Vendredi 26 janvier, je rentrais plutôt que d’habitude, ma femme était déjà là .
Je fus surpris de l’avoir habillé très sexy, me rapprochant de ma femme,( Alicia, jolie métisse dominicaine avec qui je suis marié depuis plus de 10 ans)
je senti un parfum inhabituel, sur le moment, je n’y prêta pas attention, lui demandant, si elle avait passé une bonne journée, elle me répondit un simple oui, fuyant mon regard, gêné, incommode.
Puis, elle trouva une force intérieure et me demanda de m’assoir sur le canapé et d’ouvrir grand les oreilles.
D’une voie monocorde elle m’a dit :
Nous sommes enfin à égalité, aujourd’hui, j’ai eu ma vengeance, je t’es rendu la monnaie de ta pièce.
Quelques mois auparavant, je l’avais trompé avec une de ces amies, nous nous étions pas quitté, cependant , elle m’avait prévenu qu’elle se vengerait
Ne me laissant pas le temps de me remettre les esprits en place, elle s’approcha et me lança.
Tu vas me nettoyer partout où il est passé, elle se déshabilla complètement, appuyant ça main sur ma tête elle poussa mon visage sur ces seins, san ménagement. je veux que tu lèche ma poitrine,mes tétons…
je peu maintenant confirmer que le gars a bien joui dessus, un goût, très salé, me remonta au palet.
Tu sent bien son odeur sur mon corps, je les sucer comme une salope il s’appelle Fred.
Pas d’inquiétude mon cocu je t’aime et je ne vais pas te quitter ci-cela peu te rassurer il est marié.
Je dois vous avouer que malgré le fait qu’elle venait de me trompé l’excitation était à son paroxysme, je bandée comme un taureau en rut.
Je lui demandé de me raconter en détail…
j’étais mis fâché mis excité, je voulais absolument tout savoir, je ne sais pas pourquoi, c’était ainsi…
Alicia travaille dans le milieu médical , il y a environs une quinzaine de jours. Elle avait sympathisé avec le fils d’une patiente et de fil en aiguille, ils avaient fini par se lié d’amitié devant la machine à café.
Il Lui avait proposé en amont de se voir dans sa garçonnière et elle avait acceptée, Aujourd’hui, pour la première fois la femme était infidèle.
Elle m’a dit qu’il s’appelle Fred, marié la quarantaine avec un physique plutôt sympathique.
À peine arrivé à la garçonnière Fred l’avait embrassé.
Il l’avait dévêtu entièrement la caressant ardemment, puis á son tour Alicia avait pris son sexe épais en bouche, il gémissait de plaisir, la langue frottant son gland, léchant sa hampe, ces boules.
Il commença à dire à ma femme que c’était une bonne salope, une coquine et après quelque minutes. il se vida dans sa bouche san prévenir.
je demanda à Alicia si elle avait avalé, ça réponse fut immédiate … Ho que Oui…
Elle en avait éprouvé énormément de plaisir, le sperme coulissant dans sa gorge et dégoulinant sur ces seins. Puis Elle avait longuement nettoyé les gouttes qui avait coulé tout au long de sa verge.
Se reposant quelques minutes l’un sur l’autre, puis c’est ma femme qui l’avait attaqué, lui caressant l’entre jambes, retrouvant de la vigueur, Il demanda à ma femme, Si cela ne l’avait pas gêné qu’il l’a traite de salope, elle lui répondis que cela l’avait excité.
Il demanda a ma femme de se mettre à quatre pattes sur le lit, il mit sa bouche sur les parties intimes de ma femme lui bouffant littéralement ces jolies fesses, sa langue passait du petit trou à la fente et vice versa, Alicia prenant un plaisir fou, elle avoua avoir mouillait intensément.
il mit un préservatif et lui dit à l’oreille aujourd’hui t’es ma coquine et tu vas être bien salope.
Je vais te baisser comme tu le mérite, il frotta son sexe sur ça vulve dégoulinante de plaisir, puis doucement, il ouvrit la fente avec son sexe épais pas spécialement très long .
Il alternait avec des coûts rapide et lents ,Alicia gémissait de plaisir son amant debout sur le sol et ma salope de femme en levrette le cul en pôle position. Fred a fini par monter sur le lit, Alicia toujours à 4 pattes, il s’appuyât sur ces fesses et la démonta longuement en la traitant de salope, elle était rincé au bout d’un bon moment il s’arrêta, Alicia avait jouie plusieurs fois, elle pensa qu’il avait joui dans la capote… que san étais fini… Il n’en étais rien.
il mit ma femme en cuillère,se positionnant derrière, la traitant comme une chienne, claquant fortement sa main sur ces fesses, il lui mis deux doigt avec de la salive sur le petit trou, là, Alicia compris, qu’elle allait se faire sodomisé.
Bêtement je lui demandai si elle l’avait arrêté elle me répondit, NON .
je voulais être sa chienne être soumise…
l’amant enfonçât son large sexe dans le petit trou de ma femme puis lui cassa littéralement le cul, l’insultant et lui mettant de grosse fessés, Alicia hurlant de plaisir sous les coups de boutoir, il fini par lui dire, je vais arriver et j’ai envie que tu avale ma semence san en faire tomber une goutte, tu vas aimer ça, petite garce… Il sorti son sexe de l’anus, la rondelle éclatée,large et humide de plaisir, Alicia libre de ces mouvements s’empressa de prendre son sexe en bouche, Fred maintenu fortement la tête, pour gicler puissamment sa semence, elle goba goulûment le liquide chaud qui emplissait sa bouche.
Avant de se quitter il l’embrassa la remerciant pour cette parti de jambe en l’air.
Si tu as envie de te faire plaisir laisse un mots dans ma boîte à lettres, je relève le courrier tous les jeudis et je passerais te voir au boulot pour convenir d’un Rdv.
elle sorti de la rincée, le corps endolorie comme une sportife après un efforts, mais heureuse, elle avait pris son pieds et enfin obtenue ça vengeance.
Elle me fit lécher tous les passages de son amants, puis elle m’offrît son petit trou élargie et souple comme vous pouvez l’imaginer et oui un autre que moi y étais passer, une ou deux heure avant.
Elle m’a dit vouloir le revoir.
En bon cocu, j’ai accepté à une condition que je sois au courant de leurs Rdv, quelques jours avant et surtout qu’elle me face nettoyer tous les passages Sentir l’odeur de fin de parti fines, m’avait drôlement émoustillé.
…Lix…
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