Mon mari m’a offerte à son meilleur pote.

Récit érotique écrit par mazaudier le 21-10-2024
Récit érotique lu 1 fois
Catégorie Infidélité

Je m’appelle Céline, et suis la deuxième épouse de Charles, mon mari. Il a quinze de plus que moi. C’est un homme à la vie bien remplie, qui a toujours su satisfaire à tout mes besoins, financièrement, et sexuellement. Sans être aguicheuse, pas mal d’hommes tourne autour de moi lors de soirée, vantent ma insolente beauté.

Certains m’ouvriraient volontiers dans leur lit.

Nous vivons dans une vaste demeure, il a des enfants d’un premier mariage, et je n’ai pas l’intention de devenir mère. L’entreprise de mon mari a toujours réalisé de bons bénéfices, jusqu’à l’année dernière, lorsque tout à commencé à s’effondrer, et que nous avons dû réduire nos dépenses.

Nous pensions que c’était temporaire, mais les ventes ont continués à chuter, et nous pouvions à peine payer la nourriture du mois. Durant cette période difficile, j’ai apporté un soutien inconditionnel à mon mari, je suis resté à ses côtés, et me suis résignée à ne pas dépenser autant que d’habitude. Quand il rentré à la maison après le travail, je l’attendais en nuisette transparente, sans rien dessous, dans la ferme intention de lui remonter le moral. Je prenais sa main, posais ses doigts sur ma chatte, tandis que de l’autre, je caressais son sexe.

Les premiers mois, une bonne séance de baisers, et des caresses coquines sous les draps ont fonctionné, mais mon mari est devenu de plus en plus déprimé, et nous n’avions pratiquement plus de relation. Je ne peux pas le juger, les dernières fois que nous l’avons fait, il n’arrivait pas à garder le moral, je comprends qu’il a beaucoup de soucis en tête, et que cela l’affecte, alors je me réconforte quand je suis seule à la maison ou avec mon jouet préféré. Un jour, Charles, mon mari est rentré à la maison la tête baissée.

- C’est fini Céline, nous devons déclarer faillite.

- Chéri, nous devons pouvoir faire quelque chose, demander un prêt ou de l’aide à quelqu’un, dis-je.

- Les banques ne veulent plus continuer à financer l’entreprise, elles craignent que nous ne payons pas même ce que nous leur devons, et je ne sais vers qui me tourner pour demander de l’argent, a-t-il répondu.

A ce moment là, Daniel Breton, le copain de mon mari, un investisseur aussi rude que prospère, et qui a beaucoup d’argent, m’est venu à l’esprit. Honnêtement, je ne le supporte pas, il est laid, désespérément sexiste, mais dans ces circonstances, c’était la seule alternative.

- Breton, penses-tu que si tu lui parlais, serait près à nous aider ? Après tout, tu es le parrain de son fils, dis-je.

- Je meurs de honte, mais je peux toujours essayer, a-t-il répondu.

- Pourquoi ne l’invites-tu pas lui et son fils. Nous ferions un barbecue au bord de la piscine. De cette façon, vous pourriez parler plus détendu. Faisons le ce week-end.

Il a été d’accord et m’a embrassé sur les lèvres. J’étais enthousiasmé par l’idée. Si tout se passai bien, je pourrais retrouver ma mari, et mon homme au lit.

Le jour du barbecue arrivé, j’ai enfilé un maillot de bain audacieux, et une robe très courte. Breton, l’ami de mon mari, divorcé depuis des années, est un coureur de jupons, j’ai pensé que illuminer son regard pourrait l’encourager à nous aider.

Au moment que mon mari est arrivé avec eux, tout était prêt et je suis allé à la porte pour les accueillir

- Je suis très heureuse de te voir, dis-je au garçon en lui donnant un baiser.

Derrière lui, entra le copain et mon mari.

- Céline de mon cœur, bénis soit ces yeux qui voient une belle brune. m’a-t-il dit.

Tout ça en posant un baiser sur ma joue, trop près de ma bouche, et me serrant très fort dans ses bras.

Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que ses yeux allaient directement dans mon décolleté. Cela me mettait un peu mal à l’aise, mais j’étais prête à supporté ses absurdités pour qu’il finance l’entreprise de mon mari. Je laissais mon époux divertir nôtre invité, pendant que je ma consacrais à la cuisine. Cependant, je pouvais sentir que le regard du copain ne me quittaient pas un instant.

Au début, je me sentais flattée, que ma tenue fonctionnait. Je ne me sentais pas très à l’aise, mais je l’ai caché. Tout au long de l’après-midi, j’ai été très attentive à nôtre invité, je suis allé lui servir plus de bière, et il en a profité pour regarder dans mon décolleté. Je lui demandais si ça allait, et de temps en temps, je me penchais au dessus de la piscine pour mettre de la crème solaire sur son fils, il regardait mes fesses en se mordant les lèvres. Je suis sûre que mon mari l’a remarqué aussi, mais nous étions tous les deux en mission, et si je devais endurer les regards gênant pour sauver nôtre situation financière, je le ferai certainement.

Je suis resté attentive à leur conversation, même si je n’étais pas complètement impliquée, et lorsque j’ai remarqué mon mari commencé à lui parler de la situation de l’entreprise, j’ai décidé qu’il était temps d’enlever ma robe.

Je l’ai mise de côté, et j’ai fixé discrètement mon bikini en faisant des geste pour faire bouger mes seins. Je me suis allongée au bord de la piscine, et commencé à appliquer de la crème solaire, en veillant à offrir un vrai spectacle à nos invités, pendant que mon mari lui parlait.

Je l’ai appliquée d’abord sur mes bras, puis sur ma poitrine en insistant sur les formes, puis me suis penchée en arrière, et en ai passé sur mon abdomen. Je suis une jeune femme et suis bien consciente que mon corps est très attirant pour des hommes de l’âge de mon mari et de son copain. J’ai donc utilisé mes charmes au profit de la mission. Je me suis aperçu que le regard du copain de mon mari me brûlait plus que le soleil.

Je me suis retourné discrètement et lui ai souri, juste au cas ou il aurait besoin d’un petit coup de pouce. Il prêtait à peine attention à ce que lui disait mon mari, mais finalement, je l’ai vu hocher la tête et lui taper le dos en signe d’approbation. J’ai été immédiatement excitée, puis je l’ai ai vu s’éloigner vers le bar, fumer et boire un coup. Mon travail s’arrête ici.

Je pensais mais j’étais très naïve, parce que je n’avais même pas commencé.

Quand l’après-midi est tombé, ils sont partis, et j’ai remarque lorsqu’ils se sont dit au revoir, le copain dire à mon mari de ne pas oublier ce dont il avaient parlés, et qu’ils seraient en contact pour finaliser les choses.

Quand ils sont partis, Charles est s’est assis sur le canapé, et me suis assise à côté de lui. Il restait silencieux un moment, comme s’il voulait choisir ses mots avec soins, et finalement, il ouvrit la bouche.

- Écoutes chéri, tout d’abord, je sois te dire que c’est moi qui doit régler nôtre situation financière, et je ne veux pas que tu te sentes sous pression, a-t-il dit.

C’était une réponse à laquelle je ne m’attendais pas. Je me suis tendue, mais n’est rien dit, je suis juste resté attentive à ce qu’il dirai ensuite.

- Tu sais que Breton est un homme divorcé, qu’il n’a jamais eu de chance avec les femme, précisément parce qu’il ne sait pas comment les traiter. Par contre, il dispose de liquidité assez abondante, des liquidités nécessaire pour fournir le soutien dont nous avons besoin dans l’entreprise, ajouta-t-il.

- Qu’en as-tu conclu de tout ça, va-t-il nous aider ou pas ?

- J’ai beaucoup insisté et étais très anxieux. Il m’a dit qu’il était prêt à le faire.

J’étais prête à sauter de bonheur.

- Je le savais, c’est merveilleux, ai-je dit, nous pouvons enfin retrouver la vie que nous avions mon amour, j’ai dit.

- Attends, poursuit-il, je n’ai pas fini, il le ferait si nous lui donnons des garanties.

Je l’ai interrompu.

- Très bien, et que veut-il, ai-je demandé.

- Il veux coucher avec toi, m’a-t-il proposé.

J’ai senti comme un nœud dans mon estomac. Le sourire sur mon visage s’est effacé, ma respiration s’est accélérée, et j’ai commencé à avoir des sueurs froides.

Comment était-il possible qu’il est suggérer cela, je suis la femme de son ami, et ils se connaissent depuis toujours. De plus, je serai incapable de faire ça à mon mari, et cela me rend extrêmement malade rien que de penser d’être intime avec Breton

- Je te le dis mon amour, je serai incapable d’accepter ça.

- Je sais que tu es une épouse honnête, et je ne peux m’attendre à ce que tu te soumettes à une telle humiliation pour sauver nôtre économie.

Il me la dit, mais au fond de ses paroles, j’entendais le désespoir dans sa voix. C’était vraiment nôtre seul recours, et n’arrivais pas à croire que son copain nous mettait dans une telle situation. Je restais silencieuse, plongée dans l’incrédulité.

- Quoi qu’il en soit, il attend que nous lui donnons une réponse demain, et nous a invités à son hôtel pour discuter. Prends ton temps, et quoi que tu décides, nous le ferons, dit-il.

Je me suis levée, et j’ai quitté la pièce, sans montrait la moindre expression sur mon visage. J’ai ressenti le besoin de prendre un bon bain, après avoir entendu une telle proposition, et c’est ce que j’ai fait. Quand je me suis couché, mon mari était allongé, je savais qu’il ne dormait pas, mais ne savais pas non plus quoi lui dire. Alors, je me suis mise sous les couvertures, et j’ai essayé de dormir.

Le lendemain, la réalité m’a frappé en plein visage, et il me semblait que la vie me disait la réponse que je devais prendre. Je brouiller le dernier œuf pour mon mari, afin qu’il puisse aller travailler l’estomac plein. J’ai bu le café sans sucre, car il était également fini. J’ai embrassé Charles sur les lèvres, avant qu’il ne parte.

J’ai essayé de garder mon esprit occupé, pour ne pas remarquer le passage du temps. Ce jour là, j’ai fait de l’exercice, médité, lu un peu, puis essayé de faire une sieste, mais c’était inutile. Je n’arrivais pas à avoir l’image de Breton, et je le fis hors de ma tête. Rien que d’y penser, me faisais frissonner, et je ne pouvais pas continuer à l’éviter, je devais analyser quel était le pire scénario, en fonction de la décision que je prenais.

Nôtre avenir était entre mes mains, si je refusais, le frigo continuerait à se vider, Charles devrait déclarer la société en faillite, les banques pourraient éventuellement saisir nôtre maison, pour régler les dettes que nous avons envers elles. Nous serions laissés à la rue. Si j’acceptais, je ne savais pas si je pourrais le supporter, je devrais offrir mon corps à cet homme repoussant, grossier, et être prête à participait à toutes perversions qui lui viendrait à l’esprit. Mais d’un autre côté, cela sauverai l’entreprise de Charles, et nous pourrions récupérer nos vie, sans mettre en danger la relation que nous entretenons, car il sais que ce serait un sacrifice que je ferais pour nous deux, et pas une infidélité.

Ce soir là, pendant le dîner, nous étions tous les trois réunis autour de la table. Mon mari et moi, étions visiblement nerveux. Je dirai lui, encore plus que moi.

- Alors, cher copain, et ma bien aimée Céline, quelle réponse as-tu pour moi, dit Breton en posant ses deux mains jointes sur le table, analysant le visage de mon mari et du mien avec son regard.

Mon mari se tourna vers moi, comme s’il voulait deviner ce que je pensais. Il déglutit lourdement et dit.

- Écoutes Breton, je suis très reconnaissant que tu es eu l’intention de nous aider, mais malheureusement, je ne pense pas que…

- Oui...je vais le faire, le coupais-je.

Je l’ai interrompu, et ils m’ont tout les deux regardées. J’ai remarqué qu’un goutte de sueur coulait sur le front de mon mari, et qu’un sourire pervers apparaissait sur le visage de son copain.

- Merveilleuse Céline, je vous garantie que vous l’apprécierez comme jamais auparavant. Ne t’offenses pas, mon pote, je me suis déjà préparé. Mettez ça, ,je vous attendrez dans la suite vingt huit, dit-il.

- Comment...maintenant ? Ai-je demandé.

Mon cœur s’était accéléré, et ma bouche complètement sèche.

- Il est trop tard pour plus tard, a-t-il dit.

Je n’ai pas eu le courage de regarder mon mari en face. J’ai pris le sac, et me suis dirigé vers la chambre.

Quand je l’ai ouvert, j’avais un ensemble de lingerie noire, avec de la dentelle partout. J’ai ôté mes vêtements, et je les ai mis.

Je ne savais pas ce qui serait pire, l’acte lui même, ou les instants précédents

Alors que j’attendais que le copain de mon mari entre dans la pièce pour me prendre, comme si j’étais un objet de son plaisir. Je m’installais sur le lit, et attendis, mais il ne fallut pas longtemps pour le voir apparaître. Il a commencé à ôter ses vêtements, puis est monté sur le lit, et a commençait à m’embrasser.

J’ai fermé les yeux quand ses mains on parcourus mon corps, et et je dois avouer que se caresses étaient extrêmement douces. J’imaginais que s’était mon mari, pour ne pas me sentir si sale et sans valeur. J’ai enroulé mes bras autour de son cou au moment ou il s’est installé. J’ai immédiatement senti sa virilité entre mes cuisses et ai pris une profonde inspiration. Mais je n’étais pas préparée à ce que j’ai ressenti quand il m’a pénétrée.

Ses atouts étaient nettement plus imposant que ceux de mon mari. Il bougeait ses hanches avec cadence, et je pouvais sentir à quel point il me remplissait, dans la même mesure que mon plaisir augmentait. Quelques secondes plus tard, je me suis retrouvée à apprécier cette rencontre. Cela faisait si longtemps que mon mari ne m’avait pas satisfaite, que j’avais absolument besoin de me sentir à nouveau femme. Puisque j’étais dans cette situation, j’allais me laisser aller.

Je me suis accroché fermement à son dos, et enroulé mes jambes autour de son corps, et l’ai supplié de ne pas s’arrêter. Cela sembla le ravir, car il augmenta immédiatement la force et la cadence de ses mouvements. Je n’avais jamais ressenti quelque chose de pareil et c’était si grand, qu’il remplissait mon espace, et stimulait des parties de moi qui n’avaient jamais été touchée auparavant.

- Je paris que ton mari ne te baise pas aussi délicieusement, je peux voir que tu l’apprécies, m’a soudainement murmuré à l’oreille.

Je ne pouvais m’empêcher de me geindre de plaisir, et pendant un instant, je me sentais coupable en pensant à mon mari. Cependant, je me suis vite excusée car je me sauvais, et je me suis livrée entièrement à cet homme qui avait commencé très doucement, mais qui devenait déjà sauvage, et j’avais très envie d’une dose de sa rudesse. Je l’ai supplié d’en avoir plus.

Il m’a immédiatement retournée, je me suis redressée avec mes mains, avec mes genoux, il s’est réinstallé entre mes jambes. Ce qui est arrivé ensuite m’a non seulement coupé le souffle pendant un moment, mais il m’a fait aussi voir les étoiles, surtout quand il a pénétré l’endroit encore inviolé de mon corps.

La grosseur de sa queue paraissait plus dure, plus épaisse. Dans cette position, je pouvais le sentir encore plus, et ses mouvements me stimulés tellement, que je ne pouvais m’empêcher de perdre connaissance à plusieurs reprises, glissant sur lui. Le copain de mon mari paraissait insatiable, je n’avais plus d’énergie, mais il continuait à me prendre comme une poupée de chiffon, instrument de son plaisir. Je venais d’atteindre mon quatrième orgasme, quand il vint se placer devant ma bouche, qu’il me demanda d’ouvrir. La déferlante de sperme fut incroyable, à tel pont que je ne pus tout avaler. Ses couilles étaient vraiment pleines.

Je me suis rappelé qu’il n’avait pas eu de femme depuis longtemps, et j’ai décidé de me laisser emporter par son désir. Je me suis complètement donnée à lui, jusqu’à ce qu’il se contente de m’utiliser comme il le voulait.

Quand il quitta le chambre, je restais écartelée sur le lit, comblée, heureuse.

J’entendis les deux copains discutaient dans la salon.

- Tu auras ton virement demain, disait Breton.

- Merci mon pote, répondit mon mari...et pour la deuxième tranche ?

- A ça...faut voir avec ta femme, ça dépend d’elle.

Sourire aux lèvres, je me levais et regagnais la salle de bains.














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21-10-2024 0 1

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