La nuit u tout à basculé

Récit érotique écrit par mazaudier le 24-11-2024
Récit érotique lu 1 fois
Catégorie Infidélité

Une soirée entre amis où des couples s'adonnaient à des jeux pas du tout innocent.

J’aimais mon mari, nous étions un couple uni, je ne m’explique pas pourquoi j’ai eu une soudaine attirance pour cet homme, un pote de mon mari que je ne connaissais pas. Car c’est ça, j’avais une attirance physique pour cet homme.


Je ne connaissais pas cette envie, elle m’intriguait, m’inquiétait, m’attirait curieusement. Ce n’était pas le premier pote de mon mari que je rencontrais, aussi séduisant que lui. Ce que j’ignorais, c’est qu’un concours de circonstance allait faire basculer ma vie.


Je m’appelle Sandrine, et mon mari Sylvain. Nous sommes âgés tous deux, de trente deux ans. Nous sommes un couple depuis dix ans, et n’avons toujours pas d’enfant.

Nous sommes quatre couples d’amis qui nous retrouvons souvent le week-end autour de la piscine, d’un apéro, d’un barbecue. Les soirées s’éternisent parfois jusqu’à tard dans la nuit. Ce week-end, c’est à nôtre tour de recevoir.

En rentrant de son séminaire, Sylvain m’appelle pour me dire qu’on sera un de plus. En effet, il a rencontré un vieux pote de lycée, et l’a invité pour le week-end. Je ne connais pas cet homme, mais un de plus ou un de moins, ça ne compte pas.

J’accueille mon mari sur la terrasse, me pends à son cou pour lui donner un baiser. En regardant par dessus son épaule, j’aperçois son copain. Je reçois un choc. Il est d’une beauté à couper le souffle. Son regard est chaud, l’œil pétillant, malicieux, un visage qui inspire l’amour, le pêché.


- Thierry, dit-il, et voici Sandrine, mon épouse.

- Enchanté, dit il, vous êtes ravissante madame.

- Merci, dis- je en tremblant.

Nous passons sur la terrasse. Tout en buvant une bière, ils ressassent les années lycée, les sorties en boite, les cuites, les filles. J’écoute tout ça de la cuisine. Tout en préparant le repas. Après le dîner, nous nous installons au salon, et la conversation reprend là ou elle s’était arrêté. Toutefois, elle devient plus intime.

Par respect pour moi, mon mari se retient de parler de ses amours de jeunesse, mai je sais qu’elles étaient nombreuses. Thierry, lui, parle de sa vie de célibataire, de ses nombreuses conquêtes, des nuits passées au lit à satisfaire les femmes. Mon mari s’apercevoir de mon trouble, voit le rouge s’installer sur mes joues. Je débarrasse la table et leur souhaite une bonne nuit.

- Tu montres pas la chambre à nôtre invité ? Dit mon mari.

Je guide Thierry à l’étage pour lui montré sa chambre. En montant les escaliers, j’imagine sa main glisser entre mes cuisses, caresser ma chatte.

Sylvain me rejoint dans la chambre demi-heure plus tard, me demande ce que je pense de son copain. Je lui dit que je le trouve sympa, et...

- Et quoi ? Demande-t-il.

- Il très séduisant. Je comprends que des femmes puissent succomber à ses charmes.

- Et aimerais-tu en faire partie, franchement.

- Arrêtes, tu sais bien que tu es l’homme de ma vie. Tu connais ma fidélité.

Mon mari me couche sur le lit, me disant qu’il plaisantait. Au cours de la nuit, je lui montrais qui était l’homme que j’aimais, celui qui me baisait à en mourir.

Le lendemain, nous nous levons, Sylvain et moi, vers huit heures, épuisés par une nuit torride à baiser, même si parfois, mes pensées érotiques allaient vers Thierry.


Le samedi matin, nous devons aller faire des courses. Sylvain propose à Thierry de m’accompagner, pour qu’il visite le village. L’idée est validée, et nous voila parti.


En voiture, je réalise que j’ai mis une jupe un peu courte, qui a tendance à remonter sur mes cuisses. Je fais tout pour la maintenir à niveau, mais je sens le regard de Thierry posé sur mes jambes. Tan-pis, je laisse courir. J’imagine sa main montait sous ma jupe, écarter mon string, un doigt exciter mon clitoris, puis pénétrer ma chatte. Je lance un soupir, comme si je venais de jouir.


- Ça ne va pas ? Demande Thierry.


- Si, si, c’est juste que j’ai oublié de noter le sel sur la liste.


Une fois les courses finis, nous nous arrêtons à la cave, ou Thierry insiste pour régler le vins, puis me demande si je connaîtrais un bar ou nous pourrions prendre un verre. J’hésite, puis lui dis qu’il y a une taverne pas loin d’ici.


Nous nous installons, commandons à boire. Thierry me demande de parler de moi, de ma relation avec Sylvain. Je me sens rougir quand les questions deviennent plus intime, jusqu’à me demander si je suis satisfaite au lit. Je lui dis que Sylvain est un bon aimant, mais n’ose lui avouer qu’une aventure avec lui ne ma déplairait pas..

Thierry reparle de ses torrides nuits, surtout celles passées avec des femmes mariées, insatisfaites, qu’il juge plus expérimentées, et plus coquine, qui font avec leur amant, ce qu’elles ne font pas à leur mari. Il dit ça en me regardant, comme s’il croyait que je faisais justement parti de celles-ci. Je bois ses paroles qui m’excitent, me font mouiller.

Sur le chemin du retour, Thierry se renseigne sur les couples de ce soir. Surprise, je lui demande pourquoi. Il me répond qu’il veut proposer un jeu pour pimenter la soirées.

Je trouve Thierry de plus en plus ténébreux, et ça m’excite.

Nous arrivons enfin à la maison. Je croise le regard suspicieux de Sylvain, et vais à la douche me satisfaire d’un besoin que mon corps réclame, avec le jouet que Sylvain m’a offert récemment. Ah putain...ça fait du bien...

Le lendemain est le grand jour. Les quatre couples sont présent. Pour que Thierry ne se sente à l’écart, nous le présentons à nos amis, ses talents de séducteur font le reste.

- Ouah, dit une amie, quel canon, j’aimerai bien me le taper.

L’ambiance va crescendo, on boit, on mange, dansons. Les couples s’échangent, se rapprochent. Je suis invitée par tout les mâles présents. J’évite Thierry pour ne pas éveiller les soupçons, mais surtout, pour ne pas succomber à son charme irrésitible. C’est finalement mon mari qui me jette dans ses bras. Thierry prend le risque de m’embrasser dans le cou, me mord l’oreille, tandis que je murmure à la sienne.

- Alors, ce jeu…

- Bientôt, j’espère que tout le monde va participer.

Vers minuit, Thierry demande le silence, et nous soumet son jeu. Tout le monde reste

suspendu à ses lèvres.

- Voilà, dit-il. Ce jeu est coquin. Il consiste que les femmes mettent leur clé dans un saladier. Puis on va mettre un bandeau sur les yeux des hommes, et chacun va tirer une clé. L’homme couchera avec la femme qui correspondante à la clé. Il y a cinq hommes, pour quatre femmes, il faudra en éliminer un par tirage au sort.

Ce qui veut dire qu’il m’avait comptée. Tout les invités se lancent, un regard surpris.

Les hommes vont-ils accepter que leurs femmes couchent avec un autre homme, et vice versa. Quelle ne fut pas ma surprise, quand je vis que mes amies acceptèrent.

Leurs maris n’ont d’autres choix que de suivre.

Le tirage pour éliminer un homme s’effectue, et désigne mon mari. Il ne participera donc pas au jeu. Finalement, il reste quatre hommes et...trois femmes. C’est à ce moment que Thierry s’aperçoit que je suis la seule à ne pas avoir mis la clé. Je me dirige vers mon mari, je lis de la tristesses dans son regard qui me dit de ne pas y participer. Je me pends à son cou, lui donne un tendre baiser. Je me dirige vers mon sac, prends la clé de ma voiture, et la dépose dans le saladier.

- Parfait, dit Thierry, nous allons procéder au tirage.

Le premier tirage accouple Rémi à Claire, puis vint Sarah et Kevin, Carole et Dan.

Il ne reste que Thierry et moi. En regardant mes amies, je lis la jalousie sur leur visage. Je me retourne, croise le regard de mon mari. Je peux voir de l’inquiétude dans son regard, de la déception. Je pense qu’il espère que je me retire de ce jeu sordide.

Les autres couples regagnent leur chambre, tandis que Thierry s’approche de nous. Il tape sur l’épaule de mon mari, comme pour le consoler.

- Je suis désolé, dit-il, tu es mon pote, il ne tient qu’à ta femme de refuser.

Refuser? Alors que j’ai une envie folle de baiser avec lui. Je m’approchais de mon mari, lui murmurais à l’oreille, lui disant que j’étais désolé, que c’était une expérience que je voulais tenter. Je lui promis que je ne ferai pas avec Thierry, ce que je lui avais toujours refusé. Je pris Thierry par la main, l’entraîna à la chambre. Je voulais qu’il me prenne dans le lit conjugal.

- Baises-moi maintenant… montres-moi si ce que tu as dit est vrai.

Thierry ne se fait pas prier. Je le pousse à me prendre sauvagement, sans se préoccupes de savoir si ma chatte est mouillée ou pas, pourtant elle l’est. Il me prend par les hanches, écarte mes jambes, plonge son visage entre mes cuisses...oh putain, quelle langue. Il lèche ma chatte, aspire mon clito, tandis que je le suce. Il se retire, me positionne pour me prendre en levrette, et s’enfonce en moi, se rend vite compte, que je n’en avais pas besoin d’être mouillée. Sa queue, énorme, me convenait parfaitement, je la sentais calibrer ma chatte, mourrait d’envie d’être pénétrée. La nuit fut torride. De baisers en caresses, de fellation gustative, de pénétration, jusqu’à l’endroit le plus serré et inviolé de mon corps, toute la panoplie y passait.


Il m’a baisée, comme certainement Sylvain ne l’aurait pas fait. Il m’a sodomisée, je l’ai sucé jusqu’à faire gicler son sperme dans ma bouche, j’ai tout avalé.


Mes gémissements augmentaient à chaque coup de queue, il me bâillonnait la bouche pour atténuer mes cris. Je m’agitais, l’invitais à aller plus vite. Il ne résistais pas longtemps à mes exigences, et remplissait ma chatte de son abondante semence. Il excitait mon clitoris, mon petit trou, me sodomisait encore une fois. Après avoir joui fort, je lui offre mon orgasme. Il était terrible, mon corps était prix de spasmes de plaisir. Il prolonge cet état en jouant avec mes seins, mon petit bouton. Je parvint à repousser son sommeil, jusqu’au petit matin. Cette nuit, je me suis offerte à Thierry, comme je ne me suis jamais offerte à mon mari. Une douche coquine ponctua la fin d’une nuit torride.


Soudain, je réalisais comment j’avais trahi Sylvain, en offrant à Thierry les faveurs qu’il n’avait jamais eu, et que j’avais promis de ne pas faire.


Il était six heures du matin quand je regagnais ma chambre. Je tombais en arrêt devant le désordre. La commode, la penderie avaient été débarrassée des vêtements de Sylvain. Comment en si peu de temps, avait-il pu faire ça, et pourquoi. Je descendais au salon, ou je trouvais la réponse dans une enveloppe.


Je tombais en larmes sur le canapé en lisant le message. Il parlait d’une séparation. Je me sentais coupable, coupable de l’avoir trompé, de m’être offerte à un autre homme, contre son gré, et détruire nôtre couple. Devant ma détresse,Thierry resta un jour de plus pour me soutenir. Cette nuit là, il rentra dans la chambre, entièrement nu, la bite en érection, essaya d’avoir une relation avec moi. Je le repoussé violemment, le rendant responsable de la situation.


Nos familles, nos amis ont tentaient en vain de raisonner Sylvain, pour qu’il pardonne mon acte stupide. Je sentais la culpabilité, la trahison peser sur mes épaules. En une nuit j’avais tout détruit, perdu l’amour de ma vie pour une escapade sans lendemain. J’étais accablé, détruite, mais comprenais sa décision.


Je ne revis Sylvain que lors de la prononciation de nôtre divorce.





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24-11-2024 0 1

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