Il est dix heures quand je m’installe chez Hervé, dans son pavillon du sud de la France. Hervé et ton meilleur pote. Pris par les affaires, tu dois me rejoindre le week-end prochain. Tu me dis de profiter de cette semaine de célibat, pour chercher une location.
Nous sommes âgés de vingt quatre ans, et avons une vie tout à fait normale, et sexuellement, et professionnellement.
Moi, c’est Carole, et sans me vanter, je reconnais que que j’ai connu quelques aventures, je suis assez jolie, en tout cas, je ne laisse pas les mecs indifférents.
Les yeux bleus, les cheveux blonds lâchés sur les épaules, habillée avec goût, tout le style d’une jeune mariée qui peut encore séduire.
Après un repas léger, je laissais Hervé à son activité favorite...la sieste.
La journée était chaude et humide. C´était une de ces journées où la seule chose que l’on a envie de faire c´est de se relaxer et de se prélasser au soleil.
C’est ce que je décidais de faire, accompagnée d´un bon livre et d´un pichet de sangria bien fraîche.
Plongée dans ma lecture, je ne vis pas le ciel s´assombrir. D’épais nuages noirs envahirent sournoisement le ciel. Je sentis soudain une brise chaude se lever, cette brise chargée des effluves annonciateurs de l’orage.
Je respirais à pleins poumons pour me gaver de cet air si parfumé. J´aime les orages. J´aime cette énergie qui s’en dégage. J´admire la beauté du ciel sombre qui se déchire en un éclair blanc, montrant ainsi toute la force de la nature…
C´est pourquoi, même si je savais que l´orage allait venir, je décidai de rester là, offerte aux précipitation du temps.
La brise était maintenant plus forte et les nuages menaçants étaient de plus en plus chargés. Les premières gouttes de pluie se mirent à tomber et très vite, il plut réellement. Cette pluie rafraîchissait l’air et mouillait mes habits, mes cheveux, ma peau. La pointes de mes seins, réveillées par ce changement, se durcirent.
Lorsque le premier éclair fendit le ciel, j’étais complètement trempée. Le peu de vêtements légers me collaient à la peau. À l´odeur de la pluie se mélangeaient à présent celles de l’herbe et de la terre humides.
Les éclairs s’enchaînaient dans le ciel qui semblait être constamment illuminé.
Je me laissais soudain glisser au sol, attirée par cette odeur envoûtante.
D’un geste brusque, je me débarrassais de mes habits trempés. L’herbe humide piquait ma peau. Mon excitation se faisait grandissante. Je me roulais dans l’herbe, puis m’étendis sur le dos, exposant mon corps nu et vulnérable à cette pluie qui tombait de plus en plus fort.
L’orage gagnait en intensité, et toute cette énergie qui circulait s’empara de moi. Mes mains se mirent à parcourir mon corps, avide de caresses et de douces tortures. Mes doigts s’arrêtèrent sur mes seins, les pinçant, et faisant rouler leurs bouts dressées. Mais ces caresses ne suffisaient pas à nourrir mon envie devenu maintenant presque intolérable.
N´y tenant plus, je laissai mes mains s’aventurer jusqu’à ma chatte avide.
Mon excitation était si grande qu’il me sembla voir le visage de mon mari, dans les nuages. L’excitation que le simple fait d´effleurer mes lèvres intimes me fit vibrer. Mes caresses se firent de plus en plus insistantes, mes doigts fouillant ma chatte humide et torturant mon clitoris. Je fus soudain envahie par une vague de plaisir, un plaisir fort mais un orgasme si court, qui me laissa trop peu satisfaite.
Un frisson me ramena à la réalité. J’étais trempée et j’avais froid. Mon corps était maculé de boue et mes cheveux étaient emmêlés. Je me redressais et attrapais rapidement mes vêtements.
Je couru m’abriter à l’intérieur. C’est alors que j’aperçus Hervé, le pote de mon mari, derrière sa fenêtre. Sous son regard, je sentis toute ma vulnérabilité, debout, entièrement nue, et trempée. Je tentais de cacher ma nudité, d´expliquer la situation, bredouillant des phrases incohérentes.
- Mon dieu Carole…ne reste pas là, rentres, tu trembles de froid.
Je me laissais entraîner vers la salle de bains. Tu ouvris le robinet de la douche et m´y poussa doucement. Le contact de cette eau chaude me fit un grand bien. Tu ne tardas pas à venir me rejoindre, à grande surprise.
Je sentais ton corps chaud contre le mien, ta queue aussi, que je devinais énorme.
Avec des gestes divinement doux, tu lavas mon corps, démêlas mes cheveux.
Ces caresses réveillèrent mon excitation toujours présente et ma chatte était de plus en plus humide.
Apparemment, ce petit rituel ne te laissait pas indifférent. A ce moment là, il n’y avait plus de pote, plus de mari, mais deux êtres qui allaient se donner
J´entrepris alors de te laver à mon tour. Après t´avoir savonné et rincé, je parcourus ton corps de mes lèvres et de ma langue. Ta queue dressée semblait appeler ma bouche chaude et douce. M´agenouillant à tes pieds, j’agaçais ton gland avec ma langue, ce qui te fit frémir. Coquine, j’arrêtai mes caresses.
Tu me dis que j’étais cruelle avec toi, surtout après le spectacle de mon sublime corps nu, que je t’ai offert sous l’orage…
Ainsi, tu avais réellement tout vu. Je rougis un instant puis ressentis un frisson de plaisir, sachant bien que ce spectacle t’avait excité. Je repris mes caresses, prenant cette fois ta bite à pleine bouche, pour une douce fellation. Je fis aller et venir ton membre entre mes lèvres, le caressant en même temps avec ma langue et m’aidant de ma main. Alors que ton souffle s’accélérait et que le désir montait en toi, tu glissais tes doigts doucement dans mes cheveux.
Sentant que ton excitation était sur le point d´être à son comble, je m´arrêtais à nouveau, pour avaler ta semence, ne voulant pas une deuxième fois, te laisser sur ta faim. Je fermais les robinets, te tendis une serviette et te demanda gentiment de m’essuyer, ce que tu fis. Après que tu te sois séché à ton tour, je t’entraînai vers la chambre. Dehors, on entendait gronder l’orage qui reprenait de plus belle. Je te poussais sur le lit et étendis mon corps nu sur le tien. Je t’embrassais avec gourmandise, léchant et mordant tendrement tes lèvres. Doucement, j’ondulais du bassin guidé par une chaleur intense..
Toujours allongée sur toi, je fis lentement entrer ta bite en moi, prenant conscience de cette présence qui emplissait mon ventre affamé.
Me redressant, j’accélérais le mouvement de va et vient de ma chatte autour de ta queue. Tes mains enserraient ma taille, dirigeant mes hanches. Égoïste, je me concentrais sur mon plaisir personnel, plaisir qui montait de plus en plus vite. Toi, tu observais mon visage sur lequel les expressions se succédaient. Je gémis de plaisir et m´effondrai sur toi, le corps parcouru de frissons…
Tu m´embrassas doucement, pour me calmer. Puis, après quelques secondes de répit, tu me retourna sur le ventre et me plaça à quatre pattes. Tu me fis l´amour avec force, comme tu sais que je l´aime.
Tes mains parcouraient mon corps, caressant mes seins, et mes fesses. Nos souffles s´accélérèrent, suivant une même progression. Le plaisir m´arracha un petit cri lorsque tu vins en moi.
Épuisée, je retombai sur le lit. Tu me pris dans tes bras et, comme une enfant, je m´endormis, en rêvant au plaisir que tu allais m´offrir à mon réveil…
En me réveillant, je vis face à moi un objet énorme en érection, décalottée, prêt à assouvir une envie matinale. Pensant au biberon de quand j’étais bébé, sans un cri, je l’engloutis. Ce matin là, nous avons fait l’amour jusqu’à midi.
Après le repas, tu m’invitais à une sieste crapuleuse. Je refusais ton invitation. J’étais mariée, et avait déjà commis mon premier adultère, après seulement deux mois de mariage.
Les journées se suivent et se ressemble. Toujours la même chaleur, la même humide. C´est une de ces journées où la seule chose que l’on a envie de faire c´est de se relaxer et de se prélasser au soleil.
C’est ce que je décidais de faire, toujours accompagnée d´un livre et d´un pichet de sangria bien fraîche. Soudain, je vis le ciel s´assombrir. D’épais nuages noirs envahirent sournoisement le ciel.
Je sentis une petite brise chaude se se faufiler sous ma courte robe en éponge, dépourvue de sous-vêtement, glisser sur mon intimité, exciter mon petit bouton, levant ainsi toute réticences. Je ramasser mes affaires, et rejoignait sagement Hervé au lit. Nous y passons l’après-midi, à baiser, me laissant entraîner dans des sentiers inconnus à ce jours. Et cela dura toute la semaine
Mon dieu...et la location ? Hervé me sauva. en me disant qu’il partait ce week-end, et qui nous laissait le pavillon.
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