J’offre ma femme à des inconnus.

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A la nuisette noire, étaient attachées des jarretelles qui tenaient des bas montant jusqu’en haut des cuisses. Elle ne portait pas de culotte. Seule une courte jupe noire cachait tout ça, mais ça n’allait pas durer.

Je conduisais depuis une heure déjà. De temps en temps, je dirigeais ma main vers son entre-jambes, et depuis quelques kilomètres, la conversation s’était faite de plus en plus chaude. Nous n’étions plus très loin. Nous avions rendez-vous dans un café du centre-ville. La photo sur le site n’était pas très explicite, allait-on le reconnaître ?

L’adrénaline montait, comme à chaque nouvelle rencontre. J’aimais beaucoup ces premiers moments. Je prenais plaisir à imaginer que dans quelques dizaine de minutes, elle serait probablement nue devant cet homme qui venait précisément d’arriver dans ce café et qui n’avait eu aucune hésitation à nous reconnaître.

Les présentations furent franches et directes. Il avait un sourire large et des yeux rieurs. La voix était grave, la main ferme. Je jetais un coup d’œil à celle qu’il venait d’embrasser sur la joue.

Elle semblait plutôt rassurée, il était bien celui qu’il disait, en un peu mieux. Du charme, de l’assurance, de la séduction. Des mots qui vinrent vite dire le plaisir de nous rencontrer, de la rencontrer, et l’espoir que les prochains moments nous apporteraient plus de plaisir encore, à elle surtout. Moi qui connais intimement chacun de ses regards, je ne lisais dans ses yeux aucune hésitation.

L’appartement n’était pas bien loin, nous pouvons y aller dès que nous le voulons et si nous le souhaitons, annonça notre nouvel ami. Je me levais et les invitais à m’attendre sur le trottoir, le temps que je règle les consommations. Tandis que je payais, je jetais un regard à travers la vitre du bistrot et les vis échanger un baiser, rapide, chaste, mais un baiser quand même.

Le barman le remarqua aussi. Il me regarda puis son regard s’envola à nouveau vers la rue. Cette femme avec laquelle j’étais entré, embrassait l’homme qui nous avait rejoint et que nous ne donnions pourtant pas l’impression de connaître. Le barman avait parfaitement compris la situation. Je le vis à son sourire. J’en fus certain lorsqu’il souhaita une belle soirée à « votre dame ».

C’est exactement ce que je fis dès que je les retrouvais en leur faisant savoir en quelques mots l’intérêt du serveur. Aux regards que nous étions en train d’échanger, il était clair que nous allions lui en donner pour son argent. Notre nouvel ami se pencha vers ma femme et l’embrassa langoureusement, un instant après j’en fis de même. Chacun laissant également traîner une main sur les fesses de la belle. J’espérais que la suite qu’il imaginait faisait bander le barman. Pour moi, en tout cas, c’était le cas.

L’appartement en effet n’était pas loin et c’était fort heureux. Nous étions tous les trois fort excités et attendions impatiemment le moment de célébrer cette rencontre. Cette situation qui n’était déjà pas banale avait encore gagné en cachet, grâce au serveur du bistrot. Il était maintenant devenu urgent de satisfaire ses appétits et de laisser libre cours à nos désirs.

J’avais fait savoir à notre hôte en discutant longuement sur le site libertin où nous avions fait connaissance, que rien ne me plaisait plus que de céder la priorité à nos invités, et je l’avais assuré que la belle y trouvait aussi son compte. Il le verrait rapidement, lui avais-je dit, et le constaterait de lui-même.

La montée par l’ascenseur fut rapide mais intense. C’est à ce moment qu’il s’aperçut que ses bas, tenus à mi cuisse, s’ouvraient sur un fin duvet que nous avions entretenue tous deux ce matin même à son intention. Il lui était directement accessible, sans effort. Je vis sa main s’engager vers cette chatte qu’il allait bientôt connaître et pénétrer. De petits gémissements accompagnèrent les tâtonnements des doigts. Ce fut très court, et le temps que la porte de l’appartement s’ouvre, elle respirait de plus en plus fort.

J’aime voir ma femme au moment où elle va céder à son amant et où elle est emportée, presque malgré elle, par un désir explosif. Et là, collée contre le mur, elle accueillait la fougue de notre hôte qui la fouillait sous sa jupe et l’embrassait à pleine bouche. Je ne dus pas attendre longtemps avant de la voir défaire la ceinture, descendre la braguette et engager la main afin de saisir cette queue qu’elle désirait maintenant plus que tout.

J’aime voir, moi aussi, par quel sexe elle sera prise, et j’apprécie également la surprise. Pour ce soir, la queue qui jaillit dans sa main et qu’elle branlait fermement était plus épaisse que longue, à ce que je pouvais constater. Mais tellement bandée que je me demandai si elle n’allait pas exploser là tout de suite et gicler sur ses vêtements.

Je m’approchais, caressais les fesses de ma femme sous sa jupe, lui glissais quelques mots à l’oreille et la dirigeais vers le petit canapé qui attendait au salon. Notre hôte suivit, sa queue fièrement dressée, sortant de son pantalon. Le canapé les accueillit tous les deux. Je choisis une chaise et déboutonnais mon jean’...

Parmi les moments que je préfère, il y a l’instant où elle se penche sur la bite d’un nouvel amant et la prendre bouche.

Je photographie mentalement ces moments-là, et les garde précieusement. Pour cette fois, j’eus le plaisir de voir disparaître presque entièrement la queue de notre ami dans la bouche de ma belle. Elle est terriblement excitante lorsqu’elle suce comme cela, et terriblement excitée aussi. Je sais maintenant que c’est à cet instant même qu’elle libère tout ce qui lui reste de retenue ou de timidité et qu’elle se rend complètement au plaisir qu’elle va prendre et donner dans cette fellation. Aucun des amants que je lui ai connu n’a regretté les minutes passées dans sa bouche. Je connais fort bien les manières qu’elle a en suçant et je sais à quel point la légèreté de sa langue en même temps que la fermeté de ses joues rendent ces moments difficilement oubliables.

J’en étais assez loin dans mon excitation pour ne pas venir moi aussi m’abreuver à sa bouche. Je vins vers eux et plaçais ma queue sous son regard.

Quittant l’une pour l’autre, elle m’emboucha. Notre ami en profita pour lui prodiguer à son tour quelques caresses en soulevant la jupe. Dessous, sa nudité se mêlait à de la lingerie fine, choisie exprès pour les yeux de notre ami.

Son fin duvet offert, et ses jambes gainées fournissaient le contraste que nous avions souhaité et, pour tout dire, un peu calculé aussi. C’était simplement assez irrésistible. Elle changea de position, s’allongea à moitié et disposa ses cuisses afin de permettre à notre ami de porter sa langue à sa chatte.

Je quittai sa bouche et retournais ma place. Je pouvais désormais attendre les gémissements qui n’allaient pas manquer d’arriver. Ceux-là non plus, je n’avais pas envie de les manquer. Lorsqu’ils me parvinrent, je commençais à caresser doucement mon érection, très doucement. Il ne fallait pas aller trop vite en besogne. J’avais pourtant une terrible envie de m’approcher encore, de me branler devant eux, d’éjaculer sur elle et de gicler partout, mais je savais qu’il me fallait attendre encore.

Elle trouvait parfois assez touchant qu’un amant impatient lâche les voiles avant d’aboutir au port, à moi, elle demandait toujours de la retenue. Elle aimait que ma jouissance accompagne la sienne, ainsi que celle de notre hôte du moment.

Nous nous en étions aperçus un peu par hasard, lorsqu’un de nos invité s’était retiré au moment même où j’en avais fini de ma tempérance et que je m’apprêtais à lui donner mon jet. Les giclées mêlées qu’elle reçut ce jour là lui avaient arrachés de tels cris de plaisir qu’elle souhaitait revivre cette magie.

Je voyais le visage de notre ami disparaître entre les cuisses de ma femme, sa langue aspirer le suave petit bouton, et guettais le moment du premier orgasme.

Il donnerait le signal à notre hôte qu’il était désormais attendu avec toute sa fougue et toute son endurance.

Et pour moi, ce serait un autre délicieux moment à traverser....

Dans la chambre où il nous avait menés, une fois venues les premières convulsions du plaisir, il y eut une sorte de court conciliabule. J’adore lorsque les négociations s’engagent sur la manière de prendre et d’être prise. J’aime entendre comment l’une et comment l’autre parlent de la façon d’aller au plaisir. La belle n’est pas avare de propositions. Elle sait faire entendre son désir et si elle sait le crier, elle sait aussi le dire.

Ils se mirent d’accord pour une prise en levrette. Une position qui, tout en lui permettant de jouir au plus loin de la queue qu’elle allait accueillir, me procurerait à moi aussi un vif plaisir. Je serais aux premières loges pour accompagner la cadence qu’il allait donner et les coups queues qu’elle allait recevoir.

Un préservatif apparu qui fut déballé promptement. Notre ami s’engagea alors assez classiquement, ses genoux pliés et sa queue entrant à l’horizontale dans les fesses écartées. Il commença ses mouvements avec douceur, lentement, dans un premier temps. Ramenant sa bite à l’orée de la fente, la pénétrant d’un coup, en ressortant presque à nouveau. Cela ne manqua pas d’affoler la belle.

Elle le lui fit comprendre, en tout cas. Il accéléra son rythme et chercha à aller plus au fond. Je sais qu’elle aime les queues plus longues et plus aptes à frapper loin, mais je connais aussi son goût pour ces bites plus courtes et plus volumineuses qu’elle aime enserrer et branler dans sa chatte.

Je profitais de ce qui m’était donné, j’avais mon sexe en main, je le savais plus gros et plus long que celui qui était en train de prendre ma femme. J’avais aussi vécu le contraire, bien sûr, et cette variété et cette diversité m’était tout à fait excitante. J’aime regarder un sexe d’homme bandant, s’enfoncer dans la chatte bien ouverte de ma femme.

Là, pour ce qui était de notre ami d’un soir, il en avait fini de son pilonnage horizontal. Il se releva afin de la prendre de façon plus verticale, lui donnant son sexe par le haut, dansant autour d’elle pour maintenir sa position. Ces moments là, je les appelle des moments sauvages, les partenaires qui la prennent comme cela lui tirent des feulements de femelle blessée.

L’instant était venu que j’aille vers eux, que je donne au petit bouton de ma belle quelques nouvelles secousses. Je m’engageais entre ses cuisses, trouvais vite son clitoris et commençais à le caresser. Pendant ce temps, notre hôte continuait à la baiser. Et la conjonction devenait intenable. Cela ne fut pas bien long avant qu’elle ne parte dans un orgasme sonore et liquide. Je reçus sur mes doigts les preuves d’un plaisir et d’une jouissance concrète.

Je regardai notre ami. Nous partagions un moment rare. Allions-nous y ajouter une éjaculation commune et synchronisée ? L’homme me fit comprendre qu’il n’en avait pas terminé. Il était loin d’être au bout. Et si elle était partante, il pouvait continuer un long moment encore. Elle était partante.

C’est ainsi que j’assistai à la séance la plus longue qui m’ait été donné de voir. Il ne dételait pas, ne désarmait pas, poursuivait inlassablement son travail de sape Elle jouit bruyamment à plusieurs reprises.

Je contemplais. Je les quittais aussi de temps à autre, allant chercher de quoi me rafraîchir et les abreuver aussi. Je m’amusais de cette situation où j’étais devenu coursier du plaisir de ma femme et veillais au bien-être de son amant.

J’étais l’observateur satisfait et tendu d’une cavalcade qui semblait fortement plaire à ma jolie compagne. Elle est toujours très belle quand elle est baisée. Plus belle encore quand elle est bien baisée. Là, elle resplendissait.

Notre ami commençait à gémir doucement lui aussi. L’apothéose approchait. Ce fut ma femme qui l’encouragea à en terminer et à finir sa course sur elle, lâchant tout son jus. Il ne fut pas sitôt sorti qu’il explosa, inondant les fesses de la belle de giclées répétées. Je vins alors à eux, me positionnai à mon tour et donnais à la bouche de ma femme tout ce que l’attente avait retenu. Sa langue et ses lèvres rendues laiteuses étaient magnifiques.

Un peu plus tard, tandis que nous étions rhabillés et discutions de nous revoir au plus tôt, je leur proposais. « Et si nous allions en discuter au bistrot? »

Il est un peu tard sans doute, mais pas assez pour qu’il soit déjà fermé.

J’avais une folle envie de saluer le barman et de le remercier pour avoir contribué à cette jolie soirée, et proposais à ma femme de lui accorder une faveur.

Mais comment lui faire savoir que ma chérie ne portait rien sous sa robe, si ce n’est que le lui faire constater. Elle passa derrière le bar, lui prit la main, la guida vers sa chatte, qu’il prit plaisir à caresser. Ce qui n’était pas prévu, c’est qu’elle se penche pour lui faire une fellation, et tout avaler.

Que de souvenir de nos jouissances et de nos plaisirs. Ceci termine cette torride soirée, et souhaitons en connaître d’autres.



















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03-10-2024 0 47

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