dans ses seins, à travers tout son corps électrisé à force de plaisir...

Le sexe de Nick lui semblait énorme, brûlant et Cécile se cambrait de plus en plus en le sentant aller et venir en elle.

Elle n’avait jamais vécu quelque chose d’aussi avilissant, d’aussi dégradant… Mais elle n’avait jamais non plus vécu quelque chose d’aussi jouissif ! Sa mouille dégoulinait littéralement le long de ses cuisses jusqu’au sol. Elle encourageait Nick sa voix tremblotante.

-Bon chien vas-y… Fais plaisir à ta maîtresse… Oh mon dieu continue oui c’est bon… Vas-y défonce moi sale cabot! Défonce ta maîtresse !!!

Elle sentit que son plaisir allait la submerger. Rejetant la tête en arrière, elle poussa un long gémissement de plaisir.

Nick ne ralentit même pas, continuant à la limer avec vigueur. Une boule s’était formée à la base de sa queue, dilatant encore plus la fente étroite de la jeune femme, tandis qu’elle sentait un liquide chaud couler en elle.

-Oh Nick...vas-y mon chéri...je suis ta chienne aujourd’hui...ta grosse chienne... baises-moi mon chien...baise ta petite femelle…

La saillie dura encore de longues minutes durant lesquelles Cécile eut encore plusieurs petits orgasmes qui achevèrent de la vider de ses forces. Elle ne comprenait pas bien ce qui se passait, son vagin lui semblait déjà bien rempli mais Nick continuait. Le souffle court, Cécile répétait sans cesse.

-Ta chienne… oui ta chienne…je suis ta femelle... »

Finalement, elle sentit la bite du chien grossir encore plus, puis de longs jets de sperme se déversèrent en elle.

Nick resta un moment sur elle sans bouger, puis il se laissa tomber mais sans sortir sa queue de sa maîtresse.

Passé les dernières vapeurs de l’orgasme, Cécile s’inquiéta un peu. Le gros calibre de son chien semblait comme verrouillé en elle, et elle n’arrivait pas à l’extraire.

Elle tenta bien de tirer dessus mais un grognement de Nick la dissuada d’insister.

Il fallut près de dix minutes d’inquiétude avant que le sexe du doberman, ne sorte enfin de la chatte de sa maîtresse, avec un bruit humide.

Aussitôt du sperme commença à couler le long des cuisses de Cécile. Celle-ci se releva et réalisa ce qu’elle venait de faire, elle venait de s’accoupler avec Nick, un doberman de trois ans, à la fleur de l’âge.

Mais Cécile avait soif d’expérience. Elle tendit la main, saisit la queue du chien, toujours en érection, et la guida vers son petit trou. Elle la fit pénétrer lentement, puis se coucha, un jambe en l’air, pour mieux sentir le calibre de Nick, en train de l’enculer.

-Enfoiré...t’encule ta maîtresse...qu’est-ce qu’il dirai papa, s’il apprenait ça? Il me gronderait...et tu sais ce que je lui répondrais ? Que toi, contrairement à lui, tu es capable d’enculer sa femme...oh oui mon chéri...c’est bon...vas-y, fais du bien à ta maîtresse...encules la cette salope…

Le chien éjacula, inondant les entrailles de Cécile, qui gémissait de plaisir. Elle se retourna vivement, et avant que la queue de Nick ne se rétracte, elle la prit en bouche, nettoya le bout, jusqu’à la dernière goutte.

Puis elle réalisa, que même si elle avait prit énormément du plaisir, ce qu’elle avait fait, était contre nature. Elle s’en voulait pour ça.

Prise de nausée, la tête qui tournait, la jeune femme se dirigea en titubant vers la salle de bains, espérant laver de son corps les souillures de son accouplement, avec son chien. Quand elle sortit de la salle de bains, Nick avait disparu.

Dix minutes après, c’est son époux qui rentrait du bureau.

-Bonjour ma chérie, c’est moi. Alors, dit-il, as-tu passé une bonne journée

-Merveilleuse mon amour, je me suis occupé des fleurs, puis je me suis amusée a

-Merveilleuse mon amour. Le matin, je me suis occuper du jardin, puis je me suis amusée avec Nick tout l’après midi.

-C’est vrai qu’il t’adore ce chien.

-C’est vrai...mais si tu savais comme il est vicieux.

-A bon, qu’a-t-il fait ?

-Quand je suis sortie de la salle de main, il a enfouie sa tête sous mon peignoir et a donné deux ou trois coups de langues, sur ma petite chatte. Il en a décalotté mon petit bouton...t’imagines?

-Oh là...et c’était bon, dis-moi…

-Bien sur que c’était bon...s’il avait continué, je crois qu’il m’aurait fait jouir.

-A ce point...attention quand même ma chérie...sois prudente.

-C’est pour ça que je l’ai grondé. Je lui ai dit de ne jamais recommencer.

-Bien ma chérie, je vais me doucher pendant que tu sers l’apéro.

Après un léger repas, Jean propose à Cécile de regagner la chambre, car il avait hâte de lui faire l’amour. L’histoire du chien la fortement excité.

Céline, épuisée de sa relation avec Nick, refusa. Elle lui proposa de lui tailler une pipe. Faute de mieux, Jean accepta, et fut surprit quand son épouse avala tout, pour la première fois depuis qu’ils se connaissent. L’effet de Nick peut être.

Avant de s’endormir, Cécile demande à son mari, s’il doit s’absenter ces jours ci.

Il lui répond que oui, pendant une semaine.

Cécile se tourna en souriant, pansa à Nick, son futur amant.