Suite à une attitude déplorable au Lycée, mes parents m’ont confisqués ma manette de jeu, afin de me priver de ma console.
Je m’appelle Kevin, jeune gosse de dix sept ans. J’ai la chance d’avoir une copine qui se laisse baiser, sodomiser, qui suce et avale sans rechigner, et avec plaisir.
Cette semaine, mon père est en déplacement pour raison professionnelle. Je suis seul à la maison. Je file à la chambre de mes parents, ouvre l’armoire ou ils ont l’habitude de planquer ma manette quand ils me punissent.
Soudain, j’entends des pas dans l’escalier qui mène à la chambre.
« Merde, ma mère qui rentre avant du bureau ». Une seule solution s’offre à moi.
Me planquer sous le lit. La porte s’ouvre. Maman se regarde dans le miroir sur pied, puis s’approche du lit. J’admire ses longues jambes fuselées, ses chevilles. Bref, ce que je peux visualiser de là ou je suis. Si, je peux la voir dans le miroir.
La porte de la chambre s’ouvre à nouveau, et là, surprise. Ce sont des jambes d’hommes. Pantalon de toile et chaussures en cuir. Impeccable.
L’inconnu s’approche du lit, et je peux voir leurs jambes se frôler. Dans le miroir, leur corps apparaît, enlacés. Je vois maman s’écarter, tomber à genoux. Elle défait la ceinture, baisse le pantalon, idem pour le boxer. Surgit alors une bite monstrueuse. Maman la décalotte, la branle lentement, puis la prend en bouche. Calmement, elle entame une lente fellation.
Le miroir me renvoie la scène, des images d’une qualité exceptionnelle. Soudain, l’homme se met à grogner…
- Oh oui...vas-y salope...t’arrêtes pas...je crache.
Je vois maman déglutir, et avaler le sperme de l’inconnu. Il n’en reste pas une goutte, et elle prend plaisir à lui nettoyer le gland avec sa bouche. L’homme la relève et lui prend les lèvres, tout en l’effeuillant. C’est la première fois que je vois ma mère entièrement nue. Quel canon. Je me dis que papa doit bien en profiter.
Mais apparemment, il n’est pas le seul à s’amuser avec elle.
L’inconnu ôte ses habits, et ils s’installent tous les deux sur le lit. Ils s’enlacent dans une douce étreinte, leurs mains parcourent leur corps dans de subtiles et vicieuses caresses. Puis maman s’allonge sur le dos. L’inconnu se place entre ses jambes, sa queue pointée contre la chatte de maman. Une simple poussé, et il la pénètre. Maman pousse un long soupir.
- T’aimes ça, hein ? Demande l’homme...elle est bonne ma queue…
- Oh oui j’aime ça...tu me baises tellement bien.
- Mieux que ton mari ? Et ma queue, est-elle plus grosse ?
- Oh oui elle est plus grosse, y a pas photo...et tu baises beaucoup mieux…
Dans le miroir, je vois ma mère s’agiter, je l’entends gémir, puis vient l’orgasme, puissant, bruyant. L’homme se penche sur elle, lui prend les lèvres, leurs baisers deviennent sulfureux, interminables, leurs langues se cherchent, se défient.
L’inconnu se met sur le dos, prend maman par les hanches. Maman grimpe sur lui, le chevauche, puis s’empale sur l’énorme bite.
C’est elle qui fait le travail, qui envoie des coups de reins, c’est elle aussi qui gémit de plaisir. Lui se contente de lui caresser les seins, faire rouler les bouts entre ses doigts. Soudain, maman se cambre, accélère ses déhanchements, s’écroule sur son amant, la tête posé au creux de son épaule. Elle lui murmure à l’oreille.
- Enfoiré...comme tu me baises...comme tu me fais jouir…
L’inconnu la fait basculer sur le côté, puis lui demande de se mettre à quatre pattes. Ils sont positionnés de telle façon, que dans le miroir, je vois la croupe de maman, la chatte qui suinte de mouille. Je vois la bite s’approcher, pénétrer la chatte jusqu’aux énormes couilles. J’entends la respiration saccadée de ma mère, qui dans un cri, atteint un nouveau orgasme. L’inconnu se retire, taquine le petit trou avec son gland.
« Mon dieu, pensais-je, il va pas faire ça avec son gros mandrin ?»
Je connais pas les mensurations du membre de mon père, mais là, c’est énorme.
Le gland dilate le petit orifice, puis le pénètre, arrachant un petit cri à maman. Ce salaud joue avec elle, sort entièrement sa queue, la rentre, répète ce mouvement à plusieurs reprises. A chaque fois maman pousse un gémissement de plaisir.
- Comme tu m’encules salaud...mais c’est tellement bon…
- T’aimes, hein ? C’est sur, tu dois avoir moins mal avec ton mari…
- Mon mari ? Il n’a jamais eu le droit de me sodomiser...tu es le premier.
L’inconnu s’écroule sur ma mère. Féline, elle se soumet. Lui, en félin dominant lui mord le cou, l’oreille. Il se retire, tandis que maman roule sur le dos. Elle écarte les jambes, aspire de ses lèvres, le calibre qui balançait devant sa bouche. De son côté, il lui doigte le clitoris, caresse la chatte, la pénètre des ses doigts, la branle.
Maman se tord comme un ver, gémit de plaisir. Je vois l’énorme bite de l’inconnu déformer ses joues à l’intérieur de sa bouche.
Soudain, la décharge. La semence du bel inconnu fouette le palais, se dépose sur la langue. Maman avale tout, comme lors de sa première fellation.
- Ton mari repart quand ? Demanda-t-il.
- Dans quinze jours…ça te dis, tu veux venir ?
- Bien sûr. J’aimerai emmener un pote, qu’est-ce que t’en penses ?
- Hum...s’il est aussi monté que toi, ça peut m’intéresser.
Ils décident enfin d’aller à la salle de bains. J’en profite pour sortir de dessous le lit. En passant devant la salle de bains, j’entends des gémissement. C’est maman qui vient d’atteindre son énième orgasmes. Puis je vois l’inconnu quitter la villa.
Maman arrive au salon, me vois jouer à la console.
- Mais quand as-tu récupérer la manette ? Demande-t-elle.
- Il y a environ demi-heure, lui dis-je en souriant. C’était bon maman.
Maman cacha son visage dans ses mains et monta à sa chambre.
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