Il est neuf heures quand on frappe à la porte de nôtre chambre d’hôtel.
Tu es allongée sur le lit, une serviette blanche recouvrant ton corps encore humide de la douche, des épaules, au bas de tes fesses. Tu sais que j’ai demandé à un masseur de venir s’occuper de toi, et ton sublime corps se délecte déjà du massage.
J’imagine déjà ses mains se poser sur toi, te toucher, te frôler, voire te caresser. Il fait très chaud ce matin, le soleil entre par la fenêtre entre ouverte pour laisser s’engouffrer un peu d’air. Un parfum indéfini flotte dans la chambre, une odeur fraîche, gaie, mais surtout enivrante.
J’ouvre la porte et je vois enfin cet homme dont je ne connaissais que la voix. C’est un métis de taille moyenne, mince et les cheveux coupés très court, très séduisant. Il a l’air sportif. Il entre et t’aperçoit sur le lit, nous salue et se présente. « Fred ».
Après une courte et banale conversation, pendant laquelle ses yeux te déshabillaient, il propose de commencer la séance. Je connaissais l’intention finale, et je savais qu’au moment précis ou il verserait cet onguent sur tes jambes, nous aurions passé le point de non retour. Il allait se passer quelque chose de nouveau dans notre vie de couple.
À ses premiers gestes, aux premiers effleurements sur tes jambes, j’ai vu, j’ai compris sa douceur. Tu me semblais pleine de retenue et en même temps prête à recevoir les caresses d’un inconnu. Ses mains couraient sur tes jambes étalant cette huile dont l’odeur se mêlait maintenant au parfum de la chambre.
Malgré la serviette toujours autour de toi, ta nudité se devinait et commençait à bouleverser l’ambiance de la pièce. Ses mains remontaient maintenant plus haut sur tes cuisses, allongée sur le dos tu le regardais faire, en me jetant des regards amusés et interrogatifs.
Malgré cette serviette blanche toujours autour de toi, je suis sur qu’il avait maintenant pris la mesure de tes hanches, de tes seins et de tes fesses. Il t’a demandé de te retourner, de te mettre sur le ventre pour masser le dos de tes jambes. Tu t’es retournée sans hésiter, mais dans ce mouvement, tu as, je suis sûr, laissé apercevoir un peu plus de ton corps à la peau blanche. Je le sais, car dans son pantalon de toile, j’ai vu son sexe prendre plus de place.
Il retiré son tee-shirt, prétextant une trop forte chaleur. Ses mains sont retournées sur tes jambes, mais imperceptiblement remontaient plus haut, plus près de tes fesses. A fur et à mesure de ses mouvements, la serviette glissait plus haut laissant apparaître ton petit cul de rêve. Plus la serviette remontait, plus son sexe durcissait. Fasciné par le spectacle, je n’avais pas encore bougé, et j’étais resté debout près du lit. Je me rendis compte que je bandais aussi fort que lui. Je suis venu m’asseoir près de toi et j’ai pris ta main. En sentant ses caresses qui maintenant s’attardaient de plus en plus sur tes fesses, ta main s’est resserrée sur mes doigts.
Pour pouvoir te masser le dos, il a demandé de retirer la serviette de ton corps en me regardant. Tu as alors acquiescé du regard en te retournant vers lui et le scrutant, peut-être en imaginant la suite, peut-être pas.
Toujours allongée sur le ventre, tes fesses étaient maintenant à sa vue, à sa portée. Je suis sur que son regard avait alors déjà pénétré plus loin dans toi, maintenant qu’il avait une vue plongeante sur ton intimité. En reprenant ta position tu as écarté un peu plus tes jambes, ta fente s’est alors ouverte d’avantage, découvrant aussi ton petit trou.
Sans s’arrêter, ses gestes se sont alors portés sur ton dos et tes épaules.On ne sentait plus la chaleur moite de la pièce, nos regards se portaient sur ton superbe corps qui commençait à s’abandonner. Tes yeux fermés, tu te laissais maintenant faire, tu laissais le plaisir commencer à t’envahir.
Une main toujours sur ton dos, l’autre s’est alors égarée sur ta croupe et à glissée le long de ta raie. Tu as tressaillis. Les bourgeons de tes seins on durcit, en même temps que tu t’es un peu plus cambrée pour l’accompagner. Les dés étaient jetés, tu allais te faire baiser. Son regard sur moi, il commençait maintenant à fouiller un peu plus ton intimité, ses doigts pénétrants petit à petit ta chatte, caressant ton clitoris.
Tu as retourné ton visage vers moi, m’a lancé un regard hésitant, entre reproche et satisfaction. À partir de ce moment, ton corps s’est offert à nous. Tu étais livrée à nos désirs, tu allais assouvir nos fantasmes, notre envie de sexe.
Ta main a fouillé et ouvert mon pantalon, tu as sorti ma queue et approché ta bouche. Tu as léché mon gland décalotté, et l’a aspiré mon pieux au plus profond dans ta gorge. L’homme a alors abandonné son rôle de masseur et entrouvert plus largement ta chatte maintenant trempé de plaisir. Tu t’es retournée sur le dos pour lui offrir la vue de tes seins et de ton intimité offerte. Il s’est déshabillé, et sommes restés ébahis par l’imposant calibre qui jaillit de son boxer. Il s’est approché nu du lit, et sa langue à commencer à fouiller ton chatte, tu gémissais de plaisir en continuant à me sucer la queue. Je caressais tes seins en regardant ta chatte s’offrirr à sa bouche. Une de tes mains sur moi, tu as posée l’autre sur sa tête pour que sa bouche se presse plus fort contre tes lèvres, pour que sa langue pénètre plus loin et plus profond en toi.
Nous étions maintenant tous les trois nus, et prêts au plaisir, prêts au sexe.
Tu malaxais ma bite entre tes mains, tu caressais son corps sans oser toucher à cette autre queue tendue. Je t’ai embrassée longuement, l’ai vu fouiller ta chatte, toucher tes seins, ouvrir tes fesses, y glisser un doigt.
Maintenant, plus d’odeur, plus de chaleur, le temps n’existait plus, n’existait que le plaisir des corps se rapprochant, les mains parcourant le tien, et ses sublimes formes. Il m’a demandé, l’autorisation de t’embrasser, j’ai acquiescé avec gourmandise, et tu n’as pas refusé.
Il a approché sa bouche de tes lèvres, tu as ouvert les tiennes, et sa langue s’est enroulée autour de la tienne. Pendant que vous vous embrassiez. Je me suis levé et j’ai ôté le reste de mes vêtements. J’ai approché ma queue de ta chatte trempée de mouille et de salive, et je me suis enfoncé dans toi.
Il t’embrassait toujours quand ton corps s’est mis à accompagner le mouvement de tes fesses. Il s’est redressé et tu as commencé à toucher sa bite, la prendre entre tes mains et la glisser dans ta bouche.
Goulûment tu l’as léché et sucé, sa queue était devenue très dure. Je suis sorti de toi et pendant qu’il glissait un préservatif le long de sa hampe, et je t’ai embrassée. Ta bouche avait pris le goût de son calibre, de sa salive, mon excitation augmentait. Je l’ai regardé alors te pénétrer, enfoncer son engin dans ta chatte, de donner des coups de boutoir sans fin. Je t’ai entendu alors gémir de plaisir, pousser ta chatte vers cette queue qui te baisait, accompagner ses coups par le mouvement de tes fesses. Je suis sûr que nous avons passé des heures à te baiser l’un après l’autre, je suis sur que tu as sucé nos queues pendant des heures, l’un après l’autre. Je suis sûr qu’il a jouit cinq ou six fois pendant cet après midi, tandis qu’elle hurlais autant d’orgasmes. Je l’ai vu remplir un tas de préservatifs de sperme au fond de ton ventre, épuiser le stock, je l’ai vu revenir la hampe nu et dure pour te donner encore du plaisir. Chaque absence me laissait le chemin de ta chatte, j’en profitais pour te prendre, je ne te laissais pas de répit, ton ventre est resté rempli par une bite sans arrêt. Pendant une de ses absences, tes fesses se sont ouvertes à moi, et ma queue a pénétré ton petit orifice. Tu as tendu encore plus ta croupe et gémit encore plus fort. Quand il est revenu, j’ai dû laisser la place, pour qu’il te prenne encore l’homme à vu le changement et à glissé sa main dans ta chatte pour te branler. Ses doigts dans ton sexe accompagnaient les mouvements de ma bite dans ton œillet.
Étrangement, je n’avais pas encore éjaculé, malgré la jouissance que me procurait la situation. Je me suis allongé sur le lit, tu t’es empalée sur mon pieux bien raide, et tu as commencé à te balancer. L’homme nous as observé un moment, et quand tu t’es penchée pour m’embrasser, remontant ainsi tes fesses, découvrant ton œillet dont j’avais préparé le chemin, il s’est approché et à pénétré ton petit trou. Ton corps s’est tendu sous la jouissance, tes mouvements de hanche se sont fait plus ondulant, tu offrais en cadence tes deux orifices, quand l’un entrait, l’autre se retirait, je ressentais en toi, le frottement de sa bite au fond de petit trou, tout l’espace était remplie de chair mâle.
L’odeur de sperme se mêlait maintenant fortement à toutes les autres odeurs. Je ne sais plus si ce moment à duré une éternité ou quelques minutes. Je me souviens seulement de tes cris de plaisir qui s’échappaient de ta bouche, quand tu atteignais l’orgasme. Je me souviens que ma queue a croisé au fond de ton chaud fourreau, la queue de l’autre éjaculant encore dans ton petit trou. Je me souviens de ne pas avoir pu retenir mon sperme jaillir et inonder ton chatte. Je me souviens que ton corps s’est soudain relâché et effondré sur moi.
Je me souviens que le masseur inconnu à retiré son mandrin de tes fesses, regardé ton intimité offerte et largement ouverte, ta chatte encore rempli par mon fifre d’où s’échappait maintenant des coulées de sperme chaud. Je me souviens qu’il a retiré pour la dernière fois son préservatif rempli encore une fois de son sperme. Je me souviens, qu’il est allé se laver et s’habiller pendant que tu étais encore sur moi.
Je me souviens qu’il nous a dit au revoir nous laissant nus et fatigués. Je me souviens que nous avons pris une douche ensemble sans un mot. Je me souviens que je t’ai embrassé et que je t’ai dit je t’aime. Je me souviens que tu avais l’air comblée. je me souvient que nous sommes sortis et allés au spectacle, suivant ainsi notre programme.
Je me souviens, et je bande encore.
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