Le colier

Récit érotique écrit par nimphia le 28-10-2012
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Catégorie Partouzes-Orgies

Elle fini de se déshabiller quand il la prend par le cou comme pour l’étrangler. Julie a la peur de sa vie quand elle sent autour de la gorge un léger froid. En touchant elle s’aperçoit qu’en guise de garrot, Pierre lui a posé un collier. Julie se regarde dans la glace : il ne s’est pas fichu d’elle. C’est un bijou en or avec je ne sais combien de maillons. Elle se trouve plus sexy ainsi parée.
Lui, l’aime depuis longtemps. C’est sa façon de le dire. Il aurait pu aussi bien acheter une bague : s’aurait été trop solennel. Comme remerciements, il ne demande pas grand-chose, qu’elle lui donne son corps pour qu’elle profite elle aussi de sa queue gourmande.
Julie la connait bien cette bite qui lui donne du plaisir quand elle lui donne son corps. Elle aime partout, dans tous ses trous. Il y a un seul ennui, elle aime aussi les autres bites du voisinage et son amant le sait. Elle aime jouir avec les autres pour qu’elle ne s’ennuie pas avec un seul sexe à elle dédié. Julie est libertine, Pierre le sait depuis le début. Il accepte simplement et participe souvent aux parties particulières.
Si Julie s’écoutait elle baiserai toujours avec deux ou trois hommes à la fois avec paefois une fille pour agrémenter les jeux. Il lui arrive de convaincre Pierre de la baiser ou l’enculer avec une autre queue dans l’autre orifice. Ainsi elle aime être au centre de deux hommes la baisant ensemble. Son cul et son con sont ainsi comblés. Quel plaisir elle ressent de sentir les deux bouts de chairs bien durs dans son ventre. Elle aime surtout quand les pines se croisent. Elle resserre souvent ses muscles du sphincter pour mieux sentir les intensités, les grosseurs des queues.
Pour mener à ce qu’elle veut les amants elle sait comment faire : elle en embrasse un sur la bouche pendant qu’elle prend une bite dans sa main. Elle masturbe une queue lentement avant de prendre l’autre pour lui faire subir le même sort. Elle ne les fait jamais juter, ou par accident. Avant de donner son corps, elle le passe contre celui des élus. Devant elle passe son ventre contre la pine bandée et par derrière elle passe la queue qui la vise entre ses fesses. Là aussi elle branle avec son ventre ou ses fesses. Elle sait bien faire glisser entre ses globes une queue bandée, elle sait aussi comment faire rebander une queue qui vient de jouir, toujours avec ses fesses.
Elle se masturbe aussi pour être bien mouillée. Son clitoris est très sensible : elle seule sait s’en servir convenablement. Avant d’arriver à avoir les queues dans son corps, elle les passe toujours sur son sexe. Elle aime ainsi les sentir commencer à lui donner du plaisir. Pour celui de devant, elle le fait passer sur son bouton en le tenant avec la main gauche, toujours la gauche. L’autre se contente de passer sur le vagin, et survole l’anus. S’il s’y arrête c’est qu’elle le veut bien.
La fête commence quand elle prend sa cyprine pour la mettre sur le rectum. Elle enfonce une phalange dans l’anus : elle ouvre ainsi la voie à la pine qui vient. C’est toujours elle qui guide la queue vers et dans son cul. Julie aime ce moment où une bite entre en elle, qu’elle écarte les chairs de son cul, qui entre lentement au fond quand elle est penchée en avant. Elle se redresse toujours, les jambes bien ouvertes, pend l’autre queue pour la mettre elle-même dans son vagin.
Julie fait toujours les aller-et-venu. Elle dirige ainsi son plaisir et celui de ses amants. Elle arrête souvent pour simplement ne pas recevoir trop tôt les spermes. Bien sur elle jouit plus souvent que les deux hommes. Ses mains libres servent à caresser ses seins durcis par le désir de jouir. Elle aime sentir les mains de celui qui la sodomise sur ses hanches, et celles de celui qui la baise autour de ses épaules.
Elle essaie de faire jouir ensemble les deux amants. Il n’y arrive pas toujours, mais quand elle sent les deux jets simultanément dans son cul et son con, son orgasme final est supérieur.
Il lui faut ensuite de la douceur qu’elle trouve toujours avec une copine. Elles se retrouvent toujours debout, bien enlacées, les lèvres sur celles de l’autres. Les « privautés » commencent toujours par des caresses sur les fesses. Pourtant elles ne sont pas à jeun de ce coté là : elles viennent de se faire enculer. Des fesses il n’y a qu’un tout petit pas à franchir pour aller sur les chattes. En bonnes connaisseuses, partisantes des amours féminines, elle se branlent à peine avant de passer la vitesse supérieure en se couchant l’une sur l’autre, en 69 : elles adorent de lécher ensemble.
Bien sur elles profitent également des spermes oubliés dans les sexes ou les culs. Mélangés aux cyprines, c’est un mets délicat pour elle. Elle ne baisent plus, elle dégustent simplement les liquides sexuels. Les langues sont toujours en contact avec le sexe de l’autre. Elles en profitent pour entrer les langues dans les vagins mouillés.
Leur dernière trouvaille est de commencer allongées, les langues commençant à lécher les orteils, les pieds, les mollets avant d’arriver enfin au but suprême, le sexe de l’autre. Comme elles s’amusent devant des hommes, il n’est pas rare qu’elle reçoivent des jets de sperme sur leur corps : les voyeurs se masturbent en les regardant se donner du plaisir. Elles s’en fiche un peu, elles peuvent lécher avant de finir la semence répandue.
Pour finir Julie et Pierre, réunis après la partouze finissent toujours par une bonne baise devant les autres. Tant pis pour ceux qui n’auront pas su ou pu venir baiser Julie.
C’est un peu pour ça qu’elle reçoit le collier.

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28-10-2012 0 6887

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