Loulou 5

Récit érotique écrit par Manuel le 02-01-2023
Récit érotique lu 318 fois
Catégorie Sadomazo

Je me suis dessapé avant de le détacher mais lui liant les poignets dans le dos. Comme ça tu ne te branleras pas. Si dans la nuit comme ça m’arrive, je me réveille raide tu l’auras dans le trou que je veux et sans râler.

-Si je râle je n’aurais pas la bouche pleine et ce sera de satisfaction, maître.

Loulou, tu ne sais pas jusqu’où je vais t’emmener dans nos plaisirs mais tu les sentiras.

J’ai aimé et j’aime encore vos coups de ceinture.

J’ai défait le lien qui lui tenait les couilles mais laissé les couilles attachées.

Maintenant dors et ne remue pas !

Je dors nu mais la fraicheur venant j’ai tiré un drap sur moi et sur lui. J’ai entendu un petit « merci maitre ». L’air marin ajouté à la route m’avait fatigué mais aussi énervé. Je me suis endormi comme une masse et réveillé deux heures après, sentant la chaleur de Loulou à coté, je me suis collé à lui. Réveillé lui aussi il a creusé les reins et je l’ai enculé après avoir retiré le plug sans hésiter me vidant dans ses fesses avant de me retirer et sans un mot me retourner et me rendormir, satisfait.

Au matin j’ai, de suite donné un coup sur les fesses de Loulou.

Va faire couler l’eau dans la douche qu’elle soit chaude, j’arrive.

Il s’est dépêché d’obéir il faisait frais le matin malgré le rayon de soleil à travers les volets et quand il m’a appelé l’eau était juste bonne.

Que fais tu en premier le matin Loulou.

-Ben, je pisse aux toilettes.

Alors accroupi toi devant moi, bouche ouverte. Moi aussi je pisse le matin.

Passé le moment de surprise il a compris qu’il serait aussi mon urinoir. Et ma pisse lui remplissant la bouche a débordé assez vite.

Avale pour gouter !

J’ai vu sa gorge bouger et le niveau dans sa bouche baisser.

Lave-moi. Cela fait partie des tâches de la chienne que tu es. Tu as une éponge et du savon. Le shampoing est à côté.

Il a fait ça très bien, insistant sur les parties qu’il ne l’intéressait pas aussi bien que celles qu’il connaissait.

-Vos couilles sont belles, et bien pendantes maître. Impossible de les comparer à mes amandes !

Tu verras des maîtres avec de petites boules et aussi vicieux que moi ! Rince-moi et sèche moi. Tu as dû remarquer ma bite un peu sale. Tu as une poire à lavement dans l’armoire, sers t’en. Ça t’évitera de lécher ta merde.  Lave-toi et va faire le café. Pendant qu’il passe va à la boulangerie prendre des croissants. Deux pour moi. Tu prendras des bicottes pour toi. Une crevette à le ventre plat. Mets ton short de sport et un tee shirt. La boulangerie n’est pas loin.

-Oui je l’ai vue en passant.

Fait vite l’amour me donne faim !

-Oh ! Il n’était pas tout à fait sec quand il est parti chercher mes croissants. Et assez vite il a été de retour.

Je l’attendais sur le bord de la piscine où il a dressé sur une petite table une nappe (sortie d’où ?) et installé tout le nécessaire j’avais mis un boxer et lui attendait encore ayant abandonné ses fringues. Il a servi le café et allait ajouter des sucres dans le sien quand je l’ai arrêté.

Pense à ce que je t’ai dit !

-Ho, pardon maître.

Il se faisait à moi comme je n’avais pas osé l’espérer. Passe un truc sur toi tu as les tétons qui pointent de froid. Jolis d‘ailleurs. Tu as pris des croissants au beurre salé ils sont excellents. Tu as pris un petit pull léger en laine qui font ressortir les pointes de tes tétons. Sensible de là ?

-Oui maître, très.

Je n’ai pas remarqué d’animalerie en venant on demandera. Il te faut un collier si tu aimes être un vrai loulou. Et un petit collier de chat avec un grelot pour ton sac de billes. Il y a peut-être un marché pour te trouver un pantacourt avec de larges jambes pour tes petites cuisses.

-Vous voulez entendre le grelot ?

Tout à fait et pas que moi car tu ne porteras rien sous le pantacourt. A défaut il y a des shorts de bain large avec un slip en résille que je découperais. Ainsi à chaque pas on entendra le grelot. Tes croissants sont très gras, lèche mes doigts.

 Il les a léchés un à un comme de petites bites en me regardant.

T’es chaud bouillant du latin toi ! Va chercher dans mon boxer j’ai un autre doigt qui t’attends.

Il a eu un sourire et a plongé entre les cuisses baissant le devant du boxer.

Comme chacun sait, la pipe du matin est aimée du pèlerin. Celle-ci fut apprécié des deux côtés.

Tu es prévenu, ce qui sort tu l’avales !

Hé le clebs me gratouillait la racine des couilles tout près de mon cul ! Du coup j’ai lâché les vannes sans me retenir.


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02-01-2023 2 318

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