J'étais là, me regardant dans le miroir. J'y voyais une femme mariée de trente-neuf ans, mère d'un fils de dix huit ans et femme d'un époux aimant.
C'était une bonne image, qui ne me causait aucun préjudice à la femme que j'étais encore il y a peu. Je mesurais un mètre soixante dix, pour cinquante huit kilos, ma poitrine était ronde et bien ferme, mes longs cheveux blonds cascadaient sur mes épaules, ma bouche était pulpeuse et sensuelle.
La femme que je regardais dans ce miroir semblait être une femme fidèle, et elle l’était. Et voila que maintenant c'était une salope, le jouet sexuel de jeunes gens. Je baissais la tête en me remémorant comment cela était arrivé.
Romain, mon fils âgé de dix huit ans, fréquentait l’université d’état, et était revenu à l’occasion des vacances de printemps. Au moment de repartir, il reçut un coup de fil de son copain, lui disant que sa voiture était en pane, et qu’il fallait trouver une solution pour regagner l’université.
Mon fils, affolé, me demanda si je pouvais les mener. Mon mari venait juste de partir à l’aéroport, Je n’avais pas le choix, mais ce qui me dérangeait le plus, c’est qu’il fallait se taper trois cent kilomètres. J’aurai leur compagnie à l’aller, mais me retrouverai seule pour les trois heures de trajet du retour, et de plus, de nuit.
Je démarrais vers seize heures, et avec mon fils, partons chercher ses trois potes. Brandon, Enzo et Lucas.
Le trajet se passa dans une bonne ambiance, fait de chanson et de blagues.
Il était vingt heures quand je déposais les jeunes au campus, ou ils avaient une chambre universitaire. J’embrassais Romain, saluais les autres.
Enzo était le dernier à sortir de la voiture, et m’interpelle.
- Une minute, madame...Brenda. J’ai quelque chose à demander aux copains.
Quelques minutes plus tard, Enzo revient accompagné de mon fils. Ils me disent qu’ils se sont cotisés pour me payer une chambre pour m’éviter à rouler de nuit. Je trouve l’idée excellente. Comme mon mari est absent, ça me permettais de me reposer pour ce long retour.
Pour l’instant, ils ont décidés de m’emmener dîner. On y trouvait un juke-box, une piste de danse, une fois restauré chaque gars voulut faire une danse avec moi.
Bien sûr je n'aurai pas du céder à leur demande, mais en compagnie de mon fils, je me sentais totalement en sûreté.
Nous sommes allés danser après avoir vider deux, trois pichets de bières .Le restaurant se trouvait hors du campus c'était un endroit fort convivial, on y servait
des pizzas et des bières aux jeunes qui le fréquentait.
Je me sentais bien, tout aussi détendue que les cinq jeunes.
Après quelques tours de piste, ils commencèrent à me serrer de plus près en dansant. J'aurai du me fâcher à cet instant, mais je ne le fis pas, j'étais de bonne humeur et pour être honnête, flattée de cette particulière attention que me prêtait ces jeunes gens.
En outre, Je me trouvais en compagnie de mon fils Romain et je savais que ses copains n'oseraient pas aller trop loin en sa présence.
Les jeunes commandèrent une quatrième tournée de bière, je leur dis que j'avais assez bu et que je voulais regagner ma chambre d'hôtel.
Enzo objecta.
- Finissons d'abord nos pichets, puis on s'en ira! ....
J'avais à peine bu la moitié de ma chope que je commençais à me sentir défaillir. Je dansais avec Enzo, j'étais éméchée, et chancelais en dansant.
- Ouah, Brenda, je crois que vous avez un peu trop bu de bière ce soir. Il vaudrait mieux qu’on vous ramène à vôtre l’hôtel...
Je dus lui répondre que c'était une bonne idée, mais je ne suis pas sure de mes souvenirs. Les choses sont moins claires ensuite, je ne me rappelle que de fragments de mémoires, une sorte de puzzle que je tente vainement de reconstituer.
Je me rappelle avoir eu les yeux braqués sur une grosse bite érigée sous mes yeux alors qu'on poussait ma bouche à son contact...
Je me souviens de flashs lumineux...des doigts pénétrer ma chatte. Je me rappelle la douleur créée par quelque chose qu'on insérait dans mon petit trou, et je me remémore avoir crié.
- Oh mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu........
Je me souviens surtout que trois ou quatre heures de ma vie furent mises entre parenthèses sans que je sache ce qui se passait.
Je réalisais ce qui s'était passé cette fameuse nuit que le lendemain matin, lorsque Enzo me fit visionner une cassette vidéo franchement porno, qu'il avait tournée avec sa caméra digitale.
Je m'étais réveillée avec quelqu'un collé contre mon dos, à moitié endormie. Je pensais que c'était mon mari et je me pressais contre son membre érigé.
Je le sentis se lover tout contre moi et j'écartais les cuisses pour livrer un meilleur accès à ma chatte à celui que je croyais mon mari.
il enfouit immédiatement sa grosse queue dans ma chatte enfiévrée.
- J'adore cette façon de se réveiller... s'esclaffa une voix triomphante, ce n'était pas la voix de mon mari .....
Je criais et m'écartais vivement de mon suborneur et me retournais pour voir Enzo, le copain de mon fils, qui me souriait ironiquement.
Dès que je le vis, le peu de souvenirs que j'avais conservé de ma nuit me revinrent en tête.
- J'aurai préféré que tu termines ce que tu faisais ma petite chérie, ma queue était si bien au chaud dans ta bouche. Avant que tu ne perdes ton temps en vains cris, je vais t'expliquer la situation dans laquelle tu te trouves, tu décideras ensuite si tu veux faire autre chose que hurler! ....
C'est alors qu'il me montra le film de cette nuit de stupre.
On m'y voyait une bite plantée jusqu'à la garde dans ma chatte, dans mon petit trou, dans ma bouche. Je m’offrais sans retenue, jambes grandes écartées on pouvait même m'entendre crier.
- Au prochain! .... Je veux une autre bite! ..... Que quelqu'un vienne me baiser, je vous en prie...je n’ai jamais fais tout ça avec mon mari...
Brandon, Lucas et Enzo participaient au tournage de cette vidéo, et il y en avait peut-être plus. Seul mon fils n’apparaissait pas.
Je n'avais aucune idée de combien d’entre eux m'avaient possédée avant que Enzo n'enregistre mon viol collectif..
- Pourquoi fais-tu ça Enzo? Je croyais que tu m'aimais bien...
- Çà dépend de ta définition du terme aimer Brenda. Tu es l'objet de mes meilleurs fantasmes depuis que suis assez grand pour me branler. J'ai vu l'occasion de te posséder lors de ce voyage et j'ai sauté dessus.
- Mais pourquoi tous les autres ?
- Pour améliorer la qualité de la vidéo. Il te sera plus difficile de nier cette vidéo, que si l'on était que nous deux! .....
- Nier cette vidéo? Mais jamais tu n'oseras la montrer à qui que ce soit, j’espère.
- Je ne t'ai jamais entendu dire non au cours du tournage. Tout ce qu'on entend c'est ta voix supplier...écoute...
« Je vous en prie baisez-moi...Faites moi jouir...une autre bite... Encore ».
Ce sera ta parole contre la mienne et la vidéo confortera mes dire…
- Tu sous-entends que je ferai mieux de me taire, et qu'ainsi personne ne verrait cette foutue vidéo.
- Pas tout à fait madame Brenda, je veux obtenir un peu plus de toi.
- Que veux-tu dire? ....
- Je veux dire que désormais t'es ma copine, mon nouveau jouet sexuel.
- T'es malade? ....
- Non, tout simplement c'est moi qui a le contrôle de la situation. Nous avons drogué Romain pour l'écarter de notre chemin. Il se réveillera dans deux bonnes heures avec une gueule de bois carabinée... Imagine qu'il sorte de sa chambre et voit ces photos de toi sur le placard dédié à l'affichage journalier. Imagine la tête de ton mari lorsqu'il recevra une enveloppe délivrée à son bureau contenant ces photos de toi en train de sucer des bites…Tout ce que tu as à faire pour que ta vie ne bascule pas dans le scandale c'est de continuer à t’offrir. Ça ne devrait pas être bien difficile. Tu ne me verras que lorsque je passerai à la maison, un ou deux week-ends par mois…
Il pénétra dans la salle de bain, je restai figée devant la vidéo que continuait à diffusait la caméra, si je parvenais à m'en saisir c'en serait fini de son chantage.
Je ne pouvais pas me permettre de voir ces photos et cette vidéo apparaître au grand jour. Enzo avait entièrement raison.
Je devais me plier aux volontés d’Enzo tant que je ne trouverai pas le moyen de me tirer d'affaire, j'y réfléchirai calmement lors de mes trois heures de trajet pour rentrer à la maison.
Lorsque Enzo revint dans la chambre il me demanda ce que j'avais décidé. Je ne pus que lui répondre que je n'avais pas vraiment le choix.
- En fait, tu n'as effectivement pas le choix, et maintenant montre-moi ta bonne volonté. Suce-moi la bite! ...
Je n'avais pas d'autre choix que d'accepter, et je le savais pertinemment. J'ouvris la bouche en grand et il engouffra sa grosse bite en érection entre mes lèvres accueillantes.
Je n'avais qu'une envie, fuir cette chambre d'hôtel et le seul moyen d'y parvenir était de me presser de satisfaire les envies d’Enzo. Cela sous-entendait que je devais lui faire une excellente pipe afin de me libérer momentanément de lui.
Je léchais sa bite avec cœur, le branlant lascivement d'une main habile, alors que de l'autre je lui palpais tendrement les couilles, il semblait adorer ce traitement.
Il posa sa main sur ma nuque alors que j'allais et venais sur sa hampe tendue, l'enfouissant jusqu'au fond de ma gorge.
Il se mit à gémir, je serrais fermement mes lèvres sur sa queue et augmentais le rythme de ma fellation
- Oh oui... grogna-t-il...Comme ça...Juste comme ça...J'adore! ....
Je sentis ses bourses vibrer entre mes doigts, je sus alors qu'il ne tarderait plus à éjaculer, j'étais prête à affronter cette épreuve.
Je tentais de tout avaler, quelques filets glaireux suintaient des commissures de mes lèvres pour venir s'étaler sur son menton.
Je sentais sa bite se ramollir entre mes lèvres, je voulus me retirer mais il me retint autoritairement.
- Continue de me sucer ma chérie...Fais moi bander à nouveau, je veux te baiser une dernière fois avant ton départ.
J'en aurai pleuré, je voulais fuir loin de cette chambre et de lui. Il tenait ma tête à deux mains et faisait lentement coulisser sa bite dans ma bouche révulsée, bien vite je sentis sa queue se déployer à nouveau.
Il me repoussa sur le lit, m'écarta les cuisses en grand et m'enfourcha. J'étais en son pouvoir et il le savait. Je devais me soumettre à ses assauts, mais je n'aimais pas cela. J'étais déterminée à rester étendue sous lui sans mouvement espérant qu'il préférerait se branler plutôt que de baiser un corps inerte, qu'il me laisserait tranquillement quitter cette pièce.
C'est alors que mon corps me trahit. Je haïssais cela, mais mon corps répondait aux assauts fiévreux d’Enzo.
Il tendit les mains et agrippa mes fesses, les remonta sur lui alors qu'il m'empalait sur sa grosse bite tendue, je sentais mon bas ventre s'embraser, des vagues de plaisir se répandant dans tout mon corps.
Je grognais et pressais mes hanches contre son bas-ventre. Je me retrouvais sur le point de jouir, je criais.
- Baise-moi putain, enfonce ta bite plus profond…
Je verrouillais mes chevilles sur ses fesses, alors que mes ongles griffaient son dos. Je haletais comme une chienne en chaleur quand un puissant orgasme me terrassa.
- T'es vraiment une chaude salope ma petite chérie....Et je sais maintenant où se trouve ton point G.
Il se retira de moi et je le suppliais presque de revenir en moi, alors qu’il me faisait rouler sur le flanc, et trait mes genoux en arrière.
- Je sais comment tu réagis quand on te sodomise ma petite chérie.
Et il pressa son gland contre mon œillet frémissant. Tant de bites s'étaient enfoncées entre mes fesses cette nuit qu'il me pénétra aisément.
J'adorais me faire enculer, mais n'y parvenait que rarement, mon mari détestant cette pratique, mais ce jeune gaillard m'enculait énergiquement, c'était là une bien petite vengeance.
Enzo me sodomisait vigoureusement, et bien que je haïsse cela je m'écriais.
- Oh mon Dieu, encule-moi, baise-moi le trou du cul, encore plus profond...
Enzo continuait à marteler mon petit trou, plongeant de plus en plus dans les profondeurs de mon ventre le feu se ralluma, alors qu’Enzo se régalait. Je hurlais de plus belle.
- Bordel encule moi à couilles rabattues...Fourre-moi…
Mon corps tout entier soubresautait alors que je rebondissais d'orgasme en orgasme. Enzo grogna et grommela :
- Ça y est... je jouis. Je me vide les couilles dans ton trou..
Ma tête était enfouie dans un oreiller, de grosses larmes ruisselaient sur mes joues alors que je réalisais ce qui venait de se passer.
Je détestais cela, mais j'avais donné à Enzo tout le plaisir qu'il réclamait de mon corps et ce qui était pire encore, j'avais moi aussi pris du plaisir..
Mais ni pendant le voyage de retour, ni pendant les mois qui suivirent, je ne trouvais de solutions à mon problème.
La seule idée que j'avais, était de tout raconter à mon mari, et de voir sa réaction, et ce qu'il ferait des ces infâmes informations, mais je ne parvenais pas à m'y résoudre. Je savais que si je lui révélais mon épreuve, il se demanderait dès lors si son épouse était une malheureuse victime d'un chantage, ou si en fait c'était une fieffée salope.
Trois semaines s'écoulèrent avant que Enzo revienne passer un week-end chez ses parents. Romain était resté dans sa fac et mon mari, grand amateur de golf, n'avait d’autre envie que de faire dix huit trous le samedi et le dimanche lorsque le temps le permettait.
Enzo le savait comme tous les gens qui connaissaient mon époux, la voiture avait à peine passée le virage au bout de la rue que déjà Enzo toquait à ma porte.
Sans un mot je me reculais pour le laisser entrer, sans dire un mot il me saisit la main et m'entraîna dans la chambre conjugale.
Je retenais mes larmes et le suivis docilement, puis je le regardais se déshabiller et s'installer à plat dos sur mon lit.
- Si nous commencions par une petite pipe ma chère Brenda? ....
Je me tenais devant lui, les yeux rivés sur son érection, je me dégoûtais de penser que si je lui donnais suffisamment plaisir il me prendrait peut-être par le petit orifice, avant de partir.
Je lui fis la meilleure fellation que je pus, avalais toute sa semence, et continuais à le sucer le temps que sa bite reprenne une raideur de bon aloi. Je m'installais à quatre pattes l'invitant à opérer d'un signe de tête. Il sourit et commenta hilare.
- Ne te casses pas chérie, je me suis programmé une petite virée, mais je ne partirai pas tant que tu ne m'auras pas supplié de te baiser, maintenant allonge-toi.
Je roulais sur le dos écartais mes cuisses en grand dans l'attente de son assaut.
Je voulais le satisfaire pleinement dans l'espoir de me faire enculer avant son départ. Je ne pouvais m'en empêcher bien que je détestas, ce que je faisais et ce dans le seul espoir qu'il plante son épieu dans mon petit trou.
C'était vrai, mais comme de toute manière que j'aime ça ou pas, Enzo allait me baiser copieusement et j'étais prête à le supplier de me sodomiser ensuite.
Il me baisa longuement, je suçais à nouveau sa bite pour la ranimer, je quittais alors le lit saisissait une bouteille de lubrifiant et revenais m'allonger en la tendant à Enzo pour l'inciter à m'enculer.
Je criais et le suppliais de me bourrer le petit orifice jusqu'à ce que je rebondisse d'orgasme en orgasme, tandis qu'il me remplirait les intestins de son sperme.
Le pire c'est que j'espérais déjà qu'il revienne rapidement se servir de cet orifice qu'il comblait si bien.
Pendant ce dernier trimestre de classe, Enzo revint chez lui au rythme de deux week-end par mois, si le temps était bon il me possédait vigoureusement dans le lit conjugal, si le temps était mauvais, et que mon mari restait à la maison ou quand Romain était là, Enzo me faisait prendre une chambre dans un hôtel, il ne me restait plus qu'à trouver une excuse pour quitter la maison et le rejoindre.
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