Infidèle en devenir

Récit érotique écrit par mazaudier le 15-02-2023
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Catégorie Infidélité

Je me souviens de cette soirée entre amis, qui s’était terminé en rencontre échangiste. Ce soir là, mon mari ne s’était aperçu de rien, laissant libre court à mes impulsions érotiques. Pourtant, il voyait bien que je me faisais draguer ouvertement devant lui, sans jamais repousser celui ou celle, qui aurait pu obtenir mes faveurs pour la nuit.

En fait, cette soirée, anodine au départ, avait lieu dans une vaste demeure, appartenant à un riche industriel libanais. Ce soir là, il avait invité tous ses collaborateurs, et leurs épouses, dont je faisais parties.

Pour la circonstance, Herbert, mon mari, m’avait recommandé de choisir des habits, mettant en valeur mon superbe corps. Ce qui fit l’effet d’une bombe.

Il est vrai, qu’au cours de la soirée, beaucoup de collègues de travail, m’invitaient à danser, me murmuraient des mots doux à l’oreille. J’en avait parler à mon époux, que ces allusions à une nuit de baises, ne m’intéressaient pas. J’insistais même, pour quitter cette soirée, et d’aller la finir ailleurs.

Herbert, à la recherche d’une éventuelle promotion, tenait à rester. Mais, en aucun cas, il ne m’empêcha d’aller me distraire dans une quelconque boîte de la ville, et qu’on pourrait se contacter, par le biais de la Cam.

Cela ne m’enchantait pas trop, préférant garder mon intimité, au cas ou, un beau mâle viendrait à me séduire. Mais bon, étant une femme fidèle, ceci ne me gênait pas outre mesure, contrairement à mon mari, qui lui, ne serait pas contre me voir baiser par un autre homme.

Dans l’urgence, j’appelais Jess, ma meilleure copine. Elle me dit qu’elle venait d’arriver au « Murphy », un club branché de la ville. Je décide de la rejoindre. Jess est une fille extraordinaire, avec qui j’ai eu une relation torride pendant quelques temps. Jusqu’à ce que je rencontre Herbert, celui qui devait devenir mon mari.

Elle l’a mal supportée, même si mon mari ne s’est jamais opposé à nôtre relation. Nôtre aventure lesbienne cessa définitivement, lorsque mon mari, eu le fantasme de me voir baiser avec un autre homme. Elle était jalouse.

Dès qu’elle me vit, elle sauta à mon cou, me prit les lèvres, m’entraîna sur la piste de danse. Collées une à l’autre, nous ressassons nos années amoureuse, ou nous passions des nuits entières à faire l’amour. Que de bon souvenirs.

Plus la soirée avançait, beaucoup d’homme m’invitaient à danser, surtout sur des slows, plus appropriés pour draguer. Il est bien évident, que je repoussais toutes les tentatives. Pourtant, un homme, la quarantaine, très séduisant, attira mon attention. Il était un des seuls, parmi cette pléiade de danseurs à m’ignorer, me pensant peut-être inaccessible. Mais il ne put éviter une inévitable rencontre au bar. J’avoue avoir jouer de mes charmes, pour qu’il me remarque. Et encore.

C’est quand il sortit son argent pour payer sa consommation, que le barman lui dit, que c’était réglé. Il me désigna comme étant la bienveillante.

Du bout du bar, il leva son verre en signe de remerciement.

Il fut rejoint quelques minutes plus tard, par une sculpturale brune, qui lui donna un tendre baiser, sur les lèvres. Je fus très déçu, presque jalouse.

« Qui est cette connasse...elle va me casser le coup !! »

Puis, comme elle était venu, la jeune fille disparu. C’est à ce moment, que le bel inconnu décida de me rejoindre. Il me remercia pour le verre, et m’invita sur un slow, en me précisant qu’il était piètre danseur. Mais un fabuleux prédateur, qui trouvait les mots qu’il fallait, pour déstabiliser et séduire n’importe quelle femmes, même les plus fidèles.

J’étais littéralement envoûtée, attirée par ce bel inconnu. La danse terminé, on prit une table dans un coin de la salle. Il commanda une bouteille, et deux coupes.

Après avoir, en douce, contacter mon mari avec qui je partage tout, pour lui dire mes intentions, il m’avait dit que je pouvais me lancer si j’étais prête.

On discutait de tout et de rien, et j’en profitais pour lui dire le deal que j’avais avec mon mari. Je le sentais surpris, scanner mon corps, enregistrer les mots que je disais, comme s’il devinait mes intentions. A tel point, qu’il ne fut pas surpris, quand je lui demandait s’il pouvait me ramener chez moi. D’un sourire coquin, il retira la chaise pour que je puisse sortir de table.

Il héla un taxi, qui nous conduisit à la maison. Durant le trajet, évoquant une petite fraîcheur, il enroula un bras autour de mon épaule. Lentement, il fit pression sur ma nuque, pour faire pivoter mon visage, et me donner un tendre baiser sur la bouche, auquel je répondit. Plus on avançait sur le parcours, et plus il devenait entreprenant, jusqu’à ouvrir ma veste, et insérer une main dans mon chemisier.

Je ne le repoussais pas, quand il fit passer mes seins, par dessus mon soutien- gorge. Je sentais mes bout rouler entre ses doigts. Je fermais les yeux, profitais de cette douce caresse. Puis la fin de la course, qui interrompit ce merveilleux trajet, auquel j’étais en train de m’abandonner. Bien évidemment, je l’inviter à monter prendre un verre.

- Au fait, vous ne m’avez pas dit vôtre nom…

- Lucas, madame...Lucas…

- Moi, c’est Marjorie...Vous buvez quoi ?

- Un whisky, fait-il.

- Tiens...moi aussi, je vais m’en prendre un doigt…

- Vous préférez pas le whisky avant.

- Oh...et coquin en plus...

On s’est regardés, avant d’éclater de rire. Quel humour ce mec. Je me dis qu’on allait passer une bonne soirée. Pour ajouter une ambiance feutrée, je mis un peu de musique, langoureuse bien sûr. Il me pris dans se bras, m’embrassa dans le cou, me murmura des mots doux, à faire regretter à une bonne sœur, d’avoir prononcer ses vœux.

Petits à petit, il commença à m’effeuiller, d’abord le chemisier, le soutien gorge. Je le regardais organiser mon strip-tease, dans la lumière tamisée du salon. Puis le zip de ma robe rompit le silence. Robe qui finit au sol, vite rejoint par mon string. Je me trouvais entièrement nue, devant ce bel inconnu, contrairement à moi qui, à ses yeux, ne l’étais plus. Ces mains parcouraient mon corps, de mes seins, jusqu’entre mes cuisses, sur ma chatte minutieusement épilée. Je passais mes mains autour de son cou, l’embrassais dans une douce étreinte. Je le repoussais, l’effeuillais à mon tour.

Ce soir là, allait se produire mon premier adultère, alors que mon mari négociait sa promotion avec son directeur. Après quoi, ils allaient fêter ça, dans un restaurant renommé de la ville. Ce qui me laissait le temps de faire mes emplettes de sexes.

D’autant que mon bel italien a ce qu’il faut, là ou il faut, pour assouvir les ardeurs d’une femme. Et à sentir le feu qui se consumait dans mon ventre, des ardeurs, j’en avait. A lui de les éteindre.

Il me couche sur le canapé, s’allonge près de moi, m’enlace tendrement. Il jouait avec mon corps, caressait mes seins aux bourgeons durcit. Je le laissais faire car je me sentais bien et une chaleur se diffusait dans mon ventre m’annonçant des moments de plaisir certains. Après un moment de caresses perverses, il s’arrêta.

- Alors comme ça tu n’as jamais tromper ton mari...je vais donc être le premier.

- Oui, répondis-je, je suis un peu stressée…

Il se produisit alors un évènement auquel je n’aurais pas penser. Mon mari me dit qu’il était disponible pour parler en Cam pendant sa pause digestif. Lucas, fort de sa position me dit de lui répondre mais à condition de le faire assise sur ses genoux. je rougis et senti ma chatte devenir humide.

Je finis donc assise sur les genoux de Lucas devant l’ordinateur et je commençais à discuter avec mon mari qui ne voyait pas mon partenaire, mais celui-ci entrepris alors de caresser ma chatte, doigter mon clitoris, et cela devant mon mari. Je finis par laisser échapper un cri de plaisir, quand j’atteins un mini orgasme.

Mon mari me demanda ce que j’avais et que j’étais bizarre. Je finis par lui montrer que Lucas était présent et il dit à mon mari qu’il jouait avec mon intimité. Mon mari me dit alors une chose irréelle pour moi à cet instant là.

- Et tu ne t’occupes pas de lui, tu pourrais quand même lui rendre la politesse.

Comme un robot je me levais alors et me penchais entre les jambes de Lucas. Sa queue était là, fièrement dressée, entièrement décalottée. Je me mis à la caresser, et là, un son de l’ordi, c’était mon mari qui me dit clairement :

- Saisis là et prends la dans ta bouche au lieu de faire semblant de pas aimer ça.

Lucas eu un sourire, et me dit que je devais obéir à mon mari. Il prit sa bite en main, et la plaça entre mes lèvres. Je sentais son énorme gland, asseyait de se frayer un passage. En deux secondes, j’avais englouti l’objet de tout mes désirs. Cette énorme queue, qui vibrer déjà entre à l’intérieur de ma bouche.

- Ouah...vôtre femme a une bouche à tailler des pipe...J’ai hâte de la baiser après.

Sa respiration commençait à s’accélérer, et je compris alors qu’il allait jouir.

Je voulais me retirer, quand Lucas lança à mon mari.

- Elle avale ?

- Bien sûr, répondit mon mari.

Lucas s’enfonça bien au fond de ma gorge et je sentis le sperme chaud envahir ma bouche. Je dus avaler en plusieurs fois tellement il se lâchait. Mon mari lui dit qu’il espérait me trouvait à la hauteur, ce à quoi Lucas répondit en me regardant.

- Arrêtes la Cam, et allons à la chambre. Il y a des choses que ton mari ne peux voir.

L’entrée dans la chambre fut chevaleresque, digne d’une nuit de noces. Il me porta dans ses bras, me déposa sur le lit. Il garda se pieds au sol, et s’appuya, les bras tendus, ses mains de chaque côté de ma tête. Une simple flexion, et il me prit tendrement les lèvres, m’embrassa dans le cou. Puis il descendit le long de mon corps, le couvrant de baisers. Le bout des seins, sucés un à un, mon ventre, puis ma chatte. Sa langue la parcourait sur toute sa longueur, jusqu’au clitoris, tandis que je lui caressais les cheveux. Les yeux fermés, je poussais mes premiers soupirs. Il se releva, remonta vers moi. Je vis son imposante bite, tendue, au gland décalotté. Il l’approcha de ma bouche, que j’ouvris pour l’engloutir. Je la trouvais meilleure que la première fois. Il fit quelques aller, retour, puis vint s’encastrer entre mes jambes. Je m’ouvrais entièrement pour recevoir son calibre, au plus profond de moi. Il commença par de lents mouvements, puis accéléra, petit à petit, au rythme de mes coups de reins. Je me pendis à son cou, quand j’atteins le premier orgasme. Il me pris par les hanches, me fit pivoter, dans cette position, je compris qu’il voulait me prendre en levrette. Il caressa mes hanches, remonta sous mon ventre, jusqu’à mes seins, dont il fit rouler les bouts. J’étais en extase devant tant de caresses. Puis je le vis prendre sa queue en main, taquiner ma chatte, mon petit trou. Lequel allait-il choisir. Puis il se mit à me défoncer, violemment.

C’est à ce moment que mon mari essayait de se connecter. Lucas me regarda en souriant. Ce sourire vicieux du mâle dominant.

- Vas-y, ouvre me dit-il, qu’il voit ce que je fais à sa salope de femme.

La Cam s’ouvre. Lucas fait mine de ne pas s’en apercevoir, jusqu’au moment ou...

- T’aimes ça, hein...salope...ton mari ne te donne pas assez…

- Tais toi...arrêtes, ne dis pas ça...…

- Est-ce qu’il sera en ligne quand je vais t’enculer…

- Non...mon mari ne m’a jamais pris par là...

En effet, mon mari ne m’avait jamais proposé de me prendre au petit. Est-ce que Lucas le savait. Ce qui expliquerait qu’il est voulu se retirer dans la chambre, afin qu’il n’assiste pas, à ma première sodomie. Mais alors, pourquoi a-t-il voulu que j’ouvre la Cam ?

J’étais prise d’une certaine crainte, en sachant que mon mari voyait tout. Il voyait Lucas me prendre dans toutes les positions, par tous les trous.

- Laisses-toi aller ma chérie, dit-il soudain. Profites de l’instant présent, fais toi plaisir. C’est bien de tenter d’autres expérience...avec d’autres hommes. Mais dis-moi, est-il mieux monté que moi…

- Constate par toi même, dis-je en m’écartant.

- Effectivement, il doit bien te remplir...aller, je vous laisse à vos ébats...

J’ai honte de moi, j’ai joui devant mon mari. Il devait m’entendre crier de plaisir quand j’atteignais l’orgasme, et ils furent nombreux. J’étais prise de regrets, mais je voulais ça. Me faire prendre dans toutes les position, par tout les trous, lui tailler des pipes, avaler son sperme jusqu’à la dernière goutte. Qu’il se rappelle de cette nuit, toute sa vie..

Indépendamment de ça, la nuit fut torride. Lucas s’avéra être un amant exceptionnel, créatif, plein d’imaginations, pour m’emmener à l’extrême jouissance. Je comprenais mieux pourquoi il ne voulait pas que mon mari découvre comment il éveillait sa femme aux plaisirs de la chair, comment il la faisait hurler à chaque orgasme.

Herbert ne comprendrait pas.

Lucas quitta la villa vers cinq heures du matin. Je restais écartelée sur le lit, continuant à me caresser, afin d’apaiser mon corps. Je pris une bonne douche, et me coucha.

Le lendemain de bonne heure, je récupérais mes enfants chez mes parents, pour les mener à l’école. C’est là que je rencontrais Robert, un parent récemment installé dans le coin. Robert avait un regard perçant, à filtrer vôtre corps, tel un scanner. Pour lui souhaiter la bienvenue, je l’invitais à prendre le café à la maison.

On parla de tout et de rien, de nos rapport de couple. Il me dit qu’il avait cinquante ans, qu’il était marié, que son épouse n’était pas une tueuse au lit. Serait-ce un appel…

C’est là que je me rendis compte, que dans la précipitation, ce matin j’avais enfilé une robe légère transparente, sans rien dessous. Il me fallait éviter la lumière, pour ne dévoiler, en ombre chinoise, mon superbe corps.

Je ne sais pas pourquoi, mais je pensais que j’allais commettre mon second adultère, d’autant que mon mari était en déplacement. Comment ne pas attirer l’attention, si ce n’est se mette à contre jour, et dévoiler ses formes harmonieuses. Robert capta l’appel. Il s’approcha de moi, me prit par la taille. Ses lèvres s’approchèrent des miennes, les frôlèrent. Nos langues achevèrent le travail. Il glissa une main sous ma robe, fut surpris de rentrer en contact direct avec ma chatte. Du bout de son majeur recroqueviller, il décalotta partiellement mon clitoris, le doigta. Je sentais mon petit organe vibrer sous son doigt pervers. Je posais mes mains sur ses épaules, profitais de l’instant de plaisir que me donnait cet homme, que je connaissais depuis une heure à peine. J’enfonçais ma tête au creux de son épaule, quand j’atteignis l’orgasme. Je vacillais sur mes jambes.

Robert trouva les gestes, pour m’emmener à l’extase. Je devinais en lui, une bête de sexe. C’est moi-même qui l’entraîna dans la chambre.

Je me suis offerte sans retenue, oubliant la nuit torride que j’avais passé avec Lucas. Car malgré son âge, Robert était loin d’un faire valoir. Il me donnait énormément de plaisir. Après deux minutes de préliminaires, j’avais englouti sa queue, et la suçais avec gourmandise. Robert s’enfonça au fond de ma gorge, et je sentis déjà son sperme chaud, envahir ma bouche. Je dû m’y prendre doucement, pour tout avaler.

Soudain, la Cam s’alluma. C’était mon mari qui m’annonçait qu’il était bien arrivé. Je me connectais, mais ne dis pas un mot, préférant le laisser découvrir son épouse, empalée sur la queue de Robert, parent d’élève, inconnu pour lui.

- Oh putain Robert...qu’elle est bonne vôtre queue

- Et que dire de vôtre chatte ma chère...bien mouillée, comme je les aime.

Comme Lucas, Robert profita de mes faveurs. Il me prit dans les positions les plus scabreuses, inonda mes trous de son abondante semence. Il n’arrêtait pas de me faire jouir. Au bout de la Cam, mon mari m’entendait hurler de plaisir quand j’atteignais l’orgasme. J’avançais ma tablette, pour qu’il vit en gros plan, l’énorme bite de Robert qui défonçait mon petit trou.

Soudain, le noir. Mon mari en avait assez vu.

Robert quitta la villa vers midi, après s’être fait tailler une dernière pipe.

J’en profitais pour prendre une bonne douche.

Pendant que je me séchais, je me mis à réfléchir, et en déduit que finalement, j’étais faites pour l’adultère. Restait plus qu’à convaincre mon mari.













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15-02-2023 0 5269

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