Tout a commencé le jour ou maman ma déculotté, assise sur la chaise elle m'avait positionné sur ses genoux pour m'octroyer une fessés. La cause de cette punition était dû au vase que j'avais fais tombé maladroitement et qui c'était brisé en plusieurs morceaux.
Je jouais alors à la poupée avec les deux autres enfants dont maman avait la charge pendant que leurs parents travaillaient. Quand le vase se brisa au sol maman arriva en trombe dans le salon et me jeta son regard noir. Elle évita de trop crier pour ne pas effrayer les deux petites filles présentes ce jour là.
Elle me désigna d'office comme le responsable, et d'une voix sèche et ferme elle s'empressa de me réprimander face à mes deux camarades de jeu Anaïs et clémence . Elle avait toujours se comportement vis à vis de moi. Elle aimait diviser en leurs présence et me désignait systématiquement comme responsable, même si c'était Anaïs ou Clémence à l'origine de la bêtise. Elle ne se lassait pas de me dire que, étant donné que j'étais le plus grand (de un an et demi pour Anaïs et de deux ans et demi pour Clémence) que c'était à moi, et à moi seul de faire en sorte que tous ce passe bien sinon gare!
Pour qu'elles aillent dans son sens, maman me montrer à chaque fois du bout de son doigt et les faisaient prendre part aux multiples réprimandes et dévalorisations à mon égard:" Vous avez vu les filles comme il est vilain comme il est sale, comme il est bête, comme il fait l'imbécile comme il est idiot, c'est à cause de lui il faut le punir hein les filles?
Cette façon de diviser ne s'arrêtait pas à Anaïs et Clémence, mais en présence de n'importe qui. La présence d'adultes la rendaient encore plus véhémente à mon sujet, je sentais qu'elle éprouvait une vive satisfaction à parler de moi en terme peu flatteur. Me rabaisser et m'humilier pour elle, surtout face à du monde, lui procurait du plaisir de la satisfaction que je pouvais lire dans ses yeux. Ses pupilles brillaient d'arrogance fier d'avoir remportée la victoire et de m'avoir soumis à son humiliation, son autorité et sa domination.
Mais maman n'était pas la seule à ressentir du plaisir, ses brimades me faisait éprouver un plaisir étrange. Je sentais quand maman me dévalorisait ou m'humiliait face à quelqu'un, mon zizi se dresser et devenir dur à l'intérieur de ma couche. J'aimais pendant ses réprimandes me dévaloriser, et laisser ma petite voix intérieure me dire que j'étais sale vilain et que l'on devait me punir.
Quand le vase se brisa donc, maman s'en prit tout naturellement à moi: "hou! regarde ce que tu as fais! elle m'octroya une gifle en guise de préliminaire. Celle-là tu l'a bien mérité, tu es une vrai catastrophe, un incapable" me dit-elle. Je sentis mon zizi se gonfler, et une excitation m'envahir, je savais qu'il y avait de grande chance pour que maman ne s'arrête pas ses humiliations en si bon chemin.
Puis prenant comme exemple les deux filles qui regardaient maman passer sa rage contre moi, elle continua d'une voix pleine de reproche et de sévérité:
"Regarde Anaïs et Clémence comme elles sont sage! Mais toi non il faut toujours que tu face ton intéressant, à ne pas obéir, à faire que des bêtises à tout bout de champs! Tu devrais avoir honte." Maman devenait hors de contrôle sa colère avait montée d'un ton. Elle m'aligna une autre claque" A tu ne veux pas obéir et ben on va voir ça! je vais te faire voir moi! Regardaient les filles le petit bébé qui veux pas grandir et qui fait que des bêtises! le vilain qu'il est!" Mon excitation franchit un cap et déclencha la petite voix qui m'accompagnait à chaque fois que maman en arrivait à ce stade de réprimande: "Oui suis vilain, il faut punir, j'ai honte, suis vilain, me faut fessée, faut que maman donne fessée devant Anaïs et clémence, pour que moi bien honte." Ses paroles que je répétais en boucle et qui marquait mon retard et ma régression de langage à quatre ans et demi augmentait mon plaisir, de façon exponentiel. Un plaisir sexuel purement primaire qui s'était imposé et figé en moi en réponse à l'humiliation répété de maman.
Maman m'empoigna le bras et releva ma robe pour bien montrer ma couche à Anaïs et clémence. Elle continua à s'adresser aux petites filles qui n'osaient plus bouger:
"Vous savez les filles pourquoi il porte toujours des robes ce bébé? Parce ce que j'en ai marre de lui changer les couches à longueur de journée et que c'est plus facile avec une robe que s'il avait un pantalon. Car monsieur le gros bébé à quatre ans et demi il porte encore les couches! Par ce que monsieur bébé il fait encore pipi sur lui à son âge! Hein regarde Anaïs et Clémence, si à bientôt trois ans elle ont besoin de couche la journée? Me dit elle.
" Mais toi non, tu es sale! Tu te fais encore pipi dessus quand c'est pas le popo! Hein monsieur le gros bébé! A tu peut avoir honte! Sale que tu es! Je sentais le plaisir s'immiscer dans toute ma couche . Maman aimait m'humilier, en parlant de mes problèmes d'incontinences devant les deux petites filles.
J'éprouvais une sorte de jubilation honteuse à être exposé ainsi aux yeux d'Anaïs et clémence, et aussi par le plaisir manifeste que maman éprouvait à m'humilier de la sorte." Mais se gros bébé cela ne le gêne pas d'être habillé en fille. continua t-elle, avant de poursuivre" Vous savez ce qu'il me dit ce bébé moi fille maman plus tard moi fille maman" parce que ce bébé se rêve en demoiselle plus tard. Va apprendre à parler correctement espèce d'idiot. T'es même pas capable d'être propre à ton âge! Tu me fais honte! Sous le coup de l'excitation je ne perçus pas immédiatement la miction soudaine qui se déversa en totalité dans ma couche.
Mon zizi tout droit rependit une profusion d'urine chaude vers le haut de ma couche. j'étais honteux de plaisir de ne pas avoir été capable de contenir cette énurésie soudaine. Excité par cette moiteur toute chaude, ma petite voix continua: Maman pas content moi pas arriver à retenir pipi moi avoir honte moi être sale très sale .
Mais maman ne s'arrêta pas là ,elle avait remarqué que je venais de faire pipi et arracha ma couche pour bien la montrer et me faire honte devant Anaïs et Clémence. Elle était gonflée par mon urine toute fraiche que je n'avais pu retenir pendant que maman me sermonnais. Elle leur montra" Vous voyez les filles qu'est-ce que je vous disait monsieur le gros bébé a fait pipi dans sa couche, A QUATRE ANS ET DEMI!" Elle avait volontairement accentué les derniers mots en la leur montrant de plus prés.
Elle continua élevant la voix et me fixant de son regard noir " Monsieur le bébé de quatre ans et demi ne peut pas encore aller à l'école, et vous savez pourquoi les filles? Elles les prirent de nouveau à parties, les regardant en souriant et tenter de les faires participer. Hein les filles vous savez pourquoi? Clémence habituée par ce petit jeu que maman encourageait, répondait activement des qu'elle le lui demandée: "-pourquoi nani y peut pas aller à l'école Azel?
-He ben ma chérie tu vois Azel, ce gros bébé de quatre ans et demi il peut pas aller à l'école car la maîtresse ne veux pas avoir dans sa classe un gros bébé qui à son âge fait encore pipi et caca dans la couche ! et qui est pas capable d'aligner trois mots correctement pour faire une phrase.
Les deux petites filles qui intrigué fixaient mon zizi tout droit, se mirent à le montrer du doigt et à rire aussi bien de ce qu'elles voyaient que de ce que maman venait de dire. L'humiliation ,la honte d'être ainsi nu et moqué par Anaïs et clémence me laissait proche de l'extase, proche de la jouissance. J'éprouvais un plaisir inouïe à être ainsi exhibé.
Puis elles s'adressèrent à maman :"Nanou pourquoi son pipi est tout droit?" dit l'une " Nanou il fait encore le méchant?" Renchérie l'autre. Maman s'était subitement retourné, ses yeux horrifiées sur mon sexe en érection.
Elle me saisi brutalement et assise sur la chaise elle fit basculer mon dos à l'horizontal les fesses en l'air. Mon sexe se retrouva compressé en sandwich entre mon corp et le dessus de ses cuisses, ma tête et mon regard face au sol.
Pour faire passer l'érection elle se décida à me fessée. Elle abattit sa main fermement sur la peau de mes fesses. Folle de rage elle demanda aux deux filles d'aller dans la cuisine pour qu'elle ne soit pas effrayées par la dérouillé que j'allais prendre. Cette fois c'était entre elle est moi il ne devait pas y avoir de témoin.
Anaïs et clémence sortir mais restèrent derrière la porte se penchant discrètement, pour ne rien manquer de ce qui allait suivre. Seul moi j'avais leurs regards en face quand j'inclinais le cou en arrière. Leurs petits yeux sournois s'amusaient de me voir ainsi mon corps allongé sur les cuisses de maman et sa main qui s'abattait sur mes fesses dans un claquement répétitif. Si je ressentis une immense douleur sur les deux premières tapes, les suivantes me procurèrent un échauffement qui augmenta mon excitation. Mon sexe qui appuyait sur la jambe de maman se durcir à l'extrême.
J'augmentais la pression en collant plus fortement mon zizi et en augmentant les mouvements sur la peau de sa jambe. La chaleur de la fessée amplifiait de manière exponentiel le plaisir, le décuplait au centuple. Je jouissais tout bonnement de cet instant.
Puis les reproches de maman sortir en flot "Honte, honte à toi, je vais te faire passer cette manie moi, tu devrais avoir honte, tu es sale et vilain, honte tu es la honte, sale que tu es! Honteux! HONTEUX QUE TU ES!" . Ces mots que maman prononçait à mon encontre, produisirent l'effet inverse. Tout n'était que plaisir, l'humiliation, la honte, mon sexe écrasé sur sa jambe, ma nudité, la fessée, la soumission à maman dans cette position.
Puis le regard d'Anaïs et clémence, provoquèrent en moi un vertige de plaisir. La honte surtout, à être humilié de la sorte était bon, jouissif incomparable à toute formes de plaisirs que j'avais pu avoir jusqu'ici. Maman qui attendait que mes pleurs pour cesser la fessée, et afficher clairement sa domination et son autorité envers moi, redoubla de vigueur sur ma peau rosie.
Sous ses claquements qui redoublaient je senti venir brutalement une sensation que je connaissais bien, lorsque en me frottant suffisamment longtemps sur un tapis ou sur mon matelas encerclé de ma couche j'atteignais une décharge dans mon zizi et dans tout le bas ventre. Je le faisais surtout le soir dans mon lit ou quand maman était occupé et qu'elle me laissait seul à jouer sur le tapis du salon. Je le faisais machinalement et des que possible plusieurs fois par jour.
N'ayant aucune notion de ce qu'était la sexualité, je le faisais sans me sentir coupable. Mais cette fois ce fut totalement différent et je scellais définitivement la masturbation innocente auquel je m'adonner au plaisir mental que la honte produisait sur moi. Je ressentais et comprenais à cet instant l'immense satisfaction à être humilié devant du monde et rabaissais par maman.
Mais encore plus je venais de découvrir, le pouvoir du fantasme, et que la pensée en décuplait un plaisir nouveau. Je sentis donc le cerveau en total ébullition, un orgasme venir pendant que maman continuait à me fesser. je me mis à onduler du bas ventre comprimant par a coup répété mon zizi sur sa jambe. Mais quand le plaisir ultime allait se diffuser dans tout mon entre-jambe maman qui n'était pas dupe me tira en arrière par le col de mon pull.
Elle me remit sur mes pieds me tirant toujours par le col. Elle m'emmena dans sa chambre continuant à m'appliquer des claques virulentes sur mes fesses qui virait au violacé. Elle me fit mettre à quatre pattes et attrapa avec sa main mon zizi et mes testicules pour les faire ressortir vers l'arrière., Avec une ceinture elle serra fortement mes cuisses l'une contre l'autre pour empêchait que mon appareil génital retrouve sa position initiale.
Mon zizi, mes testicules, se retrouvèrent au premier plan avec mes fesses toutes rouges pour recevoir une correction. Elle sortie de son armoire le martinet qu'elle utilisait dans les grandes occasions. Sans retenue elle fouetta sur mes fesses mon zizi et mes testicules. "Tu veux jouer au plus malin et bien c'est ce que l'on va voir, honte honte que tu es, tu vas cesser cette manie, si tu crois que tu vas continuer encore longtemps cette chose tu te trompe, sale que tu es, honte tu devrais avoir honte. Devant Anaïs et clémence en plus, tu devrais avoir honte! " me hurla-elle.
Le fouet brulait mes fesses et mes bourses. Je me mis à contracter et serrer mes testicules entre mes cuisses, pendant que les lanières flagellaient mes bourses mon zizi et mes fesses. Ma petite voix reprit son chapelet:" tu dois avoir honte je suis la honte oui je suis la honte ." Je senti venir sous ces paroles que je me répétais et la contraction de mes cuisses qui écrasaient mes bourses, un orgasme lent et profond. Orgasme amplifiait par les coups de fouet et la chaleur brulante de ma peau. Après avoir jouie mon érection diminua et se fut la douleur que je ressenti. Mes pleurs se firent entendre et maman émit un "ha!" de satisfaction elle me fouetta encore quatre à cinq fois et dit d'un air victorieux:" t'as voulus faire le malin et bien te voilà punie honteux que tu es! et crois moi cette habitude je vais te la faire passer moi! A SUIVRE
Je me connecte ou je m'inscris