Comme chaque année, à lieu le reps de famille. Comme chaque année, j’y assiste avec Francine, ma mère âgé de quarante deux ans, en ayant moi même, vingt. Je dois reconnaître que maman a un caractère bien trempé, ne supportant pas que l’on ne fasse pas, ce que elle, propose. Elle veut tout gérer, et surtout, que tout le monde soit sous ses ordres. Tout le monde en a une peu bleu.
Cette année, il y a une nouvelle invitée, qui n’est autre que Béa, qui doit épouser Daniel, le cadet de la famille. Daniel étant le frère de Francine, Béa va devenir sa belle-sœur. Il fait une chaleur torride, et tout le monde est en maillot.
- Francine, dit la mère, y a ta future belle-sœur qui vient manger ce midi. J’espère que tu vas lui réserver un bon accueil.
- Elle aura intérêt à s’adapter...,ou je m’occuperais personnellement de la dresser.
L’heure approche. Béa arrive, les bras chargés de présents. Francine lui serre négligemment la main, la fusille du regard. Béa, très agréable, discute avec tout le monde, en invitée polie. Puis Francine lui explique, qu’ici, il faut se plier à certaines règles. Béa lui répond qu’elle s’adaptera aux règles de la famille...point. Il n’en faut pas plus à Francine pour la faire sortir de ses gongs. Elle menace verbalement Béa, mais aussi physiquement, au point ou il a fallu maîtriser Francine.
- T’inquiète, un jour je vais te mettre une rouste. J’en ai dressée des plus dures.
- A bon, j’aimerai bien voir ça, répond Béa.
- Calmes-toi Francine, dit Daniel, c’est elle qui va te punir.
Francine soumise à Béa.
Francine rumine. N’y tenant plus, elle se lève de table, et se place derrière Béa. Elle lui saisit les cheveux pour que celle-ci se retourne. Béa réagit immédiatement, et en se levant, fait tomber Francine, qui se trouve à quatre pattes. Dans le feu de l’action, le haut du maillot de Francine, dont elle avait fait glisser les bretelles, tombe au sol, libérant sa superbe poitrine. Béa, profitant de la position inconfortable de sa future belle-sœur, s’approche, saisit l’élastique du maillot, et soulève Francine de terre. Les pieds de celle-ci ne touche pas le sol. Béa, commence à lui donner une fessée. Soudain, sous les éclats de rire des invités, voila que l’élastique cède. Francine se retrouve entièrement nue. Celle-ci parvient à se libérer, mais en partant, Béa glisse une main entre les cuisses, et lui attrape ses poils.
- Aie...aie...pas ma chatte...tu vas arracher ma touffe…
Rouge de honte, et de douleur, Francine va se réfugier dans la salle de bains.
Quand Francine réparait, Béa est Daniel sont partis.
- Elle m’a pris par surprise, mais la prochaine fois que je la rencontre, elle se rappellera de la rouste que je vais lui mettre.
Voilà qu’un jour, Francine aperçois Béa. Elle la coince entre deux voitures. Elle s’avance pour lui mettre une gifle. Dans un réflexe, Béa saisit Francine par la taille, la serre contre elle, tout en la soulevant de terre avec un seul bras. Francine décollée du sol, lance ses jambes dans tous les sens.
- Tu voulais faire quoi, demande Béa.
- Lâches-moi, poses-moi par terre.
Béa parvient à glisser une main libre, entre elles, et enroule la robe de Francine autour de la taille. Dans la continuité, elle fait suivre le même sort à sa culotte. Béa glisse une main entre les cuisses, saisit la touffe de poils.
- Non...pas ça...ça fait mal…aie...aie...ne les arraches pas...
Francine se débat, puis se calme quand sa belle sœur lui caresse la chatte.
- Tu préfères ça…
Dans le reflet de la vitre des voitures, on voit nettement les doigts sillonner la fente, et la pénétrer..
- T’aimes, demande Béa.
Francine fait un signe affirmatif en hochant la tête.
- Et ce que je fais à ton clitoris...tu aimes ?
Toujours le même hochement affirmatif. En effet, dans le reflet de la vitre, on voit le petit bouton décalotté, tourner entre les doigts de Béa.
Puis, l’impensable. Francine, les jambes certainement lourdes, les lève et les enroule dans le dos de sa belle-sœur. Entre les jambes entièrement écartées, on voit les doigts de Béa faire des va et vient, dans la chatte ouverte de Francine. Soudain, les reins de Francine se mettent en action, vont à l’encontre des doigts qui la fouillent. Francine enroule ses bras autour du cou de Béa, enfoui son visage au creux de l’épaule
- Oh putain, c’est bon...comme tu me branles…
- T’aimes ça, hein...t’aimes ce que je fais à ta petite chatte...avoue…
- Hum...oh oui. J’aime ça...oh oui...ah…oh oui...je jouis…
Béa attend que l’orgasme s’estompe, et pose sa belle-sœur au sol. Elle lui ordonne d’écarter ses jambes, qu’elle a envie de s’amuser avec elle. Francine obéit, les mains posées sur les épaules de Béa.
- Oh oui...c’est bon...vas-y, enfonce bien tes doigts...oui...je jouis encore…
Un doigt de Béa va plus loin, taquine le petit trou. Francine, en plein orgasme,supplie sa future belle-sœur de lui mettre un doigt au petit, et qu’elle continue de la branler, qu’elle a encore envie de jouir..
Après un troisième orgasme, Béa libère enfin Francine. Elle lui met une tape sur les fesses.
- Tu sais quoi, à partir d’aujourd’hui, je veux que tu m’obéisses, OK. Tu vas recevoir un message avec mes instructions. Allez, salope, sauves-toi. Je garde ta culotte en souvenir.
Rouge de honte, Francine baisse sa robe, et se réfugie sous une porte cochère. Elle sort un mouchoir de son sac, écarte ses jambes, et essuie sa chatte.
« La salope, comme elle m’a branlée, ma chatte est toute mouillée...et mon clito, il est tout rouge. Putain, comme elle m’ a fait jouir...trois fois...»
Lors d’un repas, alors que les autres jouaient dans la piscine, Béa demandait à Francine de monter à la salle de bains. Elle l’accompagnait, deux doigts enfoncés dans sa chatte.
- Pourquoi tu me branles pas…j’ai envie tu sais...
- Tais-toi, monte…
Une fois arrivé, elle assit Francine sur le plan de travail du lavabo. Elle pris de la crème à raser, et lui rasa la chatte.
- Voilà, sourit Béa...plus de touffe...une vraie petite chatte de petite fille...Fais voir ton clito, ouah...tout le monde pourra le voir quand je te l’aurais bien décalotté…
Puis ils descendirent au salon, s’installèrent sur la canapé, ou Béa continuait à jouer avec sa belle-sœur.
Quand les invités revinrent de la piscine, ils assistèrent à une scène hallucinante. Francine, entièrement nue, était à demi allongée sur les cuisses de Béa. Béa avait ouvert son chemisier, et donnait le sein à sa belle-sœur, pendant qu’elle faisait rouler son clitoris entre ses doigts.
- Regardez comme elle tète...comme un bébé.
Les hanches de Francine ondulaient sous la caresse. Puis soudain, elle lâcha le sein de Béa, pour hurler un orgasme terrible.
- Oh oui...regardez comme elle doigte mon clito...oui...je jouis encore…
- Et ce concombre sur la table, demande un invité...c’est quoi ?
- Je m’en suis servi pour l’enculer, dit Béa.
- Si gros, reprend le convive…
- Je l’ai trempé dans sa chatte pleine de mouille…puis je l’ai sodomisée.
- Et elle a aimé…
- Elle sait régalé...hein que tu t’es régalé...avoue salope…
- Oh oui...c’était bon, gémit Francine...tu me le mettras encore...hein ma chérie...
Quelques jours plus tard, vers vingt deux heures, Francine reçoit un message, lui ordonnant de rejoindre Béa dans sa voiture, vêtue d’une simple nuisette. Francine monte sur la banquette arrière, ou l’attend sa belle-sœur. Elle ôte sa nuisette, se retrouve entièrement nue. Béa commence à lui caresser la chatte, joue avec son clitoris qu’elle prit soin de bien décalotter. Vers vingt trois heures, après l’avoir faite jouir trois fois, Béa libère Francine. Cela se répéta un autre soir.
Mais ce soir là, ce sont deux jeunes maghrébines qui attendaient Francine sur la banquette arrière. Elles lui ont branle la chatte, le petit trou...le petit bouton était leur centre d’intérêt. Il était décalotté, doigté, pincé. Certain soir, Francine parvenait à jouir jusqu’à cinq fois.. Elle rentrait chez elle, épuisée, vidée, mais heureuse. Béa, impassible, assistait à la scène du siège conducteur.
Depuis, à chaque repas, Francine s’assied à côté de sa belle-sœur. Elle porte une courte jupe qu’elle enroule autour de sa taille, pour que Béa puisse lui branler la chatte, ou lui doigter son petit bouton, quand elle le souhaite. Il n’est pas rare que Francine finisse assise sur les genoux de Béa, entièrement nue, jambes bien écartées, en train de se faire branler et jouir devant les invités.
A la fin du repas, Béa emmène Francine chez elle, ou l’attende les deux jeunes marocaines de dix huit ans,qui adorent s’amuser avec les petites chattes des françaises. Elles la roulaient sur l’herbe, lui écartaient les jambes., enfonçaient leurs doigts dans sa chatte. Les lèvres intime gonflées, le clitoris décalotté, Francine passait tout l’après-midi à jouir.
Certains week-end, Béa organisait des soirées entre copines. Francine était habillée en soubrette, nue sous les maigres vêtements. Quand elle servait, elle avait en permanence un doigt dans la chatte, ou dans le cul. Les vieilles peaux de quatre vingt ans, jouaient avec elle, lui donnaient des fessées, lui branlaient tout les trous, lui doigtaient le clitoris jusqu’au petit matin. Certaines se faisaient même bouffer la chatte. D’autres l’emmenaient à la chambre en la tirant par le clitoris. Francine n’en finissait pas de jouir.
Puis, soumise, Francine allait sagement au lit, se blottir dans les bras de Béa...
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