Une soirée pleine de surprise

Ce week-end, Pascale, ma ravissante épouse, est de garde au CHU de la ville. Elle est infirmière de profession. Elle fait équipe avec Laure, et sont, au fil du temps, devenues les meilleures copines. Après leur nuit, il n’est pas rare que ma femme couche chez son équipière. Je me demande même si elles ne se gouine pas toutes les deux.

Bref, je me retrouve donc seul cette soirée, et l’idée de rester planté devant la télé ne m’enchante pas. Je décide donc de ne pas rester à la maison, mais d’aller faire un tour en ville.

La vieille ville dispose de pas mal de petits bistrots sympas, et l’envie d’aller y faire un tour me plaît assez. Une sortie en célibat en quelques sortes.

En arpentant les ruelles, je découvre une multitude de lieux les plus insolites les uns que les autres. Prenant un verre dans un petit établissement, j’entends un couple assis à proximité, parler d’un club proche du lieu ou nous nous trouvons, dans une petite ruelle adjacente.

Je décide de m’y rendre pour découvrir cet endroit dont j’entendais parler pour la première fois. J’entrepris donc de suivre à distance le couple en question, pour me rendre à ce lieu. A peine ces derniers en route, je m’engage derrière eux.

Après une trentaines de mètres, ils se dirigent dans une impasse assez sombre, à vrai dire il faut savoir qu’un club se niche à cet endroit, seule une personne avertie est à même de s’y rendre. Je suis à distance raisonnable afin de ne pas attirer l’attention des deux tourtereaux, ayant remarqué au passage le physique accrocheur de la fille. Quelques pas plus loin, la porte d’entrée à peine éclairée du club en question est enfin la.

Après avoir sonné, la porte s’ouvre, et laisse échapper une lumière fortement tamisée, le couple qui nous précédait entre, je m’empresse d’emboîter le pas, mais un portier me demande si je suis accompagné. Devant ma réponse négative, ce dernier m’indique le tarif pour un homme seul, n’ayant pas envie de faire demi tour, la curiosité aidant, je règle mon entrée en ce lieu.

L’endroit n’est effectivement pas très éclairé, je traverse une petite salle dont le centre est destiné à la danse, il y a par ci par là quelques couples, quelques hommes seuls. Je me dirige vers le bar, et monte sur un tabouret au bout de celui ci. D’où je me trouve, je peux tout voir, en étant à peine vu dans la pénombre, c’est à peine si on distingue les clients, assis dans des petits salons.

Une musique lancinante baigne l’endroit, de mon emplacement, j’ai vue sur la petite piste de danse ou maintenant un couple de femmes enlacés se balancent.

Il y a comme une ambiance érotique qui règne sur cet endroit. Un homme seul se dirige vers la piste de danse, ou les deux filles se trémoussent, et les rejoins. il se se place derrière l’une d’elles, en prenant la cadence. S’engage alors une danse à trois. Le moment est sensuel, la vue de ce trio ne laisse pas indifférent. La femme se trouvant devant recule légèrement, laissant le duo continuer à se balancer.

A ce moment il entreprend de dégrafer lentement la robe de la belle, elle laisse faire cet homme qui progressivement découvre sa poitrine, à peine cachée par un soutien gorge transparent duquel pointe ses bougeons en début d’excitation. Le travail terminé, l’homme derrière elle fait glisser sur ces épaules la robe légère de la fille, dévoilant son corps à peine voilé, le spectacle de ce déshabillage ne laisse personne indifférent.

Voilà que la fille qui s’était retirée les rejoint à nouveau. Elle se colle carrément contre ce que je pense être sa copine.

Soudain, je vois une de ses mains disparaître sous la courte jupe de la femme, effeuillée par le vicieux inconnu. En la voyant se tordre, j’imagine ce que sont en train de faire les doigts de la nouvelle venue, dans la chatte de sa copine. Celle-ci envoie ses bras en arrière, tord son cou et prend les lèvres de l’homme.

Je vis les couplent s’arrêter, certainement pour la voir atteindre l’orgasme.

Après cette séance oh combien érotique, le trio quitte la piste, pour se diriger vers un petit escalier donnant accès à l’étage ou j’imagine était aménagés des coins discrets, un autre couple se mit à s’étreindre sur la piste de danse.

Je sirotais ma vodka, quand le trio passa devant moi. Je fut attiré par la femme qui s’exhibait sur la piste, et qui venait de jouir. Et je trouvais qu’elle ressemblait étrangement à mon épouse, sans en avoir la certitude, du fait du faible l’éclairage. En effet, Pascale avait quitté la maison, habillée d’un jean’, et d’un pull. J’étais dans l’incertitude, je n’osais pas m’avancer, plus je les regardais plus j’avais la certitude que c’était bien elle, dansant avec un inconnu qui l’enlaçait fortement, et une fille qui la branlait. Mes doutes furent levés, quand je reconnu celle qui l’avait faite jouir...c’était Laure.

Après un certain temps, elle et l’homme qui l’accompagnait se sont dirigés vers le petit escalier donnant vers l’étage, lors de son passage j’ai pu voir que c’était bien elle, effectivement, ravissante, un peu crispée, mais non hésitante. Je les ai donc laissé sans me faire remarquer, avec malgré tout un sentiment de jalousie, mais également avec une certaine curiosité, le fantasme de la sentir prendre du plaisir sous d’autres caresses que les miennes me faisait sensation.

Je remarque alors que des hommes seuls accédaient à l’étage, je réfléchissais à la situation, à ce que je vivais à l’instant présent. Dix plus tard je décidais d’aller découvrir le haut de l’établissement.

Arrivé en haut de l’escalier, j’ai découvert un endroit réservé aux plaisirs, un endroit magique. Il y avait çà et la de petites pièces libres, occupées par des couples laissant, par de petits regards, la vue des autres à leurs ébats.

Il régnait à cet endroit une sensualité, un bien être inconnu ou le voyeurisme fait partie de l’ambiance. Tout au bout d’un couloir en regardant par un petite cavité dans la cloison qui donne sur un coin câlin, je découvre ma femme, en train de tailler une pipe à un homme. Il la tient par la nuque, rythme les va et vient, jusqu’à ce que ses joues se creusent, et avale le nectar.

Elle est couchée sur le dos, les yeux fermée, la lumière est également très faible, mais on aperçoit bien les courbes de son corps, quatre mains la caressent ses seins durcis par l’excitation montante font se dresser les pointes, son souffle est haletant, son ventre se creuse à chaque inspiration laissant entendre son bien être, les partenaires sont nus, l’un d’eux se laisse glisser sur ces hanches, faisant découvrir la naissance de son intimité épilée. Un homme commence à embrasser son ventre en remontant vers ses seins, un autre, tout en douceur écarte lentement ses cuisses, laissant aux regards sa chatte entrouverte, puis, s’abaissant vers celle-ci, il entreprit de la lécher en écartant délicatement les lèvres avec sa langue. Le moment était sublime, son souffle s’accélérait au rythme des caresses, tout son corps étais en émois. L’excitation diminua légèrement, elle ouvrit les yeux, saisit la queue d’un de ses partenaires, et entreprit de le sucer avidement, tandis que l’autre se délectait de la sève de sa chatte trempé par l’excitation.

Quel tableau de maître, que d’érotisme sous nos yeux, je dis nos parce que je n’étais pas seul à m’enivrer au regard de ce spectacle.

Un nouveau partenaire prend la place, l’énorme bite en érection. Il est masqué. Pascale rampe sur ce corps, prend la queue en bouche au passage, puis la coince entre ses seins. Elle se soulève, le chevauche et s’empale sur son énorme bite. Elle se penche, la croupe offerte, et lui prend fougueusement les lèvres.

Laure est près d’elle, lui caresse les seins, langue son dos. Puis une main lui tend un objet luisant, d’un certain calibre...un gode…

Laure le fait courir sur le corps de sa copine, qui se dresse à chaque passage sur son intimité. Puis le voila taquiner son petit trou. Pascale se cambre sur la bite de l’homme, en sentant le phallus en silicone prêt à la pénétrer. Petit à petit, son petit orifice se dilate, et accepte la sodomie.

Je ne reconnais plus ma femme. Combien de mensonge déguisés en nuit passées à l’hôpital, ou chez sa copine. Combien de nuits passées à se faire baiser et sodomiser par des inconnus. Inconnu….C’est ce que je croyais, avant que l’homme ne retire son masque. Le KO fut total.

Celui qui baisait ma femme, n’était autre que l’homme que je détestais le plus de ma société, celui qui déjà, avait emmené ma première fiancée dans son lit, et l’avait baisée toute la nuit. Il s’en était vanté au bureau. Pire, il avait parié devant mes collègues, qu’un jour, il baiserait Pascale...ce connard, il l’a fait.

Si ma fiancée de l’époque ne le connaissait pas, mon épouse, par contre, elle, le connaissait de réputation, et de par ses performances au lit, ce qui l’avait sans doute séduite, et me tromper avec lui.

Déçu, trompé, je quittais les lieux, vers deux heures du matin, soucieux que ma femme ne soit pas au courant de ce que j’ai vu.

Il était environ midi, quand j’envoie un « mail » à Laure.

« Salut Laure, est-ce que Pascale a dormis chez toi ? »

« Non, elle m’a dit qu’un de tes potes, devez la ramener chez elle ».

L’enfoiré...il a fait subir à ma femme, ce qu’il a fait subir à ma fiancée, la baiser, la sodomiser, se faire sucer toute la nuit...avec son consentement.