Séduite et prise dans le métro.

Récit érotique écrit par mazaudier le 24-04-2023
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Catégorie Infidélité

Je m’appelle Armand, et vais vous compter une tranche de ma vie, qui m’a coûté très cher, et dont je paie encore aujourd’hui.

J’avais dix huit ans, et j’étais étudiant à la Sorbonne. Nous étions une bande à prendre le métro tous les soirs, pour regagner nos chambres universitaires. Il y avait Jérôme, Alain, Didier, Valérie et Yvan, qui flirtaient sérieusement ensemble.

Un jour, Didier lança un pari, à savoir celui qui parviendrait à choper Valérie. Dans la fougue de ma jeunesse, je relevais le défi. Un soir, alors que le métro était bondé, mes potes ont tout fait pour isoler Yvan et Valérie, pour me laisser seul avec elle, aidé en cela par la cohue des voyageurs. J’en profitais pour la coincer dans un coin de la voiture, et commençais à la caresser. Pas farouche pour un sou, elle sa laissait faire, jusqu’à ce que je la pénètre, sans que personne ne s’aperçoive de rien. Seuls son cri étouffé quand elle a joui, parvint à mes oreilles, alors que je me vidais en elle. Évidemment, le couple vola en éclats, quand Yvan a appris le complot monter contre lui. Il m’en a voulu énormément.

Cela s’est passé il y a vingt ans, et au fil des ans, les rancœurs entre nous, ont disparus, à tel point, que nous avons été embauchés, dans la même société.

Il est minuit, en ce mercredi d’octobre, quand se termine le repas dansant de ma société. J’étais fier d’avoir Charlène, ma ravissante épouse, très belle brune de trente huit ans, comme cavalière. Elle attire par sa beauté, beaucoup de convives mâles. Dont, Yvan, qui cordialement, est venu nous saluer. Yvan l’invite souvent à danser, la serre de très près, malgré les réticences de ma femme.

C’est vrai qu’Yvan, avec l’âge est devenu très séduisant, et qu’il a tendance à jouer de ses charmes, ce qui n’a pas l’air de troubler mon épouse, outre mesure. Il a quand même fallu que j’intervienne, pour lui faire comprendre qu’on était marié. Il se retira, un sourire narquois au coin des lèvres.

Puis le dernier métro, nous ramena à nôtre hôtel de banlieue.

Arrivés dans nôtre chambre, nous nous déshabillons, et passons sous la douche. L’eau nous fait du bien, nous délasse, a tel point que je glisse une érection naissante, entre les fesses de Charlène.

- Oh non mon chéri, pas ce soir...je suis fatiguée.

- Hum...et moi qui croyais que Yvan t’avait excitée…

- Tu parles...même pas en rêve. Il est tellement imbu de sa personne, tellement hautain...très peu pour moi.

Après une ultime tentative. Nous nous endormons enlacés dans les bras l’un dans les bras de l’autre. Même pas une petite pipe pour calmer mes ardeurs.

Le lendemain, nous profitons d’une belle journée d’automne, nous promenons dans la capitale. Les monuments, les musées, les parcs, il y a beaucoup d'endroits merveilleux à visiter à Paris. C’est d’ailleurs lors d’une visite au musée, que nous apercevons Yvan. Bien évidemment, nous faisons tout pour l’éviter.

Soudain, prise d’une subite envie, elle est aller d’urgence aux toilettes du musée. Elle a été obligée de quitter sa culotte souillée d’urine. Bien évidement, elle n’avait pas prévu du rechange, et l’on pouvait deviner l’absence de sous vêtement, sous sa robe légère

Vers dix huit heures, nous décidons de rentrer à hôtel, Charlène étant revenue à de meilleures intentions. J’avais hâte de regagner nôtre chambre.

Malheureusement, à cette heure de pointe, avec la sortie des bureaux, le métro était bondé. Les bus, n’en parlons pas, le taxi beaucoup trop cher, et le trajet à pied inconcevable. Finalement, nous avons opté pour le métro, ou nous avons réussis à nous faufiler par miracle, dans la même voiture. Nous étions littéralement portés par les voyageurs.

Au départ, nous parvenions à nous tenir par la main, mais les mouvements de foule lors des arrêts aux stations, nous on progressivement éloignés. Aucune prise pour me tenir, c’est la foule autour de moi, qui me maintenant debout, sans pouvoir rejoindre mon épouse.

Apparemment, Charlène subissait le même sort, mais dans le sens opposé, qui nous éloignait l’un de l’autre. Grace à ses un mètre soixante neuf, j’apercevais sa tête de temps à autre, sa chevelure brune. Quand je voyais son visage, elle n’avait pas l’air stressée, plutôt amusée de la situation.

Lors des arrêts aux stations, peu de monde descendait, par contre, des groupes de jeunes visiteurs montaient, ce qui n’arrangeait pas mes affaires.

J'ai dû me résoudre à abandonner l'idée de rejoindre ma femme, et me consolais, en me disant que nôtre station était proche. Je trouvais refuge sur un espèce de marchepied qui me permettait d'apercevoir ma femme un peu plus souvent.

Elle aussi avait trouvé refuge dans un coin, et elle était serrée de près par un type, dont je ne pouvais voir le visage.

Pendant un laps de temps, j'ai vu Charlène jeter un regard circulaire, comme si elle cherchait quelle chose, puis elle a baissé la tête et est restée immobile.

À ce moment, un voyageur s'installe devant elle, bloquant totalement la visibilité.

J’ai de suite fait le rapprochement, avec ma mésaventure qu’il lui était arrivé dans l’après-midi. A savoir, l’absence de culotte sous sa robe légère.

Au prochain arrêt, j’ai pu entre voir enfin, le visage de ma femme. Je trouvais son attitude bizarre, inhabituelle.

Elle avait le visage baissé, les yeux mi-clos, et semblait troublée, car je la voyais se mordre les lèvres. Mais j’ai surtout vu un mec collé contre son dos. Je me suis de suite demandé ce qu’il se passait.

Quand la rame a redémarré, mon épouse a levé son visage, et fixé le plafond. Ses yeux étaient fermés, et sa bouche ouverte, comme si elle prenait sa respiration. Ferait-elle un malaise ?

Son visage était rouge, ce qu’il me faisait penser qu’elle souffrait de la chaleur.

A cet instant, le mec derrière elle a penché sa tête, et semblait lui parler à l’oreille.

Je savais que des trucs pas très catholique se passaient dans le métro parisien, que des femmes subissaient des attouchements, mais cela me paraissait impossible en plein heure de pointe, et devant tant de gens.

J’attendais avec impatience, l’arrêt à la prochaine station. Cette fois, il y eu beaucoup de descente, et très peu de montée.

La pression de la foule a très peu diminué. Un grand type qui me cachait la vue, s’est déplacé, et j’ai pu voir mon épouse.

Elle avait appuyé sa nuque sur l'épaule du mec derrière elle. Je ne voyais pas son visage car elle avait tourné sa tête de l'autre côté.

L’inconnu avait posé sa tête sur l'épaule de ma femme, et semblait lui murmurer à l'oreille. Mais surtout, ils semblaient onduler tous les deux sur un rythme, qui n’avait rien à voir, avec les balancements de la rame.

J’ai trouvé cela étrange, et me suis dis « Est-ce possible qu'il la baise? »

Il y avait trop de monde entre nous, pour que je puisse rejoindre mon épouse..

Pourtant, la colère m'a pris et j'ai commencé une lente percée au milieu des gens serrés comme des sardines. Dans cette avancée inamicale, j’ai été bousculé, j’ai reçu des noms d’oiseaux, mais petit à petit, j’ai pu apercevoir entre deux arrêts, le visage de ma femme dans le reflet de la vitre. Elle échangeait un fougueux baiser avec le type derrière elle. Le visage tourné, la tête penchée vers l'arrière, elle offrait sa bouche a un inconnu, qui en prenait possession.

J'avoue avoir eu les jambes coupées, et suis resté scotché un moment avant de reprendre ma lente progression.

À peu près au même moment, la rame s’est arrêté à une nouvelle station. Cette fois, beaucoup de gens ont quitté la voiture et j'ai été pris dans la bousculade.

J'ai failli sortir du métro mais j'ai réussi à me cramponner et à résister.

Avant que le convoi ne redémarre, je me suis tourné vers ma femme. Elle était seule. J’eus juste le temps de voir un homme ranger sa tenue, et quitter le wagon.

Charlène rajustait sa robe lorsque je me suis approché d'elle. Je lui demandais ce qu’il s’était passé, qui était ce mec que j’ai vu s’enfuir. Elle m’avoue ne pas l’avoir vu monter, qu’il devait déjà être là. Je lui ai demandé ce qu’il lui disait à l’oreille.

- Il nous a vu au musée, et quand je suis allé aux toilettes, il m’a suivie. Quand je suis sorti, il est entré, et a récupéré ma culotte que j’avais oublié sur le lavabo..Il a ajouté que si je ne lui obéissais pas, il le crierait à tout le wagon.

- Alors, qu'est-ce qui s'est passé?

- Quand il a compris que ma chatte était libre, il a glissé ses doigts, et la caressée. Elle a tout de suite mouillé. Il en a profité pour me mettre un doigt, tandis qu’un autre s’occupait de mon clitoris.Puis il a pris ma main, le tirait en arrière. Je suis rentré en contact avec une queue, énorme. Je n’ai pu m’empêcher de la branler.

La prochaine station était la nôtre. Elle me demandait de la mener aux toilettes qui se trouvaient sur le quai., que ça coulait entre ses jambes.

Quand elle en est sortie, nous avons quitté la gare et nous avons trouvé un petit jardin où nous avons pu nous asseoir sur un banc.

Je lui ai demandé d’avantage explications sur ce qui venait de se passer.

Elle a fermé les yeux et elle a baissé la tête, en pleine réflexion. Puis elle a commencé à me raconter son histoire.

Elle m'a expliqué que, lorsque le métro a démarré, elle a failli chavirer, surprise par la secousse. Un mec derrière elle l'a attrapée par les hanches et l'a soutenue.

Elle n'a pas eu le temps de le remercier que déjà, il la propulsait vers l'arrière de la rame, alors que les passager se dirigeait vers l'avant. Le mec était très fort. A coups d'épaule, il a réussi à se frayer un chemin dans la cohue. Charlène a tout de suite pensé qu'il voulait profiter d'elle, mais cela l'a plutôt amusée car elle était convaincue qu'au milieu de cette foule, le mec ne pourrait pas tenter grand-chose, si ce n’est des caresses.

Pourtant, malgré une lente avancée, elle a senti les fortes mains sur ses flancs lui insuffler une chaleur, un désir. Lorsque l’inconnu a trouvé un recoin, il a poussé Charlène contre le dossier d’un siège, et s’est plaqué contre son dos. Aussitôt, ses mains sont partis à la recherche de son corps.

Elle voulait que ce manège s’arrête, d'un regard elle a tenté de trouver de l'aide, mais j'étais beaucoup trop loin et les gens autour d'elle étaient trop occupés avec leur portable, personne ne prêtait attention à la scène.

Elle aurait aimé crier, mais les voix étaient couvertes par le bruit de la voiture, puis n’a pas trop osé, bloquée qu’elle était, par cette brute.

Mais cet homme connaissait parfaitement les femmes, et petit à petit, une chaleur troublante et une douce langueur ont envahi le corps de Charlène, lorsque les mains habiles se sont concentrées sur sa chatte, son clitoris, et sur ses seins.

L'érotisme de la situation, et la précision des caresses, eurent bientôt raison de ma femme qui s'abandonnait aux mains expertes qui lui procuraient un intense frisson. Il avait glissé une main sous son ventre, écartait les lèvres intime, pour dégager le clitoris, qu’il faisait rouler entre deux autres doigts. Pendant qu’il domestiquait le petit bouton qui s’érigeait, les doigts pénétraient la chatte, tandis qu’une main glissait sous la robe, à la recherche d’un sein.

Bientôt, avec le pouce et l'index, il s'est mis à vriller et à tirer sur le bourgeon.

Ma femme, si sensible des seins, comme du clitoris, n'a pas pu lui résister, et sa chatte a été envahie d’une imposante humidité.

Bien sûr, avec ses deux doigts plongés dans sa chatte, il a vite compris qu'il avait gagné la partie et que la femelle allait succomber à ses avances. Elle ne pouvait pas bouger pour se libérer et n'avait plus aucun désir de s'échapper.

Pendant cette période d’expertise, il avait soulevé sa robe et elle baissait la tête pour vérifier si elle n'était pas trop exposée. Mais bientôt, le corps apprivoisé par la virilité des caresses, elle a fermé les yeux et elle s'est laissée emporter dans un tourbillon de sensations. Les jambes molles, sans volonté, elle l'a senti sa grosse queue glisser entre ses cuisses.

Docile, elle a légèrement écarté ses jambes pour lui faciliter le passage, avant de les resserrer pour mieux en évaluer la grosseur, et la raideur.

Il a commencé à frotter dans sa fente avec sa bite, un doigt excitant son clito. Bien évidemment, avec ce traitement, elle s'est mise rapidement à mouiller abondamment et à lubrifier sa queue.

Alors, il a présenté sa queue en érection, entièrement décalottée, contre son petit trou, et, sans aucun préliminaire, a commencé à pousser. L’enfoiré, moi qui n’avait jamais sodomisé ma femme, il allait être le premier.

Soudain, j'ai vu Charlène relever la tête, la bouche ouverte dans un long souffle silencieux. Je ne pouvais pas imaginer qu'à cet instant précis, ma femme se faisait enculer par un inconnu, dans un wagon bondé.

Au début, c'était douloureux, mais rapidement, l’orifice a accepté l'intrusion de son membre. Avec deux doigts dans la chatte et son gros mandrin dans le petit trou, elle s'est tordue le cou, la tête en arrière pour lui tendre ses lèvres. J’ai lu un aire de surprise dans son regard.

Ainsi, je découvrais que ce n'était pas le mec qui l'avait embrassé, mais ma femme qui l’avait supplié, et offert sa bouche.

La bouche envahie par la langue agile, deux doigts dans la chatte, le petit trou ouvert par un gros calibre, ma femme s'est sentie remplie, elle m'a assuré qu'elle ne s'était jamais sentie aussi pleine, aussi complète, et qu'elle a tout oublié, l'endroit ou elle se trouvait, son mari, pour se soumettre totalement au désir et aux caprices de ce salaud.

Elle a vibré en cadence avec son amant, épousant son rythme, offrant son corps à ses caresses, soumise comme une chatte en chaleur. Ma femme m'a assuré qu’il connaissait bien le corps féminin, et que ses gros doigts dans sa chatte faisaient un travail remarquable, que jamais elle n'aurait cru cela possible.

J'ai bien senti comme un léger reproche dans sa voix lorsqu'elle a insisté en me disant qu’ il avait été présent et attentif avec ses mains, qu'il ne s'était pas contenter de la sodomiser, bien au contraire, que ses mains n'étaient pas restée inactive, et que ses doigts maltraitaient délicieusement son bourgeon en le faisant rouler, puis en l'étirant.

Elle m'a assuré aussi, qu’il était bien monté, mais que la douleur de la pénétration s'était estompée rapidement, pour faire place à une délicieuse frénésie. Ma femme m'a dit qu'elle n'avait jamais rien ressenti de tel.

Il s'était ancré dans son corps comme si elle lui appartenait. Elle n'avait pas eu le choix, elle n'avait pas su lui résister.

Elle devait juste l'accueillir et subir son joug. Le mâle en rut lui avait communiqué son désir et l'avait entraînée aux extrême limites du plaisir. Elle avait joui sans fin, à la fois par sa virtuosité, mais aussi l'émoi d'être prise et forcée comme une fille qui l’aurait émoustillée et avait exacerbé ses sens. Quand elle l'a senti pénétrer en elle, elle a pensé qu'il était trop gros et qu'il allait la déchirer.

Et lors de la deuxième poussée, il a pénétré tellement profondément que c'est à ce moment qu'elle a levé le visage au ciel, bouche grande ouverte, suppliant que cette douleur cesse.

Mais quand il a commencé à la marteler profondément, c'est à ce moment qu'elle lui a tendu ses lèvres en le suppliant de la baiser "fort et profond", en espérant que ce délice ne s'arrête jamais.

Elle m'a dit qu'elle n'aurais jamais cru pouvoir prendre une si grosse bite dans le cul, mais elle a commencé à jouir presque tout de suite et elle a convulsé jusqu'à ce qu'il inonde l’intérieur de son petit trou, avec les jets puissants de son sperme.

Ma femme avait perdu la notion du temps. Elle ne savait plus combien de temps ce mec l'avait baisée. Elle m'a dit que cela semblait durer éternellement, mais que c'était trop bref. Quand il s'est retiré, elle aurait aimé le retenir, le cajoler, l'embrasser, sucer cette queue qui l'avait rendue tellement heureuse.

Mais il s'était arraché à son étreinte pour quitter le métro, parce qu'il a vu que je m’approchais, et qu’il ne voulait certainement pas d’affrontement avec moi.

Il lui a juste confié qu'il n'avait jamais baisé "pareille salope".

Puis il l'a plantée là, le cul béant suintant de sperme épais, la robe troussée, qu'elle s'est dépêchée de remettre en place.

- Mais comment est-ce possible que tu te sois faites prendre par un inconnu ?

- Mais enfin mon chéri, ce n’est pas un inconnu.

- A bon, tu connais ce mec ?

- Bien sûr mon chéri, toi aussi tu le connais...c’était Yvan. Je l’ai reconnu quand je me suis retournée pour l’embrasser, mais il était trop tard pour revenir en arrière. Puis il me donnait tellement du plaisir...

J'étais sidéré. Ma femme trente huit ans, la mère de mes enfants, s’était faite prendre par ce que je croyais être un inconnu, qui l'avait enculée au milieu de la foule, dans une rame de métro, à l'heure de pointe.

Bizarrement, toute cette histoire m'avait excité, et je bandais comme un cerf.

J'ai mis la main entre ses jambes, toujours assis sur le banc, j'ai tâté le long de sa cuisse, caressais sa chatte encore humide, jusqu’au petit trou qui avait reçu cette intense pénétration.

Du bout des doigts, j'ai essayé de sonder son ouverture anale, elle était encore très étendue et ouverte. L’énorme queue d’Yvan avait laissé des traces physique.

Elle murmurait à mon oreille. Elle m’avouait que son seul regret, c’est de ne pas avoir pu le sucer, avaler son sperme, pour lui rendre le plaisir qu’il lui avait donné. Je lui fis remarqué que moi, je n’avais jamais eu droit à ce plaisir. Elle mit ça sur le compte de la routine dans nôtre couple, puis me fit remarquer que d’après les on-dit, une femme fait avec son amant, ce qu’elle ne fait pas avec son mari.

- Il m’a demandé si on allait se revoir.

- A bon...t’as répondu quoi ?

- Que je savais pas…

- Et…

- Je ne sais pas. Il ma proposé un endroit plus approprié pour ce genre de relation.

Un hôtel par exemple. Je lui ai dit que je ne connaissais que le nôtre.

Lentement, je retirais mes doigts de sa chatte, et l’invitais à regagner l’hôtel.

Nous avons pris une douche coquine, et avons fait l’amour le reste de la nuit.

Le dernier soir avant nôtre départ, je suis resté trois heures seul au bar de l’hôtel, pendant que Charlène se faisait baiser par Yvan, dans nôtre propre chambre. Vingt ans après, Yvan avait assouvi sa vengeance en rendant ma femme infidèle, et en lui donnant du plaisir, comme jamais je n’ai pu lui en donner.

Même si en début de mariage, j’ai eu deux ou trois aventures, ça c’est mal de savoir que vôtre épouse vous a trompé, et là, c’est différent.

Mon épouse a été forcée, baisée, mais a fini par accepter.

Quand à moi, j’ai été bafoué, humilié, suite à un pari de jeunesse.

Ainsi va la vie.

Le lendemain, nous quittions Paris pour rentrer chez nous, dans le sud de la France. Quand à Yvan, il a quitté la société, et ne le revîmes plus jamais.

Au début, on a souvent parlé de cette histoire. Charlène se disait désolé de ce qui s’était passé, et me remerciait d’avoir pardonné.

Avec le temps, nous sommes redevenus le couple d’avant.






































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24-04-2023 0 7985

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