Depuis la fessée magistrale que maman, m'avait infligée devant Anaïs et Clémence et le plaisir intense que j'avais ressentis (voir humiliation 1), deux mois était passé. Pendant se laps de temps plusieurs évènements s'étaient déroulé. Je venais d'avoir cinq ans au mois de mai. Comme à l'accoutumé maman me laissait seul dans la chambre à chaque fois qu'un homme venait lui rendre visite. Ce n'était pas toujours le même, et je savais que dans les minutes qui allaient suivre j'allais entendre maman rigoler et ensuite gémir et pousser des petits cris. Elle ponctuait ses onomatopées de mots ou de phrases courtes:
" Va y bébé baise mo,i mets la moi entière, prends moi par derrière, vas-y je vais jouir, oh oui encore chérie."
Certaine fois j'entendais le fouet claquer et maman avait l'air d'être dans une colère noire. Elle disait des gros mots à profusion toute en allongeant des coups de martinet: "Sale pédé, je vais te faire obéir espèce de salope impuissante, regarde tes couilles ce que j'en fais". J'entendais alors l'homme émettre un râle puis d'une voix soumise il s'excusait:" Pardon maîtresse, oui je suis une salope de pédé, il faut me punir.
J'avais l'impression que Maman prenait un certain plaisir à dominer l'homme qui se retrouvait à sa merci et n'hésitait pas à continuer son supplice:
"-dit que t'es une merde ou je t'écrase encore plus tes couilles de pédale, puceau grosse merde" menaçait maman.
L'homme s'exécutait, et j'entendais les coups de fouet claquer jusqu'à qu'il pousse un râle de satisfaction. Aussitôt les claquements du martinet cessaient et d'une voix ferme et directive elle lui intimait l'ordre de se rhabiller et de dégager. Elle n'oubliait jamais de mentionner de laisser l'argent sur le meuble en partant.
L'homme s'exécutait avec un ton de voix honteux:
"Oui maîtresse, d'accord maîtresse, au revoir maîtresse." J'entendais alors la porte d'entrée se fermer quelque instant après, et moi baigné d'excitation je sentais mon zizi droit et dur.
Je ne résistais pas à l'envie de me coucher sur le ventre à même le sol et de glisser ma main dans ma couche entre mes jambes pour me frottais sur le tapis de ma chambre jusqu'à me satisfaire. Des fois maman rentrait dans ma chambre et me surprenais. Elle avait bien tenter de m'en dissuader par quelques fessées mais avait finalement abandonné devant la répétition croissante de mes frottements. Elle se contentait de me regarder amusée et moqueuse "tu te touche encore espèce de cochon déjà que t'es bête tu vas finir définitivement idiot mon pauvre Azel. " Puis elle sortait de la chambre me laissant à ma pratique que je renouvelais avec une périodicité quasi obsessionnelle.
J'écoutais en détail les bruits et les voix qui filtrait de la pièce mitoyenne à la mienne.
La parois fine comme du carton me permettait d'entendre tous ce qui se disait.
Je savais ce que faisait maman. Poussais par la curiosité et l'excitation je m'approchais de derrière la porte dès que j'en avait la possibilité.
J'avais pu voir ainsi, à la dérobée un zizi long et droit que maman secouait d'avant en arrière, pour ensuite le glisser dans sa bouche et l'aspirer comme une sucette. Je savais qu'elle se mettait nu face aux messieurs qui étaient avec elle, et que eux faisaient de même.
Une autre nuit réveillé par le bruit, j'avais pu à loisir caché derrière la porte de ma chambre, observer maman dans le salon avec deux hommes. A genoux elle secouait le zizi du monsieur, et lécher de sa langue le bout rouge de son kiki. L'autre homme les regardait et secouait tout seul et doucement son zizi long et dur qui restait dressé vers le plafond.
Au bout d'un moment, il était venu derrière elle, et s'était mis lui aussi à genoux. Maman s'était mise à geindre quand l'homme avait glissé son gros zizi tout dur dans le petit trou du haut.
Il s'était mit à effectuer des vas et viens en la tenant par les hanches. J'entendais maman gémir plus fort et plus régulièrement à chaque allers retours en elle.
A un moment, c'est l'homme qui était debout qui poussa un gémissement et une crème blanche fut éjecté de de son zizi, maman avait alors enfourné son kiki entierement dans sa bouche et l'avait aspiré jusqu'à ce que l'homme se décide à le retirer à moitié mou et pendant.
Elle léchait encore la crème qui lui avait sauté au visage et qu'elle remmenait avec son doigt sur sa langue, quand l'homme qui était derrière elle, intensifia ses coups de reins entrant et sortant de son petit trou . En même temps, il s'était mis à lui giflait les fesses et l'avait obligé à mettre sa tête et ses épaules au sol pour bien laisser sa croupe en évidence. L'homme s'était alors mis debout les genoux pliés, et avait planté son bâton dur et long dans le grand trou du bas, une dizaine de fois avec force et puissance.
Du lait était sorti de son zizi et s'était rependu en abondance un peu partout. L'homme avait saisi son kiki et avait barbouillé avec la creme blanche le petit trou à maman pour ensuite l'enfoncer une dernière fois, trois ou quatre fois d'affilé en gémissant.
Ces scènes vu à la dérobée produisait dans ma couche une excitation, mon kiki à moi aussi se dressait dur comme un bâton induisant une violente frustration que je ne pouvais ni comprendre ni expliquer. Ces images tournaient en boucle dans ma tête et mon zizi restait érigé pendant de longues heures.Jje le frottais alors inlassablement pour pouvoir assouvir les pulsions qui me tiraillés.
C'est en voyant maman qui se frottait son zizi en petite tenue sur le canapé, ou nu sur son lit que l'idée, de me frottait moi aussi contre le sol m'était venue à l'esprit. Assise, les jambes enlacées entre elles jusqu'au mollet, elle se coincée une de mes peluches ou un coussin, et effectuait des balancement pour se frotter contre l'objet qu'elle avait coincé sur son zizi.
Je voyais bien que sous sa nuisette elle était nue, et le plaisir manifeste qu'elle y prenait ne faisait aucun doute.
J'ai le premier souvenir qu'elle se caresse devant moi quand j'ai deux ans et sans aucune gêne . Quand elle caressait et enfonçait ses doigts dans son zizi elle prenait plaisir à regarder des cassettes vidéos particulières. Elle était excitée par les femmes et les hommes nus qui faisait la même chose qu'elle, quand elle recevait des messieurs.
Je venais donc d'avoir mes cinq ans, et maman s'était mis à recevoir des hommes même quand Clémence et Anaïs étaient présentes. Même si cela était rare cela lui arrivait, elle nous enfermait alors dans ma chambre le temps d'une demi heures.
Maman était plus discrète mais en tentant l'oreille je discernais les gémissement de maman et du monsieur avec lequel elle était.
Excité je me couchais au sol et commençais ma séance de frottage devant les deux filles qui me regardaient intriguée par mes mouvements et les rictus que le plaisir dessinait sur mon visage. "Tu fais quoi Azel, tu fais encore le vilain" me demanda Anaïs.
Excité par leurs regards et leurs présence je dégrafais ma couche et les laissais me regarder. Cette situation me faisait éprouvais un plaisir supérieur, et mon comportement devenait alors incontrôlable. Je me frottais sans aucune retenue et sans aucune gêne en plantant mes yeux dans les leurs. Envahis par le plaisir, je ne me contentais pas d'en rester, car depuis peu je reproduisais maintenant ce que maman faisait avec le zizi des messieurs, et dans les vidéos qu'elle regardait régulièrement. Je prenais et serrais à pleine main mon kiki et le secouait rapidement d'avant en arrière jusqu'à ce que la chose se déclenche dans mon bas ventre. Je pousser alors un petit cris qui témoignait de l'intense plaisir que j'y prenais.
C'est donc devant les yeux exorbités de Clémence et Anaïs que j'effectuais les mouvements rapides d'allers retour sur mon zizi dur et érigé vers le plafond. Les petites filles paralysées par mon comportement n'osaient plus bouger d'un centimètre ni prononcer un mot. Allongé face à elles les jambes écartées je me cambrais en secouant mon kiki plus ou moins rapidement.
Avec mon autre main je caressais d'un doigt humidifié par ma salive mon anus et l'enfonçais et le sortait comme le faisait maman avec son zizi. Très vite je sentis le plaisir arriver et envahir mon corps telle une décharge. Je me cambrais au maximum laissant la sensation divine du vice s'immiscer en moi. Je laissais mon doigt pénétrer mon anus en le faisant glisser et ressortir pour mon plus grand plaisir, pendant que je finissait de m'astiquer encore exciter par le regard de Clémence et Anaïs.
Pas rassasié, je décidais de m'approchais d'elles, l'idée de les forcer à se déshabiller pour les voir nues et de glisser une main dans leur culotte et caresser leurs zizi remit en marche mon excitation.
Je sentais aussi, une pulsion nouvelle qui naissait en moi, celle de lécher et sucer leurs peaux, la manger. Les avaler petit à petit chaque bout de peau ou de chair pour me remplir d'elles et enfin devenir une fille. Ma jalousie se révélait au grand jour, elles étaient ce que je voulais être :Une fille.
Leurs féminités arrogantes, leurs corps, leurs habits, leurs peaux, et et leurs longues chevelure, faisaient d'elles des filles des vraies et me renvoyait à ma condition de garçon. Aussi cette jalousie se teinta de perversité et de haine, et m'avançais vers elle en secouant mon kiki droit comme un i en suçant mon pouce bien décider à reprendre ce qui m'était dû. Mais je n'avais pas entendus le client à maman qui était parti, ni quand elle rentra dans la chambre me surprenant à trente centimètres d'Anaïs et clémence en pleurs. Elle m'attrapa par ma longue queue de cheval et tira dessus pour me faire mettre à genoux, puis à quatre pattes. Sa main se déchaîna sur mes fesses "Non mais tu fais quoi là? espèce de porc hein! tu vas voir ce que tu vas voir." me cria t-elle. Je sentis mes fesses chauffer et le plaisir qui venait avec. Maman était en déshabillé de soie, mal fermer je pouvais apercevoir sa nudité. Je croissais aussi le regard redevenue dominateurs de Clémence et Anaïs leurs sourire moqueur affichaient le dégout qu'elles avaient de moi et de mon comportement. Maman me hurler dessus" tu devrais avoir honte sale porc bâtard que tu es." Oui j'avais honte qu'elle m'est surpris, honte de recevoir une fessée nu devant les deux filles qui me juchaient de leurs regards condescendants. Elles étaient satisfaite de me voir punis et humilier de la sorte. Mais pour moi toute cette honte se transformait en plaisir, et conditionné ma sexualité et mon statut d'éternel soumis d'éternel humilié. ASUIVRE
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