Carolina et Stéphane fêtent leur vingt an de mariage. Ils sont âgés de trente neuf ans. Pour cette occasion, leur fils Romain, âgé de dix huit ans, a invité quelques potes. Hervé, le frère de Stéphane, est également présent, ainsi que son fils Luc.
Il y a quelques semaines, lors d’une réunion de famille, Carolina a failli avoir une relation avec son beau-frère. Ils en été restés au stade de caresses, se faisant jouir manuellement. Carolina avait eu des remords.
- Déconne pas, lui avait-elle dit, pense à ton frère.
- Une nuit, avait-il répondu, rien qu’une nuit.
Carolina avait refusé, ils en été restés là, mais elle lui avait comprendre qu’elle n’était pas contre.
Ce soir, Carolina est resplendissante de beauté, Hervé ne tarit pas d’éloges sur elle, sur son sublime corps.
- Tu fais tout pour me choper, sourit-elle, quel séducteur. Et si…
- Alors frérot, on drague ma femme, intervient Stéphane. Pense que ça fait vingt ans qu’on est ensemble.
- Je le sais, veinard, répondit Hervé.
Plusieurs fois dans la soirée, Hervé invite Carolina à danser. Il prend même le risque de l’embrasser dans le cou. Elle ne se dérobe pas. Serait- ce ce soir ?
- Il me faut aller chercher du champagne, dit-elle, tu viens avec moi ?
Qu’elle question. Hervé prend ça pour une invitation. A peine arrivé dans la réserve ou se trouve le champagne, Hervé cloue sa belle-sœur au mur, lui prend les lèvres. Le baiser est torride.
Tout à leur passion naissante, ils ne remarquent pas la présence de Luc, en train d’embrasser la jeune voisine dans le fond du jardin. Et comme ils sont tournés, la jeune fille ne s’aperçoit de rien. Pourtant Luc ne manque rien de l’étreinte brûlante de son père et sa tante, et redouble d’ardeur sur sa propre copine.
- On va se faire attraper, murmure Carolina, allons-y s’il te plaît.
- Prenons rendez-vous à l’hôtel cette semaine, je t’en prie...dis oui.
- Tu veux me rendre infidèle, c’est ça ? Je vais réfléchir, je t’appelle.
Carolina est toute excitée, elle n’arrive pas à dire non.
La fête se termine vers minuit. Tout le monde se prépare à aller se coucher. Stéphane est déjà monté dans sa chambre. Hervé sort de la salle de bains, vêtu d’un caleçon et d’un tee-short. Romain et Luc boivent un dernier coca.
Carolina embrasse Hervé aux commissures des lèvres, et les enfants su le front.
Elle va à la salle de bains enfiler une nuisette, et monte se coucher.
Elle a du mal à s’endormir. Ses pensées vont vers Hervé, si loin, si proche. Elle rêve d’étreintes passionnées, comme son mari ne lui donne plus.
Elle a vaguement honte, mais l’appel des sens prend le dessus. Elle sait qu’elle va céder aux avances de son beau-frère.
Il est six heures du matin. La lumière du jour commence à filtrer à travers les persiennes. Carolina est allongée sur le dos, entièrement nue, la jambe droite repliée à l’équerre, le genoux qui dépasse du lit.
Soudain, elle sent une main qui se pose dur sa cuisse. Son mari dort à poings fermés. Ses pensées les pus érotiques vont vers Hervé.
« Mais il est fou », se dit-elle.
La main caresse la cuisse, et remonte entre les jambes. Deux doigts effleurent la fente, écartent les lèvres intimes légèrement humide. Les doigts audacieux font des va et vient, atteignent le clitoris, qu’ils décalottent. Carolina s’abandonne à la caresse. Elle cambre ses reins, se tord comme ver, écarte ses jambes pour s’offrir d’avantage
A tâtons, Carolina avance un bras. L’inconnu est vêtu d’un long tee-short. Aucun doute, c’est Hervé. Son beau-frère a enfin osé aller jusqu’au bout de son envie.
Elle glisse une main entre les jambes écartées, entre en contact avec des couilles très dures, bien pleines. Elle fait rouler les bourses entre ses doigts, puis saisit la queue en totale érection.
« Ouah, comme il est monté ».
Elle fait coulisser le prépuce, et décalotte le gland. Elle entame une lente masturbation. Pendant ce temps, les doigts s’activent dans la chatte mouillée. Carolina mord l’oreiller pour étouffer ses gémissements de plaisir. Mais l’orgasme est là, elle se lâche, tans pis pour les draps. Elle entend le souffle du vicieux visiteur, et d’après les vibrations de la queue, elle le sent près à éjaculer. Mais les dégâts risquent d’être plus graves.
Aussi, place-t-elle sa tête hors du mit, et la penche en arrière, dans le vide. Le membre est là. Elle l’avale jusqu’aux couilles, et le stabilise. Elle le pompe en gorge profonde, avidement. La queue, immobilisée, a tout le temps de se vider dans la gorge de Carolina.
En son temps, elle sait qu’elle va prendre l’énorme queue eu fond de sa chatte en feu. Mais ce matin, ce sera sa bouche gourmande. La bite reste encré dans sa bouche, jusqu’à ce qu’elle est vidé tout son jus. Après avoir avalé la semence jusqu’à le dernière goutte, Carolina nettoie le gland avec la langue.
Un visage se penche sur elle, lui donne un langoureux baiser. Furtivement, une ombre s’éclipse de la chambre.
Carolina est toute chamboulée, excitée par le risque qu’a pris Hervé à quelques centimètres de son mari. Heureuse de ce plaisir, sa décision est prise…
Elle rejoindra Hervé à l’hôtel cette semaine.
Carolina arrive dans le salon vers neuf heures, vêtue d’un peignoir. Elle aperçoit Hervé en maillot qui bronze sur la terrasse. Elle le regarde, les yeux pétillants.
Son fils Luc est allé prendre une douche.
- Alors, sourit-elle...bien dormi?
- M’en parle pas, Luc m’a réveillé à sept heures pour me rendre le tee-short qu’il m’avait emprunté hier soir…
Carolina met sa main devant sa bouche, pour étouffer un cri de surprise et d’horreur. Elle se précipite à la salle de bains. Elle ouvre et découvre Luc, son propre neveu, sortir de la cabine de douche. Elle ne peux s’empêcher de remarquer la virilité de sa jeune queue, celle qui s’est branlé dans sa bouche, et dont elle a avalé le semence. Elle ne peut laisser passer ça.
- Pourquoi m’as-tu fais ça, gronde-t-elle en larmes. J’ai sucé mon propre neveu. Tu te rends compte que je ne pourrai plus te regarder en face. Qu’est-ce qu’il ta pris?
- Tu aurais préféré que ce soit mon père ? Je vous ai surpris dans la réserve. Excuse moi tatie dit-il, mais quand je t’ai aperçu si belle, je n’ai pu résisté..
Luc se dirige vers la porte.
- Non, ne pars pas mon chéri, mais ne me prends pas pour celle que je ne suis pas, et surtout, que ça reste entre nous, d’accord ?
Luc a sa main sur la poignée de la porte. Il se retourne, vois Carolina, la tête penchée sur le lavabo, en pleurs.
- Je t’en prie, supplie-t-elle sans savoir pourquoi...reste...ferme à clé.
Luc s’avance, prend sa tante par la taille. Lentement, il dénoue le peignoir qui glisse au sol. Le sien suit le même chemin. Ils sont entièrement nus tous les deux. Luc saisit les seins de Carolina, fait rouler les bouts entre ses doigts. Il caresse le ventre, insère sa queue entre les cuisses de sa tante, qui se surprend à écarter ses jambes.
- Tu es fou...qu’est-ce que tu veux ? Imagine si quelqu’un nous surprend ?
Carolina prend la queue de son neveu, et la fait coulisser dans sa chatte trempée. Elle ne peut s’empêcher de pousser un soupir de plaisir. Pourtant, tout au fond d’elle même, elle a une vague honte qui se dégage…
Une mère de famille, qui se fait baiser par son neveu...c’est plus qu’immoral. Mais le plaisir est là, apporté par la fougue, la jeunesse d’un gosse de dix huit ans.
- Ah...salaud..tu n’as pas honte ? Vilain...vas-y, j’ai envie...fais moi jouir…oui...
Sous les coups de queues de son neveu, elle jouit en essayant de ne pas crier trop fort. Quelques secondes plus tard, elle sent la semence chaude de Luc inonder sa chatte distendue, et ravagé par un orgasme terrible.
Ils se séparent à regret. Honteuse, elle se lave rapidement, et sort rejoindre son époux, en grande discussion avec Hervé, comme si de rien n’était.
Carolina a franchi le pas de l’interdit le plus tabou de nôtre société. Aujourd’hui, elle entretient des relations régulières avec son neveu qui a acquit l’expérience nécessaire pour la satisfaire. C’est devenu un fabuleux, et merveilleux amant, qui a même le droit à faire l’amour à Carolina dans le lit conjugal, en l’absence de son mari en déplacement, et de Romain, fourgué chez les grand-parents.
Quant à Hervé, il est rayé de son agenda.
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