Mon épouse sort ce soir

Un jour, le téléphone de Cindy, ma femme vibra, alors qu’elle était sous la douche. Je me permis, même si je ne fais jamais ça, de l’ouvrir. Je l’ai relu trois fois, tellement ma surprise fut grande. Il disait tout simplement?

« Ma chérie, j’ai adoré passé cette soirée merveilleuse avec toi. J’espère un jour passer toute une nuit ensemble. Pour ce qui est de vendredi, j’aimerai que tu portes une courte jupe, pas de culotte et que ta chatte soit bien épilée ».

J’étais abasourdi, je m’assis sur le canapé, KO. Mais qu’était cette histoire, à quoi correspondait ce texto, et de qui ? Avant que son épouse ne sorte de la salle de bains, je m’empressais de transférer le message sur mon portable. Puis, elle arriva au salon.

- Bonjour mon chéri, ça va me dit elle en me donnant un baiser.

- Très bien, amour, je pensais, on pourrait se faire une soirée resto vendredi.

- Oui...pourquoi pas...ah non, j’ai une soirée de prévue vendredi….samedi si tu veux.

Je ne répondais pas, mais le message, le refus, tout cela m’inquiétait. Je repassais le message, à la recherche du moindre indice. Ou avait lieu le rendez-vous, avec qui.

J’appelais Karl, mon meilleur pote pour lui expliquer mes doutes. Il me dit qu’il serait vraiment étonné s’il apprenait que Cindy fasse n’importe quoi. Puis, à part un hôtel, je vois pas ou elle pourrait aller...si, il s’est ouvert un nouveau club en dehors de le ville.

D’après mon pote, qui est barman la bas, les soirées sont animées et chaude, beaucoup de rencontre. Ils vienne de finir d’aménager des alcôves à l’étage, et d’installer des caméras partout pour la sécurité, et éviter les trafics de drogue.

D’après ces renseignements, je décide de ne pas confronter ma femme sur le message, mais préfère surveiller et contrôler ses sorties. Je rappelais Karl.

- Salut Karl, tu m’a bien dit que ton pote était barman la bas. C’est un pote, un vrai...ou.

- A non, c’est un vrai pote, à qui j’ai rendu de nombreux services.

Dans la foulée, je proposa à Karl d’y aller boire un verre un de ces soirs. Quant à ma relation avec ma femme, elle s’est un peu réduite. Une fois de plus, je profite de son absence à la douche pour regarder son téléphone. Elle a répondu au message.

« Tu exagères Pat, l’autre fois, pas de soutien-gorge, là pas de culotte, c’est quoi la troisième, que je vienne nue ? Imagine si mon mari s’en aperçois. Je vais voir si je peux faire ça sur le trajet, mais ne me demande plus rien de ce style. Bisous, à vendredi »

Il est quinze heures quand Karl et moi nous garons devant le club. Nous commandons deux bières au bar.

- Oh...salut Karl, comment va.

- Bien, je te présente mon pote Stan, il a un truc à te demander.

- Salut, répond le barman, c’est quoi.

Je lui explique ma situation, et lui demande si je peux récupérer les bandes ou ma femme apparaît, si toute fois c’est ici qu’elle vient. Il m’avoue que c’est compliqué, que c’est pas eux qui gère le système de surveillance, mais qu’il peut se renseigner.

Je lui dis que s’il faut allonger des billets, il n’y avait pas de problème.

- OK, dit le barman, on se tient au courant.

Je dépose Karl chez lui, et rentre chez moi. Je surprends Cindy au téléphone, tout sourire. Il s’estompe quand elle me vois. Je lui donne un baiser forcé, puis fonce à la douche. En passant devant la porte ouverte de sa chambre, je remarque une jupe courte, posée sur le lit. C’est la première fois que je la vois, et me doute de son utilisation.

Je m’apprêtais à reprendre le chemin de la salle de bains, quand je reçus un message. C’était Karl. Je l’ouvris.

« Salut Stan, mon pote à rendez-vous avec la société de surveillance pour certaine suspicions. Il me demande si tu n’aurait un photo de ta femme au cas ou »

Après une rapide recherche sur mon téléphone, j’en envoyais une, la plus belle. Il ne me restais plus qu’à attendre.

En sortant de la douche, Cindy m’attendais. Elle me pris par la main, m’emmena à la chambre, ou je remarquais que le courte jupe avait disparue. Elle fit tomber la serviette, et tomba à genoux.

- Que vas-tu faire, je lui demande.

- Te tuer, dit-elle en me prenant en bouche.

L’après midi fut torride, Cindy se transformant en mangeuse, elle voulait tout, acceptait toute les positions. Après le troisième orgasme, je me disais que pour une femme qui avait un amant, elle accomplissait d’énorme performances. Mais, avait-elle un amant ?

Je reçu enfin un message de Karl. Après ce que je venais de vivre, je me demandais si j’allais l’ouvrir. Ou il ne se passait rien, ou s’était la fin de nous.

J’appelais Karl, lui demandais si elle apparaissait sur le vidéos. Je lui demandais s’il avait vu quelque chose d’anormal. Il me répondit que c’était à moi de le découvrir.

Je pris une grand inspiration, et ouvrit le message. Et là, j’ai vu.

Je l’a vu se déhancher sur la piste, pendu au cou d’un homme, que je pensais être Pat. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser passionné, tandis qu’un autre homme s’approchait derrière elle. Il la prit par la taille, remonta sous le débardeur. Je vis ses mains agripper se seins. Puis je l’a vu entrer dans un pièce suivi des deux hommes.

C’est ce vendredi soir qu’elle a rendez-vous.Elle sort de la salle de bains, vêtue d’une courte jupe. Je la reconnais. Je veux m’assurer si elle a suivi le message à la lettre. J’envoie une main, et rentre en contact avec une chatte nue, parfaitement épilée. Bizarrement, elle ne se recule pas.

- Ou vas-tu, lui dis-je, tu vas rester ici, OK

- Quoi, éclate-t-elle de rire, c’est mon dernier week-end, après je suis tout à toi.

Je regarde ma femme, ne sais plus quoi dire pour la retenir. C’est moi qui lui donné ces deux week-end de liberté, comme un mariage ouvert, maintenant, je le regrette.

- Et si je te supplier de rester, demanda-t-il.

- J’irai quand même, il est trop tard pour reculer.

Je retirai ma main, regrettant le contact doux de sa chatte, et de sa fente épilée.

- Et pourquoi cette tenue ?

- Pour gagner du temps. Et puis, c’est le genre de vêtement que tu ne trouves plus.

Je la regarde avec tristesse. Je sais que cette nuit, elle va faire à ses amants, les faveurs auxquelles je n’ai pas droit.

- Tu vois, contrairement à maintenant, demain matin, ma chatte va être tout mouillée. Je peux te garder la reste du plaisir de mes amants si tu veux, ou dans ma bouche. Ce serait un réel plaisir de te voir goûter au sperme d’autres hommes.

Elle m’embrassa, et partit, répondant au klaxon d’une voiture