Il allait entrer dans une chambre.
Non pas celle-là, celle à côté, c’est la mienne. Il a mis ses sacs au sol, ôtant son maillot.
-Finalement je n’aurais pas besoin de grand-chose.
Il s’est penché pour sortir un petit sac avec sa brosse et le dentifrice et un savon, m’offrant la vue merveilleuse de son cul.
Ne bouge pas, j’ai passé la main entre ses fesses, en frôlant son trou du majeur je l’ai vu frissonner. Et il s’est tourné vers moi.
Je vous suce ? Vous voulez ?
Oui mais cette fois, allonge-toi sur le lit la tête renversée en arrière sur le bord du lit. Là comme ça. Ouvre grand la bouche. J’ai retiré mon boxer, bite raide je me suis penché pour la glisser entre ses lèvres, frottant le gland contre sa langue. Je vais aller jusqu’au bout et ne perds rien de ce qui vient ! L’endroit du gland qui frottait était pour moi le plus sensible et je n’ai pas tardé à le doser sans le retirer. Il essayé de tout avaler mais un peu de jus à coulé sur les bords de ses lèvres. Je me suis retiré.
Ramène ce qui a coulé dans ta bouche et avale, après tu la suce juste pour qu’elle soit nette.
C’est ta première pipe où tu avales ?
-Oui, c’est bon.
Toi tu sens encore le sel alors on plonge à la piscine. Il nageait bien et on a joué ensemble un moment avant de s’allonger sur des matelas au soleil. Tu sais qu’une chienne ça prend des coups aussi, parfois justes pour le plaisir ?
-J’ai vu ça dans les vidéos et je suis prêt à faire plaisir en tout. Attaché tu pourras faire ce que tu veux.
Une vraie chienne quoi.
-Oui si je vous plais, pas uniquement pour un amour de vacances.
Tu es près à prolonger l’expérience à Paris ?
-Oui, vous me plaisez, fort comme un vrai mec, partout. Enfin surtout votre sexe. Je pense aussi que vous avez des idées cochonnes pour moi et j’ai tout aussi envie de tout entier être votre chose ou chienne.
Grande déclaration. Venant de Paris tu as mangé quand ?
-Dans le train, un sandwich et rien ce midi.
Donc ce soir mon sperme ne te suffit pas. Des fruits de mer ? Ils ont d’excellentes huîtres creuses là où je suis allé faire un tour dans la petite ville. Tu aimes ?
-Tout avec vous ! Il a eu un petit rire. Moi je n’ai qu’un bulot. Sans le tremper dans l’eau bouillante il bave.
J’ai remarqué ça. Les huitres sont laiteuses en ce moment mais je crois que tu aimes.
-Surtout le lait d’homme.
Allons voir ce que tu as comme fringues. Il a déballé ses sacs. J’ai vu et mis sur le lit un jean troué aux genoux, un débardeur largement ouvert aux aisselles, enfin un petit string rouge de la même couleur que son visage quand je lui tendu. Enfile tout ça. J’aime tout ce qui peux agacer ta rondelle et au pieds mets de tennis mais sans serrer les lacets. Il s’est regardé dans le miroir.
-Je fais salope non ?
Oui mis tu es ma salope ! J’ai mis de mon côté un jean de marque avec une chemisette fuchsia largement ouverte et des mocassins.
-Au fait je ne sais pas comment je dois vous appeler. J’ai une petite idée qui devrait vous plaire.
Maître ?
-OUI. Vous êtes mon maître.
Sinon je suis Éric.
-Alors quand il y a du monde comme au restaurant ce sera monsieur Éric et seul ou quand vous le déciderez ce sera maître.
Ok ça me va petit clebs. Aller on va fêter cette rencontre.
On a pris la voiture et arrivé au restaurant j’ai ri de voir la tête des bretons présents. Un peu surpris pas sa tenue et pas la voiture que j’avais garée devant.
Après les bla-bla d’usage, on a eu une table à l’arrière et j’ai demandé de suite deux apéritifs. Demandant les huîtres qu’ils avaient.
Commandant une douzaine de creuse du coin pour débuter après l’apéro. Le serveur parti, beau gosse avec un cul comme je les remarque.
Tu te branles souvent ?
-Euh assez oui Éric, minimum de trois fois par jours.
Devant des bouquins ?
-Je les préfère aux vidéos, au moins j’imagine. J’adore histoire d’I. Vieux livre où le mec est soumis aux femmes mais je me mets dans sa peau avec des mecs.
Cochon ! Ouvre ta braguette.
Ici ?
Oui, de suite !
Il a piqué un fard mais il en piquerait d’autres. On a bu l’apéritif, ça l’a calmé et le garçon est arrivé avec un muscadet frais que j’avais demandé. Les huîtres arrivent monsieur. Tout en goutant le vin j’ai mis le bout de ma chaussure entre ses cuisses, les écartant. Il en bandait je le sentais à travers la semelle.
Comme je m’y attendais le serveur a amené les huîtres et par maladresse j’ai fait tomber un couteau. Il s’est penché un instant et relevé en rougissant. Je vous en ramène un autre monsieur.
Loulou s’est penché vers moi. Vous l’avez fait exprès maître ? Il parlait bas et j’ai ri.
Bien sûr ! Habitue-toi à ce que tu es !
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