réunion de famille.

Récit érotique écrit par mazaudier le 24-01-2024
Récit érotique lu 932 fois
Catégorie Infidélité

Ce week-end nous fêtons, Hervé et moi, Sandrine, nôtre première année de mariage. Quelques invité, la famille, et Marc, le meilleur pote de mon mari, célibataire.

Je me souviens e ce qu’il c’était passé l’année dernière. Sachant que j’avais passé ma nuit de noces à écouté ronfler celui qui venait de devenir mon mon mari, Marc m’avait fait une proposition des plus indécente. Il voulait que je lui taille une pipe.

De colère, je l’avais menacé d’en parler à mon mari, s’il n’arrêtai pas de me harceler.

Mais Marc ne m’avait pas lâché de tout le repas, à tel point, qu’après la déception de ma nuit de noces, cette proposition prenait corps dans ma tête. Je m’imaginais en train de lui sucer la queue. Je me demandais si je n’allais pas succomber à ses avances, tant le feu de cet nuit, se consumait encore au creux de mon ventre.

Vers dix huit heures, quand les invités étaient partis, et qu’Hervé ramenait ses parents, je ne me le demandais plus...ma décision était prise. J’allais avoir dans ma bouche, une queue qui ne serait pas celle de mon mari.

C’est comme cela que je m’étais retrouvée à genoux, en train de faire une fellation à Marc. Pire, j’avais tout avalé sans laisser une goutte, allant même jusqu’à nettoyer le gland avec ma langue. Cette faveur, c’était à Hervé qu’elle revenait...mais l’alcool…

Marc avait été tout surpris, quand je lui dit que j’en voulais encore. C’est moi-même qui avais saisi la bite, pour la reprendre en bouche. Tout dans le suçant, j’avais soupesé les couilles du pote de mon mari.

Marc avait joui très vite, vidant sa semence par jets puissant au fond de ma gorge, que je me faisais un plaisir d’avaler à nouveau. Je lui avouais que c’était la première fois que je suçais une bite, et avalais du sperme. Je lui demandais que ça reste entre nous.

Une année est passé. Aujourd’hui, Hervé et moi fêtons nôtre première année de mariage. Les mêmes invités, et Marc, toujours célibataire.

Je croise souvent son regard coquin. J’y découvre du vice au fond des yeux, et le soupçonne de préparer quelque chose, qui ne peut être qu’à mon égard. Mais cette année, j’ai bien l’intention de ne pas tomber dans un quelconque piège de se séduisant dragueur.

Le repas tire à sa fin, et je commence à débarrasser la table, pour mettre les assiettes à dessert. En remplissant le lave vaisselle, je sens une présence derrière moi.

- Tiens, tu es venu pour m’aider? Dis-je.

- Plus que ça, répond-il, j’ai un deal à te proposer.

- Oh là...lequel. Tu vas me sortir un coup comme l’année dernière.

- Non, cette année...heu...j’ai envie de de bouffer la chatte.

Sans un mot, je tourne les talons, et rejoins les invités. Mais Marc n’arrête pas de me tourner autour, tente de me séduire, malgré la présence d’Hervé. Il me sourit, sort et rentre la langue, pour mimer ce qu’il ferait à mon clitoris. Je suis déstabilisé, cherche mon mari du regard, pour éviter celui de Marc, mais aussi, pour résister à son appel.

En débarrassant les couverts, Marc se lève, et me rejoint à la cuisine.

- Tu veux quoi encore…

- Rien de plus que ce que je t’ai proposé...manger ta chatte, sucer ton clito.

- C’est hors de question...arrêtes avec ça, ou j’en parle à Hervé.

Marc sait très bien que je ne parlerai jamais de àa à mon mari. Imaginez le scandale.

- Juste le caresser alors...tu quitte ta culotte, et je te mets un doigt vite fait…

- Mais tu es fou, demande moi de baiser avec toi, quand tu y es.

- Non, sourit Marc, seulement si tu me supplies de le faire.

- Alors là, tu peux toujours courir…

Marc quitte la cuisine, en espérant que je réfléchisse, et que j’accepte sa proposition.

Pendant le dessert, les idées les plus folle circulent dans ma tête. Je m’imagine appuyée sur le plan de travail, jambes écartées, en train de me faire pénétrer la chatte par ses doigts, ou allongée sur la table basse à se faire aspirer le clito, m’offrant ainsi le plaisir que on mari ne m’a jamais offert.

« Mais qu’est-ce qu’il m’arrive, c’est du n’importe quoi ?» Pensais-je.

Mais c’est le corps qui commande, et un feu intense se consume au creux de mon ventre, comme l’année dernière. Je n’en peut plus, je vais flancher, me soumettre.

- Bon, c’est pas tout, dit Marc, mais il faut que j’y aille.

- A bon, déjà, dis-je. Je pensais que tu m’aiderais à débarrasser. Hervé va ramener ses parents, et vais me taper le travail toute seule.

- OK...vite fait.

Si ça, ce n’est pas une invitation, ça lui ressemble, et Marc l’a très bien compris.

Une fois tout rangé, je vais prendre une douche, demande à Marc de m’attendre pour prendre un dernier verre. J’en profite pour peaufiner l’épilation de ma chatte, que je n’avais pu faire le matin. J’enfile un peignoir sans rien dessous, et rejoint Marc au salon.. Celui-ci est appuyé au bar. Je m’avance vers lui, ouvre mon peignoir et le laisse glisser au sol. Je me retrouve entièrement nue, mon sublime corps offert à la vue du meilleur pote de mon mari.

Marc me prend par la taille, caresse mes hanches, puis plonge son visage entre mes seins.Une main descend entre mes cuisses. Il peut sentir la fraîcheur de la douche, la douceur de ma chatte entièrement épilée. Je fléchis sur mes jambes, cambre mes reins en arrière. Un doigt ouvre légèrement ma fente, jusqu’au clitoris qui dort dans son nid douillet, et qu’il commence à exciter avec son majeur. Je passe mes bras autour de son cou, pose ma tête au creux de son épaule. Je sens le doigt tourner sur mon petit bouton, et lâche un long soupir quand deux doigts pénètrent ma chatte.

- Hum...salaud…

Marc doit sentir mon souffle s’accélérer dans son cou, il sait que j’adore ce qu’il est en train de me faire. Il doit même se demander si Hervé arrive à me satisfaire au lit.

Je me déhanche sur les doigts qui me fouillent, tandis que d’une main plaquée sur mes fesses, Marc rythme mes coups de reins. Je me retiens, veux retarder l’échéance.

- Tu aimes quand je gratte ta petite chatte, hein ?

- Oh oui...comme toutes les femmes...Hervé lui, sait pas faire…

- A bon...pourtant, ce n’est qu’un doigt. Il suffit de bien décalotter la petite pastille, et faire tourner son doigt dessus. C’est simple...et il sait pas faire ça ?

- Arrêtes enfoiré...tu m’excite de dire ça...tu vas me faire jouir...ça y est...je jouis...oui...

L’orgasme surprend Marc de par sa puissance, et son incroyable durée.

Je me recule, lui prend la bouche, et lui donne un sulfureux baiser.

Pendant que ma chatte évacue le surplus de cyprine, le majeur de Marc taquine mon petit trou qui, sous la pression, commence à se dilater. Marc est surpris par ma réaction. Il enfonce un doigt, et m’emmène telle quelle au salon. Je me laisse pousser par cet intrus qui s’enfonce de plus en plus. Marc m’oblige à m’allonger sur la table basse, jambes écartées pendant de chaque côté, dans le vide.

Ça y est, il le tient son fantasme, il peut s’amuser avec ma chatte, propriété d’Hervé.

Sans un mot, il enfouit son visage entre mes cuisses.

- Qu’est-ce que tu vas me faire ?

- Ce que j’ai dit, te bouffer la chatte.

Je lâche un soupir quand la langue lèche mes lèvres intimes. Je ferme les yeux,

me prend les seins que je masse, fait rouler les bouts entre mes doigts. La langue de Marc remonte vers le haut de ma fente. Deux doigts décalottent mon clitoris, qui disparaît aussitôt, aspiré par les lèvres de Marc. Puis c’est autour du majeur de finir le travail, en faisant des mouvements circulaires sur le petit organe. IL ne m’en faut pas plus pour atteindre l’orgasme, le deuxième, dans un hurlement de plaisir.

- Oh...Marc, salaud...qu’est-ce que tu fais à ma petite chatte...oui...je jouis encore...oh putain, que c’est bon.

Marc se retire, il n’a même pas le temps de rattraper, tandis que, prise de spasmes, je tombe de la table. Je me tords comme un ver sur la moquette, une main caressant, pénétrant ma chatte, une autre malaxant mes seins. Je suis devenue hystérique.

- S’il te plaît...baises moi... je t’en supplie, j’ai trop envie…

- Tiens donc...tu me supplies de te baiser...j’avais gardé ça pour l’année prochaine.

- Oh non Marc, ne me fais pas ça...s’il te plaît, mets moi un coup de queue.

- Demande à ton mari quand il va rentrer.

- Non...c’est ta bite que je veux...elle est plus gosse que la sienne...je ferais ce que tu voudras, tu pourras m’enculer si tu le veux...tu seras le premier, Hervé n’a jamais eu droit à ça...s’il te plaît Marc…

- N’importe quoi, répond Marc, tu ferais mieux de te reposer, tu as eu une rude journée.

- Non...reste s’il te plaît...regarde dans quel état je suis...je t’en supplie...baise moi..

C’est vrai que Marc m’a mis dans un sale état. Je rampe comme un serpent sur la moquette, essayant de l’atteindre pour lui mordre la queue. Marc doit s’apercevoir que c’est allé trop loin, et qu’il doit bien cette petite faveur, mais il ne veut peut-être pas baiser la femme de son pote, mais simplement jouer avec elle.

- OK, me propose-t-il. On fait un condensé de l’année dernière et de cette année. Tu me taille une pipe, pendant que je branle ta chatte...c’est un bon compromis ?

- Enfoiré… c’est un compromis qui t’arrange...tu veux que je te taille une pipe, pour vider tes couilles dans ma bouche ? D’accord...tu ne me laisses pas le choix.

Marc tombe à genoux, la bite en érection. Sans hésiter, il l’a plonge dans ma bouche, puis s’occupe de ma chatte, débordante de mouille.

Dans l’état ou je se trouve, il lui faut peu de temps pour jouir. Je me cambre à l’aide des mes pieds, tend ma chatte aux doigts qui me branlent. j’atteins l’orgasme juste au moment ou Marc se vide dans ma bouche. J’avale tout.

Après avoir nettoyé le gland de mon amant d’un jour, je me mets à genoux, le visage enfouit dans l’épaisse moquette.dans cette position, j’offre une vue imprenable sur ma chatte et mon petit trou. Marc ne peut résister, quitte à trahir son meilleur copain. Il se place derrière moi, la queue entièrement décalottée, et pénètre ma chatte.

- Ah, ça y est...depuis que j’attendais ce moment...vas-y mon chéri, fais toi plaisir, fais moi jouir encore...oh putain, ça c’est de la queue...ça fait du bien de sentir une autre bite que celle de son mari, surtout quand elle est plus travailleuse.

- C’est vrai, geint Marc, c’est bon de baiser la femme de son meilleur pote...surtout quand c’est une grosse salope...et elle dirait quoi si je la sodomiser.

- Vas-y...tu vois pas que j’attends que ça...défonce moi...je veux savoir…

Je serre les dents quand la queue de Marc dilate son petit trou. Petit à petit, j’accepte l’intrus qui me sodomise, je ressens un énorme plaisir, finis par atteindre un terrible orgasme qui résonne dans le salon.

Nous nous se séparons sur un torride baiser, juste au moment ou mon mari gare sa voiture dans l’allée. Marc quitte la villa par la porte de service.

Je ma précipite à la salle de bains. Je réfléchis à l’attitude à adopter après cette in fidélité, qui n’est pas la première, même si l’on dit que sucer n’est pas tromper.
















J'aime 7
24-01-2024 0 932

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par mazaudier

Settings