Quelque chose ne tournait pas rond ces derniers temps. Je doutais de plus en plus de la fidélité de ma femme, et les mises en garde de mes amis n’y étaient pas étrangères.
Depuis quelques temps, elle avait accepté un nouveau travail, qui l’avait totalement changé. Plus distante, plus fatiguée, moins câline...bref, absente. Avec nos horaires, et ses sorties en dehors du travail on ne faisait plus que se croiser. Les accrochages étaient de plus en plus fréquents, il fallait absolument trouver une solution. Elle protestait bien entendu de sa fidélité et mes horaires ne me permettaient pas de la suivre. Quant aux amis ils pouvaient très bien parler par jalousie, car nombreux sont, ce qui aimeraient se la taper. Il est vrai que Sylvie, est extrêmement belle...blonde, un mètre soixante dix, quatre vingt quinze c, un visage adorable et un corps fait pour baiser.
Une colère sourde montait en moi, que je ne pouvais maîtriser. Elle avait beau me dire que j’étais l’homme de sa vie, qu’elle n’aimait que moi, et qu’elle était fidèle, je ne la croyais pas. Alors après une énième discussion extrêmement houleuse, elle a fini par craquer
- Bon, c’est vrai, j’ai eu une aventure. Ne te prends pas la tête, je ne vais pas te quitter mais… Ah et puis tu sais, ça m’excite, quoi, qu’un mec me mate, me fasse des compliments...àa m’excite de sentir qu’il a envie de moi.
Je ne l’ai pas laissé finir. J’ai attrapé un morceau de son chemisier et, dans ma colère, l’ai arraché, faisant jaillir ses superbes seins. Elle ne s’est pas démontée pour autant :
- Arrêtes, je ne veux pas te faire de mal, mais j’ai besoin de ça, besoin d’être baisée quand j’en ai envie, d’avoir d’autres partenaires mecs ou nanas. Mais pour être totalement épanouie, j’aimerais que tu participes. Ce serait tellement bien à trois ou à quatre. Et tiens, là, regarde, ne me dis pas qu’en ce moment, ça ne te fait rien quand je te raconte ça et que tu vois mes seins. Y a des mecs qui aiment que leur femme soit salope, ça les excite, non ?
Bien sur que ça m’excitait, je bandais comme un malade. Me trouver avec deux nanas rien que pour moi, ou voir ma femme se faire prendre par un autre était mon rêve comme celui de bien d’autres gars. J’avais une de ces envies de la baiser cette salope, mais je ruminais un petit plan.
- Tu es vraiment une sale pute, lui criais-je en la poussant sur le canapé. Tu me racontes ça mine de rien, tu fais la salope pendant que je travaille et ça devrait m’exciter ? Non, c’est toi qui mouilles.
D’un coup sec, je lui arrachais sa robe. Le slip en dentelle mauve qui était dessous a suivi le même chemin.
- Regarde moi ça, tu t’es rasé la chatte. Sans doute ceux qui te baisent te l’ont-ils demandé. Je n’ai jamais eu cette chance moi.
Je lui ai mis deux doigts sans douceur dans sa chatte. Ils n’ont eu aucune peine à entrer vu son excitation.
- Salope, c’est bien ce que je pensais.
- Continue ! Ne t’arrêtes surtout pas, je vais jouir, me dit-elle tout en gémissant. Hum... donne-moi ta queue que je la suce, que je l’avale !
- Tu es vraiment une sale chienne. Tu as envie de te faire baiser, c’est ça ? Alors viens, lui dis-je, en lui lançant sa robe déchirée.
- Mais, où est ce que tu veux aller ?
- Viens et ne discute pas ! Tu veux de la queue, tu vas en avoir. Inutile de chercher d’autres habits, tu vas venir comme ça !
Ses jolis seins, bien ferme, sortaient au trois-quarts de son chemisier déchiré et elle avait dû nouer sa robe pour la faire tenir mais à chaque pas, bien sur, les déchirures laissaient entrevoir sa chatte.
Après dix minutes de trajet en voiture nous sommes arrives chez mon pote Tino.
- Mais, pourquoi est ce que tu m’emmènes là ? Demande Sylvie.
- Pour prouver à mon pote qu’il avait raison…que tu es une salope...
Quelques secondes après, Tino nous ouvrait la porte. Il était avec deux de ses amis, sa femme, en formation, ne devait rentrer que dans une semaine.
- Et bien, Sylvie...quelle tenue ! Ce n’est pas pour me déplaire, mais c’est plutôt chaud. Si tu bouges encore un peu je pourrais voir tes seins et ton minou. D’ailleurs, je l’ai vu lorsque tu es entré.
- Mais montre-leur donc puisque tu aimes tant ça ! Voyez-vous, Sylvie m’a avoué ce soir qu’elle me trompait, et qu’elle aimait cela. Alors, comme d’après elle, ce devrait être excitant pour nous, nous voici. Messieurs, servez-vous ! Ce soir c’est moi qui régale !
Sylvie n’a pas protesté, et les trois gars non plus, bien au contraire. Ils se sont approchés d’elle. Leurs mains ont très vite couru sur ses seins pour les caresser, les malaxer et sont descendues vers son cul et sa chatte. La robe est très vite tombée et les mains de Sylvie ont caressé leurs queues à travers leurs pantalons. Mon pote lui a roulé une pelle et sa langue est descendue vers ses seins. Les mecs ont dégrafé leurs pantalons et a saisit leurs bites, les a décalottées, et a commencé à les branler. Puis elle s’est mise à genoux, et les a sucés. Elle leur avalait les couilles et gémissait en sentant des doigts rentrer dans sa chatte, caresser son clitoris. Je ne l’avais jamais vue ainsi.
Un des mecs s’est couché sur le canapé, elle s’est penchée en avant pour le pomper et mon pote, après avoir joué avec sa bite à l’entrée de son sexe, l’a pénétrée, faisant jaillir toute sa mouille. Elle gémissait et criait de plaisir tout en suçant l’un et branlant l’autre.
- Hum, plus vite et plus fort, Tino ! Hum... j’aime ta queue, comme elle est bonne…
Aux accélérations de Tino, j’ai compris qu’il n’allait pas se retenir bien longtemps d’éjaculer. Les cris se sont intensifiés et la giclée de sperme est allée inonder Sylvie. Lorsqu’il s’est retiré, son sperme a coulé le long des cuisses de ma femme. Elle s’est à son tour couchée sur le canapé, appelant un des autres comparses pour la combler. Il s’est assis et l’a pénétrée. Elle allait avoir son troisième orgasme, quand le troisième type lui a giclé dans la figure. Celui qui la labourait se retirant presque au même moment pour juter sur son ventre. Elle a pris ce foutre à pleines mains pour s’en caresser la chatte, contractant tout son corps dans un dernier et bruyant orgasme.
-Je veux du sperme, gémissait-elle...dans la bouche... je veux le boire…
C’est Antony qui s’y colla. Il avança son énorme queue au bord des lèvres de Sylvie. Elle aspira le calibre, qui se décalotta au passage. Puis elle lui tailla une pipe d’enfer. Il ne fallait pas longtemps pour qu’Antony vise ses couilles dans la bouche de ma femme, qui se fit un plaisir de tout avaler, et nettoyer.
- Antony ! Moi et mes amis te remercions pour cette superbe surprise, dit Toni. il faudra qu’on s’organise une soirée avec ma femme.
Sylvie, allongée sur la moquette, gémissait, en voulait encore. J’étais prêt à l’humilier jusqu’au bout, et demandais à Toni, s’il n’aurait pas une idée.
Il réfléchit un instant, puis me dit, qu’il avait peut être trouvé quelque chose, mais me demandait si Sylvie accepterait. Je lui répondis qu’elle n’avait pas le choix. Tino ouvrit la porte, et appela.
- Black, mon chien, viens voir.
Nous nous sommes tous regardés, en voyant un superbe berger allemand, pénétrer dans le salon. Lentement, sans doute attiré par l’odeur, le chien s’est avancé, le museau humide contre la petite chatte de Sylvie, puis s’est mis à la lécher. Dans un mouvement d’hystérie, Sylvie prit la tête du chien.
-Hum...quel est cette langue qui me lèche si bien...oh oui...lèche…
Tino s’approcha, et avec deux doigts, décalotta le clito de ma femme.
-Regarde mon chien, comme le petit bonbon rose de la dame est appétissant. Vas-y, juste avec le bout de la langue...
-Ah...ah, gémit Sylvie en se cambrant, oh oui...suce bien mon petit bouton…
t’arrêtes pas...fais moi jouir...montres leur comme on suce un clito...je jouis, oui...je jouis...vas-y, enfonce ta langue dans ma petite chatte, branle la avec.
Mon épouse atteint un orgasme, jamais égalé à ce jour. Assis sur le canapé, nous assistions à un spectacle hallucinant. Excité, nous avons tous les trois sortis nôtre queue. Elles étaient en érection. C’est en voyant leur queues que je compris pour quoi mon épouse allait voir ailleurs, et que mon petit zob, ne la satisfaisait pas.
Soudain...un cri. On se retourna d’un bloc.
-Oh putain, dit Tino en s’approchant, il la baise...mais non...il l’encule le salaud…oh putain, venez voir ça...elle a l’air de se régaler en plus…
Sylvie et Black sont collés. Mon épouse femmes, jambes écartées est empalée sur l’énorme bite du chien, qui halète, la langue pendante.
Lentement, Tino caresse la cheveux de Sylvie, lui demande si ça va, si elle n’a pas trop mal. Elle lui répond que ça allait. Elle le tire à elle, lui murmure à l’oreille.
« Tu crois qu’il voudra cracher dans ma bouche? »
« Black fera ce que je lui dirais de faire. Tu auras ta dose de sperme ma chérie, promis. Tu pourras tout avaler, et bien le sucer si tu le désires.
Au sol, ma femme se vrille comme un serpent, hurle de plaisir, sous les coups de queues du chien. Puis les mouvements se stabilisent. La bite de black reste plantée dans le petit trou de Sylvie. Puis Tino ordonne à son chien de se déplacer, guide sa queue au bord des lèvres de mon épouse.
- Ouvre la bouche ma chérie...tu vas l’avoir ta récompense.
Tino maintient la tête de Black, à deux centimètres de sa bouche. Soudain, il éjacule. Les jets de sperme se dirige tout droit dans la bouche de Sylvie. Ils paraissent interminable. Puis ma femme s’approche, engloutit la queue du chien, et la suce goulûment.
Tino nous invite à prendre un verre. Pendant qu’on est au mini-bar, on entend les gémissement de Sylvie, en train de se faire baiser par le berger allemand. Elle n’en finit pas de jouir, lui dit d’aller plus vite. Mais le chien ne comprend pas, c’est son instinct animal qui le guide, au plus grand plaisir de ma femme.
Vers quatre du matin, après s’être fait baiser par Black une partie de la nuit, nous rentrons à la maison. J’emmène de suite Sylvie sous la douche, la débarrasse de tout ce sperme stocké en elle, puis au lit. Elle est épuisée.
Je me connecte ou je m'inscris