Tout de suite, ça été le flash pour moi, tant il était beau. Assez grand, des cheveux noir, des yeux gris vert, une magnifique allure sportive, et pour cause, il étai moniteur à la station. Lors d’une soirée dansante, je succombais à ses avances, et une folle nuit de baise, me fit chavirer de plaisir. Puis nous nous sommes perdu de vue, jusqu’à il y a environ deux ans. Nos sentiments n’avaient pas changés, au point que quelques mois après nos retrouvaille, nous sommes dit oui devant le maire. Nous étions un couple heureux, profitant des pistes la nuit, brûlant les interdits. ou nous étions les seuls à skier.
Jusqu’au jour ou Hervé eut un terrible accident. Il ne vit pas la dameuse à neige surgir sur sa droite.
Le verdict aux urgences fut sans appel. Jambes brisées. Un an d’arrêt, au bas mot. Il devait rester immobilisé pendant plusieurs mois, ne pouvant se déplacer qu’en fauteuil roulant..
Le drame fut d’autant plus terrible, quand on appris que le gérant de la station, avait omis d’assurer Hervé. Donc aucunes prises en charge, aucun revenu, si ce n’est les maigres remboursements de la sécu.
Tous les potes de mon mari se sont liguer pour venir en aide à leur ami, ont organiser une collecte, des tombolas, des soirées, afin de ramasser le maximum de fonds. Ils passaient souvent rendre visite à Hervé.
Je voyais que ma beauté ne les laissait pas indifférent, et quand j’étais à la cuisine en train de préparer l’apéritif, il n’était pas rare que l’un d’eux me rejoigne, sous prétexte de me donner un coup de mains, et en profiter pour glisser ses mains à des endroits intime de mon corps. J’avoue ne pas rester indifférente à leur tentative, mais l’état de mon mari restait le plus important, et et il était hors de question que je profite de la situation pour le tromper. Même en étant valide du reste.
Un soir, les quatre potes de mon mari se sont pointés à la maison. Hervé me demandait de préparer un apéritif dînatoire. De la cuisine, j’entendais les bribes de leur conversation. Après un apéritif corsé, les copains n’hésitaient pas à me draguer, m’attiraient sur leur genoux, me couvraient de baiser. Tout ça devant le regard impassible de mon mari.
Au bout de quelques temps, mon mari m’avouait le but de leur discutions, et me dit que certains de ses copains avaient demandés des compensations.
- Tu es belle, me dit-il, très séduisante.T’as vu le regard de mes potes à ton égard.
- Tu veux en venir ou ? Que je m’offre à tes potes, c’est ça?
- Mais chérie...ne le prends pas comme ça. Seule toi peux décider.
Je passais la nuit à réfléchir à la proposition indécente de mon mari.
Je dois avouer être en manques de sexe, que je me sentais attirée par un ou deux potes, mais de là à ce qu’ils me baisent, il y a un gouffre que je ne veux franchir.
Je m’imagine mal me faire baiser devant mon mari, même dans la chambre à côté.
Un matin, après avoir sucé mon chéri, je lui dis que je voulais bien essayer, avec un de ses potes de mon choix. Celui-ci se portait sur Guy, pour lequel j’avais un faible. Je demandais à Hervé de l’inviter le samedi soir...seul.
Toute la journée de samedi, je me sentais oppressée. Je me demandais comment j’allais me vêtir. Mon mari me conseillait une tenue légèrement sexy, mais pas trop, sans rien dessous.
Le seul souci que j’avais, c’est que je ne voulais pas prendre du plaisir dans une relation que je ne désirais pas. Je savais que j’avais le soutien de mon mari, et qu’il saurait tout arrêter si ça allait trop loin.
Vers vingt deux heures, on sonna à la porte. C’était lui qui se présentait un bouquet à la main. Il serra la main d’Hervé, me fit la bise à la commissure des lèvres.
- Alors mon pote, dit Hervé, en forme.
- Pour baiser l’objet de tous mes désirs...oui.
Il est certains que mes joues devaient rosir. Je me sentais mal à l’aise. C’est mon mari qui détendit l’ambiance, en me proposant de m’asseoir sur les genoux de son pote.
Alors que je servais à boire, je sentis des mains m’agripper par la taille. Je me retrouvais assise sur les genoux de Guy, légèrement inclinée en arrière, comme mon mari en avait décidé. Avec douceur, il me caressait la joue, releva ma tête, me prit les lèvres. Je fus surprise de répondre à se baiser. Lentement, il défit un à un les boutons de mon chemisier, pour libérer ma superbe poitrine. Il commença à la caresser, se pencha pour en sucer les bouts. La douceur de ses doigts sur ma peau.m’excitaient. Tout en me suçant, il posa une main surJ’ai connu Hervé sur les pistes de ski, lors de mes vacances dans les
Puis celui-ci me demandait de me déshabiller, pendant qu’il ôté ses vêtements. En me tournant vers lui, je pus constater la virilité de son sexe. Une queue imposante, dressée à l’horizontale. Il me fit mettre à genoux, et la prendre en bouche. Je n’ai sucé mon mari, que depuis qu’il est invalide, ne pouvant me pénétrer difficilement, mais là, je dois avouer que j’y prenais un réel plaisir, au point de le maintenir par les fesses, quand il se mit à éjaculer. Je sentais les jets de sperme s’éparpiller dans ma bouche. Je levais les yeux vers lui, et me mis à tout avaler.
J’entendais taper des mains derrière moi, c’était mon mari qui applaudissait.
Guy prit place dans le fauteuil, la bite toujours aussi tendue. Il me pris par les hanches, me fit descendre jusqu’à ce que je m’empale sur son mandrin. C’est moi qui prenait en charge les va et vient, me cambrais sur ce pieux qui me défonçait. Je le sentais grossir, devenir énorme en moi. Puis je le sentis se raidir, éjectait sa semence au fond de mon ventre.
A mon tour, je hurlais mon orgasme, sans retenu, malgré la présence de mon mari. Je m’écroulais sur lui, lui pris les lèvres dans un sulfureux baiser.
Je sentis des mains passées sous mes aisselles.
C’est mon mari qui me soulevais, et qui à son tour, prit mes lèvres.
Guy ôtait le préservatif, et alla le jeter aux toilettes.
Il quitta la villa vers onze heures. Nôtre rapport fut court, mais intense.
J’aidais Hervé à se coucher, m’allongeais près de lui. Je glissais une main sous le drap, sentais la raideur de sa queue. Je plongeais, prenais sa queue en bouche.
Au petit matin, nous ressassions la soirée de la veille. Je lui avouais avoir pris énormément de plaisir dans cette relation. Il me demandait si j’étais prête à renouveler l’expérience. Je lui dis que s’il était d’accord, pourquoi pas.
C’est pourquoi, certains week-end, je m’offrais à l’un ou à l’autre de ses potes, parfois à deux en même temps. J’y prenais un plaisir intense.
Mon mari acceptait facilement que je me fasse baiser par ses copains, y prenait même du plaisir. Quand je ne me faisais pas niquer devant lui, il tenait à ce que je laisse la porte de la chambre ouverte pour m’entendre jouir. Parfois, je voyais les roues de son fauteuil pointaient à la porte, puis son visage apparaître. Sûr qu’il devait avoir une érection, et qu’il aimerait participer à la petite sauterie. Certaine nuit, j’arrivais à avoir cinq ou six orgasme, avec différend partenaire. Petit à petit, je m’installais dans cette nouvelle vie, et y prenais énormément de plaisir. Je n’avais connu jusque ici, que la queue d’Hervé, et j’avoue que certain de ses potes, m’apportaient le plaisir que je n’avait jamais connu avec lui. Faut dire que certains était hyper monté, et j’appréhendais chaque fois qu’ils voulaient me sodomiser.
Puis mon corps s’habitua, et ça rentrais tout seul. Surtout Guy, le mieux monté, et le plus pervers. Quand il venait seul, il incitait mon mari à le regarder me baiser, m’enculer, pour lui montrer qu’il était le mâle dominant, que sa femme était une salope, qu’elle aimait sa queue, et qu’elle lui appartenait. Le pire, c’est que c’est moi qui réclamais sa bite dans le cul. C’est également avec lui et deux autres potes, que je connus la double pénétration...ou triple quand j’avais la troisième queue dans la bouche.
Ses copains jouaient avec moi. Ils se plaçaient face à mon mari, me forçaient à m’empaler sur leur grosse queue.
- Regarde Hervé...regarde ta femme comme elle se régale.
- Putain...elle doit être affamée...regarde comme elle nous mange les couilles…
- Sûr, répond un autre, s’il peut pas la baiser, elle doit être en manque…
- Arrêtez salaud, soufflais-je...ne dites pas ça…
Ils jouaient de plus en plus avec moi, me prenaient dans toutes les positions, par tous les trous. Ils s’approchaient de mon mari, pour me montrer en gros plan entrain de me faire baiser, ou de tailler une pipe. Ils me faisait jouir à dix centimètres de son visage, pour bien lui monter la salope sue j’étais, et le plaisir que je prenais. Je sentais Hervé humilier de voir sa femme s’offrir devant lui.
Certains soir, il me faisait boire, pour que je sois plus excitée, plus salope. Je marchais à quatre pattes sur la moquette, suivi par un copain qui marchait sur les genoux derrière moi, sa bite enfoncée dans ma chatte. Je faisais le tour du salon, passais devant le canapé, ou les hommes, assis, m’arrêtaient pour que je suce leur queue. Il n’hésitaient pas à éjaculer dans ma bouche. Mais certain en voulait plus, avaient d’autres projets. Rémi voulait m’emmenait chez lui, faire une parti à trois avec son épouse, un autre voulait me sortir en boite, m’offrir à d’autres potes, ou même, inviter sous mon propre toit, d’autres mecs, que nous ne connaissions pas. Un pote, dont je tairais le nom, avait prévu d’autres projets.
Mais tous mes rapports étaient protégés d’un préservatif, j’y tenais beaucoup.
Une fois ses potes partis, je rejoignais Hervé au salon, entièrement nue, réclamant ses caresses. Malgré la nuit sulfureuse passée avec ses copains, il parvenait à me faire jouir à force de savants attouchements dont il a le secret. Puis je tombais à genoux, ôtant la couverture du fauteuil, pour découvrir une bite en érection, prête à être sucer. Je le regardais en souriant, et l’engloutissais dans ma bouche.
J’arrivais à le faire jouir, deux, trois fois, et à chaque fois, j’avalais tout. C’était ma façon de le remercier de m’offrir à ses potes pour la nuit. Puis nous allions au lit.
Puis, au bout de quelques mois, les prestations de la sécu diminuèrent. Il était de plus en plus difficile d’honorer les visites à domicile du médecin traitant, potes de mon mari lui aussi, la cinquantaine bien sonnée, célibataire. Il s’étaient connus à la station.
Un jour que je faisais le ménage, je les entendis parler à voix base. Leur discutions me glaça le sang.
« Il ne va tout de même pas m’offrir à un homme qui pourrait être mon père ».
- Tu comprends Hervé, j’ai des frais moi aussi, et je n’ai rien en retours .
- Je comprends, mon ami...et quoi te ferais plaisir.
- Tu sais, je suis célibataire, je n’ai jamais vu de femmes nues, mis à part dans les magazines, encore moins caresser.
- Mais Sandrine peut s’occuper de toi si tu le veux. Dis moi quels sont tes désirs.
- Caresser une chatte, y enfoncer mes doigts, la branler. J’aimerais tant voir une femme jouir sous mes doigts. Puis qui sait, elle pourrait me tailler une pipe.
- T’inquiètes Jean, je vais m’occuper de ça.
Je m’appuie contre la porte, mais suis consciente que les traitement sont lourds, très chers, et je ne peux laisser mon mari sans soins. Aussi, dès que le médecin est parti, mon mari me demande de le rejoindre. C’est là qu’il me fait part de la proposition indécente du toubib.
A ma tête, il comprend que me ça ne m’intéresse pas, de me faire caresser, ou tailler une pipe à un homme de presque cinquante cinq ans, et qui pourrait être mon père.
- Je sais ma chérie...viens que je te fasse un câlin.
- Oh oui...j’ai envie qui doigte mon petit bouton aussi...oui...je jouis…
Les visites du médecin ont toujours lieux le lundi. Pendant qu’il ausculte mon mari assis sur une chaise, je me tiens droite à côté de lui. Je vois mon mari lui donner un coup de coude. Alors je sens sa main caresser mes fesses, remonter sous ma robe, pour atteindre ma chatte dépourvu de culotte. Les doigts sont d’abord maladroits, mais petit à petit s’activent sur ma fente, ouvrent mes lèvres, les pénètrent. Il parvient même à sortir mon clitoris. Les caresse sont douces, deviennent plus précises. Le toubib apprend vite, et m’apporte, à ma grande surprise, un plaisir intense, qui se traduit par un orgasme puissant. Je sens mes jambes se dérobées. Je croise le regard souriant de mon mari, qui prend lui aussi du plaisir à me voir jouir sur les doigts du praticien.
- Enfoiré...putain...regarde comme il me branle...comme il m’a fait jouir.
- T’aimes, hein ma chérie...il te fait mouiller...avoue le lui.
- Oh oui il me fait mouiller...c’est bon Monsieur ce que vous faites à ma chatte…
Le toubib ma lâche enfin, me retient pour ne pas que je tombe.
Après un an d’intense rééducation, Hervé reprit vite le dessus, au point que le nouveau gérant de la station, lui donnait rendez-vous, pour lui proposer un contrat de trois mois, pour la saison d’hiver à venir. Il dû s’absenter pour la journée.
Je n’avais pu le suivre dans son déplacement, attendant un heureux évènement.
En effet, je suis enceinte de bientôt trois mois.
Mais ceci ne m’empêche pas, en l’absence de mon mari, et avec son accord, de recevoir ses potes pour des nuits torrides à me faire baiser, sodomiser, avaler leur sperme. C’était Guy le plus régulier. Nous passions des nuits entières sous la couette, à faire l’amour.
Un dimanche, pendant que deux copains avaient rendu visite à mon mari, histoire de passer une journée aux skis, Guy et Rémi m'ont emmenée à la piscine.
Ils furent immédiatement rejoint par d'autre potes qu je ne connaissais pas. Il se tapèrent dans les mains pour se saluer, puis Guy entreprit d'ôter mon maillot. Je me retrouvais entièrement nue, à la merci de quatre mecs affamés, m'accueillant d'un sifflet admiratif. C'est Guy qui lança le début des hostilités.
- Vous pouvez faire ce que vous voulez avec elle, elle accepte tout. Dans la chatte, le cul...elle adore tailler des pipes aussi...et ne rechigne pas à tout avaler.
Je me souvient d'un, Djamel, la queue décalottée en permanence qui prenait plaisir à m'enculer. On aurait dit que mon petit trou lui appartenant.
Les autres n'étaient pas en reste; je n'ai pu comptais tout les orgasmes que j'ai eu.
Ils jouaient avec moi, me jetaient à l'eau, me caressaient de partout. Bien évidemment, j'avais toujours une bite dans la chatte, dans le cul, ou dans la bouche. Parfois les trois simultanement. Sur le chemain de retour, j'étais sur la banquette arrière, empalée sur l'énorme queue de Guy. J'atteignis mon dernier orgasme, juste en se garant devant le garage.
- Alors ma chérie, dit Hervé de retour, dis moi qu'ils t'ont régalé.
- Oh mon amour...si tu savais comme ils se sont amusés avec moi, quels salauds.
- Je suis bien content pour toi...j'aime quand tu prends du plaisir avec mes potes.
- Tiens, lui dis-je, des potes qui se sont joint à nous, on fait une enveloppe.
- Mais comment es-tu parvenu à ça?
- Oh tu sais mon chéri, un coup de queue dans la chatte, un autre dans le petit trou, une bonne pipe...ça détend l'atmosphère, et ça ouvre les portes feuilles.
Le lundi était toujours réservé à mon coquin de toubib, qui avec moi, rattrape le temps perdu. Il adore caresser ma petite chatte, la branler, doigter mon petit bouton. Comme il me fait jouir ce vicieux.
Pour le remercier, je lui taille une bonne pipe, le laisse se vider les couilles dans ma bouche. Plus ça allait, plus je prenais plaisir à sucer cette bite, que je trouvais bien calibrée, bien au-delà de celle d’Hervé.en tous cas. Mais, je me suis toujours refusé à lui. Il n’était pas question que je me fasse baiser par un homme qui avait l’âge de mon père. Mais un jour, devant sa tristesse, ses supplications, j’ai cédé à ses avances, et me suis faite saillir comme une salope.
Ce salaud de toubib ne s’est pas retiré, et n’avait pas mis de préservatif.
C’était le premier lundi ou Hervé prenait son poste à la station, il y à trois mois.
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