Je m'appelle Richard, futur retraité de cinquante huit ans. Je suis marié à Marie et nos trois garçons son bientôt en âge de se marier. Surtout Alexandre, qui selon tout le monde est mon préféré. Je ne pensais pas avoir de favoris, mais je devais admettre que c'était lui qui me rendait le plus fier.
Ainsi, lorsqu'il a présenté Jessica à la famille, j'étais heureux de voir que lui aussi voulait fonder sa propre famille.
En apparence, Jessica était une jeune femme très belle, timide et très gentille, ce
qui plaisait à Marie, mon épouse religieuse, convaincue qu'elle préserverait les valeurs que nous pratiquions à la maison. Cependant, j'apprendrai bientôt qu'elle n'était pas aussi pure et chaste qu'elle le paraissait.
Ce jour-là, nous étions allés dîner en famille dans un restaurant du centre ville. Jessica était arrivée légèrement en retard, vêtue d’une robe ample, laissant apparaître le moins de peau possible, un maquillage discret et une coiffure naturelle.
Elle avait toujours l'air très soigné, mais ce jour-là, elle avait une aura de perfection, qui vraiment, semblait être la femme parfaite.
Elle était si gentille et polie, qu'elle ressemblait à une princesse. En même temps, elle avait une conversation tranquille avec ma femme, mon fils et moi, au point que si l'incident au cours duquel j'ai tout découvert ne s'était jamais produit, j'aurais juré qu'Alexandre avait épousé un ange. Jusqu'à ce que cela arrive.
Un seul appel allait changer complètement ma perception d'elle.
« Je t'ai déjà dit que je ne pouvais pas », murmura-t-elle.
Je quittais les toilettes pour homme, quand je l'ai trouvé sur le côté, parlant sur son téléphone portable, comme si elle ne voulait pas que quiconque le sache. Je suis resté à moitié caché pour espionner sa conversation. C'est cette attitude qui
m'a alarmé, car j'étais considéré comme une personne très perspicace, et à qui
rien ne manquait.
Alors quand je l'ai vu parler à voix basse et regarder autour d'elle, j'ai su que quelque chose n'allait pas, et je devrais le savoir.
« Je suis avec les parents d'Alexandre...non je ne peux pas annulé...»
Puis elle poussa un soupir, presque comme un gémissement.
« Moi aussi je veux y aller, mais ces gens vieux jeux n’arrêtent pas de parler. Puis je ne veux pas croiser l’autre...tu sais, celui qui veut me baiser ».
Ces mots, venus d’elle, m'ont pris par surprise, et j'ai eu le souffle coupé. Je ne m'attendais pas à ce que telle soit la perception que Jessica avait de nous, et encore moins à ce que des mots sortent de sa bouche, que nous considérerions, chez nous, comme indécent.
« Peux-tu ma laisser l’adresse, je promets de venir dès que j’en ai fini ici ».
En entendant cela, j'ai décidé de retourner à la table. Marie a remarqué mon changement général d'attitude, et m'a demandé ce qui s'était passé. Je ne voulais pas entrer dans les détails avec ma femme à ce moment-là, car je ne voulais pas tirer de conclusions hâtives. Toutefois, mon esprit commençait déjà à vagabonder. Jessica trompait-elle mon fils, aurait-elle un autre homme ? Ce sont les questions qui me trottent dans la tête.
A ce moment-là, j'étais convaincu qu'il fallait que je découvre si ce que mon intuition me disait était vrai, même si je devais me donner la peine d'espionner ma belle-fille.
A la fin de la soirée, Jessica dit à Alexandre qu'elle préférait rentrer seule chez
elle. Après plusieurs minutes de discussion au cours desquelles mon fils a insisté pour l'emmener. Je suis intervenu, m’assurant que ça parlait bien de Jessica, car cela montrait qu'elle était autonome et qu'elle pouvait se permettre quelque chose d'aussi simple que de prendre un taxi.
- Laisse-la partir, murmurai-je en la regardant dans les yeux. Les jeunes filles aiment un peu d'indépendance parfois, n'est-ce pas Jessica.
Elle acquiesça, prit une mèche de ses cheveux parfaitement placés, et la passa
derrière son oreille, souriant gentiment.
A ce moment-là, une étincelle s'est allumée en moi. Alors, j'ai proposé de payer la course, et lui ai dit de rentrer l'adresse dans le service de taxi, que j'avais sur mon téléphone. Elle hésita, mais finit par céder et nota l'adresse.
Alors que nous lui disions au revoir. Mon esprit est revenu à la scène dans les toilettes, me laissant un goût amer dans la bouche.
C'était la dernière fois que j'essayais d'ignorer mes doutes, mais j'ai finalement succombé à ce que je pensais devoir faire. Il y avait quelque chose de plus derrière la charmante face de Jessica, et j'avais besoin de savoir ce que c'était pour alerter mon fils. Nous avons continué le chemin jusqu'à la maison.
J'ai décidé de déposer ma femme à la maison, puis trouvais une excuse idiote, en disant que Xavier, un de mes camarades de classe qu'elle ne connaissait pas était revenu en ville pour me retrouver.
Je savais que Marie ne douterait de rien, car à ses yeux j'étais le mari parfait. Elle pensais que je n’avais jamais commis aucune faute. Donc la promesse que je ne reviendrai pas tard, suffisait pour sortir de ma maison à recherche du secret de Jessica.
Pendant le trajet j’imaginais ma belle-fille tromper Alexandre, je l’imaginais en train de faire une fellation, ou se faire prendre par un inconnu hyper monte.
Vingt minutes se sont écoulé lorsque, j'ai ressorti l'adresse dans l'historique de
l'application. Il n'y avait aucune résidence, ni quoi que ce soit qui ressemble à une habitation à cet endroit.
Au lieu de cela, un imposant bar se dressait dans la rue. Sa façade éclairée par des néons vacillaient, annonçant que la nuit ne faisait que commencer.
La musique s'échappait par les fentes de la porte, emportant avec elle les vibrations de ceux que mes enfants aimaient appeler de la musique électronique. Autour de cet endroit, la rue animée était parsemée de néon et de publicité pour d'autres clubs ouverts tard le soir.
L'arôme du tabac et du parfum se mélangeait dans l'air, alors que la température nocturne était si basse, qu'elle semblait vouloir geler la ville. J'ai passé environ cinq minutes à admirer le paysage nocturne, rempli de femmes vêtu de robe décolleté si courtes, que je me demandais si elles n’avaient froid.
A ce moment-là, j'ai pensé que j'avais fait une erreur, que peut-être Jessica habitait quelque part à proximité, et que l'adresse n'était pas précise, car cela ne semblait pas être un endroit qu'elle fréquenterait. C’est alors je l'ai vu faire la queue pour rentrer. L'adrénaline me traversait le dos.
Elle portait une robe noire moulante qui épousait chaque courbe de son sublime corps, soulignant ses formes avec une grande sensualité. Son dos était nu, tandis qu'un décolleté plongeant révélait plus qu'il ne le devrait.
Sûr qu’un ou une complice lui avait fourni cette tenue scandaleuse.
J'ai haleté de surprise quand j'ai vu Jessica, devant cligner des yeux plusieurs fois pour m'assurer que c'était elle, et non un mirage. C’était ma belle-fille, celle qui s'habillait modestement pour nous rendre visite à moi et à ma femme.
Était-ce ce qu'elle cachait ? Il ne pouvait pas y avoir une autre façon pour que mon corps réagisse en étant contrarié par elle.
D'un côté j'avais la tête confuse lorsque j'ai découvert le secret de Jessica, tandis que de l'autre, je pouvais sentir à quel point je commençait à m'exciter à cette vue, surtout quand je la voyais se pencher en avant.
A ce moment-là, j'ai hésiter à entrer dans le bar pour connaître tous les détails de la double vie que menait ma belle-fille, même sans savoir que cela m'amènerait à faire quelque chose de fou.
A l'intérieur je me suis fondu dans la foule, essayant de ne pas être trop visible en observant son comportement. Après une dizaine de minutes, je la repérais avec un groupe de filles. Je n'ai pas été du tout surpris de voir que Jessica était loin de la femme timide, et réservée que nous pensions tous qu'elle était.
Les minutes passaient pendant que je la regardais s'entourer de plusieurs mâles en même temps. Elle bougeait de manière suggestive, buvait dans plusieurs verres, et riait scandaleusement. Une fille lui prit la bouche dans un sulfureux baiser, tandis qu’un homme, placé derrière elle, flattait ses appas, glissait sa main sous la courte jupe. Je voyais son bassin onduler, certainement sur les doigt qui le fouillait. Elle était sans aucun doute une autre Jessica. Celle qui a cessé de me paraître parfaite, qui m'a semblé plus humaine, celle qui n'aurait aucun problème à pêcher.
J'ai décidé de la surprendre en essayant de ne pas m'écraser au milieu des jeunes ivres. Je me suis mêlé aux danseurs et me suis finalement à ses côtés.
Sans aucun doute, ma présence était frappante dans la mesure ou j'étais plus âgée. Elle ne semblait pas me remarquer, car elle était plongée dans la frénésie de la musique et des lumières. Lorsqu'elle s’aperçut enfin de ma présence, et que son regard croisait le mien, ses yeux s'écarquillèrent et elle pâlit.
- Richard...que faites-vous ici ? A-t-elle demandé.
- Surprise, ai-je répondu, essayant de rester calme, même si j'avais envie de rire.
Jessica commença à prendre chaque mèche de ses cheveux, les entremêlant rapidement. J'ai vite compris qu'elle le faisait par nervosité, alors j'ai décidé de me rapprocher de son oreille, et de la calmer un peu.
- Ne t'inquiète pas, je ne le dirai pas à Alexandre, dis-je.
Son expression passa de la peur au calme, pour être remplacé par le doute.
- Pourquoi, dit-elle en haussant les épaules.
- Cela ne me semble pas pertinent, dis-je, je veux juste savoir pourquoi tu fais ça. Jessica ne semblait pas convaincue, mais elle m'a pris le bras et m'a entraîné dans un endroit plus calme, où la musique n'était pas si forte.
Là, elle m'a dit qu'elle savait que ma femme n'aimait pas les femmes, et qu'elle voulait vraiment épouser Alexandre, car il semblait être un bon garçon, qui ferait un excellent mari Elle m'a juré qu'elle était amoureuse de mon fils, et si je ne l'avais pas vu se me faire caresser par plusieurs gars au bar, je ne l'aurais cru.
- Et, tu as…
- Oui, j’ai joui, poursuit-elle.
Cependant, quelque chose d'autre se passait pendant que nous parlions. Il était évident que j'étais physiquement attiré par Jessica, et même si je voulais le faire consciemment, je ne pouvais m'empêcher de quitter son corps des yeux. Je savais par son attitude, que je n'étais pas le seul à vivre cela.
Ses yeux brillaient plus que d'habitude, tandis que ses mains jouait avec son décolleté, et ses boucles d’oreilles. C'était une indication claire qu'elle attendait quelque chose de moi, mais je ne céderai pas, sans qu'elle soit plus directe.
- Monsieur Richard...
- Juste Richard, lui dis-je
Elle acquiesça. Ensuite, elle a passé sa langue sur ses lèvres, et s'est assise sur une chaise et m'a regardé.
- Richard, que voulez-vous en échange de vôtre silence envers Alexandre ?
- Je n'ai besoin de rien en retour, dis-je.
Il y avait encore cette voix que j'avais entendu dans les toilettes du restaurant, ce gémissement qui me ferait presque perdre la tête à ce moment-là.
- Je veux vous récompenser pour avoir été un bon beau père.
Je suis resté silencieux. A ce moment-là. Il y avait quelque chose que je voulais, mais même après avoir ressenti cette attirance pour Jessica, je ne pouvais pas me résoudre à le demander. Cependant elle a semblé lire dans mes pensées, car elle a décidé de prendre le contrôle de la situation, et de de m'emmener par la main jusqu'aux toilettes du bar.
Même si mon dos était appuyé contre le mur d'une des cabines des toilettes pour femmes et que Jessica avait placé le verrou de sécurité correspondant, je sentais mon corps se raidir, de peur que quelqu'un puisse nous voir, que nous puissions être emmené hors des toilettes pour comportement inapproprié.
- Ne vous inquiétez pas, murmura-t-elle à mon oreille, personne ici ne fait attention à ces choses.
Je n'ai pas eu le temps de détendre mon corps, quand j'ai senti sa main sur ma ceinture massant, pendant que sa bouche cherchait la mienne pour s'installer dans un baiser brutal. C'était tellement fougueux et sauvage, que j'ai trouvé ça accablant au début, mais j'ai aimé ça parce que Jessica contrôlait la situation.
Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle se mette à genoux, sortant mon membre, le prenant en bouche, faisant des va et vient rapides et avec force.
Mon esprit était vide, alors que je sentait la chaleur et la sève monter en moi, en même temps que mes mains s'enfonçaient dans ses cheveux.
Alors que j'étais sur le point d'atteindre la jouissance suprême, j'ai essayé de me
retirer de son visage, mais c'était impossible. Elle a agrippé mes hanches si fort que je n'ai eu d'autre choix que de jouir dans sa bouche, la regardant tout avaler adroitement, et essuyer les dernières gouttes.
Je n'étais pas encore descendu de mon nuage, que je la vis se déshabiller.
A chaque vêtement qui tombait, je me sentait plus excité. Elle était magnifique.
En même temps, un sourire satisfait se formait sur sa bouche, et avec force,
elle m'a fait asseoir sur la cuvette des toilettes, pour poursuivre ce que nous
avions commencé. Ma récompense.
Elle avança sur moi évitant mes genoux, et s’empala sur mon membre. Alors que je m'enfonçais en elle, des jurons et des plaintes sortaient de sa bouche, ce qui me faisait bouger avec plus d'élan. Je ne me souciais plus de l'endroit où nous étions, ni du fait qu'on pouvait entendre nos corps connecté, entrer en collision.
C'était un moment sublime que je voulais chérir, qui ne s'est pas dissipé, même
lorsque nous avions réussi tous les deux à nous libérer, et jouir ensemble.
Jessica est rentrée à la maison un matin, après que nous ayons passé une nuit torride à l’hôtel. Cela faisait parti de nos rendez-vous secrets.
Je venais de la douche, quand j'ai vu ma femme, mon fils et ma belle-fille assis sur le canapé. Pendant un instant mon cœur a voulu sortir de ma poitrine, à cause de la peur que cela me causait. Je ne voulais pas que quiconque découvre notre secret, ce que j'avais fait souvent, quand je mentais à ma femme, pour retrouver Jessica, et faire l’amour des heures entières.
Pourtant, à voir leur visage, ils avaient l’air heureux.
- Papa, dit Alexandre, nous avons des bonnes nouvelles.
J'ai hoché la tête, m'asseyant face eux, au côté de Marie.
- Jessica est enceinte, dit mon épouse, ce qui nous oblige à avancer la date du mariage. Nos jeunes tourtereaux sont d’accord. Est-ce que ça te va chéri ?
- On a ta bénédiction, papa ? Demanda mon fils. Tu vas être grand-père.
Je hochais la tête en regardant Jessica. Elle me fit un clin d’œil.
Je regardais Jessica qui semblait être une personne complètement différente de la femme qui était sous mes drap la nuit précédente.
C'était tellement amusant de la voir continué son personnage, mais elle le faisait si bien que j'ai parfois adhéré à sa performance. A la maison, elle entretenait son image de future épouse et de femme modeste, mais avec moi elle révélait secrètement son côté le plus sauvage et le plus décomplexé.
- Tu peux l’épouser, tu as ma bénédiction mon fils, lui dis-je.
L'enthousiasme brillait dans les yeux d'Alexandre. J'ai souri et regarder Jessica croiser les jambes et lisser ses cheveux. Bien sûr, une si belle femme serait une belle fille parfaite, d'autant plus que la nuit nous pourrions nous échapper dans cet endroit où ses jambes s’ouvriraient et m'accueilleraient.
Nos relations torrides se poursuivirent jusqu’à une semaine avant le mariage, avant de faire une pause. Le mariage fut somptueux, buvant, chantant, dansant avec ma belle-fille et maîtresse. Pour la nuit de noces, je finis avec Jessica ce que mon fils, ivre, avait lamentablement commencé. On s’était donné sans compter, bravant tout les interdit pour effacer sa déception.
Après le mariage, nous avons repris nos rencontres secrètes. Lors d’une de nos escapade, Jessica répondit à une question que je ne voulait pas posée, mais qu’elle avait deviné. Elle m’avouait que ce qui grossissait dans son ventre, ne pouvait être que mon œuvre, qu’au moment ou elle s’était faite prendre, ça faisait deux mois qu’elle était brouillée avec mon fils, qu’ils n’avaient eu aucun rapport.
Mon fils, à ce jour ne sait rien de ce qui se passe entre Jessica et moi.
Je sais vraiment que ce que je fait n'est pas digne d’un père, mais chaque fois que je vois Jessica, je ne peux résister à la tentation...elle non plus.
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