J'avais décidé de faire une ballade en cette fin de matinée très douce, ensoleillée. Depuis ma récente arrivée dans la région, j'avais découvert un bois pas trop fréquenté mais agréable pour les ballades, à cette heure surtout ou les gosses du voisinage étaient à l'école. Situé à proximité d'une zone pavillonnaire il m'était arrivé d'y rencontrer des promeneurs, souvent des mecs en mal d'aventures sexuelles, la plupart gay ou bi, ce qui me convenait parfaitement étant moi même bi. J'aimais me perdre dans les coins les plus reculés de cette mini forêt, plantée de grands arbres, agrémentée de clairières herbagées. J'avais eu l'occasion de faire quelques séances de bronzage intégralement nu. C'était souvent très tranquille. J'avais emprunté un sentier très étroit, ou l'herbe et la fougère semblaient ne pas avoir été foulées abondamment. Une de ces 'pistes' appréciées des promeneurs en mal de rencontres, qui m'avaient quelques valu quelques agréables aventures intimes. J'avais parcouru une bonne distance, la clairière devait être proche, j'avais l'intention de m'y reposer un moment. Peut être, comme cela m'était déjà arrivé, j'y rencontrerais d'autres amateurs de sexe, comme moi, même si l'heure ne s'y prêtait pas. Sinon je poursuivrais jusqu'à l'orée du bois, ou dans de vastes enclos herbagés, des chevaux s'ébattaient en semi liberté. J'avais toujours le secret espoir d'assister a une saillie si impressionnante et spectaculaire, qui m'excitait énormément. La tâche lumineuse d'une clairière était maintenant proche. Quand au milieu du chemin je vis un grand chien aux poils ras, Visiblement un bâtard, aux allures de bas rouge. Il avançait vers moi, frétillant de la queue, il dodelinait, se contorsionnant, l'air très amical. Il venait visiblement chercher une caresse, sa langue pendait de sa grosse gueule sympathique. Je lui caressais la tête, puis le grattais derrière les oreilles, ce que les chiens apprécient toujours, puis je le grattais sous la gueule. Il se tortillait de contentement. Je poursuivais mon chemin, le chien me suivait, attendant visiblement de nouvelles caresses. Il m'avait ' adopté ' marchant à mes cotés, me lançant des regards sympathiques. Arrivés dans la clairière, bien que j'ais scruté les environs, je n'avais toujours pas vu son propriétaire, l'animal semblait être seul. J'avais sorti mon poncho imperméable que j'étalais au sol pour m'asseoir. Le chien restait près de moi, je le gratifiais de quelques caresses, fort à son goût, il frétillait de la queue. Maintenant a hauteur de mon visage, sous son corps trapu j'avais le fourreau imposant de sa pine. L'idée me vint qu'il devait avoir une très belle bite. Sans réfléchir ma main qui grattait son poitrail, descendit entre ses pattes de devant, puis avançait vers son sexe. Comme si le chien avait été habitué a ce jeu, le bout rouge, biseauté de la bite sorti de son fourreau. Mon coeur accélérait, je voulais maintenant aller plus loin. Le bras avancé entre ses pattes de devant, je saisi son fourreau à pleine main. Aussitôt l'animal attrapa mon bras entre ses pattes, s'arque boutant, il donnait déjà des coups de reins secs et sa grosse pine était sortie de quinze centimètres. Je lançais un regard aux alentours, personne, j'étais rassuré. La situation m'excitait beaucoup, je bandais très fort, je sortais mon sexe dressé pour me branler en même temps. Le chien lançait des coups de reins saccadés, mimant la saillie. J'étais subjugué par cette situation d'une sexualité bestiale. Je continuais ma masturbation et celle du chien, la tête embuée de plaisirs, quand une voix proche me fit sursauter brusquement : * Ca à l'air de vous plaire ?…. Vulcain aime aussi beaucoup !.. Mon mari l'a éduqué pour ça !…. A trois mètres sur le coté, une femme d'une soixantaine d'années, le sourire goguenard, regardait. Elle était vêtues d'un long manteau de laine, recouvrant une grande robe à fleurs, boutonnées sur le devant de haut en bas, dont l'échancrure laissait voir la naissance de seins encore fermes. Ses cheveux courts, frisés, teints en blond cendré atténuaient la maigreur de son visage. Elle me dit : * Continuez, il aime ça !…. Depuis la mort de mon mari je le lui fait souvent !….. Ça le calme !…… Et comme en plus Vulcain est un amant formidable ! …… Pourquoi ne pas en profiter !….. Elle continuait de parler par bribes, ses paroles m'ouvraient de nouveaux horizons jusque là inconnus pour moi. Elle se présenta : * je m'appelle Lucie, j'ai 63 ans, j'habite près d'ici. Comme mon intérêt évident pour ses propos avait remplacé ma surprise, elle poursuivait : * Mon mari l'avait dressé, il appréciait aussi ses services !…… Autant que moi !…. Un amant comme Vulcain ne se refuse pas !….. Si ça vous dit d'essayer !…. Il est infatigable !…… En venant me promener ici j'avais espéré rencontrer quelque complice, femme ou homme avec qui j'aurais pu baiser ou me faire enculer pour mon plus grand plaisir. Maintenant mon imagination me conduisait vers des plaisirs plus pervers. Surtout que la femme qui s'était assise à mes cotés, m'avait saisi la bite le plus naturellement du monde, en disant : * si vous aimez sucer, il à énormément de jus !…. Attendez je vais vous montrer !…. En effet depuis un moment le chien giclait pas saccades des giclées d'un sperme transparent, qui luisaient sur mon poncho. Elle lâchait ma bite pour saisir la pine du chien et l'enfourner à pleine bouche, elle pompait sans retenue, avalant le foutre animal avec gourmandise. Elle suçait l'animal sans retenue, se régalant visiblement. Et cela comme si son attitude était entièrement normale. Ma tension était extrême, le spectacle autant que la situation m'excitaient terriblement. De voir cette vieille femme sucer la bite de son chien était ahurissant, d'autant plus que la taille du sexe était impressionnante. Plus de 22 cm par 5, sans compter la boule de 8 a 9 cm qui s'était formée a la base. Elle le suçait jusqu'à la boule, le foutre débordait à la commissure de ses lèvres. Elle s'arrêtait pour me demander : * tu veux essayer ?….. Allez vas y ne te gène pas !….. Si tu aimes le foutre tu vas te régaler !…… Feu mon mari adorait ça !…… Le chien s'était remis à quatre pattes, il ne débandait pas car elle le tenait entre la boule et les couilles. Elle me présentait le membre, après une courte hésitation je me penchais et passais la langue sur la chaire rose veinée de bleu. Un peu amère mais pas désagréable, j'ouvrais la bouche et enfournais le sexe, le sperme giclait sans arrêt en rafale continues, me picotant la langue. Je ne pouvais tout avaler, ça coulait au coin de mes lèvres. En venant ici j'avais secrètement espéré sucer une bite et pouvoir avaler du foutre, j'étais servi ! Comme j'avais avalé une bonne dose de semence, Lucie me dit : * on va laisser Vulcain se reposer un moment !…. En attendant, si tu veux c'est toi qui va me prendre !…… Sans manière elle déboutonnait sa robe, dessous elle ne portait qu'un soutien gorge. Elle se mettant a genoux me présentant ses fesses nues, encore rebondies, que les rides n'avaient pas affectées. Elle voulait être enculée très fort ! L'empoignant aux hanches je la pénétrais presque violemment tant j'étais excité. Elle gémit, me suppliant presque de la défoncer. A coups de reins puissants je pistonnais Lucie durement, elle grognait de plaisir, me détaillant tout le bien que je lui faisais. Mais mon excitation était à son comble et je déchargeais dans son cul de vicieuse avec un indicible plaisir. Nos envies momentanément calmées, Vulcain reposé, Lucie voulait me faire connaître ces nouveaux plaisirs. Elle m'avait installé à genoux les fesses bien relevées, me taraudant le cul tout en salivant abondamment, elle vérifiait ainsi que je pourrais prendre la pine animale sans problème. Je la rassurais en lui précisant qu'il m'arrivait de me goder avec un bel engin. Vulcain attiré par mes fesses offertes vint plonger sa truffe dans ma raie avant de me gratifier de coups délicieux de sa langue râpeuse. C'était déjà génial. Lucie lui massait la bite. L'animal habitué grimpait de suite sur mes reins, s'agrippant à mes hanches, sa pine positionnée par Lucie m'empalait d'un coup, La bite n'avait pas encore pris sa taille maximum mais elle était entrée a fond. D'emblée le chien limait contre mes fesses à une cadence déjà infernale. Je sentais le mandrin gonfler en moi, mais aussi sa boule qui m'envahissait et maintenant me comprimait le ventre. Quel sensation ! Vulcain la tête posée sur mon épaule se démenait a coups brusques, son souffle caressait ma nuque, ses pattes me serraient aux hanches, ses poils frottaient mes fesses. J'étais empalé par la bête. Mes sensations étaient dingues ! Tout s'entrechoquait en moi : le plaisir physique, mais aussi le sentiments d'être chienne, d'être à l'extrême du vice. Pourtant je me sentais heureux de cette situation qui me procurait un plaisir intense. Vulcain s'était arrêté de me bourrer le cul, il ne bougeait plus, mais il forçait pour se retirer et son noeud restait coincé en moi. Lucie me dit qu'il allait vite débander, qu'il fallait attendre un peu. En effet je sentais la pression diminuer. Le noeud se libéra d'un coup, un flot incroyable de foutre gicla de mon cul, m'aspergeant la raie et les cuisses. Le chien vint de lui même me lécher, me nettoyant du même coup. Allongé sur le dos, je soufflais. Lucie amusée me regardait, me caressant sur tout le corps, m'embrassant par touches délicates, elle aussi était heureuse. Était-ce d'avoir trouvé un amant trois fois plus jeune qu'elle ? D'avoir trouvé un complice à ses jeux pervers ?….. D'avoir trouvée un remplaçant à son mari et qui serait digne de lui ? Ou encore la perspective nouvelle de beaucoup de plaisirs ? Toujours est il qu'elle me dit : * A la maison, j'ai le frère de Vulcain, tout aussi dynamique que lui !….. Comme tu sembles t'être régalé, je pense que tu voudras l'essayer aussi !…… J'adore les vicieux comme toi !….. Si ça te dit de venir chez moi !…… Tous deux rhabillés nous avions pris le chemin du retour. Quand je lui expliquais que je vivais seul dans la région ou j'avais trouvé un bon job. Que je logeais seul aussi dans un petit appartement meublé. Que Je ne connaissais presque personne dans la ville. Lucie me proposait de venir vivre chez elle ou elle disposait d'une longère aménagée en appartement de 90 m?, totalement indépendant, trois chambres meublées, un salon et une cuisine équipée. Elle me ferait la location au prix de mon studio actuel. Il ne me déplaisait pas d'imaginer qu'il y aurait à payer un 'supplément en nature', la bougresse avait tant de chiens ! ! !
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