MA DÉCOUVERTE DU CANDAULISME.
JE N’AURAI JAMAIS CRU QUE MA FEMME SOIT SI CHAUDE.
Je dédie cette histoire à un couple d’amis, mais je ne vous dirai pas quelle est la part de vérité et d’enjolivement de ce texte.
L’auteur : MLKJHG39
Première partie. Elle avoue m’avoir trompée.
Je suis un homme d’un caractère assez jaloux, mais le problème c’est que dans mes fantasmes, il revient souvent celui ou j’épie ma femme en train de faire l’amour avec un homme bien foutu. Bizarre, non ???
Ma femme s’appelle Sophie, 40 ans, blonde, cheveux coupés au carré avec des yeux noisette claire qui tire un peu sur le vert, bien foutue et qui prend énormément soin d’elle. Elle a encore un corps superbe après ses maternités. Une belle poitrine encore ferme ni trop menue ni trop lourde avec ses aréoles bien roses au centre desquelles pointent de petits tétons.
Je vais vous conter maintenant ce qui c’est passé cette été. Nous avions prévu avec des amis de se retrouver la première quinzaine d’août en Espagne sur la Costa brava.
Ma femme et moi avons loué un bungalow dans un camping 5 étoiles avec piscine et tout le confort, un couple d’amis avait fait de même.
J’ai réussis à décider Antoine, mon meilleur ami, à nous rejoindre avec ses enfants pour lui changer les idées depuis qu’il n’est plus avec sa femme, ils se sont séparé il y a 5 ou 6 mois.
Elle s’est rendu compte qu’il l’avait trompée à plusieurs reprises et en plus avec ses meilleures amies. C’est un homme assez sportif et bien foutu qui plait aux femmes, il pourra passer ses envies avec les filles qui ne demandent que ça, enfin je l’espère, pour qu’il retrouve le moral. C’est un vrai campeur et il a monté sa tente un peu plus loin.
Nous allons souvent l’après-midi dans une crique un peu isolée ou Sophie se fait bronzer les seins à l’air. Elle est pleine de pudeur un peu déplacée car quand elle va se baigner, elle remet tout le temps son haut alors que se sont les mêmes personnes qui ont pu admirer sa plastique sur la plage.
Elle est en train de barboter quand Antoine vient me rejoindre et installe sa serviette sur le sable à coté de nous.
Quand Sophie revient au bout d’un moment, nous sommes en pleine conversation. Elle retire prestement son haut et se sèche.
Antoine s’est tue et regarde Sophie en train d’essuyer ses seins, elle s’en aperçoit et garde la serviette serrée sur sa poitrine pour l’embrasser. En se penchant, la serviette glisse et Antoine a sous les yeux deux gros pamplemousses entraînés par la gravité. Sophie s’étend sur le ventre entre nous deux.
Je décide moi aussi d’aller piquer une tête. Quelques minutes après, quand je sors de l’eau, je surprends Antoine en train de passer de la crème sur le dos de ma femme, s’attardant sur le haut de ses cuisses, ses mains s’égarant régulièrement sur les fesses de Sophie qui ne fait rien pour s’y opposer.
Le salaud, on dirait qu’elle lui plait. Quand il me voit, il stoppe ses massages et s’étend sur sa serviette. Elle lui a fait de l’effet, il a la gaule vu la bosse imposante que fait son maillot de bain.
Sophie se retourne sur le dos, ses pointes biens tendues me prouvent qu’il n’y a pas qu’Antoine qui a apprécié les caresses sur son corps.
Je fulmine mais ne veux pas faire un esclandre et pour bien leur faire comprendre que j’ai tout vu, je m’enduis les mains de crème et m’attaque à la partie face du corps de ma femme en insistant bien sur ses seins à la peau fine aux pointes toutes érigées. Antoine fait semblant de ne pas regarder nous observant du coin de l’œil, la main posée sur le slip pour cacher son érection.
Ce n’est pas allé plus loin ce jour la mais Sophie m’a avouée de retour de vacances, toute penaude mais ne supportant plus de m’avoir trompée toute la vérité. Vous le lirez un peu plus loin.
Sophie
Le copain de mon mari, Antoine, m’a toujours attirée mais étant une bonne mère de famille bien fidèle malgré mon envie de la nouveauté, je n’ai jamais cédé à mes démons.
Depuis son divorce, j’avoue que cette envie lancinante devient de plus en plus forte.
Je sais mon mari assez jaloux et je l’aime comme au premier jour mais comme on dit, c’est toujours mieux dans l’assiette du voisin. Nos vacances d’été ont été le déclencheur de ce coup de canif dans le contrat.
Je vois bien qu’Antoine me tourne autour, ses paroles, ses mains baladeuses, il ne manque pas une occasion pour me tripoter et me draguer. Je dois dire que ce n’est pas désagréable d’être désirée et que j’ai plusieurs fois faillis lui céder. Je me demande si Damien se rend compte de son manège.
Un jour mon mari a voulu que nous allions faire de la voile tous ensemble avec les deux ados d’Antoine, celui-ci devant s’absenter toute la journée. Comme j’étais patraque, je n’ai pas voulu qu’ils annulent et les ai laissé tirer des bords sur l’eau sans moi. Je me repose dans le bungalow quand quelqu’un frappe à la porte.
Je vais ouvrir, c’est Antoine, son rendez-vous lui a fait faux-bond et c’était trop tard pour rejoindre ses enfants sur le bateau. Il vient prendre de mes nouvelles. Je le fais rentrer et vais de nouveau m’étendre sur le transat.
Je ne porte que mon slip de bain ne me rendant pas compte que dans ce lieu fermé l’effet sur un homme d’une femme pratiquement nue n’a pas le même impact que sur une plage. On parle un peu mais sa conversation dérape rapidement coté sexe, il me fait des compliments sur mon bronzage, appréciant que je n’ai pas de trace claire sur les seins à cause du maillot.
Maintenant, il me drague carrément, me disant qu’il me désire depuis longtemps mais que l’amitié avec Damien passe avant. Je vois bien qu’Antoine a un drôle d’air, je repense à mon fantasme avec lui et ces aveux me rendent toute chose. Prise d’une envie subite, je saisis sans réfléchir sa main que je pose sur mon bassin. Je porte un slip de bain avec des ficelles nouées de chaque coté, il saisit le lacet du coté droit et tire dessus et comme ne réagis pas, il fait la même chose de l’autre coté.
Je garde les yeux fermés, il tire sur le morceau de tissu qui lui reste dans les mains quand je soulève doucement mon bassin. Il a devant les yeux ma chatte complètement épilée. Je suis complètement nue devant lui mais ne veux pas ouvrir les yeux attendant fébrilement de savoir ce qu’il va faire. Je ne veux pas rompre le charme car je n’aurai plus le courage d’aller plus loin.
Soudain je sens quelque chose d’humide sur mes grandes lèvres, une langue râpeuse explore de bas en haut ma vulve avant de s’insinuer dans mon puits d’amour. Antoine s’est mit entre mes jambes et commence un cunni. Je suis tellement excitée par la succion d’Antoine que je le laisse faire et commence à perdre les pédales quand il titille mon clito du bout de sa langue, ma vulve humide à peine duveteuse, avec les lèvres bien visibles déjà entrebâillées et mes seins fièrement dressés aux pointes déjà durcies s’offrent à lui.
Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plonge vers ma vulve. Ses doigts agacent violemment mon clitoris qui doit être aussi raide que sa queue. Ils le frottent, le pétrissent, le malaxent, enfonçant deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de ma grotte aux délices qui n'est plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de ma cyprine. Il me dévore le clito me faisant jouir plusieurs fois. Mon vagin déborde de ma liqueur qu’il lape comme un petit chien. Il est vraiment doué.Je suis sa salope, sa pute, je voudrais manger sa bite, me faire baiser par tous les trous, et d’autres choses encore.
J’ouvre enfin les yeux et veux moi aussi le toucher et le branler pour lui faire plaisir. Je me redresse et m’approche de lui, défais la ceinture de son pantalon, descends la fermeture éclair et abaisse son pantalon. Je vois pour la première fois pourquoi il a tant de succès avec les femmes.
Une verge épaisse et de bonne dimension pend mollement entre ses cuisses, et il ne bande même pas, le salaud… Je n’en reviens pas, elle est pratiquement de la même taille que celle de mon mari au meilleur de sa forme. Je prends dans ma paume ce tuyau flasque et doucement, tout doucement, je commence à le branler. Il me faut un bon moment avant que sa verge ne commence à réagir à mes sollicitations. Son phallus enfle enfin et s’étire doucement, devenant de plus en plus raide. Je n’ai jamais vu ça, je ne sais pas la capacité d’élasticité que peut atteindre une queue mais Antoine doit être dans les hommes les mieux gâtés par la nature. Sa verge n’arrête pas de croître et son diamètre est tel que ma main n’arrive plus à en faire le tour. Sa bite a pratiquement doublée de taille et ma deuxième main qui a rejoint la première n’arrive pas à la base de son gland gonflé comme un champignon. Quel étalon !!! Je le branle depuis un moment quand il veut soudain aller plus loin, je le supplie :
-Non ! Pas encore, laisse-moi faire et te rendre la pareille ! Je n’ose pas encore prendre en bouche ce pal extraordinaire. Je m’évertue pendant de longues minutes avec mes mains sur cette hampe magnifiquement dressée, chaude et dure comme du bois, il me faut toute ma science pour l’amener au plaisir quand soudain il s’exclame :
-Tu es une vraie experte, attention, je vais tout lâcher ! Une goutte de pré sperme vient me prévenir de l’imminence de l’éjaculation. Je ferme les yeux et je fais bien car deux violentes éjaculations s’écrasent sur mon visage et mes cheveux.
Je rouvre les yeux mais grave erreur, deux autres jets tout aussi violents et copieux viennent de jaillir du méat. J’en ai plein les yeux qui me brûlent. Je n’ose plus regarder cette lance, comptant les éruptions sortant de cette source inépuisable. J’en compte 9 avant qu’il ne soit tarit, je dégouline littéralement de sperme. Prise de remords, je repousse Antoine et le supplie de partir. "Mon Dieu, qu’ai-je fais ?"
Ça fait quatre jours maintenant que j’ai trahi Damien et malgré mes remords, je ne pense plus qu’à Antoine, à son corps musclé, son ventre plat et surtout à sa queue, à cet énorme bélier, à ce jonc vigoureux, à ses bourses gonflées pleines de sa semence si abondante. Mes rêves sont pleins d’images de faunes à la queue gigantesque. Je ne pense plus qu’à ça, essayant de me calmer avec les moyens du bord, si Damien me surprend en train de me triturer la poitrine, deux doigts dans la chatte, il va me prendre pour une vraie nympho!
Pourtant je n’ai pas cédé à mes pulsions de sexe et je suis resté sage tout le reste des vacances malgré les demandes pressantes d’Antoine. Le dernier jour, Damien est partit faire les courses et régler tous les papiers avant notre départ. Je suis partie à travers le camping pour aller une dernière fois à la plage, il fait une vraie canicule. En passant devant la tente d’Antoine, je suis rentré dedans pour voir s’il était là. Je l’ai trouvé assoupit sur son matelas pneumatique, le corps couvert de sueur, complètement nu. Comme beaucoup d’hommes, il bande mollement pendant son sommeil. Sa verge déjà impressionnante barre sa cuisse droite. Devant un tel spectacle, mon esprit disjoncte, ma libido prend le dessus. Des pulsions sexuelles remontent à la surface comme des bulles de gaz au milieu d’une mare. La femelle en moi, à la recherche du meilleur reproducteur, étouffe au fond de mon esprit la femme fidèle, la mère vertueuse. Mon corps, doué d’une vie propre, n’obéit plus à ce que dicte ma raison. Doucement pour qu’il ne se réveille pas, je m’agenouille à coté de son corps et prend délicatement ce pieu planté au centre de son corps. Je le branle doucement et de nouveau le miracle s’accomplit. Antoine est comme un diesel, tout est long chez lui, il faut que j’insiste un bon moment pour que son gros dard retrouve à nouveau cette taille inusitée pour moi. Le contraste est vraiment saisissant chez lui entre sa queue au repos et en érection, je n’arrive pas à croire que cette partie du corps puisse autant changer. Je n’y tiens plus, je repose délicatement ce gourdin sur son ventre, il cache entièrement son nombril. Je me relève, retire prestement mon maillot et passe une jambe de chaque coté de son corps musclé. Je plie les genoux et arrivé à la bonne hauteur, je saisis avec délicatesse son mandrin, le redresse et le frotte avec délectation sur ma chatte avant de l’immobiliser à la verticale. Son gros gland repousse les lèvres de ma vulve qui n’ont jamais connues un tel obélisque. Je continue à m’accroupir, centimètre après centimètre, la tige pharaonique progresse dans ma gaine de velours. Quelle sensation extraordinaire de se sentir envahir par une telle massue. Je murmure :
-Surtout je t’en prie, ne te réveille pas. Son pieu massif bute enfin tout au fond de moi, abouté au col de l’utérus, je ne peux pas en absorber d’avantage et pourtant ma chatte ne touche pas son pubis. Je deviens folle, pose mes mains sur sa poitrine et me poignarde comme une morte de faim sur cette colonne de chair. Je réalise soudain que je ne me suis pas protégée, j’espère que je n’ai pas fais une grosse connerie. Je suis sûre que je l’ai réveillé mais il fait semblant de dormir, n’ouvrant pas les yeux. Je me pince les tétons, je jouis continuant à me ramoner le vagin avec sa superbe trique. J’ai un orgasme très violent, peut être le plus violent de ma vie. Je ferme les yeux et jouis plusieurs fois comme une malade, serrant les dents pour ne pas hurler. Ma chatte s’est tellement habituée à son gabarit qu'elle avale sa belle queue épaisse quasiment jusqu’au bout. Ses magnifiques couilles n'ont pas encore craché leur jus. Il ouvre enfin les yeux et prend un sein dans chaque main pour les malaxer. Il m’avertit qu'il ne va pas tarder de gicler, je lui avoue.
-Tu sais que ton soc de charrue vient de défricher des terres vierges. Je me relève, ne voulant pas qu’il me mette en cloque, se serait le bouquet, faisant jaillir de ma chatte cette matraque que je veux finir à la main. Je veux à nouveau voir ses grosses couilles se vider de leur jus. Je le branle avec application, je léchant, aspirant son gland que je gobe tant bien que mal, lui massant les bourses. Damien ne reconnaîtrait pas son épouse, moi d’habitude si timide, si réservée, n’osant pas certaines choses, n’ayant même jamais voulu céder à sa demande de me sodomiser, acceptant tout juste de lui faire une fellation. Je le branle à deux mains maintenant car j'ai l'impression que sa bite a encore grossie. Tout en caressant ses grosses couilles, j’approche ma bouche du soc massif, posant délicatement mes lèvres sur la chair à vif, léchant à petits coups de langue le gland violacé à la peau si fine, lui arrachant des gémissements. Je lape l'énorme bourgeon telle une gourmande, puis c'est la totalité de la longueur de la colonne de chair que ma langue explore. Ma bouche monte, descend, faisant glisser ma langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure. Son sexe est tout luisant de ma salive.
J’ouvre la bouche en grand et enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert de l’énorme pénis, suçant sa queue avec application. Il sent mon souffle chaud sur son nœud turgescent, il me saisit à la nuque et tire ma tête vers son sexe dardé me contraignant à l’absorber au maximum, mais je ne peux à peine en avaler la moitié. J’essaie de fourrer le plus possible cette friandise dans ma bouche sans pour autant périr étouffée mettant toute mon ardeur à le satisfaire. Je suis à deux doigts de vomir quand son gland écrase ma luette. Les contractions de sa verge sous ma langue, les spasmes de plus en plus rapprochés annoncent comme je le crains, une éjaculation torrentielle. Il a un gémissement rauque et lâche des jets saccadés jusqu’au fond de ma gorge. Je crois rêver lorsque je ressens dans ma bouche la puissance des jets qu'il m'envoie. Il n'arrête plus et ma bouche est bientôt pleine de sperme, j'ai l'impression que je vais étouffer. Ses jets sont si forts que je ne peux les contenir et que la moitié sort de ma bouche. J’arrive à expulser cette véritable lance de mes lèvres avant de pouvoir déglutir et avaler une bonne dose de sa semence. Je continue de le masturber tandis qu’il gicle toujours. Il semble apprécier, car je vois son sourire béat. Je dégouline de sperme, mon visage, mes cheveux et mes seins sont constellé de foutre. Il se vide au maximum. Nous restons un long moment sans parler, je viens de goûter sa liqueur avec une certaine jubilation, en appréciant la saveur, dire que je trouvais cette pratique révoltante et dégradante.
L’ivresse des sens passée, je réalise enfin ce que je viens de faire. Je remets mon maillot rapidement et m’enfuis de la tente, coure jusqu’à l’eau ou je me plonge comme une folle pour enlever les traces de notre étreinte. J’ai nettoyé mon corps mais mon âme est toujours aussi sale. Je suis contrite de remords, je ne pourrai pas garder ça pour moi, je vais tout avouer à Damien en espérant qu’il daignera me pardonner dès que nous serons rentré de vacances.
Si vous voulez savoir ce qu’il s’est passé après, il va falloir attendre et lire la suite.
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