Mon neveu est monté comme un poney et ma fois ça n’a pas l’air d’effrayer ma femme

Récit érotique écrit par mlkjhg39 le 17-11-2015
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Catégorie Infidélité

 

Mon neveu est monté comme un poney et ma fois, ça n’a pas l’air d’effrayer ma femme.

 

Nous sommes en plein été, ce mois d’août est caniculaire.

Je me présente, je m’appelle Christophe, je suis le benjamin d’une famille de 5 enfants. Je suis marié à Martine, nous avons tous les deux 27 ans et sommes assez libres de mœurs.

 

Nous venons d’allez chercher le fils de mon frère aîné à l’hôpital, Ses parents étant absents ils nous ont demandé de l’accueillir jusqu’à leur retour.

Il vient d’avoir un accident de moto et s’est cassé les deux poignets et une cheville, on a du lui plâtrer les deux avant-bras jusqu’aux doigts et une jambe jusqu’au genou.

 

Il essaie de se débrouiller comme il peut mais a souvent besoin d’aide.

Comme il peut difficilement se déplacer, il passe le plus clair de son temps dans sa chambre ou sur le divan en petite tenue,  nous l’aidons au mieux et Martine est au petit soin pour lui, il a beau avoir 16 ans, elle le couve comme un bébé, l’aidant à s’habiller et faire sa toilette.

Récit de Martine.

 

Xavier a essayé de faire sa toilette mais  a vite réalisé qu’il ne pourrait le faire seul et il n’a plus d’aides soignantes pour s’en charger.

La première fois que je l’aide à prendre une douche, nous sommes un peu gênés tous les deux. Il ne porte qu’un slip et je le savonne des pieds à la tête avant de le rincer sous la douche après avoir protégé ses plâtres de l’eau.

 

Je remarque qu’il est devenu un beau  jeune homme bien proportionné.

Sous les jets de la douche, le slip dévoile ses trésors cachés et je découvre admirative qu’il est bien doté par la nature.

Ne voulant pas le mettre mal a l’aise, je fais semblant de ne pas m’en apercevoir.

Je le sèche avec une serviette et me mettant derrière lui, je lui retire son slip mouillé avant de l’aider à passer un short.

 

Quelques jours plus tard, je me dirige vers la chambre de Xavier pour voir s’il n’a pas besoin de moi.

Je frappe à la porte et chuchote.

-Xavier, tu es là ? … Je peux entrer ?

Il ne répond pas, je décide d’entrer quand même.

Je ne le vois pas, soudain je l’entends me dire.

- Je suis aux toilettes, excuse-moi.

-Je croyais que tu dormais encore… Ca va ?
- Euh oui. Merci, C’est juste un peu plus difficile avec mes plâtres.
- Tu en as encore pour longtemps ?
- Non, non, je me débrouille.
- Ah ok ? Tu as besoin d’aide ?
-Non, non, c’est bon mais tu peux sortir un moment de la chambre ?

- Tu veux que je m’en aille ?
- Non, mais … je suis à poil, c’était plus facile pour moi.

Je quitte la pièce à sa demande attendant qu’il me demande de revenir.

 

N’entendant plus rien, il se décide à regagner sa chambre.

En sortant, il se précipite vers son lit mais se prend les pieds dans le tapis et s’étale avec grand fracas par terre.

 Entendant le bruit je rentre affolée dans la pièce, il se retourne vivement sur le ventre affolé, en me montrant ses fesses tout honteux.

Je me précipite pour l’aider à se relever mais Xavier, pudique, ne veut pas que je l’aide.

 

Je me colle à lui pour essayer de le soulever, appuie ma poitrine sur son dos  et essaie de passer mes bras sous lui pour le redresser mais il ne m’aide pas. Il a un beau bleu en haut de la cuisse à la base de ses fesses bien musclées.      

Pendant un moment je m’égare et ma main caresse ses reins et finissent sur son petit cul.
-Allez, ne fais pas l’enfant, retourne-toi et aide moi à te relever !

 

Il se retourne enfin et là je suis complètement scotchée, ce que je vois est encore plus impressionnant que ce que j’avais estimé, dissimulé par le tissu de son slip.

Xavier, le petit neveu est devenu un vrai homme doté d’attributs virils conséquents.

Même comme ça au repos, sa verge est plus imposante que celle de mon mari en érection. Je n’ai jamais vu ça !

Il passe ses bras autour de mes épaules et se colle contre ma poitrine, enlacés, nous devons nous y reprendre trois fois avant que je n’arrive à le soulever pour le déposer sur le lit.         Les deux premières fois, il m’entraine par son poids de nouveau au sol et je m’étale sur son corps dénudé.

 

Quand nous nous désaccouplons, je remarque effarée que je lui ai fait de l’effet, son tuyau flasque de tout à l’heure a prit de l’ampleur, il pulse au milieu de son ventre et n’arrête plus de grandir. 

Ses yeux affolés se sont fixés dans les miens. Mon esprit disjoncte, je ne pense plus qu'a cette excroissance qui barre son ventre à quelques centimètres de moi.

Je devrais me retourner  et sortir de sa chambre, mais devant la vision de ce membre hors du commun je ne suis plus qu’une femelle attirée par un beau reproducteur.

Comme un automate, ma main s'avance, non pas que j'aie envie de sexe, rien à voir, c'est autre chose, c’est bête mais  la curiosité l’emporte.

Mes doigts s'enroulent autour de la hampe lourde, la soupèse et commence à la caresser.

 

Quelle vision étrange, ma main saisissant ce long membre disproportionné, cette verge se gorgeant de sang  sous mes caresses qui gonfle et s’allonge encore, se dressant lentement mais fièrement.
Je rêve ! Son sexe semble avoir doublé de taille, mes doigts sont repoussés et ne peuvent plus en faire le tour. Le plus impressionnant, c'est ce gland énorme à peine découvert, on dirait le chapeau d’un gros champignon qui coiffe un pied du même acabit.

Je retire ma main, effrayée par mon audace.


Son érection est telle maintenant que son gland émerge du prépuce et vient cacher son nombril, il rampe sur son corps atteignant une taille et une épaisseur impressionnantes.

Une vraie matraque !

 

Xavier terrorisé essaie désespérément de cacher cette érection phénoménale de ses deux mains mais il ne dissimule pas grand-chose vu la taille de ce pal, au minimum 25 cm !

- Tu as un sacré engin...il est énorme!!!

Xavier ne sait plus ou se mettre. D’énormes veines pulsent en cadence du sang sur toute la longueur de sa verge. Je ne peux quitter des yeux la grosse tête bulbeuse de cette queue massive qui se tient devant mes yeux.

- Mon dieu! Elle est d'une épaisseur incroyable. Tu as une queue magnifique!

 

Au diable les préjugés ! Je prends ses mains et les retirent  doucement se son mat érigé, me mets à genoux  et m’installe pour admirer de près ce colosse sagement couché sur son ventre.

Je ne peux retenir ma main, qui tel un serpent guettant sa proie, s'approche de sa virilité brandie et j’entoure de mes doigts cette monstrueuse colonne de chair.


Il laisse échapper un gémissement au contact de mes doigts entourant sa majestueuse trique. Je fais courir ma main sur toute la longueur de cet incroyable chibre.

Je suis tellement obnubilée par cette vision que je ne sais plus ce que je raconte.

-Tu veux que je te soulage mon petit poney, tu dois souffrir de ne rien pouvoir faire avec tes plâtres ?

 

Sans le vouloir, ma main animée d'une vie propre, est en train de le branler, sentant ses veines palpiter à travers mes doigts.

Mon autre main c'est saisit de ses couilles, elles sont du même calibre que sa queue, énormes et gonflées d’une laitance prometteuse.

Il me regarde  complètement paniqué mais aucun son ne sort de sa bouche.

 

Qui ne dit rien consent, je continue donc à le branler doucement, il gémit sous la caresse.
Soudain un semblant de moral refait surface et  je retire mes mains, réalisant que c’est le neveu de mon mari  que je branle !

- Continue ma tante... C’est trop bon!

 

Complètement subjuguée  par la taille de son manche dans ma main. Je me lance et lui murmure d'une voix douce.
-Tu es drôlement bien membré. Je ne savais pas qu'il y avait sous mon toit un tel étalon... Tu veux que je continue?

-Oh oui… je t’en supplie, ne t’arrêtes pas.


Je fais glisser son long prépuce avec deux doigts libérant totalement un gland turgescent qui brille d’un beau rouge carmin. Ma main paraît minuscule sur un tel gourdin.

Je branle son beau pénis pendant près de dix minutes. Il est d'une dureté ferrugineuse.

Je lui explique.

-Je n’utilise que mes mains, tu risquerais de me défoncer la mâchoire avec ton truc.

Mais je ne peux résister longtemps à ce beau sucre d’orge.

Je lèche son membre interminable, comme pour le nettoyer  sur toute la longueur en partant de ses couilles velues.

-Ta verge a bon goût, légèrement salée, je vais quand même tenter de goûter ton champignon. Tu permets ?

Il ne dit toujours rien, mais ses yeux parlent pour lui.

 

Je l’engloutis difficilement dans ma bouche essayant d’en absorber un maximum, pleine de bonne volonté, et le suce doucement, montant et descendant le long de son mât.

Arrivée au gland, je replonge le plus loin possible sur cette queue de ouf, je dois m’y reprendre plusieurs fois et j'arrive à avaler au moins  vingt centimètres dans ma bouche, mais là, il est au fond de ma gorge et il y a encore un bon bout en dehors.

 

Il ne peut se retenir sous ma « gorge profonde »,  et en quelques instants il se vide au fond de ma bouche en râlant.

J’avale au fur et à mesure, sans broncher et après quelques giclées, retire son membre de mes lèvres le regardant en souriant. Mais je me suis retirée trop vite, il continue à cracher et je reçois ses derniers jets en plein visage.

-Eh bien dis donc toi, tu es un sacré phénomène, comment la si grosse queue de mon petit poney peut-elle arriver à expulser autant de sauce ?

-Si tu veux, se sera un petit secret entre nous et j’ai une idée, écoute bien ce que je te dis et je veux que tu m’obéisses, tu vas ……….

 

Récit de Christophe.

 

Ce matin, je prépare le petit déjeuner. Martine doit sûrement s’occuper de mon neveu et ne va plus tarder.

 Elle entre dans la cuisine complètement nue, elle se suspend à mon cou pour me faire une bise sonore et s’installe sur une chaise. Ca ne me surprend pas, elle est coutumière du fait mais on n’est pas tout seul et Xavier ne va pas tarder.

 

 Elle qui d’habitude grignote du bout des dents a un appétit d’ogre ce matin.

Ces seins superbes ballottent  quand elle va chercher un pot de confiture dans le placard, elle se dresse sur la pointe des pieds pour l’attraper faisant saillir ses seins…

 J’ai une vue splendide sur sa belle poitrine. Je lui fais remarquer.

 –Tu es superbe mais tu devrais aller t’habiller, pense à Xavier.

Soudain ce que je craignais arrive, la porte s’entrouvre.

Martine baisse aussitôt les bras et me regarde avec un petit sourire,  ne cherchant même pas à cacher son corps.

 Je ne comprends pas son comportement, elle va se rasseoir et se sert en confiture.

 

Je suis stupéfié mais en me retournant j’ai un choc,  Xavier est entré dans la pièce, lui aussi nu comme un vers!

Martine lui demande de s’asseoir mais il ne bouge pas, tétanisé en me voyant.

Je me retourne vers Martine pour lui demander des explications.

- Ecoute Christophe, on est déjà allé dans des camps de naturistes et comme Xavier peut difficilement s’habiller seul…  J’ai trouvé plus simple pour le mettre à l’aise et nous faciliter les choses que nous restions tous nus pendant son séjour, tu comprends, si tu es d’accord, bien sûr ?

- Ca va pas non !!! Je ne suis pas d’accord, passe encore autour de la piscine mais pas quand on est à table !!!

Je n’ai rien contre le fait d’être nu mais elle aurait du m’en parler avant.

 

Xavier avec ses trois plâtres est un peu grotesque mais ce que je découvre au niveau de son bas ventre ne l’est pas…

C’est moi qui parais grotesque à coté de ce que je vois.

Je n’ai jamais vu un appareil génital aussi gros. Au repos, sa verge est plus imposante que mon sexe en érection.

Martine sans aucune gène, se dirige vers lui qui ne sait plus ou se mettre, lui prend la main et l’amène à la table. Elle l’aide à prendre son petit-déjeuner et quand il laisse tomber un morceau, elle se baisse pour le ramasser matant son entrejambe.

 

La journée se passe en farniente devant la piscine.

Ils sont allongés sur des transats en train de bronzer, si Martine est déjà halée, lui est blanc comme un cachet d’aspirine.

Il se lève difficilement et vient demander à Martine si elle peut l’enduire de crème solaire.

 Sa queue balance au rythme de sa marche saccadée… 

 

 Il est maintenant en face d’elle, sa bite n’est plus qu’à quelques centimètres du visage de ma femme. Elle regarde son corps qui vire au rouge sous les rayons du soleil.

- Je vais te mettre de la crème sinon tu va virer à l’écrevisse ! …

Elle prend un tube de crème et s’en enduit les mains.

Elle le fait tourner sur lui-même et commence à lui en étendre sur le dos et les épaules.

 

Il fait face à moi.

 Elle étale la crème avec soin en massant bien pour faire pénétrer.

 Mais quand elle arrive au niveau de ses fesses avec ses mains si douces, l’effet est immédiat…

A chacune de ses caresses sur son arrière-train, je vois le sexe  de Xavier s’allonger et se redresser…

Elle ne peut s’en apercevoir mais moi si.

C’est presque gênant mais ce spectacle est très beau … Sa hampe magnifique est maintenant tendu à l’horizontal ! Je reste là, à les espionner, sans rien dire…

Elle s’est attaqué à ses cuisses, l’excitation de Xavier est à son comble. Sa formidable verge est agitée de soubresauts sous les contractions de ses muscles et pointe vers son ventre.

 

 Elle lui donne une claque sur les fesses, comme à un petit enfant et lui ordonne.

-Allez, j’ai terminé le coté pile, tourne-toi que je m’occupe du coté face…

Il pivote doucement lui faisant découvrir son mât érigé.

En découvrant ce phallus dressé au garde à vous, elle sourit et le complimente, elle n’a pas l’air surprise de la taille peu commune de son engin.

- Oh, Xavier ! On dirait que c’est la forme !…

 

Elle reprend son badigeonnage mais prend son temps, nullement dérangée par ce vit qui oscille au rythme des caresses sur le corps de l’adolescent.

Je ne vois plus grand-chose à part les fesses musclées de Xavier et cela m’intrigue car il n’a plus l’air de bouger.

 Pour mieux voir, je me déplace dans la maison afin d’avoir une vue de profil. Sa longue bite se tient toujours fièrement dressée juste devant la bouche et les lèvres de ma femme !

 C’est juste irréel !

 

Elle l’a déjà pratiquement huilé des pieds à la tête quand avec un moment d’hésitation, elle tourne la tête, certaine que je l’observe, et me regarde attendant mon assentiment.

Elle me montre le sexe de Xavier d’une main et la crème solaire de l’autre, avec une moue interrogative et comme je ne réagis pas elle étale aussitôt de la crème solaire sur son pal, l’enduisant sur toute la longueur.

Elle le masse doucement d’un mouvement tournant pour faire pénétrer le produit en profondeur, allant et venant  sur la longueur inusitée de son phallus, très doucement au début, puis de plus en plus vite…

 

Je n’en crois pas mes yeux, si elle continue à ce rythme là, il ne va pas tenir longtemps…

Il halète  la bouche grande ouverte…

 Mes yeux ne quittent plus les deux  mains de ma femme qui courent à une vitesse folle sur son manche…

Xavier laisse échapper un râle continu… Il ne va pas tarder à exploser…

Martine stoppe net la masturbation.

 

Les premières craches s’éjectent violemment de son méat et s’écrasent sur son visage par saccades provoquant des éclaboussures sous la pression des jets.

Je n’ai jamais vu ça, il éjacule une quantité incroyable de foutre et Martine, trop surprise, n’a pas le temps de fermer les yeux… Et elle aveuglée par sa semence et a un mouvement instinctif de recul, totalement aspergée, son visage dégouline de sperme !

 

A force d’exciter ce garçon… Elle a eu ce qu’elle méritait !

 Le pauvre… Il a du emmagasiner pas mal de foutre depuis son accident  et était sous pression, elle a fait sauter le bouchon de la cocotte minute…

Bizarrement, j’en veux plus à ma femme qu’à lui…

 

- Pardon…, lui dit-il, tout penaud en baissant les yeux.

Elle parait enfin réaliser ce qu’elle vient de faire. Elle s’essuie les mains, le visage, tant bien que mal, avec une serviette de bain… Elle en a partout.

Elle se sent coupable et fuit mon regard…

 

 

Nous avons eu une conversation ce soir là ou elle m’a avoué que c’était la deuxième fois de la journée qu’elle branlait mon neveu. Après ce qui s’était passé le matin, elle avait prétexté l’histoire de rester à poil en espérant pouvoir  profiter à nouveau de son formidable gourdin.

 

Elle me demande.

-Dis, tu veux bien que je me le fasse, je reste sur ma fin et ce n’est pas la première fois que tu me partages avec un autre homme ? Mais tu as vu sa matraque ? Je crève d’envie d’avoir un tel pal en moi !

Comme je sais que si je lui dis non elle le fera quand même derrière mon dos, autant que je participe et je dois dire que l’idée de la voir s’embrocher sur l’organe de Xavier me fait saliver, elle risque de salement déguster.

 

Elle m’explique son plan pour demain, elle va pousser Xavier à l’acte et au moment décisif je déboule comme un mari jaloux et le menace des pires turpitudes s’il ne fait pas tout ce que je lui demande. 

 

Je vais lui en faire voir de toutes les couleurs !

 

La suite au prochain épisode.

 


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