Avec d'autres hommes devant mon mari

Récit érotique écrit par mazaudier le 22-09-2024
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Catégorie Infidélité

J’ai toujours su que je n’étais pas faite pour les choses conventionnelles, mais la vie m’a obligé à suivre le courant comme les autres. J’avais envie de briser le moule un jour, et me donnais la liberté de faire des chose qu’on m’avait toujours interdite. Je pensais que ça n’arriverait jamais, mais ce jour est arrivé. Je revenais des vacances d’été, quand Gérard mon mari s’est assis devant moi, m’a regardé attentivement et m’a dit.

- Chantal, je crois qu’il est temps d’être honnête.

Mon cœur s’accéléra encore plus fort, m’attendant au pire. Ces mots semblaient être ceux que n’importe qui dirait pour rompre une relation. Cela me faisait peur, car j’aimais énormément mon mari, et je ne voulais pas le perdre, même si cela impliquait de me contenter de ce qui pouvais me donner dans tous les sens. C’était un homme aimant, attentionné, qui me baise divinement, à qui je m’offre sans retenue, il sait comment me faire jouir ce coquin, à tel point que je me sentais coupable d’en vouloir toujours plus. Ce n’est pas pour autant que j’envisageais de chercher ailleurs, mais plutôt d’expérimenté un désir qui m’avait été toujours interdit.

J’ai toujours été une femme assez audacieuse, j’aime l’attention, être désirée, et cela ne me dérange pas de le faire en public si la situation l’exige.

Gérard lui, est plus traditionnel, pus réservé, et même s’il avait toujours cédé à mes fantasmes, ces derniers temps, je l’avais trouvé un peu fatigué, ennuyeux.

Il m’a plus, oui, mais c’était comme avoir une saveur de glace préférée. Même si c’était vôtre préférée, après un certain temps, vous voudriez vous donner l’opportunité de vous offrir à d’autres, c’était quelque chose que je ne dirais pas à mon mari, pas après cinq années incroyables à ses côtés...jusqu’à ce jour.

Nôtre conversation a commencé à prendre un ton plus inquiétant, quand Gérard m’a dit de faire comme s’il rien ne m’arrivait, même s’il voyait que je n’était pas contente de lui. Je dois avouer qu’au début, j’ai adopté une attitude défensive, mais quand j’ai remarqué que mon mari était inquiet, j’ai décidé d’être honnête.

- Je t’aime chéri, tu le sais, ai-je dit, mais tu me suffis plus.

Il a immédiatement compris à quoi je faisais allusion. La dernière fois, ce fut un désastre, car Gérard ne voulait pas céder de le faire dans les toilettes d’une boite de nuit, ou nous étions allés. Il avait par peur que ses amis se rendent compte de ce qui se passait, et cela a fini de tuer le désir qui avait surgit à ce moment là.

Ce sont ces petites choses qui m’ont donné envie d’avoir quelqu’un d’autre pour

me débarrasser de ces idées que beaucoup considérerait comme un pêcher.

C’était comme emprunter la chaleur d’un autre homme pour une nuit, m’enchevêtrer dans ses bras, sucer sa queue, me faire pénétrer, et me permettrait de vivre ce que mon mari, à cause de ses peurs, de son insécurité ne m’avait pas prévu pour moi.

- Je veux quelque chose de plus que ce que tu me donnes, lui dis-je, espérant être plus catégorique dans ma demande.

Gérard se leva de table, se couchant immédiatement.

J’ai encore pensé, le cœur blessé, que cela n’avait servi à rein que d’être honnête, parce que les choses ne s’étaient pas déroulés de la manière la plus favorable.

Cette nuit là, j’ai pleuré, pensant que j’avais perdu le meilleur homme du monde, simplement parce que je n’étais pas satisfaite de lui. Mais lorsque le soleil s’est levé ce week-end, mon mari m’a fait la surprise de m’offrir une petite boite, contenant un appareil qui me semblait familier.

Je l’avais déjà vu circuler sur internet, des femmes disaient que c’était bien pour faciliter l’intimité des couples dans les lieux publics. Ceci est connecté via une application que toute personne possédant l’appareil pouvait contrôler et même si j’ai toujours voulu en posséder un, je n’ai jamais eu le temps de le demander.

- Je le prends, m’a-t-il dit. Nous allons dans un bar ce soir, ou tu porteras ça, et tu pourras choisir qui tu veux pour ton jeu.

Dire que j’étais surprise était un euphémisme, je ne comprenais pas exactement à quoi Gérard faisait allusion, mais mon esprit était devenu vide, et je ne savais pas quoi dire. Il a semblait comprendre ma confusion, et s’est alors assis à côte de moi. Il a commencé à parler des choses qu’il avait apprises, après avoir recherché comment résoudre mon problème. Il m’a parlé des relations ouvertes, de leur fonctionnement, et de la manière dont elles seraient bénéfiques pour nous deux.

Gérard m’a dit que ce n’était pas facile pour lui d’accepter cette possibilité comme quelque chose de réel pour nous deux, mais lorsque qu’il accepté l’idée que sa femme soit prise par d’autres hommes, l’idée a fini par paraître plutôt séduisante. Cependant, il m’a dit aussi qu’il fallait établir certaines règles.

Les plus importantes étaient que nous ne pouvions pas repérer la personne, et qu’elle avait la possibilité d’être présente à la réunion. J’ai accepté sans hésitation, enthousiasmé par ce qui allait ce passer au bar. En réalité je ne savais pas avec certitude si quelque chose arriverai à quelqu’un d’autre, car le simple fait de savoir que mon mari pouvait me contrôler avec son portable était fou.

Mais lorsque je suis rentré dans cet endroit rempli de monde, je sus que je n’en sortirai pas tant que je n’aurai pas réalisé l’un de mes fantasmes les plus fou.

A nôtre arrivé, nous nous sommes immédiatement dirigés vers une table vide.

Je portais une robe courte rouge qui mettait en valeur mes sublime courbes, que j’avais grâce à la génétique, et au bon style de vie que je menais.

Ce n’était donc pas une surprise de voir que, pendant que nous marchions, plusieurs hommes fixaient mon corps avec un désir évident sur leur visage.

A ce moment là, je pensais que ce serait un jeu d’enfant de trouver quelqu’un prêt à être avec moi. Il suffirait simplement d’être séduisante sur la piste de danse, ou de marcher jusqu’au bar pour commander un verre. J’ai donc décidé de me détendre avant de me lancer dans une sorte de chasse.

J’ai marché lentement, remarquant comme mon corps se contractait autour du jouet que je portais. C’était comme une délicieuse torture qui me donnait l’impression se faire quelque chose d’interdit.

Le même sentiment lorsque je l’avais fait avec mon mari en privé.

Juste après nôtre troisième bières, lorsque l’on s’est sentis plus à l’aise dans l’environnement, j’ai décidé d commencer à jouer. C’était maintenant ou jamais.

- Et toi et moi commençons ? Dis-je à Gérard.

Il m’a regardé attentivement, et j’ai pu voir que ses pupilles s’étaient dilatés. Il a sorti son téléphone et la posé sur la table pour me faire voir quand il activait l’application. Après plusieurs réglages techniques, les travaux ont commencés. Mon esprit ne pouvait penser à rien d’autre que la friction du jouet que j’avais là. Je ne faisait pas de bruit ou quoique ce soit du genre, mais certains mouvements involontaire de mon corps, pouvaient révéler ce que mon mari et moi, faisions.

C’est alors que j’ai remarqué que plusieurs garçons autour de moi, semblaient remarquer ma situation. Je viens d’établir un contact visuel avec l’un d’entre eux, je ne savais pas quelle expression j’avais, mais d’après ce qu’il avait, je pouvais ressentir que j’avais attiré son attention.

C’est pourquoi il s’est approché de nôtre table, et s’est présenté par son propre nom. Nathan, trente cinq ans, et membre organisateur de la fête qui se dérouler ce soir là au bar.

- Est-ce que tout va bien ici ? Dit Nathan.

Ma première pensée a été que c’était un homme qui rayonnait de confiance. Il portait une chemise noire, dont les manches étaient retroussées jusqu’aux coudes, révélant ses bras galbés et un jean’ sombre et usé s’adaptait parfaitement à son corps athlétique. Il n’était ni ostentatoire, ni tape à l’œil, mais son attitude confiante et sa présence magnétique le rendait irrésistible.

- Bien sûr, a répondu mon mari. Pourquoi ?

- Je viens de remarquer que ta petite amie était un peu agitée, répondit Nathan en souriant d’un air entendu à mon mari.

J’avais l’esprit tellement concentré sur las sensations que me procuraient les vibrations que je ne pouvais lui faire qu’un petit sourire malicieux.

- Ma femme est très bouleversée, a poursuivi Gérard. Voudriez-vous aider ?

Ensuite j’ai vu comment il tournait la main, pour donner une vue plus large de ce qu’il faisait sur son téléphone portable. Pour être honnête, Nathan n’a pas été surpris lorsque mon mari lui a montré le petit jeu que nous jouions. Au lieu de cela, il a décidé de s’asseoir à côté de Gérard, sans quitter les miens des yeux.

- Ça ne te dérange pas si je le fait, a-t-il demandé avant de décrocher le téléphone.

Gérard haussa les épaules.

- Pas du tout, dit-il. Tu peux en faire ce que tu veux.

Et c’est le début de la nuit le plus folle que j’ai eu depuis longtemps. Les doigts habilles de Nathan glissèrent sur le téléphone, provoquant une intensification sur l’appareil.

Je n’étais qu’un paquet de soupirs étouffés, tandis que Gérard regardait silencieusement avec curiosité. Le reste appartient à l’histoire.

Les mains de Nathan m’ont rapidement conduites à la salle de bains, ou il m’a embrassée avidement, tout en faisant courir ses mains chaudes.

Mon esprit ne pouvait que penser qu’il y avait cette étincelle que je cherchais depuis longtemps.

Je me sentais encore plus reconnaissante à mon mari d’avoir suggéré cet accord.

- Est-ce que ça va si ton mari n’est pas là ? M’a-t-il demandé à voix basse lorsque nous nous sommes arrêtés pour reprendre nôtre souffle. A cette occasion, mon mari a laissé Nathan s’occuper de tout dans les toilettes, ou nous espérions que

personne ne remarquerait ce que nous faisions.

- Oui...tout ira bien, lui dis-je, et je l’embrassais à nouveau.

Au début, les choses étaient un peu maladroites, car pour être honnête, il était un peu plus grand que Gérard, mais il m’a ensuite montré son savoir faire et tout son talent, jusqu’à me faire oublier mon propre nom. C’était sans doute un tour très court, mais substantiel. Mais ce n’était qu’un début. Lorsque nous avons quitté la salle de bains, Gérard, lui et moi, nous somme rendus dans un hôtel voisin, qui permettait à rentrer à trois personnes dans la chambre.

Nous nous sommes donnés la liberté d’être détaillé sur tout ce que nous voulions. Mon mari s’est contenté de regarder ce que Nathan et moi faisions, tandis qu’il s’amusait. Je ne pouvais m’empêcher de les observer, et de me sentir épanouie pour la première fois, ressentant comment le bonheur devenait une explosion pour la cinquième fois. Deux hommes bien différent, et avec des missions bien différentes à cette époque.

Rien n’a changeait pour ce que je ressentais pour mon mari, mais les choses que Nathan faisaient ne pouvaient être comparées à rien au monde. J’ai eu la chance de pouvoir expérimenter les deux choses à même temps, l’amour inconditionnel qui s’est mit en quatre pour moi, et le désir brûlant d’un homme qui m’avait comblée de tout mes désirs pendant toute la nuit. Cette nuit là, j’ai beaucoup réfléchi. A partir de ce jour, nôtre relation s’est transformée, Gérard et moi formons toujours un couple solide, mais avec désormais, la possibilité d’explorer d’autres expériences ensemble ou séparément. C’est précisément cette première expérience qu a permis de comprendre qu’il méritait de vivre ce que je ne lui donnais pas.

A ce moment là, nous nous sommes sentis tous les deux satisfait de nôtre accord, car nous avons découvert qu’on peut aimer de différente manière, que la monomanie n’est pas la seule manière d’être heureux.

Je prie un autre rendez-vous avec Nathan, mais chez moi cette fois, et en l’absence de mon mari, qui malgré tout, était au courant. A croire qu’il voulait savoir, car mon regard fut attiré par la lueur bleu d’une mini-caméra, cachée dans un pot de fleur. Bien sûr je la débranchais, car il était hors de question que mon mari voit ce que j’allais fait avec Nathan, et que je ne faisais pas avec lui.

Justement cette après-midi là fut torride, au-delà de ce que mon mari pouvait m’offrir. Le clou était quand il a approché son sexe près de l’endroit encore inviolé de mon corps. C’est moi qui d’un coup de reins m’y empalais dessus dans un léger cri de douleur. C’est au cours de cette pénétration que j’atteignais le cinquième orgasme de l’après-midi. Après une douche coquine, Nathan quitta la maison.






































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