J’en ai longtemps voulu à mon mari, de vouloir me forcer à des pratiques sexuelles que j’avais, à
ce jour, j’avais toujours refusées. Ce n’était pas dans ma nature de me partager avec un autre homme
et n’avais jamais envisagé que cela pourrait arriver un jour. D’autant que, sexuellement, tout ce passé bien dans nôtre couple.Tout s’est passé à mon insu, en partant en vacance avec des amis.
On partait dans un monospace, qui embarquait quatre potes. Sylvain, Rémi, Cédric, mon mari, et moi-même, Estelle.
Nous avions tous antre vingt cinq et trente ans.Sylvain et Rémi, étaient les meilleur potes de mon mari. Malgré nôtre mariage, les liens se sont renforcés, et ils ne m’ont jamais ma,que de respect.
On avait prévu de partir en début de soirée, quand la circulation serait moins dense, et la chaleur moins forte.
Les valises posées sur le lit, je passais mon après-midi, à préparer les bagages, quand mon mari sortit de la salle de bain, entièrement nu, la bite en érection. Il me propulsait sur li lit et sa vautrait sur moi. Étant encore en train de me préparer, je n’avais pas encore mis de culotte. Aussi, ce salaud n’eut aucune peine à me pénétrer. Je dois avouer avoir joui.
Votant mon état, il essaya de remettre au goût du jour, son fameux fantasme. Fidèle à mes idées, je lui dis de ne pas insister. En contre partie, il me demande de lui tailler une pipe, ce que, de par mon éducation, je n’ai jamais fait. Je pensais l’avoir convaincu, puisqu’il ne revint plus sur le sujet.
Après avoir chargé les bagages, nous décidons de partir vers vingt et une heures. Nous avions calculé qu’il y avait au moins six heures de route.
La chaleur est tombée en même temps que la nuit. Il faisait très chaud, même en tenue estivale. Je portais une petite robe légère à fleur, et Cédric, un bermuda.
Nos potes Sylvain et Rémi étaient devant, Cédric et moi installés à l’arrière. A peine deux kilomètres passés, que la main de mon mari remonte sur mes cuisses. Il était hors de question de me faire caresser, avec nos copains installés à l’avant. Finalement, il laissa tomber.
Après trois heures de route, j’avais du mal à suivre la conversation. Je me calais contre l’épaule de mon mari, et commençais à m’assoupir J’avais eu une journée chargée, entre le rangement de le villa, les préparatifs de départ, et pour finir, le coup de queue de mon mari.
Le roulement de la voiture me berçais, me plongeant dans un léger sommeil. J’étais contente de partir en vacances avec nos amis. On partais en Espagne, passer une quinzaine de jours.
Cédric ses laissa glisser sur la banquette, n’omettant pas, bien sûr, de faire une autre tentative sous ma robe. Je repoussais l’assaut, et posais ma tête sur son ventre. J’étais bien allongée comme ça, c’était très agréable.
Dans la nuit, je commençais à avoir un peu froid, il devait être une ou deux heures du matin. Je tirais ma veste sur mes épaules pour me réchauffer, les bras de mon mari faisant le reste.
Quelques minutes plus tard, la voiture fit une embardée, et s’arrêta sur une aire d’autoroute, pour faire le plein d’essence, et se dégourdir les jambes.
Je sentis aussi mon mari sortir, pour lui aussi faire une petite pause. J l’adorais, et je le trouvais beau sous la lumière des réverbères. « Et si je lui faisais une petite surprise », me disais-je.
Je me tortillais tant bien que mal sur le siège, ôtais ma culotte, et fis mine de dormir.
Cédric monta, me souleva la tête puis repris sa place sur la banquette. Je me laissais faire, à moitié endormie, et posais ma tête à hauteur de son sexe.
Après quelques kilomètres, je sentais sa queue prendre une autre dimension, pourtant, ce n’étais pas une caresse, mais un oreiller pour moi. Il devait prendre un certain plaisir à avoir ma tête au niveau de son entre-jambe. Je m’en rend compte, et pour montrer toute mon affection, je posais ma bouche sur son short, et commençais à simuler une petit pression sur sa bite, que je sentais grossir. Après quelques caresses bien soutenues, il posa sa main sur ma tête, et me caressa les cheveux. C’était très agréable, et me disais que les vacances allaient être super chaude entre Cédric et moi.
Après quelques mouvement, je sentais qu’il augmentais la pression sur ma tête, et les mouvements devenaient de plus en plus appuyés et rapides.
J’entrepris alors de glisser ma main dans son short, pour être en contact direct avec son sexe. Il se laissait faire, bien sûr, il n’attendait que ça. Je sentais sa queue sous mes doigts, je l’enveloppais pour bien la sentir dans ma main. Je sentais l’odeur de sa bite jusque dans mes narines. Une odeur très agréable. Il faisait des mouvements du bassin, pour m’annoncer son désir de le branler.
Dieux merci, heureusement que nous roulions de nuit. Personne ne pouvait se douter ce que je faisait à mon chéri. Mais pour assurer mon coup, je déplaçais ma veste pour cacher mon visage.
Cette sensation était très agréable. Je commençais à le branler, son membre devenait de plus en plus gros, de plus en plus dur. Je ne sais pas si c’était l’excitation de la situation, mais mon mari était hyper excité. J’avais sa queue qui était maintenant sorti de son short, et se trouvait au niveau de ma bouche. Je sentis alors une de ses mains parcourir ma jambe, et remonter sous ma robe.
Ces caresses étaient douces. Sa main atteignait mon entre cuisses, et il me parut hésitant et surpris, quand il s’aperçut que je ne portais pas de culotte. Sa main poursuivit son ascension, pour atteindre ma chatte toute mouillée. Il passa ses doigts sur mes lèvres intimes, et me pénétra de son majeur, qui n’eut aucune difficulté à entrer. Je serrais mes jambes pour maintenir ses doigts dans ma chatte.
Il me caressait divinement bien, ce qui habituellement, n’est pas son point fort. Je sentais un doigt exciter mon clitoris, un autre pénétrer ma chatte en ébullition. Il les enfonçait plus profondément en moi, à chaque va et vient. Il ne m’avais jamais caressé comme ça auparavant. Je sentais son autre main pousser ma tête vers sa bite, pour que je la prenne en bouche. Je n(osais le faire, de peur qu’on entende mes succions.
J’avais sa queue appuyée contre mes lèvres, et d’un simple pression de la main, il me força à les écarter. Je cédais, je dois l’avouer, assez facilement au désir de Cédric, mon mari. J’ouvris les lèvres, m’avança pour prendre son pieu en bouche.Après tout, sa queue était chez elle, installée bien au chaud. Je fus surprise de sa grosseur, dû à l’excitation, et l’engloutissais qu’à moitié. Cette situation était impensable, mais excitante à la fois. Je maintenais mes va et vient sur le mandrin raide de mon mari, et imprimais une fellation comme jamais il n’avait eu droit. Chaque fois que j’avalais sa queue, il cambrait son bassin pour venir au plus profond de ma gorge.
Je dois avouer que j’avais assez du mal d’engloutir son calibre entièrement. Il maintenait une caresse diabolique ma chatte, ou il avait ajouter un doigt supplémentaire. J’avais ma chatte ouverte, offerte à ses caresses. Je sentais son pouce caresser mon petit trou d’un mouvement circulaire. Ce même mouvement doigtait mon clitoris. Il sortis ses doigts de ma chatte, porta son puce à ma bouche, pour que je le lui lubrifie. J’arrêtais ma fellation, suça le pouce qu’il plaça aussitôt à l’entrée de mon petit orifice. Il replaça deux doigts dans ma chatte, commença progressivement à ouvrir mon petit œillet.
C’est à ce moment que j’atteins un terrible orgasme, que je ne pus malheureusement exprimer. Malgré le côté cocasse de la situation, mon mari chéri était parvenu à ma faire jouir.
Cette sensation était très agréable, et pour le lui prouver, j’accélérais ma fellation. Je sentais qu’il commençait à bouger son bassin plus rapidement, et me doutais qu’il commençait à prendre énormément de plaisir. Je malaxais ses énormes couilles, les faisais rouler entre mes doigts.
Une main rejoignais ma chatte pour m’apercevoir que ma mouille, mélangée avec ma cyprine, coulait entre mes cuisses.
Je repris mes caresses sure ses boules, avec ma mouille plein les doigts. Je descendais pour atteindre son petit trou, appuyais d’une façon régulière, pour sentir mon doigt pénétrer son petit orifice. Je savais qu’il aimait ça, mais là, je le sentais dans la retenue. Ce qui la fait stopper net ses caresses dans ma chatte. La présence de ses pote sans doute.
J’avoue m’en être bien sortie, et mon mari était vraiment excité, car il ne m’avait pas habitué à éjaculer autant. Au bout d’un moment, je sentais le calibre de mon mari diminuer. J’enroulais ma langue autour de son gland, le nettoyais, avant de le ranger dans son short.Il sortit ses doigts de ma chatte, les porta à ma bouche pour que je puisse les lécher.
Le résultat de mon plaisir avait un goût assez sucré, c’était pour moi, une première.
Je m’assoupis, l’estomac bien remplit du copieux nectar de mon mari. Je tombais dans un profond sommeil pour le reste du trajet, pensant à l’énorme et travailleuse queue de Cédric dans ma bouche.
Puis il appuya fortement sur ma tête, commença à envoyer de violente coup de reins. Soudains, il s’arrêta et je sentis déferler dans ma gorge de longs jets de sperme. Je sentais ses couilles se vider dans ma bouche. J’étais obligée de tout avaler, car la situation ne permettait pas qu’une goutte se perde sur la banquette à l’énorme et travailleuse queue de Cédric dans ma bouche.
L’aube commençait à pointer, j’avais passé une excellente nuit, courte mais excitante de par la surprise d’avoir tailler une pipe à mon mari, dans des conditions peu ordinaire. Je poussais vers le bas de mes jambes ma veste, pour voir Sylvain et Rémi à l’avant de la voiture. Soudain, je reconnus la chemise de mon mari, à la place du conducteur. Continuant de lever la tête, je m’aperçus que ce n’était pas Sylvain qui était au volant, mais Cédric, mon mari.Je ne comprenais plus. On ne s’était pourtant arrêté, depuis nôtre câlin dans le monospace. J’étais en pleine réflexion, quand, tout à coup, une pensée me vint à l’esprit. Mon mari avait remplacé Sylvain au volant lors de nôtre pause détente sur l’aire d’autoroute. D’un ton inquiet, j’interrogeais mon mari.
- Depuis quand as-tu remplacé Sylvain ?
- Depuis la pause que nous avons fait sur l’autoroute, pourquoi ?
- Et y t-il eu d’autres arrêts. ?
- Plus rien...nous nous somme arrêtés qu’une fois...on est presque arrivé.
Avec horreur, je me rendais compte que j’avais tailler une pipe à Sylvain. Je commençais à comprendre son excitation d’avoir ma tête contre son sexe, mais surtout d’avoir son imposante queue dans ma bouche. Je n(avais pas le souvenir que mon mari n’éjaculait aussi longtemps et aussi abondamment. Sylvain devait être aux anges et à profité de mon pseudo sommeil, pour se faire passer pour Cédric, mon mari, son pote. J’étais honteuse, je n’osais pas me relever pour voir le regard de Sylvain me dire « Merci » d’un simple coup d’œil. Il savait que je dormais, et avait pris la place de mon mari, et dans l’obscurité, je ne me suis aperçu de rien.
Arrivé pratiquement à la villa, je me suis redressée, et ai regardé Sylvain d’un regard assez froid. Il savait qu’il avait profité de la situation, et avait bien compris que pour moi, je taillais une pipe à mon mari. Je devais être rouge de honte. En voyant l’attitude de mon mari, je compris qu’il n’était pour rien dans cette histoire, que Sylvain avait lui même eu l’initiative de profiter de l’occasion qui lui était offerte.
On entra dans la villa, Rémi s’empressa de mettre l’électricité. Pendant que Cédric montait les bagages, je croisais le regard de Sylvain, qui n’osais me regarder, regrettant peut-être son erreur.
Il était tard, et pris par la fatigue du trajet, nous nous sommes couchés de bonne heure.
Le lendemain, par économie, Cédric et Rémi décide d’aller faire les course à la frontières, ou c’est beaucoup moins cher.
C’est pendant leur absence que Sylvain trappa à ma chambre, juste au moment ou je sortais de la salle de bains, simplement vêtue d’un peignoir.
Il s’approche de moi, en s’excusant de ce qui c’était passé. Malgré tout, il m’avouait avoir pris énormément de plaisir, et que j’étais une excellente suceuse. A ce moment là, je le haïssais d’avoir profité de la situation, mais reconnaissais moi aussi, avoir pris du plaisir, car ses caresses étaient divinement douces. De le voir torse nu devant moi, commençait à m’exciter.
Après mille excuses, que je jugeais sincères, il s’apprêtait à quitter ma chambre, quand je le retint par le bras.
- Attends, reste, ils en ont pour un bout de temps avant de revenir. Viens t’asseoir près de moi.
Sylvain s’approcha lentement, je décelais de l’inquiétude sur son visage. J’estimais que même une simple fellation était synonyme de tromperie. Rien que pour ça, je reconnus que pendant ce trajet, j’avais fait une infidélité à mon mari. Alors, pourquoi ne pas aller plus loin, satisfaire un désir qui brûlait en moi, depuis cette fameuse pipe. En plus, je ne pouvais chasser de mon esprit, cette queue qui coulissait dans ma bouche, et s’y vidait en abondance. Je pris Sylvain par le cou, et lui donnais un tendre baiser, qu’il prolongea avec plaisir.
On basculait sur le lit, enlacés. Je sentais son sexe frotter conte mon ventre à travers le peignoir. Calmement, il dénoua la ceinture, l’ouvrit. Il fut à peine surpris de m(y trouver entièrement nue dessous. Je reconnus ses doigts d’une incroyable douceur, parcourir mon corps. Celles là même qui m’avaient caressées et fait jouir pendant le trajet.
Elles remettaient ça, jouaient avec mes seins gorgés de désir, mes jambes, puis l’antre chaud de ma chatte, déjà bien humide. Je tirais sur l’élastique de son short, pour lui signifier de le quitter. Apparu alors l’objet de tout mes désirs, celui que j’avais devinais énorme dans l’obscurité de la voiture, alors qu’il baisait ma bouche, et y déposait sa semence.
Je le fis mettre sur le dos, pris sa bite en bouche, le chevauchais et m’empalais sur sa queue dure et raide. Puis je me positionnais pour me faire prendre en levrette, ma position préféré, mais que je vou
lais tester avec une autre queue que celle de mon mari. Je guidais moi-même la bite vers mes lèvres intimes. Délicatement, il avançait à coup feutrés dans ma chatte, pour s’y installer.
Les étreintes vont crescendo. La sensation de mes seins dressés qui s’agitent sous les coups de queues, m’excitent au plus haut point. Je sens ses mains avides de mon corps en chaleur, épouser les plis de ma peau. Les yeux rivés sur le lit, je me laisse aller à cette pénétration, dont les assauts torrides m’arrachent les premiers gémissements de plaisir. Face à moi, un miroir me renvois l’image d’une femme mariée, heureuse de connaître autre chose qu’avec son mari. Je sens Sylvain jubilait quand j’atteins un puissant orgasme. Et il est annonciateur d’une longue série.
Sylvain est un amant formidable, exceptionnel, débordant de créativité, loin des relations à la va vite de Cédric. Il se relève, présente sa queue au bord de mes lèvres. J’ai compris le message.
J’ouvre la bouche, engloutis la bite qui déjà éjecte sa semence au fond de ma gorge. Je le garde en bouche, voudrais que cette éjaculation ne s’arrête jamais, que j’en boive tout le contenu, jusqu’à ce que la source soit tarie.
Nous roulons sur le lit, enlacés, lèvres soudées dans un sulfureux baiser. Je suis épuisée, contrairement à Sylvain qui voulait poursuivre. Mais il se faisait tard, et Cédric et Rémi, n’allaient pas tarder à revenir.
Une fois que Sylvain se soit retiré, je remplis la baignoire. Mon corps repus avait besoin d’un bon bain, pour évacuer la fatigue de cette intense relation. Bien sur, d’un commun accord, on décidait de rien dire de cette aventure, pas plus que celle du trajet.
Le reste des vacances se passa normalement, faisant régulièrement l’amour avec mon mari, même si parfois j’imaginais que c’était la queue de Sylvain qui me pénétrer.
Les vacances se terminaient, et après avoir mis la villa en ordre, nous chargions les bagages. J’étais installée à l’arrière avec mon mari, l’échange de chauffeur se faisant entre Sylvain et Rémi.
Des idées coquines traversaient mon esprit. Je posais ma tête sur les genoux de mon mari, qui me conseillait de dormir un peu, que le trajet allait être long.
A peine assoupie que déjà mon esprit vagabondait sur d’autres découvertes. Un rêve ou mon corps inassouvi, réclamait que des mains me caresses. Je me voyais simplement vêtue d’un peignoir sur la banquette arrière en compagnie de Sylvain. Ses mains, avide de ma chair, parcouraient mon corps, de mes seins aux bouts dressés, jusqu’à ma chatte humide, faisant rouler mon clitoris entre ses doigts. Dans mon rêve, Rémi et Cédric étaient installés à l’avant, Sylvain et moi sur la banquette arrière.
Cédric qui était au volant, ne se doutait pas de ce qu’il allait se passer.
Sylvain s’approcha timidement de moi, ouvrit mon peignoir, découvrant mon superbe corps. Puis il ôta son short,et je pus découvrir les mensurations colossales de son sexe.
Je le connaissais bien pour l’avoir calibré dans l’obscurité de la voiture.
Nos étions enlacés, embarqués dans de savant préliminaires, de plus en plus précis, dont l’un d’eux m’emmena à l’orgasme. Puis Sylvain s’appuya au dossier de la banquette, me prit par les hanches, m’obligeait à le chevaucher. C’est là que pour la première fois, que je pus juger de l’impact de son calibre dans ma chatte. Car dans mon imaginaire, n’apparaissait pas la torride relation que nous avons eu dans la chambre. Seul le trajet aller se projetait dans mon esprit.
Je me soulevais légèrement, jusqu’à ce que la queue de Sylvain quitte ma chatte. Je la pris d’une main, et la guidais jusqu’à mon petit trou. Lentement, je fis coulisser le bite, et m’y empalait dessus.Sylvain réagissait de plus en plus, et s’installait dans son profil d’amant qui baisait la femme de son pote devant lui. Je jubilais, prenais un réel plaisir de me faire baiser par un autre que mon mari.
Mon orgasme fut terrible, à l’image de nôtre torride relation.
C’est un violent coup de frein qui me tirait de mon sommeil « Terminus ».
Arrivé chez nous, on déposait Rémi chez lui, puis mon mari nous déposa, Sylvain et moi à la villa. Après avoir déchargé les bagages, Cédric ramena me monospace à l’agence de location.
J’invitais Sylvain sur la terrasse à boire une bière. On discutait de ce qui s’était passé pendant le trajet aller, et dans la chambre. Cette fois, il ne s’excusa pas.
Il m’avoua que pour lui, ces vacances resteraient gravés à jamais dans son esprit. Après un long baiser, on décidais avec regret que cette aventure devait rester sans lendemain, et que malgré le plaisir qu’on avait pris, c’était mieux ainsi. Il me dit alors qu’il allait quitter la région, s’éloigner de moi.
Je parvins à le résonner, le convaincre de ne pas prendre une telle décision, que malgré ce qui s’était passé, Cédric et moi avions besoin de son amitié.
Puis, tout bien réfléchit, pourquoi ne pas adhérer au fantasme de mon mari, de me partager avec un autre homme...Sylvain était l’occurrence tout désigné. Je lui parlais du fantasme de Cédric, lui demandais si ça l’intéresser. D’abord surpris, il me promis d’y réfléchir.
Depuis, chaque fois que je fais l’amour avec Cédric, je garde toujours à l’esprit le souvenir de ce puissant calibre coulissant dans ma bouche, sur la banquette du monospace et de son abondante semence au goût sucré...puis un matin au creux du lit.
- Tu sais mon chéri, d’avoir passé ces vacances entourée d’hommes m’a quelques peu excitée.
- Combien de nuit, j’ai voulu te proposer une relation à trois. Je sais que Sylvain a des sentiments pour toi. Envoie lui un mail si tu veux.
Et dire que tout à commencé par une fellation sur la banquette arrière d’une voiture…
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