Corinne, superbe femme de vingt huit ans, est mutées dans un lycée dans le sud de la France. Marc, son époux âgé de trente ans, à reçu la même mutation.
Il faut avouer que c’est un lycée, un peu spécial, et le couple va vite l’appendre à ses dépends.
Mireille, la directrice, aime bien mener ses profs à la baguettes.
Il est dix sept heures quand Kamel, dix huit ans, passe devant son bureau. Elle a l'air de réprimander sévèrement Corinne, nouvelle prof de français. Effectivement, il aperçoit des larmes qui coulent sur ses joues.
Kamel n'est pas le chouchou de Corinne, on pourrait même dire qu'ils ne s’aiment pas, voire qu’ils se détestent, depuis qu'ils ont eu une violente altercation.
Elle a même juré de lui casser son année. Mais voilà, Kamel est dans la manche de Mireille, la directrice du collège, âgée de cinquante ans.
Le lendemain, le premier cours de Corinne est à dix heures. Mais dès huit heures, elle est convoquée au bureau de la directrice. C'est à ce moment que Kamel est attiré par des cris. Il passe sa tête à la porte légèrement entre ouverte, et surprend Corinne, entièrement nue, couchée sur le ventre sur les genoux de Mireille. La directrice est en train de lui mettre une fessée.
- Tu sais ce que je t’avais dit, je t'avais prévenue hier, gronde Mireille. Tu m'as désobéi, c'est quoi çà ? Je t'avais ordonné de ne plus mettre de culotte sous ta minijupe, et que ta chatte soit bien épilée. Et de venir à la fête comme ça samedi.
-Aie..aie. Mais Madame, les élèves vont voir ma petite fente par dessous le bureau. Ils vont se moquer de moi.. aie.. pardon Madame.. d'accord.. d'accord..
-Et de bien écarter tes jambes, je surveillerai par le hublot.
Derrière la porte, Kamel assiste à la scène, la queue en érection dans son bermuda. La directrice remarque sa présence, un sourire éclaire son visage.
- Rentre Kamel, dit-elle, viens voir qui est avec moi. Je l'ai bien dressée tu sais.
Tu vas voir comme elle est docile. Hein que tu vas être sage ?
Kamel s'approche, caresse les hanches de Corinne, le galbe des fesses. Il glisse un doigt, parcours la raie, s'attardant sur le petit trou.
-Non..non.. pas ça, pleure Corinne..s'il vous plaît.. Qu’est-ce-que vous allez me faire ?
Kamel baisse son pantalon, sort son énorme fifre qu'il décalotte en le branlant. Il le glisse entre les cuisses écartées, le fait aller et venir sur la chatte. Pendant ce temps, la directrice a décalotté le clitoris de la prof, et le doigte. Le corps de Corinne réagit immédiatement. Kamel pointe son gland contre la rosette de Corinne, et la pénètre.
-Ha..salaud.. gémit-elle.. tu me tringles le petit trou..et vous.. Madame.. vous me
doigtez.. bande de salauds...oh putain.. que c'est bon..vas-y.. encule moi Kamel,
bien profond.. ha.. mon petit bouton.. Madame.. comme vous me faite mouiller...
Qu'est-ce-qu'il va dire mon mari quand il va voir ma petite chatte toute baveuse.
-Je vous l'avais dit, Madame la directrice qu'elle était chaude. Dis-lui petite pute.
-Oh oui.. J’aime les grosses bites. Tu me la mettras dans la chatte après.
D'un mouvement de bras, Mireille débarrasse le bureau.
-Couchons la cette salope, ce sera mieux pour jouer avec elle. Tu pourras te faire tailler une pipe à ton aise. Regarde comme elle bouge son cul cette pute. Son clito est gorgé de sang. Et ses seins, regarde les bouts comme ils bandent.
Kamel a pris position de la bouche. Corinne l'avale jusqu'aux couilles, enroule sa langue autour du gland. On voit bien le corps de Kamel se raidir, il râle de plaisir, çà y est, il éjacule en maintenant Corinne par la nuque. Pendant ce temps, Mireille bouffe la chatte de la prof.
-Ah.. hurle Kamel.. quelle pipe...avale connasse.. tout le jus.. nettoie bien le bout..
-Oh..oui.. Madame.. que vous me faites du bien.. que c'est bon.. encore Kamel.. prend moi encore.. s'il te plaît.. oui.. oui... crache petite chatte... oui..
-Oh putain la salope, s'exclame Mireille, comme elle éjacule, une vrai fontaine.
Pendant que Corinne nettoie les dégâts, la directrice fait rouler les testicules de Kamel entre ses doigts, joue avec son énorme bite.
-Comme tu es monté mon dieu, tu vas te régaler ma chérie, dit-elle à Corinne.
Et attention d'obéir, de bien écarter tes jambes quand tu es assises, qu'on voit bien ta chatte, OK ? Et d'être prête pour la fête de fin d'année.
Depuis ce jour, pendant les cours, quand elle est assise, Corinne écarte largement les jambes. C'est toujours Kamel qui est appelé au tableau. Pendant qu'elle explique, il prend possession de la chaise, puis l'invite à s'asseoir sur ses genoux. Il l'oblige à ôter son haut, et à rouler sa minijupe autour de la taille. Corinne se retrouve pratiquement nue devant ses élèves. Kamel s'amuse avec elle.
-Déconne pas, souffle-t-elle, ma chatte est toute mouillée maintenant.. ha.. ha..
salaud.. tu m'as mis deux doigts là.. vas-y.. mon clitoris.. avec ton pouce.. ha.. oui
que c'est bon.. Qu'est-ce-que tu vas me faire, me niquer, me faire crier devant tes copains ? oui.. je.. jouis...
Les copains de la classe son fascinés en voyant Corinne se tordre sur les genoux de Kamel. Ils admirent ses reins qui se cambrent sous les caresses, et les coups de queues de l’élève, jusqu'à ce qu'elle hurle de plaisir.
Nous sommes le fameux samedi, la fête se déroule dans le grand amphithéâtre. Deux cent personnes sont invitées, dont Marc, le mari de Corinne. Comme prévu, sa tenue vestimentaire fait tourner les têtes. La jupe est extrêmement courte, et le bustier guère plus long. Marc est fier de l'avoir à son bras.
Corinne sent une main qui se pose sur son épaule. C’est Mireille.
-Tiens, dit-elle, Madame la directrice. Vous connaissez Marc, mon mari ?
Marc est un colosse de un mètre quatre vingt dix, pour cent kilos de muscles, mais pas farouche pour deux sous.
-Non, enchantée, répond Mireille. Vous avez une épouse très coopérative. On peut se voir Corinne?
Mireille lui prend le bras, et l'entraîne vers les toilettes. Dociles, Corinne l'a suit.
Une fois à l'intérieur, elle l'a plaque contre le mur, et glisse une main entre ses jambes.
-Écarte, ordonne-t-elle. Oh mais ta chatte est toute sèche. Il va falloir arranger ça.
-Pas ce soir, s'il vous plaît, supplie Corinne, il y a mon mari.
-C'est pas grave, poursuit Mireille, on va s'en occuper, d'ici quelques verres, il n'existera plus.
Les deux femmes regagnent la salle, et effectivement, les élèves sont en train de trinquer avec Marc. Kamel profite d'un slow, pour inviter la jeune prof. En dansant, il épouse pratiquement le corps de Corinne. Celle-ci, gênée, essaie de se dégager, mais elle n'est pas de taille.
-Chut..chut.. Sourit-il. Tu ne veux pas que je soulève ta jupette pour faire voir ta petite chatte à tout le monde ?
Soudain, une voix s’élève dans la salle.
-Vous n'auriez pas vu mon épouse? Je l'a cherche partout, demande Marc.
-Elle doit dire au revoir aux élèves qui ne seront plus là l'an prochain, dit Mireille. Vous m'invitez.
En fait, Corinne est sur la banquette arrière d'une voiture, en train de se faire prendre par Kamel. Il a baissé son pantalon, pendant qu'elle enroulait sa minijupe autour de sa taille.
-Tu aimes te le faire mettre, prendre un bon coup de queue. Je vais te le mettre dans le cul après, salope. C'est bon çà, c'est meilleur qu'avec ton mari, hein?
Allez, dis-le.
-Tais toi..tu le sais bien.. salaud.. comme tu m'ouvres la fente avec ta grosse bite..
La sienne est beaucoup plus petite.. elle mesure neuf centimètres en érection, avec un tout petit gland, et de petites boules.. j'avais jamais connu çà avant toi..
-Il faut qu'on se démerde pour se débarrasser de lui, dit Kamel, pour qu'on puisse s'amuser avec toi toute la nuit avec mes potes, je veux qu'ils te fassent gueuler,
-Ah..ah.. ce que tu veux.. salaud.. tu vois pas que tu me fais jouir.. vas-y, nique bien ta prof.. oui.. maque moi... tu craches... tu me remplis de foutre là.. oui....
Les deux amants regagnent la salle. Ils aperçoivent Marc appuyé sur l'épaule de Mireille. Il est ivre. La directrice fait un signe à Kamel.
-La voix est libre, dit-elle, je vais le ramener chez moi. J'ai bien le droit de m'amuser un peu moi aussi. Sa femme est à vous pour la nuit.
Mourad, le copain de Kamel, entraîne Corinne sur la piste, pendant que Mireille évacue Marc.
- Mon mari, le pauvre, dit Corinne, il n’a pas profité de la soirée. S'il savait ce que je vais me faire mettre.
Mireille arrive chez elle en compagnie de Marc.
-Allez, à poils, ordonne-t-elle. Tu as besoin d'une bonne douche, viens.
Mireille est morte de rire en voyant le sexe ridicule de Marc. Cinq centimètres posés sur deux petites noisettes.
-Hi..hi..hi.. rit-elle, ben dis donc.. tu fais quoi avec çà ?. Hi..hi.. tu dois à peine agacer un clitoris.. hi..hi..
C'est elle qui se charge de l'essuyer à la sortie de bain. Il est encore dans un état comateux. Elle décide de s'amuser avec lui, de l'humilier. Elle le promène dans le salon, en le tirant par le bout de sa petite queue. De temps en temps, elle saisit un testicule qu'elle vrille. Marc saute d'une jambe sur l'autre en poussant de petits cris, ce qui excite Mireille.
-Aie.aie. gémit-il, pas mon petit oiseau, ni mes boulettes..aie..
Des larmes de honte apparaissent sur les joues rosées de Marc. Mireille reste malgré tout dans les limites du raisonnable, pas de tortures. Elle veut juste le voir soumis. Elle va s'amuser avec lui une bonne partie de la nuit. Mirelle se couche conte le dos de Marc. Elle a passé une main entre ses jambes, et lui tiens ses petits œufs. Entre deux doigts, on aperçoit le petit sifflet tout décalotté qui dépasse.
Il est deux heures du matin quand Kamel s'installe au volant de sa voiture. Corinne ouvre la portière pour monter à côté de lui.
-Non, dit-il sèchement, passe à l'arrière. Quitte ton bustier et ta minijupe, allez...
Corinne, soumise, obéit et se met entièrement nue. A peine assise sur la banquette, les deux portières s'ouvrent. Les deux copains maghrébins de Kamel, Mourad et Djamel, s'installent de chaque côté d'elle.
-Alors ma chérie, dit Mourad, tu as passé une bonne soirée ?
Les deux jeunes arabes quittent leur bermuda. Ils prennent chacun une jambe de Corinne, et l'a place sur leur cuisses. Elle se retrouve totalement écartée, la chatte légèrement entre ouverte. Les mains prennent possession de son intimité. Un doigt court sur les lèvres humides, d'autres font rouler le bout des seins. Elle cambre ses reins pour faciliter le passage d'un autre doigt qui s'aventure plus loin, pour atteindre le petit trou. Le majeur de Djamel dilate la rosette, pendant que le majeur de Mourad tourne sur le clitoris entièrement décalotté.
-Hou..hou.. salaud.. quel est ce doigt qui m'encule..hou.. que c'est bon.. Allez-y bande d'enfoirés.. Régalez moi...
Corinne prend une queue dans chaque main. Elle sent les glands décalottés vibrer entre ses doigts.
-Laisse moi te tailler une pipe, dit-elle à un, pendant que ton copain me nique.. Dis leur Kamel, je suis pleine de mouille là..
Corinne va supporter les assauts des trois maghrébins, jusqu'au petit matin. Elle est prise dans toutes les positions, soumise aux perversions les plus odieuses de ses partenaires. Mais elle n'a jamais joui comme çà avec son mari. Elle en redemande.
Vers dix heures du matin, Kamel ouvre les rideaux de la chambre. Corinne dort dans les bras de Mourad. D'une main, elle tient la queue en érection de Djamel.
Kamel referme la porte, et va prendre une douche.
Le dimanche matin, tout le monde fait la grasse matinée. Corinne se lève la première et va à la douche. Les trois maghrébins la rejoignent, et la forcent à leur nettoyer la queue avec la bouche. En clair, ils veulent qu'elle leur taille une pipe.
Marc, lui est toujours dans les bras de Mireille. Sa petit queue, en érection, essai de se forger un passage entre les doigts de sa dominatrice. Elle s'en aperçoit.
-Oh, mais le petit oiseau veut s'envoler, sourit Mireille, le polisson.
Elle mouille son majeur, et le fait tourner sur le minuscule gland tout décalotté.
-Ha..Madame.. pas çà.. vous allez faire cracher mon petit sifflet.. S’il vous plaît.
Mireille lui prend les noisettes, et les faits rouler entre ses doigts.
-C'est vrai que les boulettes sont dures. Vas-y mon bébé, soulage-toi.
Mireille avait prévu le coup. Marc se cambre, et éjacule sur la serviette. Il est rouge de honte. Toujours en le tenant par les testicules, Mireille le force à lui bouffer la chatte, jusqu'à ce qu'il l'a fasse hurler de plaisir.
-Allez mon chéri, on est à la bourre, on a des invités aujourd'hui, il faut vite se doucher.
Elle le prend par le bout de la queue, et l'entraîne à la douche.
Pour celle soiré, Corinne et Marc sont habillés d’un tablier de soubrette, sans rien dessous. Les invitées, essentiellement féminin, arrivent vers quinze heures. Certaines ont soixante dix ans bien sonnés, mais n’en sont pas moins vicieuses. L’une d’elle saisit Marc au passage, le couche sur ses genoux. Elle glisse une main sous le tablier, lui chope ses petites couilles.
- Alors, petite bite, dit-elle...on va jouer un peu. Kader, tu peux venir s’il te plaît.
Elle lui saisit la queue, la place au bout du petit zob de Marc. Petit à petit, elle fait coulisser le prépuce de Kader, qui absorbe la petite bite de Marc, qui disparaît dans la peau étirée du jeune maghrébin. Seules se petite couilles sont visibles.
Les curieux s’empressent de prendre des photos.
Vers quinze heures, Corinne arrive, suivit d'Anita, une sculpturale black, prof de gym au lycée voisin.
Corinne s'approche de Mireille, soulève sa minijupe pour faire vérifier l'état impeccable de sa chatte.
-Ou est mon mari, Demande Corinne.
-Il s'amuse sous la verrière avec mes deux jeunes voisines maghrébines, répond Mireille. Va le voir si tu veux? Et toi Anita, çà va ?
-Très bien, reprend Anita, surtout que c'est les vacances.
D'un coup, elles entendent des cris provenant de la verrière. Elles sortent pour savoir ce qu'il en est. Elles ne peuvent s'empêcher de rire. Marc est tout nu, les yeux bandés. Il faut qu'il attrape un des deux jeunes filles. Le pauvre, chaque fois qu'il s'approche d'une, il se fait prendre par ses petites couilles, ou sa petite nouille toute décalottée. Il saute d'un pied sur l'autre en hurlant, sous les rires moqueurs des deux jeunes marocaines.
- Regarde ses vicieuses comme elles aiment s’amuser avec les petites couilles des français...et de bien décalotter son petit zob, insiste Mireille.
Corinne sans une main qui se glisse sous sa jupette, et qui lui caresse les lèvres. C'est Anita.
-Hum, dit-elle, qu'elle jolie minette, bien épilée, hum, comme le les aime.
-Allez, ordonne Mireille, assez, on rentre. Marc, tu feras voir ton petit oiseau à Anita, et d'être sage, de lui obéir, d'accord ? Et toi Corinne, viens t'asseoir avec moi
Anita prend Marc par une oreille, s'assied sur une chaise, et le force à se mettre sur ses genoux, jambes écartées. En face, Corinne est dans la même position. Tout en discutant, les deux femmes s'amusent avec le sexe du jeune couple.
-Je t'ai jamais dis, Mireille, un jour j'ai mis une rouste à une femme sous un parking, depuis, elle m'est entièrement soumise. Quand elle vient à la maison, je la donne à mes nièces pour qu'elles jouent avec elle. Tu l'entendrais gueuler. De douleur et de plaisir cette pute.
-Ha..ha..gémit Marc..
Prise par leur conversation, elles n'entendent pas les râles de Marc. Ne voit pas non plus la petite queue toute décalotté entre les doigts d'Anita, ni le pouce qui excite le frein. Marc ne tiens plus, il éjacule.
-Cochon, dit Anita, c'est quoi çà ? Tu ne peux pas te retenir, je vais t'apprendre.
Elle l'entraîne de force à la salle de bains. Mireille et Corinne entendent Marc se faire gronder, certainement prendre une raclée. D'un coup, on le voit sortir de la salle de bain, en larmes, les fesses toutes rouge, une main entre ses jambes.
-Viens ici connard, hurle Anita. Putain, tu vas voir si je t'attrape tes petits œufs.
On entend des plaintes dans le hall. Marc va passer un mauvais quart d'heure. Anita le tire par les couilles, et le remet sur ses genoux.
-Alors, gronde-t-elle, qu'est-ce qu'on dit à sa maîtresse, tu seras sage.
-Oui..oui...pleure Marc, mais ne me serrer plus mes petites olives. Ni mon petit titi. Regardez, mon petit bout est tout rouge.
-Si tu encore envie, tu me le dis, d'accord ?
Dix minutes après, une deuxième érection se manifeste. C'est Corinne qui le signale.
-Oh mon chéri, ta petite queue est toute raide. Demande à Anita qu'elle l'a décalotte, et qu'elle te tape une petite branlette.
Anita le fait mettre debout, passe une main entre ses cuisses, et lui prend les petits testicules. Puis avec deux doigts placés en fourchette, le décalotte et le branle. Cinq minutes plus tard, quelques gouttes de sperme s'échappent du méat.
En face, sur le canapé, Corinne se tord comme un vers sur les doigts de Mireille. Le clitoris, la chatte, le petit trou, tout y passe.
Pour pousser leurs jeux sadiques plus loin, Les deux femmes obligent Corinne à s'amuser avec le petit oiseau son mari, à l'humilier, le faire couiner. Elle se prend au jeu.
-Alors mon chéri, tu aimes que ta femme te tiennent tes petites noisettes.
Et ton fifre, comme il est minuscule. Fait voir ton petit trou aussi que je le doigte. Hum...c'est bon hein? A partir de maintenant, je veux que tu restes tout nu à la maison, pour que je puisse m'amuser avec ton petit oiseau, et faire disparaître tes petites couilles au creux de ma main, et les écraser si tu n’es pas sage. Il faut trouver un système pour que ton petit sifflet soit décalotté en permanence. J’en parlerais à Kader, je sais que les arabes savent comment faire. Du reste, Kader pourra passer nous voir, aussi souvent qu’il le souhaite. Tu lui tailleras de bonne pipe...tu avaleras tout.
Marc, épuisé, les yeux livides, fait un mouvement affirmatif de la tête.
Le premier week-end qui s’en suivit, Corinne hurlait de plaisir sous les doigts de Mireille, qui lui branlait la chatte et doigtait son clitoris, pendant que Marc se faisait enculer par Kader, après lui avoir tailler une bonne pipe, et avoir tout avalé.
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