Claire, une femme d’une beauté exceptionnelle, mène une vie de couple heureuse et empreinte d’amour avec son mari Thomas. Leur relation, basé sur la confiance et la complicité, était un exemple pour tous ceux qui les entouraient. Cependant, son entourage, jaloux de son bonheur, cherche à la détourner de son mariage, lui insinuant qu’elle méritait mieux. « Tu es si belle, Claire. Pourquoi te limiter à un seul homme ? » ,
Face à ces pressions et au tentatives de séduction soigneusement orchestré par certaines de ses amies, Claire reste inébranlable. Fidèle à ses sentiments et à es valeurs, elle choisit de s’éloigner des personnes toxiques, pour préserver son bonheur, et renforcer son lien avec Thomas.
Jour après jour, elles semaient le doute dans son esprit, lui racontant des histoires d'infidélité ou vantant les mérites d’hommes plus riches ou plus séduisants. L'une d'entre elles, Charlotte, alla jusqu'à organiser une rencontre entre Claire et un homme charismatique lors d'une soirée. Claire, bien que troublée par ces pressions, restait fidèle à son cœur. Elle comprenait que ce n'était pas le regard des autres ou leurs opinions qui définissaient son futur mariage, mais l'amour et le respect qu'elle partageait avec Thomas. Un jour, alors qu'elle marchait seule dans le parc, un homme séduisant l'aborda. Il lui fit des compliments enflammés, essayant de la séduire. Mais Claire, avec une élégance rare, répondit.
« Je ne cherche pas un homme parfait. J’ai déjà trouvé celui qui est parfait pour moi. » De retour chez elle, elle raconta tout à Thomas. Il l'écouta avec attention, la remercia pour sa sincérité, et la serra dans ses bras. Ce moment renforça leur lien, prouvant que leur amour était plus fort que les jalousies et les manipulations extérieures. Claire prit alors une décision importante. Elle limita ses relations avec les personnes qui cherchaient à détruire son bonheur. Elle choisit de s'entourer de gens bienveillants qui respectaient ses choix. L’amour véritable, pensa-t-elle, ne se mesure pas aux regards extérieurs, mais à la profondeur du lien que l’on construit chaque jour avec l’être aimé.
Un jour, Thomas trouve un carton d’invitation pour une soirée caché dans un tiroir. Il était au nom de Claire. Il l’a confronta, demandant à quoi ça correspondait.
Elle lui dit que c’était une invitation pour la soirée d’anciens étudiants d’université, qui avait lieu dans club du centre ville, et qu’elle n’avait pas l’intention d’y aller.
« Tu sais, ce sont des fêtes qui durent toute la nuit, et je préfère la passer avec toi. »
Il a fallu qu’il insiste toute une journée pour qu’elle accepte. Thomas va plus loin, en lui faisant la surprise de lui offrir une magnifique robe.
Quelque chose dans la manière dont Thomas insistait, la rassurer.
« Juste une nuit pensa-t-elle, des retrouvailles symboliques. »
Le soir venu, Claire se retira dans sa chambre pour s’habiller. Quand elle en ressorti, elle ne put éviter le regard et les sifflements admiratif de Thomas. La robe courte de couleur rouge que Thomas lui avait offerte était assez audacieuse, mais mettait en valeur son sublime corps. Elle noua ses bras autour du cou de Thomas quand elle entendit le taxi se garer au bas de son immeuble. Il lui demanda d’être prudente et de coucher chez une amie selon l’heure. Après un tendre baiser, elle quitta l’appartement.
Arrivée au club, Claire reconnu d’ancienne copines d’université.
L’une d’entre elle lui tendit une coupe de champagne. Soudain, elle sentit un petite tape su l’épaule...Julien.
De suite, les souvenirs de la fac ressurgirent. Ils s‘embrassèrent puis engagèrent la conversation, se rappelant des souvenirs. Que faisaient-ils, étaient -ils mariés, leurs loisirs. Julien lui dit qu’il était venu avec une bande de copains, et qu’ils étaient à l’hôtel juste en face le club. Claire ses souvient de cette époque ou Julien était très attirée par elle, mais avait toujours repoussé ses avances.
Puis vint l’inévitable slow. Julien entraîna Claire au milieu de la piste, suivis par les regards envieux de certains invités. Julien avait tendance de serrer Claire d’un peu trop près, au point de sentis son désir contre son ventre. Bien avant que la danse ne se termine, Claire avait repoussé les avances physique de Julien. Celui-ci n’insista pas, et rejoignit ses copains au bar.
Mais des copines malveillantes rôdaient, poussaient Claire à consommer plus que de raison, elle qui ne buvait jamais. Julien s’en aperçut. I l’invita sur un autre slow, la serra à nouveau. Il la sentit plus vulnérable, moins farouche. Il la serra, contre lui, cette fois, ne le repoussa pas, pas plus quand leurs lèvres se frôlèrent. Claire accentua le baiser. Les filles proche de la scène, buvaient du petit lait, envoyant un pouce en l’air à Julien.
- J’ai une chambre à l’hôtel d’en face, veux-tu m’y accompagner.
Claire mêla ses doigts dans les cheveux de son partenaire.
- Tu veux ma baiser...c’est ça ?
Des mots qui ne sortaient jamais de sa bouche en temps normal. Julien sourit et lui pris la main sous les sourires. « Penses à ce qu’on ta dit Julien. »
la chambre était simple, rappelait un peu celle de l’université. Julien fit tourner Claire sur place, admiratif.
- Mon Dieu, comme tu es belle…
Claire s’approcha, se pendit au cou de Julien, lui donna un sulfureux baiser. Un instant, Julien fut pris de court, ne s’attendant pas à une telle fougue. Elle lui arracha sa chemise, tandis qu’il commençait à l’effeuiller. Une fois nu, Claire tomba à genoux, pris l’imposante queue de Julien en bouche. D’un simple geste, il posa sa main sur la nuque de Claire, imposant le rythme pour rendre la fellation plus intense. La queue se mit à vibrer dans la bouche de Claire, et n’eut pas le temps de se retirait quand Julien y déposa son plaisir. Mais le voulait-elle vraiment.
D’un geste calme, il l’allongea sur le lit, la fit mettre à quatre pattes. Il lui caressa le dos, puis guida sa bite vers l’endroit ou se tenait le plaisir. Lentement, il la pénétra, lui arrachant le premier gémissement.
- Depuis le temps que j’avais envie de te baiser, dit-il.
- Je suis mariée, souffla-t-elle, je ne voulait pas ça.
- Alors pourquoi es-tu dans mon lit ? Parce que ton mari te donne pas assez ?
- Si..il me satisfait, mais je dois avouer que toi…c’est différent.
Claire prenait du plaisir avec Julien, il était plus sexy que Thomas, mais aussi plus vicieux. Les caresses, les baisers, comme il lui manger la chatte.Tout était différent. Elle eut un sursaut quand Julien se retira et dirigea sa queue vers un endroit interdit.
- J'ai l'intention d'honorer cet endroit, dit-il. Tu m’as dit que ni ton mari, ni personne d'autre n'avait jamais eu cette partie de toi.
- Julien, personne ne l'a eu, je suis anxieuse et j'ai peur que ce soit douloureux.
- Je veux avoir quelque chose que ton mari n'aura jamais, mais je te promets que je serai doux, tu m’arrêtes si tu as mal.
- Je t'ai déjà permis de faire des choses avec moi Julien, que je n'aurais jamais laissé faire à mon mari, n'est-ce pas suffisant ?
Soumise, Claire cambra sa croupe, n’ayant d’autre choix que de subir le caprice de Julien. Finalement, même si elle n’en redemanda pas, Claire a aimer la sodomie. Il est vrais que Julien l’avait bien préparée à ça.
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