Histoire 7 - Si j’avais été là.
J’aurais vu ce visage, ce regard qui se perd, cette bouche qui s’ouvre à peine pour lancer ce long cri chuchoté qui t’échappe au moment où il enfonce sa queue en toi, doucement, lentement, pour ne pas t’épargner une seconde de plaisir.
Tu m’aurais regardé, mais tu ne m’aurais pas vu. Tu m’aurais oublié et c’est divin. Nous aurions pensé la même chose, si ce moment pouvait durer des heures.
Mais déjà, il est au fond de toi, te donne un coup de rein qui l’enfonce encore un peu plus. Tu cries, tu es vaincue, il triomphe.
Il pose sa main sur ta nuque qu’il dégage sans douceur de tes cheveux et t’oblige à renverser la tête, pour te soumettre, te cambrer, te transpercer. Je ne t’aurais pas quitté des yeux. J’aurais goûté chaque instant de ta soumission qui est aussi la mienne. Un autre homme, plus jeune, plus beau, fait de toi ce qu’il veut.
Ses coups de reins se font plus rapides, insistants, comme pour t’obliger à te rendre alors que tu as capitulé depuis longtemps. Il est égoïste, cruel et brutal.
A ce moment précis, tu n’es rien pour lui, une chose, une soumise. Ça te plaît, et ça m’aurait plu. Il se retire, tu te retournes, le regard implorant…Viens, reviens...
Il s’assoit sur le lit et commence à se caresser. Tu te traînes à ses pieds comme la dernière des chiennes et commences à lui lécher les couilles. Quand tu veux le prendre dans ta bouche, il te l’interdit et te remet en place sèchement.
Je me serais accroupis pour te caresser, ta chatte dégouline. Nous aurions été tous les deux à genoux devant lui. Toi qui le lèche, moi qui te caresse. Mais tu n’aurais rien senti, tu es toute à ta besogne pour lui faire plaisir. Je n’existe plus.
C’est effrayant et excitant. Tu essaies à nouveau de le prendre en bouche, et pour te punir, il t’enfonce sa bite au plus profond de ta gorge.
Tu étouffes, veux te dégager, une main derrière la tête, il te maintient dans cette position qui te contraint à avaler son sexe en entier. Il te relâche, tu souffles, tu baves, tu râles. Tu as des poils dans la bouche, tu tentes de les retirer.
C’est dégradant et tu adores ça.
« Où est le gel ? Je vais te sodomiser ».
Il te demande ça comme s’il te demandait son chemin, ou un verre d’eau. Avec simplicité et courtoisie. Tu es à quatre pattes, abandonnée et haletante.
Je serais allé chercher le gel qui est sur la table de nuit.
« Tiens ».
Il t’attrape par les cheveux, te force à monter sur le lit, tu obéis. Tu m’aurais lancé un regard plein de supplication. Tu as peur d’avoir mal. Son calibre est imposant. Je t’aurais souri, pour te rassurer. Tu dois aller jusqu’au bout. Tu le sais. Tu vas te faire sodomiser par cet inconnu, et peu importe ce qu’il en coûtera. Tu es venue pour ça, pour te donner sans restriction. Si j’avais été là, je te l’aurais rappelé.
Il écarte tes fesses qu’il lèche. Comme il a de la chance, tu fermes les yeux et tu goûtes.
Il te verse une bonne quantité de gel sur ton petit trou, l’enfonce avec son doigt, tu grimaces de plaisir. Il te claque les fesses, violemment.
Tu couines comme un animal pris au piège. Il badigeonne sa queue de lubrifiant et entreprend d’entrer en toi. Avec une main, tu tentes de l’en empêcher.
« Non, attend, attend…».
Il repousse ta main, te claque plusieurs fois pour te punir. Tu cèdes...à tout.
Je t’aurais donné l’oreiller que tu agrippes comme un naufragé tombé à l’eau, une bouée de sauvetage. Tu poses ton visage dessus et tu attends.
Tu aimes ça. Au delà de ce que tu aurais pu imaginer.
Une fois qu’il est entièrement en toi, tu dis. « oui, vas-y… encule moi, c’est bon ». Il navigue dans ton orifice lentement. Il écarte tes fesses pour observer sa queue aller et venir dans ce petit trou si serré il y a encore un instant, et qui maintenant se dilate et rougit. Il ne veut pas jouir dans ce trou, j’aurais aimé ça pourtant. Si j’avais été là…Il se retire.
Tu t’écroules sur le lit. Tu touches ta chatte et ta rosette, comme si tu avais besoin de vérifier que tout est encore là, tant ils ont été martyrisés.
Je t’aurais demandé. « Ça va ? »
Tu m’aurais souri, amoureusement.
Il dit, « viens ».
Il est debout, se branle pour se durcir à nouveau, maintenant, tu peux le sucer.
Tu es à genoux devant lui et tu le suces.
« Regarde moi ».
Tu le regardes, comme dans les films pornos, ces filles que l’on force à lever le regard vers l’homme.
Tu suces, sans relâche. Parfois, ta langue s’enroule sur son gland. Il gémit, tu es concentrée sur ta fellation, studieuse. Il se penche et te dis.
« Je vais jouir dans la bouche, tu avales tout, hein ? »
Tu fais oui de la tête.
Quelques minutes plus tard, après une frénétique pipe, il se déverse par jets puissant dans ta bouche en râlant. Tu avales jusqu’à la dernière goutte.
« Nettoie bien mon gland ».
Tu tires la langue, il frotte sa bite contre elle pour s’enlever les dernières gouttes de sperme.
Tu le regardes s’éloigner dans la salle de bain, puis tu te serais tourner vers moi et j’aurais vu que tu en voulais encore.
Voilà peut-être comment ça se serait passé, si j’avais été là. Je ne sais pas.
Tu m’obliges à imaginer. Tu me raconteras un jour, peut-être, si tu n’as pas trop honte. Mais la façon dont tu te blottis contre moi cette nuit là, comme un animal perdu, vaincu, humilié, me fait penser que je ne suis pas loin de la vérité.
Tu t’assoupis, du sperme au coin des lèvres, après m’avoir fait une douce fellation.
Histoire 8 - Soirée chez belle-maman
Viviane et moi rentrons d’un voyage de noces de quinze jours à Ibiza, lieu merveilleux pour ce genre d’évènement. Ces plages, son eau turquoise, ces hôtels somptueux. Tout pour se lancer dans la vie avec des souvenirs impérissable.
Ce soir là, mes beaux-parents, de richissime industriel, ont organisé une petite fête, pour les oubliés du mariage, ce qui n’avaient pas été invités, ou étaient absents. Nous étions environ une vingtaine de personne. Ma belle-mère pris Viviane pas le bras, et lui fit faire le tour des convives. N’étant pas considéré comme le gendre idéal, je n’eus droit à aucune attention.
Au bout d’un moment, je vis Viviane en pleine discussion avec Alex, qui, avant que je rencontre celle qui est devenu ma femme, avait placé des options sur elle, mais la vie en a décidé autrement. Je la voyais rire au mots qu’il murmurait à son oreille. Le temps qu’un plateau de coupes de champagne passe, je ne la vis plus.
J’étais dans le vestibule quand je la vis sortir des toilettes, essuyant subtilement ses lèvres. A peine dix secondes sont passées, que je vis Alex sortir, remontant sa braguette. Je décidais de la confronter.
- Que vas-tu chercher là me répondit-elle.
Plus la soirée avançait, plus je les voyais se rapprocher. Ils trinquaient, dansaient ensemble, des danses ou Alex en profitait pour faufiler ses mains dans les endroits les plus intime de ma chérie. Soudant, je croisais le regard souriant de ma belle-mère.
Elle s’approcha de moi, passa son bras sous le mien.
- Voulez-vous que je vous fasse visiter les nouveaux agencement, me proposa-t-elle.
Bien évidemment, je n’avais que d’autre choix que d’accepter. Je dois reconnaître que tout était fait avec goût. Une grande chambre avec salle de bains et son jacuzzi, une déco design, et un grand mur lisse. Belle-maman s’en approcha, appuya sur un bouton situé derrière une toile de maître. Le mur coulissa, dévoilant une chambre avec lit, pouf et épaisse moquette au sol. La vitre était sans tain.
Je m’apprêtais à avancer, quand elle me retint par le bras. Je me retournais, et restais figé sur place. Là, devant mes yeux, je vis Viviane apparaître dans la pièce, tirant Alex et son frère Eric, par la queue. Arrivé au milieu de la chambre, elle leur offrit ses lèvres, avant de tomber à genoux. Elle commença à les sucer à tour de rôle. Soudain, je les vis se cambrer. Viviane réunit alors les deux glands qui se déversaient dans sa bouche.
- Vous trouvez pas qu’ils sont bien montés, dit-elle.
Ma femme leva, les embrassa à nouveau, tandis qu’Alex baissait la fermeture éclair de la robe. Viviane était entièrement nue dessous. Ils la transportèrent sur le lit, s’installèrent chacun d’un côté. Je vis leurs mains parcourir son corps, tandis qu’elle se tendait sur leur doigts. Ma belle-mère, impassible, suivait la scène, un léger sourire sur les lèvres. La fin de leur relation fut terrible. Elle était allongée sur le torse d’Eric, empalée sur son énorme bite, tandis qu’Alex la sodomisé avec son imposant calibre.
- Hum, gémissait ma belle-mère, quelle es belle ainsi, ce faire prendre par deux grosses queues...oh mon dieu...vous l’entendez crier ? Elle a l’air d’aimer ça, hein ?
J’en avait assez vu, et quittais la pièce en colère.
Je me réveillais le lendemain, Viviane n’était pas à côté de moi. je me levais d’un bond, allais à la chambre au grand miroir. J’ouvris la cloison, et voyais Viviane en train de sucer Alex et Eric, apparemment endormis. Peut-être pas tout à fait, quand je vis leur semence gicler dans la bouche de ma femme, qui prit un réel plaisir à tout avaler.
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