Les potes de mon mari me l’ont fait

je m'appelle Laura, j'ai trente cinq ans, et je suis mariée depuis dix ans à Michel, l'amour de ma vie. Lorsque nous nous sommes rencontrés, j'ai été séduite par son charme et sa détermination. C'était un homme travailleur, dévoué à son métier de chauffeur routier. Peu après nos fiançailles, nous avons décidé de sauter le pas, et nous sommes mariés, lors d'une cérémonie pleine d'émotion, entourée de notre famille et de nos amis.

Les premières années de notre mariage ont été merveilleuses, même si le travail de Michel le tenait éloigné de la maison pendant de longues périodes.

Je m'occupais de garder notre maison confortable et j'attendais avec impatience son retour. Chaque fois qu'il revenait, nous fêtions nos retrouvailles avec passion et amour, et folles étreintes. Cependant, au fil du temps, la solitude a commencé à me peser, les nuits sont devenus interminables, et les jours monotones sans sa présence.

J'avais besoin de quelqu'un avec qui partager mes joies, mes peines et mes soucis. Parfois j'avais l'impression que ma vie me filait entre les doigts, alors que je m'accrochais à un amour qui devenait de plus en plus distant.

Un jour, pendant l'un de ses brefs séjours à la maison, Michel m'a dit qu'il avait invité

ses trois meilleurs amis à rester avec nous pendant son absence. Hervé, Lucas et Kevin. Ils étaient comme des frères pour lui, et il voulait à tout prix me les présenter.

J'ai pensé que c'était une bonne idée, que c'était l'occasion de se faire de nouveaux amis et de combler le vide que je ressentais. Mais je n'avais jamais imaginer à quel point cette décision allait changer ma vie pour toujours.

Le jour où les amis de Michel sont arrivés, j'étais à la fois nerveuse et

et excitée. Je voulais faire bonne impression, et qu'ils se se sentent les bienvenus dans notre maison. Hervé, Lucas et Kevin, étaient trois hommes séduisants et charismatiques, chacun avec une personnalité unique qui m'a captivé dès le premier instant.

Après une sieste sulfureuse stimulée par leur présence, Michel et moi, avons pris une douche crapuleuse, avant qu’il ne reprenne la route. Il se leva, se dirigea vers son camion accompagné de ses potes. Je les vis chuchoté ensemble, puis Michel disparu.

Ce soir, j'ai décidé de préparer un dîner spécial pour les recevoir. J'ai soigné chaque détail du choix du menu, à la décoration de la table. Lorsque nous nous sommes mis à table, l'atmosphère était remplie de rire, d'anecdotes et d'une chaleur que je n'avais pas ressenti depuis longtemps. Je me suis laissée envelopper par leur sympathie et leur attention, me sentant apprécié et valorisé en tant que femme.

Au fur et à mesure que la soirée avançait, et que les verres de vin se vidaient, j'ai remarqué que leurs regards se posaient sur moi avec une attention particulière. C'était un désir caché, mais indéniable. Je me suis sentie flattée, et en même temps, une étincelle d'émotion s'est allumée en moi. Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas senti désiré de la sorte. J'ai essayé de repousser ses pensées en me rappelant que j'étais mariée, et qu'il s'agissait des copains de mon mari.

Pourtant, une partie de moi avait envie de se sentir à nouveau vivante, de vivre la passion et l'aventure qui semblaient s'être évanouie dans mon mariage. Ce soir-là je me suis endormie avec un mélange de culpabilité et d'excitation sans savoir que j'étais sur le point de franchir une ligne qui allait tout changer.

Le lendemain matin, je me suis levée tôt pour préparer le petit déjeuner, avant le réveil des garçons.

Je voulais les surprendre avec un festin d'œufs brouillés, de bacon croustillant et de toast fraîchement préparé.

Alors que je me tenais dans la cuisine fredonnant un air et perdu dans mes pensées, j'ai

senti des mains fermes se glisser autour de ma taille. Surprise, je me suis retourné, et me suis retrouvée face à Hervé. Ses yeux sombres me fixaient avec intensité, et avant que je puisse réagir, il a approché ses lèvres des miennes, m'a embrassé avec passion. Je me suis figé un instant, puis me suis laissé emporter par l'émotion du moment. J'ai emmêlé mes doigts dans ses cheveux, et je l'ai embrassé à mon tour avec la même intensité. Nous nous sommes débarrassés de nos vêtements avec empressement, laissant une traînée de la cuisine à la table de la salle à manger. Hervé m'a soulevé et m'a assise sur la surface fraîche de la table, embrassant chaque centimètre de ma peau.

Je me suis abandonné à lui sans réserve, laissant sa langue et ses lèvres me parcourir de caresses expertes, m'amener à une extase et une jouissance que je n'avais pas connu depuis longtemps.

Lorsque tout a été terminé, la réalité m'a frappé de plein fouet. J'avais trahi mon mari, j'avais rompu mes vœux de mariage. La culpabilité m'a envahi, mais en même temps, une partie de moi s'est sentie plus vivante que jamais. Hervé avait réveillé en moi, un feu que je croyais éteint et que je ne savais pas comment l'éteindre...Lui, si

Nous avons nettoyé le désordre de notre rencontre passionnée, juste à temps avant que Lucas et Kevin ne descendent pour le petit-déjeuner. Je faisais semblant d'être normale, mais à l'intérieur, mon esprit et mon cœur étaient un tourbillon d'émotions contradictoires. Je savais que j'avais dépassé les bornes, mais la tentation de me sentir à nouveau désiré était plus forte que mon sens moral.

Après cette première rencontre passionnée avec Hervé, j'ai subitement ressenti le besoin de m'échapper de la maison, et de m'éclaircir les idées. J'ai décidé d'aller me promener dans le parc voisin, espérant que l'air frais et le contact avec la nature m'aideraient à trouver la paix intérieure. Alors que je me promenais dans les allées bordées

d'arbres, je suis tombée sur Lucas.

Le voir là, avec son sourire charmeur et son regard chaleureux, m'a fait chaud au

cœur. Nous nous sommes salués et avons commencé à discuter comme si nous étions

de vieux amis. Je trouvais sa présence réconfortante, et en même temps excitante.

Au fil de la conversation, j'ai découvert en Lucas un homme sensible, intelligent et drôle. Nous avons partager nos, nos craintes et nos espoirs, nous avons trouvé un lien spécial qui allait au-delà de l’attirance physique. C'était comme si nous nous connaissions depuis toujours.

A un moment donné, Lucas m'a pris la main et m'a regardé dans les yeux avec intensité.

Il m'a invité à le rejoindre dans sa chambre d’hôtel, me promettant une soirée inoubliable. Je savais que je jouais avec le feu, mais la tentation était trop forte. Presque sans réfléchir, j'ai accepté sa proposition et nous nous sommes dirigés vers l’hôtel.

Arrivé dans la chambre, nous nous sommes laissés emporter par une passion débridée, nous nous sommes embrassés avec insistance, tout en nous débarrassant de nos vêtements. Lucas m'a délicatement allongé sur le lit, et a commencé à explorer chaque recoin de mon corps avec ses lèvres et ses mains expertes. Mes seins, ma chatte, mon clito. Il m'a fait sentir exploitée, désirée et totalement satisfaite.

Nous nous sommes donnés l'un à l'autre sans réserve, oubliant le monde extérieur et les conséquences de nos actes. A ce moment-là, il n'y avait que nous deux, unis dans une étreinte passionnée, connectés par sa langue sur ma chatte, et sa queue dans ma bouche. Emporter par le plaisir, il n’eut même pas le temps de se retirer, et jouit dans ma bouche.

Après notre rencontre, j'ai été à nouveau envahie par la culpabilité. J'avais encore trahi mon mari, cette fois avec un autre de ses meilleurs amis. Je me sentais perdue et confuse, mais en même temps, je ne pouvais pas nier l'attirance que je ressentait pour ces hommes. C'était comme si j'avais réveillé une partie de moi qui était resté endormi pendant longtemps. Je suis rentrée chez moi le cœur divisé et l'esprit en ébullition.

Je savais que je marchais sur un chemin dangereux, mais une partie de moi voulait continuer à explorer ses sentiments interdits. La tentation était trop forte, et j'étais trop faible pour résister.

Cette nuit-là, j'étais seule dans ma chambre, essayant de m'endormir après les événements de la journée. Mon esprit était envahi de pensées contradictoires et d'émotions mélangées. D'une part, je me sentais profondément coupable d'avoir trahi mon mari non pas une mais, deux fois, mais d'un autre côté, je ne pouvais pas nier l'excitation et le désir que j'avais ressenti dans les bras d’Hervé et Lucas.

Soudain, j'ai entendu frapper doucement à la porte. Intrigué, je suis sortie du lit et j'ai ouvert la porte pour trouver Kevin. Il avait une expression sérieuse sur le visage, et je pouvais voir une certaine gêne dans sa posture. Il m'a demandé s'il pouvait entrer, car il voulait me parler de quelque chose d'important. Une fois dans la pièce, Kevin a commencé à s'excuser si ses amis m'avaient manqué de respect ou m'avait mis mal à l'aise de quelque manière que ce soit. Il m'a assuré qu'il n'oserait jamais franchir la limite, et qu'il appréciait beaucoup mon amitié, et celle de Michel.

Ces paroles m'ont touché et m'ont fait me sentir encore plus coupable. Je lui ai assuré que tout allait bien, et qu'il n'avait pas à s'inquiéter. Mais au fur et à mesure que nous parlions, je sentais son regard se porter sur mes lèvres, et sa respiration s'accélérer

légèrement, mu par une impulsion irrépressible. J’ai tendu mon bras vers son short, sorti sa queue, et les prises en bouche. Il s’est tendu quand ma langue s’est enroulée autour d son gland. Je me suis rapproché de lui et je l’ai embrassé doucement. La surprise passée, Kevin me rendit rapidement le baiser avec la même tendresse.

Nous nous sommes laissés emporter par l'instant, explorant nos corps respectifs avec délicatesse et passion. Contrairement aux rencontres passionnées et débridé d’avec Hervé et Lucas, ce fut une expérience plus intime et émotionnel. Nous avons pris le temps de nous découvrir, d'embrasser chaque parcelle de peau et de chuchoter des maux d'affection. Nous avons fait l'amour lentement, en savourant chaque instant de plaisir. Lorsque nous avons atteint l'orgasme ensemble, nous sommes restés blottis dans les bras l'un de l'autre, profitant de la chaleur de nos corps entrelacé.

Mais la réalité m’a vite rattrapé. Kevin s'est excusé de s'être laissé emporter et à quitté la chambre, me laissant seule avec mes pensées. Ce soir-là, alors que je me couchais, j'ai réalisé que j'étais tombé dans une spirale de tromperie et de trahison. J'avais succombé à la tentation avec les trois meilleurs potes de mon mari, et je ne savais plus comment me sortir de cet enchevêtrement émotionnel. Je me sentais perdue, confuse et rongée par la culpabilité.

Je savais que je devais prendre une décision, mais je craignais les conséquences de mes actes. Comment pouvais-je regarder Michel dans les yeux après ce que j'avais fait,

comment pouvais-je me pardonner d'avoir trahi notre amour et nos vœux de mariage.

Je me suis endormie en larmes, priant pour sortir du labyrinthe d'émotion dans lequel je m'étais fourrée.

Après cette nuit avec Kevin, ma vie est devenue un tourbillon d'émotion, et de mensonges.

Les jours suivant, j'ai remis ça avec Hervé et Lucas à l’hôtel, chaque fois que Miche partait en déplacement. C'était comme si j'avais développé une dépendance à l'excitation et au plaisir de ces rencontres interdites. Chaque fois que mon mari s’absentait, je trouvais des excuses pour quitter la villa, et rencontrer l’un d’entre eux.

Parfois, il s’agissait d’un café innocent dans un endroit discret, d’autres fois, nous finissions par nous emmêler dans les draps d’un hôtel, nous laissant emporté par une passion débridée. Je vivais dans la peur constante d'être découverte, mais en même temps, l'adrénaline de la double vie était enivrante. Je me sentais comme une actrice dans mon propre film, jouant le rôle de l'épouse dévouée, et de l'amante passionnée qui s’offrait aux potes de son mari. Pourtant, la culpabilité,et le remord étaient omniprésent, tapis dans les recoins de mon esprit.

Chaque fois que je rentrais chez moi après une rencontre furtive, je me regardais dans le miroir, et je reconnaissais à peine la femme qui me regardait. Qu'étais-je devenue, comment en étais-je arrivé là ? J'ai essayé de justifier mes actes, me disant que c'était parce que je me sentais seule, et négligé dans mon mariage. J'avais besoin de me sentir désiré et valorisé, mais au fond de moi, je savais que c'était mal.Je trahissais la confiance de Michel et je

mettais en péril tout ce que nous avions construit ensemble.

Au fil des semaines, le poids émotionnel de cette double vie a commencé à se faire sentir, je me sentais épuisé physiquement et mentalement. Je devais travailler de plus en plus dur pour sauver les apparences et empêcher Michel de soupçonner quoi que ce soit. Je vivais dans la peur constante qu'un détail me trahisse, qu'un SMS ou un vêtement mal rangé révèle mon secret. Chaque fois que Michel me regardait dans les yeux, j'avais l'impression qu'il pouvait voir à travers moi, qu'il pouvait découvrir la vérité cachée derrière mon sourire forcé.

Je savais que je jouais avec le feu, et qu'à tout moment tout pouvait s'écrouler comme un château de carte. Mais malgré cela, je ne pouvais pas m'arrêter, j'étais comme prise dans un tourbillon d'émotion et de désir interdit sans pouvoir en sortir. Chaque soir je me couchais à côté de Michel avec le sentiment d'être un imposteur, j'embrassais ses lèvres, mais mon esprit vagabondait vers les souvenirs des baisés passionnés d’Hervé et Lucas et Kevin.

Je faisais l'amour avec mon mari, mais mon corps aspirait aux caresses experte de ces hommes. Je vivais une lutte intérieure constante déchirée entre l'amour que je ressentais pour Michel et la passion que j'avais découverte dans les bras d'autres hommes.

Je savais que c'était mal que j'étais en train de détruire mon mariage et ma propre

intégrité, mais je ne trouvais pas la force d'arrêter. Cette double vie était devenue une prison dont je ne savais pas comment m'échapper, je me sentais prisonnière d'un réseau de mensonge et de tromperie, redoutant le moment où la vérité éclaterait et où tout s'écroulerait autour de moi.

Je savais que je suivais un chemin dangereux et que tôt où tard je devrais faire face aux conséquences de mes actes, mais pour l'instant je continuais à avancer, essayant de garder l'équilibre sur cette corde raide émotionnelle, priant silencieusement pour qu'un

miracle me libère de ce tourment.

Un jour, ils m’annoncèrent leur départ. Je reçu un choc d’entendre ça, alors que j’avais tant à leur donner. En même temps, n’était-ce pas mieux ainsi.

Ce soir là, fut une soirée d’adieux. Nous nous baignions nus dans la piscine, nous adonnant à des jeux érotiques, ou leur sexe me remplissaient de plaisir, ou ma bouche experte aspirait leur jus. Fallait voir comme nos mains s’armèrent de caresses, comment nos doigts se mêlèrent, avant d’explorer les parties les plus intimes de nos corps. C’est un vrai feu d’artifice que je leur composa ce soir là.

Nos corps enfin assouvis, nous tentions de reprendre nos esprit dans une ultime étreinte.

Puis nous avons trinqué pour fêter leur départ...trinquer...trinquer...et trinquer encore.

Épuisée et saoule, je regagnais ma chambre, et ne tardais pas à m’assoupir.

Ma tête avait trop fait la fête, et confondais tout, mon mari et ses potes. Alors que je me trouvais au lit avec Hervé, perdu dans le tourbillon de passion et de plaisir, ma bouche accueillante absorbant sa semence, je m’offrais aux caprices que je refusais à mon mari.

Soudain, trois énormes coups de klaxons venus de la vallée, nous tirèrent de nos étreintes. Mon cœur s'est arrêté un instant et un frisson parcourut mon corps. Michel rentrait à l'improviste de son déplacement. La panique montant en moi. Hervé s'habillait à la hâte, quitta la chambre. Je faisais mine de dormir quand mon mari fit irruption dans la chambre.

- Mais..chéri, dis-je surprise..tu ne m’a pas dis que tu rentrais plus tôt.

- Alors...déçu, répondit-il en sa déshabillant. J’ai trop envie de toi…

J’ouvris mon lit pour l’accueillir, le laissa me caresser là ou quelques minutes plus tôt, des mais expertes me couvraient de plaisir. On fit l’amour intensément, comme un couple dont le mari est resté absent trop longtemps. Quand il m’embrassait, je ne pouvais m’empêcher de penser aux queues que ma bouche avait sucée, avait avalé, tout comme quand il me léchait la chatte, celle qui avait reçu la semence des ses potes. Je simulais mon plaisir tandis qu’il se vidait en moi.