Inceste, du rêve à la réalité.
Suite.
Michel a décidé de reprendre l’initiative et profite de ce qui passe à porté de ses mains et de sa bouche.
Les formidables doudounes de sa mère, son ventre rebondit et pour finir sa chatte n’échappent pas à ses caresses et léchouilles.
Il pose les mains sur ses fesses et attire à lui son pubis, sa langue s’égare dans sa fente vaginale et il prend entre ses lèvres le clitoris aussi dur qu’un petit sexe.
Il le suce consciencieusement mais avec force, s’aidant de ses doigts qu’il coulisse dans sa chatte.
Claudine sent venir au plus profond de son corps des décharges électriques annonciatrices de sa jouissance. Ne pouvant plus se retenir, elle se met à jouir de façon incontrôlable en spasmes violents et coule comme une fontaine, inondant le visage et les doigts de Michel.
Elle abandonne son bâton crémeux et se met à hurler.
- Unnggh! Oui, comme ça, continue… Lèche-moi bien à fond…! Bouffe-moi la chatte ! Je jouis, je jouuuiiiiis, mon Dieu que c’est bonnnnn !
Elle est au sommet de son orgasme. Il lui faut presque une minute pour que les spasmes sans fin ne diminuent en intensité.
Mais Michel veut profiter du délire des sens de sa mère et lui enfonce un puis deux doigts poisseux dans son anus, elle ne le remarque même pas toujours en pleine extase.
Quand enfin elle réalise cette intromission inhabituelle, un troisième doigt est venu rejoindre ses congénères.
-Mais que fais-tu ? Non je ne veux pas ! C’est contre nature par là et je n’ai jamais voulu !!!
Michel n’insiste pas mais l’exploration digitale lui a permit de constater la souplesse de son petit trou.
- Baise-moi plutôt! Viens, prend-moi avec ton monstre !
Claudine veut être prise en levrette, Michel grimpe sur sa mère, glisse entre ses cuisses son énorme mandrin qui frotte sur sa vulve et qu’elle peut voir dépasser entre ses jambes tellement elle est longue.
Elle descend sa main, repoussant cette incongruité au bas de son ventre, passe son bras entre leurs corps pour saisir la verge disproportionnée et conduire le gland violacé entre ses grandes lèvres.
L’incroyable diamètre de sa pine pénètre centimètre par centimètre avec une extrême lenteur sa vulve écartant la fente pour se frayer un passage.
Elle se mord sa lèvre inférieure mais des gémissements s’échappent de sa bouche.
-Aaaaggh! Ah, je n’arrive pas encore à m’habituer à sa grosseur, putain que tu es gros, un vrai démonte-pneu! Je n’ai pas connu énormément d’hommes, mon amour, mais jamais je n’ai été prise par un tel mandrin, le tien fait plus d’un tiers de mieux que la plus grosse qui ait pénétré ma chatte!
-Vas-y!! Bourre bien ma chatte. Mais va plus vite, bon Dieu ! Mets-moi la à fond je t’en supplie ! Tu vas me la mettre en entier, hein ?
-Plus loin…, encore…, oui…, continue…, encore ! S’emporte-t-elle. Enfonce-là le plus profondément possible !
Mais Michel n’en tient pas compte et continue d’enfoncer sa verge qui entre avec lenteur comme dans du beurre tellement sa matrice est encore pleine de foutre et de ses sécrétions vaginales.
Ni tenant plus, elle pousse sa chatte palpitante au devant de l’énorme piston de forge s’empalant le plus loin possible.
Il commence alors à donner des coups de reins avec douceur enfonçant la gigantesque trique dans sa moule accueillante.
-Je t’ai dit de me bourrer le berlingot, putain mais lime-moi plus fort, baise-moi!
Claudine projette son bassin sur la bite de son fils comme une droguée en manque de sexe.
Ses énormes seins ballottent et rebondissent à chaque pénétration.
Michel accorde son rythme à celui de sa mère, défonçant les profondeurs de son vagin, ses couilles viennent frapper le corps callipyge.
Michel accélère le rythme la tronchant de plus en plus durement, Claudine, ravie, grimace sous ses assauts se tenant aux montants du lit pour ne pas s’écrouler sous ces coups de boutoir formidables.
Sa chatte n’a jamais été aussi remplie et accueille pratiquement la totalité de la tige pharaonique sous ses ruades formidables.
Son vagin se contracte de façon incontrôlable, broyant constamment ce bélier énorme qui occupe tout son ventre. Il la tringle aussi fort qu’il le peut noyant son pieu massif dans les entrailles de sa chatte en fusion.
Un orgasme foudroyant met le feu dans sa chatte d’où s’écoule un ruisseau de cyprine, des spasmes douloureux contractent les parois étroites autour de la lance de Michel aboutée à son utérus.
Un volume de sperme incroyable jaillit du méat. Claudine ressent ses giclées se répandre, l’inondant au plus profond de sa chatte d’un chargement chaud et apaisant de semence épaisse.
Une nouvelle série de spasmes monte du ventre de Claudine proche de l’évanouissement, ses muscles intimes sont tétanisés sur le barreau titanesque de son fils qui a reprit ses coups de boutoir.
-Je n’en peux plus, arrête, je vais me trouver mal !!! ! Aaaaggh! Je jouis! Je n’arrête plus de jouir, ooouuuiii je me vide…!!!
Michel finit de se vider les burnes et se retire jusqu’à ce que seul son énorme gland turgescent reste dans la vulve de sa mère.
Il frissonne et après un instant d’hésitation se retire d'elle et présente son bout monstrueux au niveau de l'anus de Claudine, empoignant ses fesses et les écartant pour l’ouvrir encore plus.
Claudine est dans un état second
et n’a pas de réaction.
Ce qu’il va faire, il
ne l’a encore jamais fait subir à personne.
Il enfonce chaque centimètre de son défonce-cul géant un peu moins raide dans les reins de Claudine qui maintenant hurle de douleur et essaye de se dégager en tortillant du derrière.
-Laisse-toi faire…, ouvre-toi
bien ! Je te défonce le cul ! …
Claudine sent son sphincter se distendre et le monstrueux soc labourer ses
boyaux.
- J’ai mal ! Tu me déchires, nonnnn,
je t'en prie, tu es trop gros !!!
Michel lui donne une claque magistrale sur la fesse droite. Il n’a cure de ses
supplications, il la tient fermement aux
hanches et continue la progression de sa verge phénoménale qui reprend de la
vigueur dans son fondement.
Son cul est complètement écartelé par cet énorme mandrin qui peu à peu, glisse entre ses fesses jusqu’à ce que ses grosses couilles viennent en butée terminant l’enculage.
Il est planté entièrement dans son cul !
-Tu vois, tu l’as toute entière dans ton cul, ce n’était pas la peine de hurler
comme une truie que l’on égorge!...Tu sens bien mes 25 centimètres de
plaisir ? …
Ses lents va et viens éveille progressivement le plaisir de Claudine qui pousse son derrière autour de l’épée tendue qui
la pénètre.
Son énorme membre ramone son anus qui n’a connu aucune bite avant lui. Elle se
regarde dans la glace de l’armoire et voit entrer et sortir de son petit trou tout dilaté sa superbe flamberge.
Elle recommence à jouir comme une folle, en train de se faire défoncer le fion par cette monstrueuse chose noueuse et en veut encore et toujours plus.
-Aaahhh !… Défonce-moi le cul
comme une salope que je suis, casse-moi le cul avec ta grosse queue !... Ne
t’arrête pas ! … Encule-moi !...
Il la sodomise comme un fou, à grands coups de son énorme engin.
-Tiens, prend-toi çà dans ton cul de salope ! … Ca te plait hein, de te faire
enculer et défoncer ton trou du cul ?! …
Elle crie comme une folle.
-Aaaahhhhh ! …Salaud ! Tu me déchires ! …Oohh ! Ne la sors surtout pas de mon
cul !... Putain, que c’est bon de se faire enculer ! …encore !...encore !!!!
Michel la tronche par des coups de boutoir d'une force inouïe avant de se répandre une dernière fois en elle.
Claudine hurle son plaisir et s’écroule sur le lit complètement ravagée, l’entrainant avec elle, l’immense dard toujours planté en elle.
Curieusement, elle ne pense qu’à une seule chose. « Il fautabsolument que j’aille faire uneprovision de capotes XXL »
J’espère que cette histoire vous a plu. J’attends vos commentaires.
Mais ce n’est pas encore fini, souvenez-vous… Patricia elle aussi veut découvrir le pal destructeur de Michel.
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