Le jour de mon mariage avec Marc était comme un rêve devenu réalité. La cérémonie s'est déroulée dans un magnifique parc, entouré de notre famille et de nos amis les plus proches. Alors que je descendais l'allée au bras de mon père, je n'ai pu retenir mes larmes de bonheur en voyant Marc, qui m'attendait avec un sourire radieux.
Nous avons échangé des vœux pleins d'amour et de promesses d'avenir ensemble, et lorsque nous avons été déclaré mari et femme, j'ai senti que mon cœur allait exploser de joie. La réception a été une fête dans une ambiance de rire, de danse.
Nos parents ont partagé des anecdotes de notre enfance, nous ont souhaité le meilleur dans cette nouvelle étape. Nos amis nous ont félicité, nous ont couvert de câlins et de vœux lorsque Marc et moi avons dansé pour la première fois en tant que mari et femme.
J'ai eu l'impression que je ne pouvais pas être plus heureuse.
J'étais mariée à mon meilleur ami, mon âme sœur et ensemble nous allions construire une vie merveilleuse. Après le mariage, nous sommes partis en lune de miel.
Marc avions choisi une station balnéaire de luxe sur une île paradisiaque, avec des plages de sable blanc et des eaux turquoises. Lorsque nous sommes arrivés, j'ai été stupéfaite par la beauté de l'endroit, le complexe était magnifique avec des chambres élégantes, des piscines à débordement, et un spa de classe mondiale.
Nous avons été accueillis avec des cocktails tropicaux et des colliers de fleurs, ce qui nous a donné l'impression d'être des membres de la famille royale. Notre suite nuptiale était un rêve avec une terrasse donnant sur la mer, un jacuzzi, et un lit immense, ou j’espérais bien que Marc me baiserait toute la nuit. Marc et moi nous sommes installés, et avons trinqué à notre nouvelle vie ensemble, avec du champagne. Notre première nuit se déroula sans extravagances, ni recherches susceptibles de corser cette première relation de lune de miel.
Nous avons prévu d'explorer l'île, de goûter à la délicieuse cuisine locale, de nous détendre et de profité de la compagnie de l'autre. Le lendemain, nous avons rencontré Gino, le guide qui nous avait été attribué. C'était un homme grand et bronzé au physique impressionnant et au sourire charmant. il nous a accueilli chaleureusement et nous a expliqué toutes les activités et excursions disponibles sur l'île.
Pendant qu'il parlait, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer à quel point il était séduisant, et à quel point ses yeux semblaient briller lorsqu'il me regardait. Cependant, j'ai rapidement écarté ces pensées, me rappelant que j'étais en lune de miel avec mon mari. Marc et moi avons passé les premiers jours à explorer l'île, à bronzer sur la plage et à profiter de dîner romantique sous les étoiles. Tout semblait parfait.
Mais au fur et à mesure que je passais du temps avec Gino lors de nos excursions, j'ai commencé à ressentir une étrange attirance pour lui. Il était drôle, intéressant et semblait toujours veiller sur moi. J'ai essayé d'ignorer ses sentiments en me concentrant sur Marc, et notre amour, mais cela devenait de plus en plus difficile. Une nuit, alors que
Marc dormait, épuisé par une journée d’activité, je me suis surprise à fantasmer sur Gino. Je me suis senti coupable, confuse, comment pouvais-je avoir de telles pensées pour un autre homme, alors que je venais d'épouser l'amour de ma vie. J'ai décidé que c'était le cadre exotique de l'île, les émotions du mariage qui jouaient avec mon esprit. J'ai promis d'être une épouse fidèle et dévouée, d'oublier toute attirance inappropriée.
Mais à mesure que notre lune de miel se prolongeait, la tension entre Gino et moi augmentait. Nos regards s'attardèrent plus longtemps que nécessaire, et nos conversations devenaient plus intimes. Je savais que je jouais avec le feu, mais une partie de moi avait envie de l'excitation et de la nouveauté que représentait Gino.
J'étais sur le point d'entrer en territoire dangereux, et une partie de moi savait qu'il n'y aurait pas de retour en arrière possible.
Au cours de notre lune de miel, Marc et moi avons continuer à explorer l'île, et à participer à toutes les activités proposé par le complexe. Nous avons fait de la plongée avec masque et tuba sur des récifs aux couleurs éclatantes, du kayak dans des mangroves sereines, et déguster des plats locaux exotiques. Chaque expérience était passionnante et nous a rapproché en tant que couple. Marc se donnait à fond, s’épuisait dans de rude épreuves, et passait ses nuits à dormir, me délaissant totalement
Pendant nos excursions, Gino trouvait toujours le moyen d'être à mes côtés, il me racontait des histoires fascinantes sur l'île, me faisait rire avec ses blagues et me donnait l'impression d'être la seule personne au monde. Son attention était enivrante et me faisait me sentir spéciale d'une manière que je n'avais jamais connu auparavant. Je savais que c'était une erreur d'apprécier autant sa compagnie, mais c'était plus fort que moi.
Un jour, lors d'une randonnée dans la forêt tropicale luxuriante Gino et moi avons été séparés du groupe. Marc était resté en arrière pour prendre quelques photos.
Gino et moi nous sommes retrouvés seuls. Il m’a alors emmené près d’une cascade ou l'air était humide et chargé d'une énergie électrique. Gino m'a regardé intensément, et j'ai senti mon cœur s'emballer. Avant que je puisse réagir, il m'a attiré à lui et m'a embrassé passionnément. J’ai tenté timidement de le repousser, lui disant que j’étais une jeune mariée en lune de miel, que j’aimais mon mari.
Mais à ce moment-là, tout a disparu autour de nous. Le monde s'est évanoui et seul Gino et moi avons existé, perdu dans un baiser fougueux. Ses lèvres étaient douces, et sa langue explorait ma bouche avec insistance. Je me suis accrochée à lui, mêlant mes doigts dans ses cheveux, me laissant emporter par la passion du moment. Ce baiser m'a fait sentir vivante, désirée, et dangereusement excité. Lorsque nous nous sommes finalement séparés, nous étions tous les deux à bout de souffle.
La réalité de ce que je venais de faire m'a frapper de plein fouet, j'avais trompé mon mari, l'homme que je venais d'épouser, avec notre guide touristique. La culpabilité et la honte m'ont envahi, et j'ai commencé à bredouiller des excuses, mais Gino m'a rassuré en me disant que ce que nous ressentions était réel, et que nous ne pouvions pas nier la connexion qui existait entre nous.
A partir de ce moment, ma lune de miel s'est transformée en montagne russe émotionnelle. D'un côté j'étais éperdument amoureuse de Marc et je profitais de chaque instant passé avec lui, mais d'un autre côté je ne pouvais pas résister à l'attirance magnétique
que je ressentais pour Gino. Chaque fois que nous étions seuls la tension sexuelle était palpable, et il nous était presque impossible de rester éloignés l'un de l'autre.
Nous avons commencé à trouver des excuses pour nous faufiler, nous nous rencontrions dans des coins isolés de la station, partageant des baisés passionnés et de furtives caresses. Chaque rencontre était excitante et dangereuse, alimenté par l'adrénaline, par l’interdit, au point que le moindre contact d’un doigt sur mon intimité, m’emmenait haut dans l’orgasme.
Je savais que je trahissais Marc et nos vœux de mariage, mais sur le moment, j'étais perdue dans l'intensité de ce que je ressentais pour Gino. Au fur et à mesure que notre
liaison s'intensifiait, je me sentais de plus en plus divisée j'aimais mon mari plus que tout, mais je ne pouvais pas nier la connexion profonde et passionnée que j'avais développée avec Gino. C'était comme s'il réveillait une partie de moi dont je ne soupçonnais même pas l'existence, une partie sauvage, spontanée et libre. Je me sentais vivante dans se bras, chaque pénétration de sa queue m’apportait plaisir et jouissance, ce qui, à ce jour, je n’avais connu avec mon mari.
J'ai essayé de rationaliser mon comportement en me disant que ce qui s'était passé sur l'île resterait sur l'île, qu'une fois de retour à la maison je pourrais mettre cette aventure derrière moi et me consacrer pleinement à mon mariage. Mais au fond de moi je savais que je jouais avec le feu et que les conséquences de mes actes pouvaient être dévastatrices. J'étais empêtrée dans un réseau de tromperie et de passion, et je ne savais pas comment m'en sortir sans blesser toutes les personnes impliquées.
Notre liaison interdite s'est intensifiée pendant le reste de la lune de miel, Gino et moi avons saisi toutes les occasions d'être ensemble, volant des moments en cachette. Chaque fois que nous le pouvions, nous nous rencontrions sur des plages isolées, dans des coins sombres de la station balnéaire, et même dans sa chambre la nuit, lorsque Marc dormait. Chaque rencontre était une montée d'adrénaline une fusion de passion débridée, et de culpabilité écrasante. Nos conversations sont devenues plus profondes et plus personnelles.
L'intensité physique de notre relation s'est accrue au fur et à mesure que notre connexion émotionnelle se développait, nos rencontres sont devenues plus audacieuses et plus passionnées. Nous nous donnions l'un à l'autre sans réserve, explorant nos corps avec urgence et désespoir. Chaque baisers, chaque caresses était comme un choc électrique qui me faisait me sentir plus vivante que jamais.
Mais la culpabilité et le remord étaient toujours présent, tapis dans les recoins de mon esprit. Après chaque rencontre avec Gin,o je me sentais sale et traître. Je regardais Marc dans les yeux, et voyais l'homme aimant et confiant que j'avais épousé, alors que j'étais devenue une menteuse et une infidèle. J'essayais de compenser en me montrant très aimante, et attentive envers lui mais. Je savais qu'au fond de moi, je vivais un mensonge, que quand il me baisait, c’était la queue de Gino que je ressentais.
Parfois j'ai envisagé de tout avouer à Marc, de me libérer du poids de mes actes, et d'en assumer les conséquences, mais à chaque fois que je trouvais le courage de le faire, j'étais paralysée par la peur. Je craignais de tout perdre, mon mariage, ma stabilité, ma réputation. J'ai donc continué ma double vie, en essayant de maintenir un équilibre, entre mon amour pour Marc, et ma passion pour Gino.
A l'approche de la fin de notre lune de miel, j'ai commencé à ressentir une angoisse grandissante, je savais qu'une fois rentré chez nous, il serait beaucoup plus difficile de voir Gino et de garder notre secret. Une partie de moi aspirait à l'excitation et à la passion qu'il provoquait en moi, mais une autre partie savait que je devais mettre fin à cette liaison avant qu'elle ne détruise tout ce que j'aimais.
Lors de notre dernière nuit, Gino et moi nous sommes retrouvés près de la cascade, là ou tout avait commencé. Nous avons fait l'amour sous les étoiles avec le bruit des chutes d’eau pour seule compagnie. C'était un moment de beauté et de tristesse mêlé, sachant que ce serait probablement la dernière fois que nous serions ensemble de cette manière. Nous nous sommes serré l'un contre l'autre, perdu dans nos émotions et dans la peur de ce qui allait suivre.
De retour à la station, j'ai dit au revoir à Gino en l'embrassant passionnément une dernière fois, et en lui promettant silencieusement de ne jamais oublier ce que nous avions partagé. Je suis ensuite retourné dans ma chambre où Marc m'attendait avec un sourire affectueux, inconscient de la tempête émotionnel qui faisait rage en moi.
Alors que nous faisions nos bagages, j'ai essayé de me convaincre que je pouvais mettre cette affaire derrière moi, et continuer ma vie comme si rien ne s'était passé. Mais au fond de moi, je savais que les choses ne seraient plus jamais les mêmes. J'avais dépasser les bornes et je devais maintenant faire face aux conséquences de mes actes aussi douloureux soit-il.
Le retour de notre lune de miel a été un tourbillon d'émotions contradictoire. D'un côté j'étais heureuse de retrouver un environnement familier, entouré de nos amis et de nos habitudes, mais d'un autre côté, je ne pouvais m'empêcher de ressentir un vide profond en moi comme si j'avais laissé une partie de moi-même sur cette île paradisiaque, j'ai essayé de me plonger dans la normalité de la vie de couple, en déballant mes affaires, en rangeant la maison et en me remettant au travail.
Marc était enthousiaste à l'idée de commencer notre avenir ensemble, parlant de projets d'achat d'une maison, de fondation d'une famille et de construction d'une vie commune. J’acquiesçais et je souriais, mais à l'intérieur, je luttais contre la culpabilité et la confusion qui me rongeait. Je n'arrêtais pas de penser à Gino et au moment passionnés que nous avions partagé, son souvenir me hantait à chaque coin de rue. A chaque moment de silence, je regardais Marc et voyait l'homme aimant et dévoué que j'avais épousé, mais je ne pouvais m'empêcher de comparer les deux dans mon esprit, la passion et l'excitation que j'avais ressenti avec Gino semblait à pâlir en comparaison du confort et de la stabilité de mon mariage.
J'ai essayé d'enfouir ses pensées et ses sentiments en me convainquant que ce qui s'était passé sur l'île n'était qu'une erreur, une aberration passagère. Je me suis efforcée d'être l'épouse parfaite en préparant les plats préférés de marque, en organisant des soirées romantique, en lui témoignant de l'affection, à chaque fois que j'en avais l'occasion. Mais malgré mes efforts, je sentais qu'il y avait une distance invisible entre nous, un secret qui pesait lourd sur mon âme.
Quelques jours plus tard, alors que je faisait du shopping avec une amie, je m’arrêtais à l’agence ou Marc avait acquit nôtre lune de miel. Ma curiosité me poussa à rentrer, et consulter les brochures. Je tombais sur l’hôtel ou nous étions Marc et moi. Je la feuilleté, et tombais sur un volet ou il y avait toutes les photos du personnel, don celle de Gino. Tout les souvenir ressurgissaient dans mon esprit, revoyant touts les scènes torrides passées ensemble. Fière, je montrais la photo de nôtre guide à mon amie.
- Ouah...quel canon, dit-elle.
- Et comme il baise, lâchais-je involontairement, me trahissant ainsi.
Je vis le visage, d’abord surpris de mon amie, s’éclairer d’un sourire coquin.
Quelques jours après, alors que je prenais une douche, Marc m'a demandé
- Chérie, je peux emprunter ton téléphone pour passer un coup de fil, le mien est vide.
- Bien sûr mon amour, il est dans mon sac, lui criais-je de la salle de bains.
Lorsque je suis descendu, j'ai remarqué un changement dans son comportement. Il semblait distant préoccupé, comme si quelque chose le tracassait profondément.
Plus tard, alors que c’est lui qui était sous la douche, j'ai consulté mon téléphone pour voir s'il y avait des indices sur ce qui avait pu le tracasser. C'est alors que j'ai vu des vidéos de Gino et de moi sur l'île, se serrant dans les bras, s'embrassant, passionnément. Des vidéos dont je n’'avais pas connaissance, prise à mon insu dans des moments d'insouciance et de passion. J’ai senti le monde s'écrouler autour de moi.
Marc avait vu ces vidéos, il avait découvert ma trahison. Ces vidéos me montraient dans les positions le plus scabreuses, sans équivoque. Gino me chevauchant comme une monture en chaleur. Chaque baisers passionnés, chaque fellation, chaque pénétration ne m’apportait que jouissance. Le cri de mes orgasme était à peine couvert par le bruit de la cascade. Et mon mari avait vu tout ça.
Lorsque Marc est rentré du bureau ce jour là, il m'a regardé avec une expression de douleur et de trahison que je n'oublierai jamais. Ses yeux étaient rouge, gonflé comme s'il avait pleuré en silence.
Il m'a demandé d'une voix tremblante si j'avais quelque chose à lui dire, si je devais lui avouer quelque chose. A ce moment-là, j'ai su que je ne pouvais plus mentir. Les larmes ont commencé à couler dans mes yeux, lorsque je lui ai raconté ma liaison avec Gino. Je lui ai parlé de l'attirance instantané que j'avais eu, des rencontres passionnées que nous avions partagé, et du bouleversement émotionnel que j'avais vécu. Je lui avouais que je n’avais aucun sentiment pour lui, ce n’était que physique, sexuel.
Je l'ai supplié de me pardonner, de comprendre que je n'avais jamais voulu le blesser, et que je l'aimais de tout mon cœur, qu’il était l’homme de ma vie. Mais au moment où les mots sortaient de ma bouche, j'ai vu le visage de Marc passer de la tristesse à la colère, et à la déception. Les mots qu’il a prononcé alors m’ont transpercée comme des coups de poignard, m’accusant d’avoir tout détruit.
Il m'a dit qu'il avait besoin de temps pour réfléchir, pour assimiler ce qu'il avait découvert. Il a pris quelques affaires et a quitté la maison, me laissant seule avec ma culpabilité et ma honte. J'ai passé les jours suivants dans un état d'angoisse et de dégoût. J'ai pleuré jusqu'à n'en plus pouvoir, revivant chaque instant de ma trahison, me détestant pour ce que j'avais fait. J’attends toujours sa décision.
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