D’ailleurs tu vas vite comprendre que l’huître est meilleure le bigorneau à l’air. Je lui ai servi un peu de muscadet. Ecarte plus ta braguette.
Il était rouge pivoine mais une main est passée sous la table et quand j’ai ôté le mocassin j’ai pu sentir sa mignonne petite queue raide et à l’air avec le pied.
Mets un peu de vinaigre avec des échalotes et dégage la bête avant de l’avaler mais croque dedans. Pour avoir le lait. Tu sens comme c’est meilleur ?
-Oui Éric, elles sont parfaites.
Entre chaque huître tu rinces ta bouche avec du vin. A la cinquième il était rouge mais plus d’avoir le sexe dehors. A la sixième le garçon est repassé pour changer les assiettes et ramener l’autre douzaine.
-Le beurre qui est sur la table vient de la ferme de mes parents, salé comme il se doit. Il a heurté un couvert et j’ai bien remarqué que cette fois c’était volontaire et l’a ramassé les yeux braqués sur l’entrecuisse de Loulou.
-Excusez-moi je suis maladroit ce soir. Et les clients comme vous sont rares en ce moment.
Vous devez surement livrer aussi non ?
-En ce moment oui j’ai le temps. En plein été c’est impossible.
Qu’est-ce que tu en penses Loulou de faire venir des huîtres à la villa. Il avait bien compris à quoi je jouais et cette fois m’a répondu autrement
-Si vous voulez maître.
Bien c’est décidé j’ai regardé le mec, à mon niveau j’avais son paquet tendu dans le pantalon noir de serveur. J’aurais besoin d’un numéro pour te contacter.
-Je le joindrais avec la note.
Au fait tu aimes les bigorneaux baveux ?
-Je ne les aime que comme ça.
Alors parfait Je crois que j’ai senti l’odeur du far breton chaud, je me trompe ?
Non il est en cuisine et vient de sortir du four. Je vous en réserve ?
Oui C’est meilleur quand c’est chaud.
Le pauvre n’en pouvait plus et il est reparti en cuisine.
-Maître s’il vient je serais nu ?
Et alors je t’ai dit d’assumer tes envies de soumis, de chienne. Et je suis sûr que tu as regardé sa bosse.
Bien sûr, le pauvre devait être serré. Il a eu un petit rire.
Quand il viendra je t’aurais bien ouvert les fesses et tu pourras le recevoir dignement.
Les huîtres finies, le mec a débarrassé demandant si on voulait autre chose.
Non, le far ira très bien avec un verre de chouchen et deux cafés.
-Vous ne demandez pas son avis à votre ami ?
Jamais !
Ok je comprends.
Le ventre vide de Loulou était comblé et il était un peu pompette quand on a fini.
Remets ta queue sur le côté mais ne referme pas entièrement ta braguette. On va payer au bar.
Il s’est débattu deux secondes pour remettre l’outil en place et j’avais relis mon mocassin quand on s’est levé. Je l’ai fait passer devant. Le serveur le matait dans des yeux qui restaient baissés.
-Voilà la note et j’ai mis une carte avec mon numéro personnel.
J’ai réglé ajoutant un petit pourboire. Je l’ai fixé. Le reste sera en nature.
En rentrant Loulou a dit que la prochaine fois ce serait lui qui régalerait ne voulant pas être aux crochets mais par plaisir pur. Il a retiré ses fringues sur la terrasse d’où l’on voyait le soleil couchant. Il avait visiblement bavé, une tache marquait son string avant de l’ôter.
Lèche la tache ! Et garde le dans la bouche. Monte ranger le reste j’ai vu des cordes au sous-sol.
Au mot corde, ses yeux se sont agrandis comme son sexe qui s’est tendu. Il avait rangé ses affaires sauf le string dans sa bouche quand je suis monté avec les cordes. J’ai ôté les oreillers.
Allonge-toi sur le ventre bras et jambes bien écartées. J’ai encordé ses poignets et ses chevilles aux montants du lit, glissant sous son ventre un traversin et liant ses chevilles il se trouvait à ma merci. J’ai tiré son sexe en arrière, il a gémi mais il était dur.
Première leçon. J’ai défait ma ceinture devant ses yeux tournés vers moi et la pliant en deux j’ai commencé à claquer ses fesses, doucement et par à-coups avant d’adopter un rythme cadencé faisant rougir non seulement les fesses mais aussi les reins. Il râlait sans pouvoir éviter les coups et après une belle série je suis passé entre ses cuisses, attrapant le sac de ses couilles j’ai lié le sac et attaché tendu au montant du lit. J’ai craché sur sa rondelle et l’ai pris sans ménagement. Il respirait fort et j’ai ôté le string de sa bouche.
-Baisez moi fort mon maître j’aime me sentir tout à vous, possédé à fond. Chaque coup de rein de ma part tirait sur son sac tendu et il geignait mais ne débandait pas ! j’ai joui dans ce cul désirable, soumis à mon plaisir. A force de frotter sur le lit contre le traversin il a lâché deux gouttes de sperme sur le drap. En vacances et ne pensant pas trouver ce genre de mec je n’avais amené qu’un plug que je lui ai posé, coincé par ses muscles fessiers.
Je vais te détacher mais tu dormiras là où tu as salopé le drap !
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