Un trio pour l'été

Récit érotique écrit par mazaudier le 04-06-2023
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Catégorie Infidélité

Pour me présenter, je me prénomme Charlène, plutôt belle femme, et suis mariée avec Bruno de trois ans mon aîné, j’en ai vingt quatre.

Bruno fait parti du club photos du comité d’entreprise de sa société, et souvent, le lundi, il montre ses clichés pris le dimanche, à ses potes de bureaux, eux aussi adepte de ce genre d’activité.

A la suite d’une expérience personnelle, et ce grâce à mon mari, je pris le sens du mot plaisir, sous toutes ses formes.

Cet été, Bruno m’a proposé de faire quelques photos de moi, en petite tenue, histoire de rire un peu. Nous étions en vacances dans le sud de le France, loin de Paris, ou nous étions censés ne connaître personne. Sur son ordi, il avait ouvert deux pages.

Une pour les photos extérieures, sur la plage, dans les rocher ou les pinèdes.

L’autre, strictement privés, nous montrant dans nôtre chambre en train de faire l’amour.

Je me suis laissée prendre à ce jeu, trois soir la première semaine. J’avoue que cela m’intriguais au début, puis, exposer mon sublime corps pour mon mari, dans des positions de plus en plus suggestives, me plus énormément.

La deuxième semaine, nous avons fait la connaissance d’un couple du coin. Marty, et Cindy, à peu près de nôtre âge. Au cours dune soirée chez eux, nous avons appris que eux aussi aimaient se prendre en photos.

- Tiens, on pourrait en prendre quelques unes, un de ces soirs, propose Marty.

- Pourquoi pas, appuya Bruno

L’idée fit l’unanimité. Et nous voila, Cindy et moi, acceptées de nous prêter au jeu de nos époux. Lors d’un dîner arrosé pris chez eux, l’idée de Marty ressurgit.

Les hommes, plus lucide que nous, avaient bien évidemment pris des photos. Surtout de nous, dans des positions glamours.

Le soir, dans nôtre chambre d’hôtel, mon mari sortait son ordinateur portable, et regardions les photos prisent dans la journée. Je dois avouer que je me trouvais très belle en bikini, ou parfois, entièrement nue. Mais bon, ça restait dans le domaine du privé.

Le lendemain, réveil vers midi. Bruno me demande ce que j’ai pensée de la soirée. Il ajoute que vue la nuit torride que l’on à passé, on devrait prendre des photos plus souvent, car ça décuple mes ardeurs de les montrer. Puis, il me demande comment j’avais trouvé le couple. Je lui répondis qu’ils avaient l’air sympa.

A dix huit heures, surprise au bar. Marty se pointe, mais sans sa femme, soit disant fatiguée. Bruno propose à Marty de prendre l’apéro à l’appartement, ce qu’il accepte, après avoir pris des nouvelles de son épouse au téléphone.

Les bouteilles se succèdent, les rires et les histoires cochonnes aussi.

Il dit avoir trouvé la soirée sympa, puis demanda si on avait des clichés à lui montrer.

Mon mari répondit que non, que la nuit avait été très sulfureuse…

Nôtre invité trouve ça dommage, puis nous dit avoir eu beaucoup de chance.

Mon mari se lève, récupère l’appareil photos, et propose d’en prendre.

Je suis restée sans voix, alors que nôtre convive me servait une coupe. Le l’acceptais, mais ne voulais pas trop abuser.

- Alors, ça te dit ma chérie...allait, laisse toi aller.

Ce que je fis. Je me laissais aller au plaisir d’être regardée par un inconnu, tandis que mon mari me prenait en photos.

Les verres ont continués à descendre, et après m’être retrouvé pour seul vêtement, un string, Marty dit à mon mari, qu’il avait une femme bandante. J’avoue qu’entendre cette phrase d’un inconnu, m’a fait sentir désirable.

Bruno répondit que oui, elle le faisait bander lui aussi, puis proposa.

- Mais...vas-y toi, mets-toi à l’aise.

Marty jeta une regard surpris, s’exécutant, sortit de son short une queue dressé, en pleine érection. Ni une, ni deux, il commença à se branler devant moi.

Mon mari me mit mal à l’aise, en me demandant si j’avais envie de l’aider.

- Tu ne vas pas le laisser dans cet état ?

Après un temps de réflexion, je m’approchais, tomba à genoux, et pris la bite en bouche.

J’entamais une douce fellation, quand je sentis la queue de mon mari à l’entrée de ma chatte. Il me pénétra d’une simple poussée. Pris par cette bite, je ne sentis pas arriver les flots de sperme déferler dans ma bouche. Je venais d’avaler le sperme d’un inconnu.

Cette soirée là, je n’ai pas arrêtée de jouir, cinq, six fois...peut-être plus.

Nous avons remis ça deux jours de suite, à différente heures de la journée, toujours sans sa femme. Ce que j’ai le plus apprécier, c’est de sucer la bite de mon mari gorgée de plaisir, tout en me faisant prendre par cet inconnu, dont la femme ne savait pas, qu’il pénétrait mon petit trou, vierge jusqu’à ce jour, ce qu’elle ne lui avait jamais autorisé.

- Tu aimes te faire sodomiser ? Disait mon mari, il ta bien ouvert le petit trou là...

En effet, me faire pénétrer par une autre queue que celle de mon mari, sous ses yeux, à plusieurs reprise, et à sa demande, fut une jouissance extrême.

Le premier soir, nue devant cette homme, prenant la pause sans retenues aux clics de l’appareil photos de mon mari, les seins déjà dressés, et la chatte mouillant mon string.

Je voyait Marty me regardait de bas en haut, en m’encourageant de « ouais...bien...super ».

Le désir montait en moi. J’avais envie de la queue de mon mari, ou de la sienne, plus imposante.

Mais c’était sans compté sur mon mari, qui avait décidé de me faire passer une soirée de fou. Fou, oui il l’était, quand tout à coup il me demanda de me cambrer, à genoux sur le canapé. J’eus un sursaut. Bruno me positionna sur l’accoudoir, en me claquant les fesses, me disant de ne pas me faire prier, que ma chatte était déjà toute mouillée.

- Tu la trouves bonne hein? Demanda mon mari.

- Oh putain, s’exclama Marty, elle me rend dingue...comme je bande…

Mon mari avait un sourire ivre de plaisir, me prenait dans des pauses, faisant monter le désir.

- Tu aimes offrir ton corps à la vue d’un inconnu...

Bruno dit à nôtre compagnon de jeux, de caresser mes fesses, de bien les écarter pour qu’il puisse les prendre en photos. A ces mots, je me suis rétracté, mais sentant les mains de nôtre invité posées sur moi, me donna l’envie de me laisser tenter.

J’entendis l’objet de mes fantasmes dire à mon mari.

- Elle a un sacré cul, ta femme. J’ai la queue qui va faire exploser mon short.

Et nous avons basculé. Bruno lui a répondu que lui aussi était en rut, et dit à Marty de se déshabiller, ajoutant qu’on était là pour prendre du plaisir

Je ne répondis pas, je regardais entre mes jambes nôtre partenaire de jeux sortir sa queue raidie, décalotté. Je me retournais sur l’ordre de mon mari, le regarder se branler.

A ce moment là, je pris conscience que mon mari ne voulait pas en rester là, mais tenait à ce que je m’occupe de nôtre bel inconnu.

Je me mis à quatre pattes entre ses jambes, et ce fut un pur moment de plaisir.

J’entendais mon mari. « Putain...elle a envie de ta queue ».

Je relevais la tête, dis en souriant.

- Non... J’ai besoin de vos queues.

Bruno refusa, mais je compris pourquoi. C’était pour me prendre en levrette, pendant que je sucer nôtre invité. Son sexe était énorme, comme jamais je ne l’avais eu. Je poussais un petit cri lorsque il m’enfila. Mon plaisir était à son comble. Je sentais la bite dans ma bouche se gonfler, et entendais gémir mon partenaire.

- Oh putain, elle va me faire jouir la salope…

Mon mari redoubla d’ardeur, mit sa main sur ma tête.

- Vas-y...avale tout ce qu’il a…

Sous un coup de boutoir mon mari me fit jaillir le sperme de la bouche puis il se retira pour jouir à son tour sur mon visage.

Fatiguée de plaisir je partie me doucher seule tout en repassant tout ses plaisirs un a un dans ma tète et dans mon corps … Qu’est que mon mari avais fait de moi ?

A ma sortie de la douche je retrouvais mes deux étalons, souriant et se racontant leurs exploits.

Devant un dernier verre, Marty nous demanda si on faisait ça souvent. Brubo répondis que non, jamais. C’était pour essayer, mais surtout pour faire plaisir à ma femme.

Du coup, nôtre complice se tourne vers moi, timidement.

- Tu as aimé ?

- J’ai vraiment pris du plaisir, souri ai-je.

Puis l’inconnu, lui aussi épuisé, rentra se coucher.

Après son sourire coquin, je n’osais regarder mon mari, qui pourtant me détaillait de la tête aux pieds. Il me demanda de m’asseoir près de lui sur le canapé. Ce canapé ou un inconnu m’avait baisée, à qui j’avais fait des choses. Toutes les choses que je refusais à mon mari, et qui me mettais dans une étrange situation. Pour une femme qui n’avait jamais avalé, Bruno me fit remarqué, que je m’étais bien remplir la bouche et la langue.

Mon mari me dit que c’est lui qui avait choisi de m’offrir à un inconnu.. De ne pas trop me poser de questions si j’avais pris du plaisir, car lui aussi eu sa dose d’excitation. Il me dit s’être régalé de me voir jouir à plusieurs reprises, sans discontinuer, la chatte bien ouverte, offerte à cette queue qui me pilonnait. Je me suis blottie langoureusement dans ses bras.

Le lendemain, j’étais aux anges, radieuse. Bruno s’en aperçut, en me disant que la soirée d’hier m’avait fait du bien. Je lui répondis que oui...un bien fou.

Il m’emmena au salon, ou l’’ordinateur était ouvert, avec en plein écran, la bite de nôtre inconnu dans ma bouche. Il me dit qu’il y en avait d’autres, si je voulais les voir.

Je ne pus m’empêcher de dire oui, et il me les passa une à une, et s’arrêta à nouveau sur celle ou j’avalais le sperme de nôtre bel inconnu. Il me demanda si cela m’excitait.

De voir les photos de cette soirée, me procurait l’envie de sentir une queue dans ma bouche. Je n’eus pas besoin de dire un mot, que mon mari sorti de son boxer, une bite bien raide. Il me demandait de la décalotter avec mes lèvres, et de lui tailler une pipe.

Je ne fis pas prier pour me mettre à genoux devant lui, tandis que, surprise, je le vis prendre l’appareil à photos. Il me demanda si j’étais d’accord.

- Oh oui...je veux...ça me fait tellement mouiller…

Je me suis exécutée et pour la première fois, j’ai pris un énorme plaisir à sucer mon mari, pour aboutir à accueillir son sperme chaud dans ma bouche. Je me reculais, lui laissant le plaisir de me prendre en photos le sperme sur ma langue, sans perdre un seul cliché.

Après cette petite pipe, la journée fut baignée d’allégresse. Petit restaurant, puis la plage en face nôtre appartement. Il faisait beau, le sable brûlant.

Vers seize heures, voila que nôtre couple d’amis arrive.

Je ne savais plus ou me mettre, alors que mon mari était parfaitement à l’aise.

- Ça va la tête, pas trop fatigué ?

- Ça va…

- Moi, j’ai bien dormi, dit Cindy, jusqu’à ce qu’il rentre. Je n’étais pas bien du tout, mais ça va mieux. Mais mon mari, je ne sais pas ce que vous lui avait fait boire comme champagne, mais ça doit être aphrodisiaque...je vous jure.

Bruno demande pourquoi. Elle dit qu’il était rentré comme un fou, qu’il lui avait sauté dessus.

A ce moment là, il me regarda avec un sourire affolant de complice, que je partageais en le lui rendant.

- Hé bien, pareil pour le mien dis-je, il m’a fait le même coup. On va pas s’en plaindre.

- Bien sûr que non, sourit-elle, pas du tout.

Ils se sont installés à côté de nous. Je ne pouvais pas détacher mon regard du corps de son mari, qui me le rendait plutôt bien. Mon mari sans aperçut, et me conseilla d’arrêter de le regarder, sinon j’allais le faire bander.

Certes, mais je ne lui dis pas que moi aussi, ma chatte était mouillée, et que mes seins pointaient sous mon maillot.

Mon mari se leva, et alla se baigner, suivit de Cindy.

Une fois seul, l’envie fut trop forte, et je demandais à mon amant d’un soir, s’il allait bien. Il me dit que oui, et me posa la même question.

- Oh oui...rassures-toi, nous n’avons pas de regrets à avoir. Nous en avons reparlé ce matin avec mon mari, en regardant les photos entrain de te sucer…

- Charlène, je n’arrête pas à penser à hier. Je n’avais jamais trompé ma femme, et là, je ne sais pas si je pourrais te regarder nue devant moi.

Nos conjoins revenaient de la plage, stoppant là, nôtre conversation.

Sa femme nous proposa de remettre ça ce soir. C’était cocasse, mais Ludovic accepta. Nous les mecs, on va faire les courses, et vous les filles, faites-vous belles…

Une heure après, nos maris partirent aux courses, et regagnons nos appartements. Je me demandais ce qu’ils pouvaient se dire...allaient-ils parler de la soirée...certainement.

Je me mis sous la douche, et là, j’eus envie pour une fois, de m’épiler la chatte, et le tour de mon petit trou, pour plaire à mon mari, qui l’avait si souvent demandé, sans jamais avoir voulu le faire. Tout en me rasant, les images de moi me caressant la chatte , devant Marty, me prit l’envie de le refaire, pour voir si le plaisir était toujours au rendez-vous.

Oui, il était même bien là, mais le fantasme de Marty, présent également, je l’imaginais me fouillant les entrailles, et la jouissance ne fut pas longue à attendre.

Douchée et épilée, repus de ce nouveau plaisir, je me préparais pour la soirée, puis je me suis assoupie, dans le canapé des plaisirs.

Mon mari rentra des courses, se doucha également et nous nous rendîmes chez nos amis.

A ma grande surprise, nous avons passé une très bonne soirée de rires.

Réveil après une soirée âpre avec mon mari, ou il m’a fait jouir pas moins de quatre fois. Cela n’était pas arrivé depuis longtemps. Enfin, avant la fameuse soirée, ou je n’avais plus de doute, elle avait été fabuleuse, et j’y avais pris énormément de plaisir.

Mon mari était jovial, mais secret. Il me proposa un petit déjeuner à sa façon, en disant qu’il allait à la boulangerie, et qu’il revenait de suite.

Un quart d’heure plus tard, mon mari est de retour, un sac à la main. Il me dit de sortir du lit, de venir sur le canapé. Je m’exécute, et me laisse. De retour de la chambre, il me bande les yeux d’un bandana, me disant que mes plaisirs n’étaient pas terminés, qu’il m’avait préparé une surprise.

J’étais nue, les yeux bandés sur le canapé. Il m’organisa un petit déjeuner sexuel, fait de plaisir. J’imaginais son regard posé sur mon superbe corps, ça m’excitait.

Il me demanda de me caresser comme l’autre soir devant nôtre fameux inconnu. Je le fis volontiers. Enfouissant mes doigts dans ma chatte humide, frémissante de plaisir, il posa ses doigts sur mes seins dressés devant lui, et me demanda de décrire le plaisir de m’être faite baiser par Marty, de lui décrire mes envies avec moi, ou avec d’autres hommes. Il me demanda de me branler.

Le nom de Marty fut un déclencheur, je me mis à tout lui dire, ce que j’avais ressentie, c’était obscène, mais plaisant à le fois. Je sentis ses bras me retourner en levrette, me demandant si j’aimais à quatre pattes. Là, mon mari passa devant moi, prit ma tête et m’offrit sa bite à sucer.

- Tu as aimé les deux queue, hein chérie ?

Le sexe de mon mari en bouche, j’eus un soubresaut, voyant ses deux mains emprisonner ma tête. Mais, que se passe-t-il. Je venais de sentir une autre main sur mes fesses. Voulant ôter le bandana, Bruno me dit que c’était une surprise, pour mon petit déjeuner.

La veille, lors les courses, mon mari avait organisé cette rencontre avec Marty. Mon mari m’imposait.

- Demande à Marty ce que tu veux qu’il te fasse.

L’envie était de retour, le désir et les fantasmes aussi.

- Mon petit trou…

-Quoi ton petit trou...tu veux qu’il te mette un doigt...Marty, tu as entendu, cette salope veux que tu lui bouffes la raie...attends, c’est toi qui va prendre l’appareil, qui va prendre les photos aujourd’hui.

Marty s’exécuta. Il écarta mes fesses.

- Oh putain, elle s’est rasée...c’est trop beau…

- Je te l’avais dit, elle a fait ça pour toi mec.

Il prit les photos, puis se jeta sur mon petit orifice, enfouissant sa langue, tandis que ses doigts pénétraient ma chatte, doigtaient mon clitoris. Un résultat détonnant, qui me fit jouir sur place, mouillant les doigts de Marty, alors que mon mari, ayant quitté ma bouche, me fouillait à son tour. J’implorais mon mari de me redonner sa queue à sucer, et laisser Marty de s’occuper de mes trous.

C’était de la folie, j’imposais mes envies, j’étais en pleine jouissance, juste par des caresses, sans pénétration, sous les doigts de Marty fouillant mes orifices, avec la bite de mon Bruno en bouche.

J’allongeais mon mari, suçais les couilles, le branlais. Marty, n’avait pas ôté son doigt de ma chatte.

- Oh chéri… c’est mon petit déjeuner...c’est ma surprise…

Il me répondit affirmativement, me dit de faire ce que je voulais. A la seconde, j’incline ma tête, tout en gardant la queue de mon mari en bouche.

- Marty...prends nous en photos...enfiles -moi avec ta grosse queue.

J’étais leur salope. A dix heures du matin, je me faisait sodomiser par Marty, tout en suçant mon mari. Me faire enculer par lui, avant mon mari, m’excitait énormément.

J’ai joui deux fois en hurlant de plaisir.

- Oh oui Marty...encules-moi encore...bien profond…

Je m’agrippais aux hanches de mon mari, sous les coups de queues de Marty, qui vidait un deuxième passage dans mon petit orifice, puis demanda à mon mari d’y aller. Je pris la queue de Marty en bouche, réclamant à Bruno de prendre ma chatte envieuse.

Après avoir passé un certain temps à laminer ma chatte, mon mari demanda à Marty de tout larguer dans ma bouche. Son sperme jaillit peu après, ses mains agrippées à mes cheveux, m’empêchant de me retirer, ce que je n’avais nullement envie de faire.

Je prenais un réel plaisir à le regardais jouir dans ma bouche, et tout avaler.

Les couilles vides, mon mari demanda à Marty de partir.

Après ce petit déjeuner copieux sans Marty nous n’avons pas arrêté de faire l’amour avec mon mari a l’exception de la pénétration anale que j’avais réservé a mon étalon... pourquoi ?

Toujours est il que mon mari ne me le réclama pas une seule fois, il savait que pour le moment je le gardais comme une expérience sexuelle perso.

Le soir âpres cette journée de sexe, je proposais a mon mari de me prendre en photos. J’en avais envie, il souri en s’exécutant et en répliquant j’y prenais goût:

- Oui chéri grâce a toi...mais pourquoi ?

Oui, pourquoi m’avait-il demandé de faire l’amour avec un autre homme, devant lui ?

- Cela fait un certain temps que l’on ne baise qu’une ou deux fois par semaine. J’en pouvais plus...les photos, ta façon de mâter Marty. Je me dis...et pourquoi pas lui.

Il me dit avoir pris du plaisir à me voir me faire prendre, qu’il avait pris du plaisir, à m’en donner. C’est vrai que ça faisait longtemps, hormis avec Marty, que nous n’avions pas baisé.

- Si tu n’as pas aimé...dis le, me dit-il.

Il m’avait parlé franchement directement, je ne pouvais que répondre qu’il avait raison, me jetant sur lui pour l’embrasser. Il me dit que si j’avais aimé, alors de me laisser aller, d’en profiter.

- Laisse tes plaisirs, tes fantasme prendre le dessus.

- Je ne comprends pas mais depuis ces quelques jours je n’arrête pas d’avoir envie de lui, de toi, de nous …Tout se que tu m’as fait faire ça m’a plu c’en est dingue…

- Et ben, on va changer, c’est toi maintenant qui va gérer Je passe la main. Demain, c’est toi qui mène la danse. Tu fais ce que tu veux, comme tu veux...fait-toi plaisir...

Je n’en dormis pas de la nuit la boucle étais bouclée il m’avait imposés mes fantasmes comme si il avait lu en moi et la il me disait fait se que tu veux comme tu veux.

Le lendemain matin, réveillé de bonne heure. Je réveillais mon mari, par une petite pipe, histoire de ne pas me lever le ventre vide. De plus, ça ne lui à pas apparemment déplu.

- C’est bon, j’ai pris mon biberon, souriais-je.

Une fois habillée, je décidais de rendre visite à nos nouveaux amis, pour leur proposer de manger chez nous, ce midi, et de se faire une partie plage. Ils s’acceptèrent.

Cela me provoquait une excitation très forte que se soit moi de leur avoir proposer.

Cindy me dit que c’était sympa, elle dont le mari avait joui plusieurs fois dans ma chatte, mon petit trou, et ma bouche. Je me trouvais salope de penser ça.

,A douze heures, je demande a mon mari de prendre son appareil photo pour me prendre sous tous les angles m’habillant, d’un t-short sans rien dessous, une courte jupe sur ma petite chatte nue, et des chaussures compensées.

Mon mari souri en me disant, me traitant de petite garce. A douze heures trente, nos invités, deux bouteilles de vin a la main sont la, à l’apéro, je leur demande alors s’ils ont des photos de eux. Cindy ne répondit pas, Marty acquiesça d’un oui. Au dessert, Bruno était en pleine discutions avec Cindy, qui lui discutait avec moi, mais avec une différence, c’est que mes pieds lui caressaient les mollets.

- Bon, je vais faire la vaisselle, lançais-je, en me penchant langoureusement.

Je glissais à l’oreille de mon mari d’occuper Cindy.

- Marty, on les laisse...tu viens m’aider ?

Dans la cuisine je relevais ma jupe devant Marty en lui demandant.

- Tu veut du désert ?

Et en empoignant sa tète, assise sur le plan de travail les cuisses ouverte, la langue de Marty fouillant ma chatte humide, aspirant mon clitoris, j’étais au plaisir, rassasiée je le repoussai en lui disant après, de retour a table le dessert en main je retrouvais mon mari me regardant de bas en haut, il me glissât a l’oreille.

- Tu as fait quoi ?

- Marty m’a fait une langue.

Après le dessert, Marty demandas si on allait à la plage. Sa femme dis que c’était cool.

En regardant mon mari je dis que je préférerais une balader. Mon mari, comme avait compris.

- Et bien vas s’y nous on se fait la plage OK ?

- Tu es sûre de vouloir aller te balader toute seule, dit la femme de Marty.

Je regardais Marty du coin de l’œil pour lui faire comprendre.

- C’est bon, dit-il, je vais accompagner Charlène. La plage ne me branche pas.

Mon mari et sa femme ont répondus d’accord. Mais insista pour nous inviter à dîner.

Une fois seul à l’appartement mon mari me regardant attendait que je lui dise.

Lui dire que j’allais me laisser aller mais que je le voulais pour moi toute seule, sans toi. Ce qui ne le surprenais pas, je lui demandais par contre de nous retrouver ici a dix sept heures trente, à lui de se débrouiller. Le jeu était lancé…

A l’appartement, mon mari me regardait me préparer pour ma balade.

- Ouah...canon, me dit-il.

- Est-ce que ma chatte est bien épilée, dis-je en levant ma jupe, on voit bien mon petit bouton.

- Il est en partie sorti le coquin….allez, faut y aller.

Nous nous rendîmes sur la place. J’étais excité à l’idée de faire ce que je voulais, mais, que voulais-je vraiment...est-ce que j’allais oser le faire ?

Cent mètres plus loin, Marty lança les débats, me dit que j’étais superbe. Apparemment il évitait le sujet de nos précédentes relations.

Une folie douce monta an moi, et je pris les devants.

- Tu aimes la surprise que mon mari m’a offerte ?

- Comment veux-tu qu’un homme n’apprécie pas qu’on lui prête une femme si belle.

- Et bien, je vais te dire ou on va se balader.

Je l’empoignais et l’emmenais à nôtre appartement.

- Ton mari est au courant ?

A ce moment là, je savais exactement quoi lui répondre.

- Oui...il m’a demandé de me faire plaisir...d’aller jusqu’au bout de mes envies.

La porte refermée, je ne pouvais plus fuir, et je devais boucler la bouche. Marty se jeta sur moi. Je le repoussais en lui disant non, pas comme cela. Prends moi en photo. Il me répondit qu’il avait trop envie de me baiser. Je lui donnais l’appareil, en lui disant.

- Si tu veux me le mettre, va falloir faire ce que je te demande.

Devenue folle, je me dévêtis devant lui sous le feu des photos, il me traita de salope.

- Oui...ta salope..

J’étais seule, sans mon mari, avec un inconnu rien que pour moi, pour me baiser. Le fantasme était au summum. Je lui demandais de sortir sa queue. Je l’empoignais, la décalotté, me mis à le sucer lentement. Elle était énorme et la sentir dans ma bouche me faisait mouiller de plus belle. J

e lui demandais de me prendre en photos en train de le sucer. Marty commença à avoir des spasmes. Je lui demandais de tout me mettre dans la bouche, j’avais envie de boire son sperme, de le goûter, le sentir couler entre mes lèvres. Il jouit avec une grande intensité. J’étais submergée de sa semence.

Je n’étais pas rassasiée, il me fallait tout en moi, pour me baiser entièrement, je lui offrais ma chatte, en lui demandant de la fouiller avec sa langue, me faire jouir comme hier. Il se jeta entre mes fesses.

- Tu aimes ça, hein ?

- Oh oui...j’aime ça...

J’étais sa salope, et eus l’envie de lui demander.

- Encules ta petite salope, tu vois qu’elle en redemande...oh oui…

Il enfonça sa bite toute entière dans mon petit trou, sans me préparer, d’une seule traite. Je jouis tellement fort, que Marty stoppa ses va et vient. Je le suppliais de continuer, de me laminer, qu’il me baise. Il ‘en aperçut.

- Putain...tu adores ça la sodomie, hein? Dit-il.

Il sortait sa queue, et me l’enfila d’un seul coup dans la chatte trempée de mouille, en maintenant ses va et vient. Marty jouit à nouveau, il me dit qu’il avait pris goût de jouir en moi. Il me demanda de sucer sa bite. Je m’exécutais, positionna mes lèvres sur ses énormes couilles, qu’il m’ordonna de les lécher. Il me mit un doigt au cul, et lui disais que c’était bon de me sodomiser, et que mon mari n’avait jamais droit à ça.

- Quand je vais racontais ça à mes potes…

- Tu vas leur dire que tu as enculé une salope.

La queue de Marty partit pour une autre chevauchée. Il m’entraîna dans nôtre chambre, puis sur le lit conjugal.

- Je vais te baiser dans vôtre lit.

- Oui...vas-y, baise moi…

Il me jeta sur le lit, écarta mes cuisses et sans attendre, m’enfila d’un coup sec. Je criais comme une chienne en chaleur, puis il sortit de moi, pour me prendre au petit. Il me dit que m’enculer était trop bon, que mon mari ne savait pas quoi il perdait.

Il enfila ses doigts dans ma chatte dégoulinante de son sperme, en m’obligeant de me doigter le clitoris. C’était intense, tout mes membres tremblaient de plaisir. C’était tellement bon, que je ne pus m’empêcher de lui prendre la main, et de l’enfoncer au plus profond de ma chatte.

Il me fit jouir dans son sperme. Quand il sortit sa queue, je sentit sa semence couler le long de mes fesses. Il caressa mon petit trou, me disait qu’il adorait le voir ouvert, et il me mit ses doigts plein de mouille dans ma bouche.

Je lui proposais un break, le temps de prendre une douche.

Il était dix sept heures quand je sortis de la douche, et je trouvais Marty, la bite en érection.

Je me souviens m’être jeté sur le lit et m’être empalée sur son calibre, le chevauchant, jouissant à nouveau. Marty se releva avec moi au bout de sa queue, me jeta sur le lit.

Marty se mit à cheval sur moi, et me pénétra de tout son poids. Sa queue me faisait hurler de plaisir, insistant pour qu’il ne s’arrête pas.

Mon mari était rentré, et ne l’avions pas entendu. Il avait quitté Cindy, et comme convenu, rentrait. Mes cris avaient couvert son retour. Il me trouva en train de me faire limer par l’énorme queue de Marty.

Je voyais Marty stopper ses mouvements, mais lui dis de continuer, de m’enculer encore une fois. Bruno empoigna l’appareil photos, pour me prendre soumise à la bite de Marty, comme pour figer ma jouissance. Je hurlais de plaisir, sans retenue devant mon mari.

Après ces clichés, je pris Marty, l’allongeant sur le dos, sa queue dressée, puis y empala ma chatte. Je dis à mon mari de laisser l’appareil, et de venir me mettre sa queue dans mon petit trou. J’avais envie de deux queues en moi.

- Tu m’as dit de réaliser mes fantasmes, et bien voila. Je suis pleine du sperme de Marty, il ne manque que le tien. Tu as le droit de m’enculer aujourd’hui.

Le reste est simple, et tellement bon, que je les ai fait jouir deux fois en moi, et que je les ai fait changer de trous plusieurs fois. En quatre jours, j’eus la plaisir de recevoir ces deux queues un court instant, même si ma préférence allait vers celle de Marty.

Ce soir, c’était nôtre dîner d’adieu. Il était l’heure de rejoindre nos amis. Bruno me demanda de ne pas mettre de dessous. Chez nos amis, je m’installais sur le canapé, face à Cindy, mon mari face à Marty.

Il entama une description de nôtre balade en ville. Puis suivi celle de nos conjoints à la plage. Les hommes s’occupant de l’apéro, nous sommes allés à le cuisine.

- Tu n’as pas mis de culotte, me demande Cindy. Ça donne l’air d’une étudiante salope.

Je lui ai dit qu’au retour de mon mari, nous avions fait l’amour, et qu’il avait souhaité que je ne porte rien dessous, qu’elle pouvait constater si elle le désiré, que ma chatte était toute épilée.

Nous passons à table. Le repas était copieux, et l’alcool coulait à flot.

La dernière image que j’eus de cette soirée, c’est quand Cindy m’a emmené à sa cambre, et m’a allongée sur le lit...après, le vide complet.

C’est avec une gueule de bois, que je me levais le lendemain mati. Le temps d’une bonne douche, et voila que Bruno et moi, préparions les valises.

Avant de quitter les lieux, nous nous amusons totalement au lit, les photos que nous avons prises, poussent nôtre couple à l’excitation, au plaisir.

Fin des vacances, et retour à la maison

Bruno avait hâte de rentrer, pour montrer, et comparer surtout, les souvenirs de nos vacances.

Pendant le trajet, je rappelais à mon mari, que seules les photos de plage devaient être vues par ses potes. Qu’il était hors de questions qu’ils voient nos relations de cul.

- Je te le promet ma chérie

Aussitôt chez nous, il invita deux potes amateurs de photos, à la maison. Lucas et Sylvain.

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Pendant que je servais à boire, ils comparaient leur œuvres de vacances. Ce soir là, ils avaient beaucoup ri..Je ne comprenais pas pourquoi.

- C’était quoi ces rires, demandais-je.

- C’est rien ma chérie...c’est Lucas qui a pris n’importe quoi.

Je ne me sentais pas rassurée.

Une nuit, pendant que mon mari dormait, je me suis levée, et fouillé dans son ordi. Et là, je tombais en arrêt sur une série de photos, très érotiques.

Certaines nous montraient Cindy et moi, jouant les lesbiennes. Ce soir là, je devait être entame par l’alcool, ou intriguée, pour faire des trucs pareils. C’est Marty qui les lui avait envoyés. L’une, et là le couple d’amis n’y était pour rien, me représentait en train de tailler une pipe à mon mari.

Celle-ci était prise de haut en bas. On y voyait nettement la queue pénétrer ma bouche. Outrée, je fermais l’ordinateur, et alla me coucher.

C’est clichés étaient récents. En plus, j’ai dû sucé mon mari une fois pendant ce séjour.

Ludovic invita à nouveau ses potes, pour leur montrer d’autres photos qu’il avait reçu.

Les commentaires débordent d’éloges.

- Ouah...ta femme est magnifique, dit Lucas,

- Putain, ton épouse est superbe, poursuivit Sylvain…

Soudain, ils restèrent figés sur une série de photos.

- Putain, souffla Sylvain...elle a l’air d’aimer ça...comme elle suce.

Je m’approchais, folle de rage, demandais à Ludovic de me montrer ces photos. Je n’en avais vu qu’une partie. Certaines étaient horribles. A ce demander si je n’avais pas été droguée ce soir là.

Comme celle ou Cindy montre mon clitoris décalotté à l’objectif, tenu par ses doigts, ou encore quand elle a deux doigts dans ma chatte, l’imaginant en train de me branler. Une sans équivoque, ou la tête penchée en arrière, je suis certainement en train de jouir. Il y en eu deux ou trois dans ce style, c’est à dire, une par orgasme. La série suivante est la plus terribles.

Je suis tout simplement en train de ma faire baiser, sodomiser, sucer et tout avaler.

Mon dieu...mais ce n’est pas la queue de mon mari...ce ne peut être que celle de Marty.

Dans le salon, on entend voler une mouche. Mon mari ne dit pas un mot. Par respect, Lucas et Sylvain quittent l’appartement.

- Pourquoi t’as fait ça ?

- C’est Marty et Cindy qui ont eu l’idée. Tu étais si belle pendant que Cindy jouait avec toi. T’arrêtais pas de jouir. Tu insistais pour son mari te baise…

- Et c’est l’image que tu voulais voir de ta femme ? D’accord, on va jouer.

Ce week-end, tu invites Lucas et Sylvain. Tu vas voir de quoi je suis capable quand je suis lucide. Et n’oublie pas de charger ton appareil.







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04-06-2023 0 6476

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