Je me présente Sylvain, vingt huit ans, marié depuis trois ans à Amélie, âgée de vingt quatre ans, après cinq ans de vie commune. Amélie est une belle jeune femme blonde aux yeux bleu, mesurant près d’un mètre soixante dix, pour cinquante huit kilos. Elle a un corps magnifique, très bien proportionné, avec de petits seins bien ferme.
Timide et réservée elle manque totalement de confiance en elle mais elle incarne la gentillesse et la douceur, sexuellement très classique à mon grand désespoir mais j’adore lui faire l’amour.
Cet été nous avons eu l’occasion de partir en vacance en corse chez José, cinquante ans, un collègue de boulot qui à une maison sur Ajaccio. Nous rêvions de visiter la Corse depuis longtemps, il il nous proposa sa gracieusement sa maison.
Nous sommes arrivés le samedi, il était midi. José nous a récupérés à l’aéroport et nous installa chez lui, dans une belle maison en bord de mer. La chambre qu’il nous était réservé, était très spacieuse.
Les deux premiers jours, José était absent, mais dès qu’il revint, il nous fit découvrir les beautés de la corse "extraordinaire".
José et Amélie avaient beaucoup de point communs, comme la nature, l’art etc . Leurs discussions duraient des heures. Un jour en allant au marché tous les deux, José me complimenta sur mon choix d’avoir épousé Amélie, qu’il trouvait belle et intelligente.
Au fil de la discussion, il m’avoua qu’elle avait un côté timide très attirant sexuellement, et qu’il craquait sur sa poitrine qu’il devinait sous le maillot. Puis il ajouta que c’est le genre de femme qui adore le sexe en général.
Je lui ai avoué qu’elle avait connu que moi, et qu’elle était très timide sexuellement. Il se mit à rire.
-Je suis sur qu’elle est chaude, mais qu’elle n’ose se libérer, parce que je suis son mari".
-Tu parles, elle est sérieuse et c’est comme ça.
-Je parie que si tu me laisses une soirée entièrement avec elle, je la décoince.
Sur de moi et d’elle j’acceptais le pari.
Le lendemain soir après une ballade, et un bon repas que José nous avait concocté, ils entamèrent une longue discussion.
Amélie s’absenta un moment, pour aller aux toilettes.
José en profita pour me demander si le pari tenait toujours. Un peu éméché, je confirmais mon accord. Dis minutes plus tard, je m’excusais de la fatigue de la journée et feignit de me coucher.
Nôtre chambre donnait sur la grande terrasse, qui se trouvait à fleur de la piscine. En ouvrant la baie vitrée, je pouvais voir et entendre tout de leur discussion. Ils parlaient beaucoup, mais buvaient aussi, ce qui était rare de la part ma femme.
Puis José lui avoua qu’il la trouvait très belle et qu’il fantasmait beaucoup sur elle, qu’elle lui faisait beaucoup d’effet
-Ah bon, dit-elle, a ce point...
Il lui dit pire que ça.
-D’ailleurs je vais me jeter à l’eau pour calmer mes ardeurs.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il s’approcha de la piscine, et plongea dans l’eau, tout habillé. Amélie éclata de rire, de le voir se jeter ainsi à l’eau, et le traita de fou.
Après être sorti de l’eau, elle lui demanda si ça l’avait calmé.
Il lui répondit « pas vraiment ». Il ôta son haut et le lui jeta en rigolant. Il s’approcha d’elle, fit mine de faire un strip-tease. Elle était morte de rire.
Sans se démonter, il baissa son pantalon, et apparut en boxer, cachant son anatomie avec une serviette.
-Tu es complètement fou ce soir, riait-elle.
Puis il se tourna et enleva le boxer et, tout en gardant la serviette autour de la taille et le lui jeta. Elle prit le boxer et fit « Hum »
Il s’approcha très près, écarta les pans de la serviette, puis les referma, et reprit son déhanchement. Amélie avait succinctement vu son sexe.
-Ouah...c’est moi qui te met dans cet état ?.
-Oui je t’avais prévenu, dit-il en s’asseyant en face elle, tu es surprise ?.
-Qui quand même, tu es fou, mon mari est là.
-Tu l’as déjà trompée ?
-Non jamais...je l’aime. "
-Et ce soir, t’as pas envie d’essayer ?
-Si j’étais pas marié je t’avoue que...
-Et ça te dit de me regarder me branler devant toi...tu fais rien tu regardes simplement. C’est pas tromper ça ?
-OK lui dit-elle, je sais pas tu es fou".
Il ouvrit la serviette et se leva, son énorme queue en érection apparut. Il commença à se caresser, se décalottant au maximum. Au bout de deux minutes, il lui demanda si elle trouvait cela agréable. Elle lui répondit qu’elle trouvait ça très beau. Il lui demanda alors, si son sexe lui plaisait.
Elle avoua qu’elle était surprise par la taille, mais que oui, il lui plaisait
-Je peux te demander un truc perso.
-Bien sur...c’est quoi ?
-Je voudrai que tu me montres tes seins.
-Carrément...tu es quand même gonflé...mais pourquoi pas. Après tout, tu m’as bien montrer ta queue.
De la terrasse, je vois mon épouse dégrafer le haut de sa robe. J’attends avec impatience la réaction de José.
-Ouah...quelle merveille…
José réagit au bout de deux minutes. Il s’approcha en lui disant qu’elle le rendait fou, et posa une main sur son sein droit, le caressa. Il approcha son sexe et frotta son gland sur son sein
-Tu es fou, dit-elle, ça va trop loin…
-Chut... laisse moi faire... i
José demanda à Amélie de montrer entièrement sa poitrine. Hésitante, elle obtempéra, libéra ses deux superbes seins. Il se baissa, embrassa les bouts qui commençaient à durcir. Puis il frotta à nouveau son sexe sur ses seins.
-Prends la...caresses la...
Ma femme le prit en main et commença à le branler. José se tendait en avant, absorbé par les douces caresses. Il jubilait.
-Elle est belle ma queue, tu l’aimes…
-Oh oui je l’aime...c’est vrai quelle est belle…
-Mets la entre ses seins...branle la avec. Tu as des seins fait pour ça, mais j’avoue que je préférerai ta bouche.
-Oh non faut pas…
-Chut...suces la.. tu verras comme elle est très bonne.
Puis il lui posa sa queue sur les lèvres, poussa sur sa tête et pénétra la bouche de force. J’entendais ses petits commentaires.
-Voilà c’est bien suce moi ma chérie...c’est bon, hein...remets la entre tes seins...non, dans ta bouche...suce moi.
Ma femme s’exécutait sans rien dire, comme s’il elle était soumise.
Puis il l’aida à se lever, l’allongea sur la table, lui présenta à nouveau sa queue, qu’elle suça avec gourmandise cette fois. La pipe était terrible, me surprit même de la part de mon épouse. José donnait des signes de jouissances, sa bite vibrait dans la bouche d’Amélie. Il n’y tint plus, et cracha de longs et puissant jets de sperme, au fond de sa gorge.
-Oh putain...ça c’est de la pipe…
-T’es un salaud...je voulais pas ça…
-Bouges pas, lui dit-il.
José se pencha, lui prit les lèvres, tandis qu’une main s’infiltrait sous la robe. Il atteignit rapidement son but. Il enfouit la tête dans la fourche ou se trouvait la chatte, qu’il trouva bien mouillée. Il plaça ses jambes sur ses épaules, et lécha les lèvres intimes. Amélie se trouvait dans un état d’excitation intense, aussi elle ne tarda pas à gémir de plaisir, quand elle atteignit l’orgasme.
Elle jouit à plusieurs reprises sous la langue experte de José. Puis il changea de position. Il se redressa, pointa sa bite toujours tendue,devant la chatte de ma femme. Il souleva ses jambes, et la pénétra violemment, en lui disant qu’elle était une bonne petite femme qui aime la queue. Il la fit mettre à quatre pattes sur un matelas de la piscine et la prit en levrette.
Elle jouissait, alors qu’ il lui parlait sans arrêt. De temps en temps il sortait sa queue, la lui faisait sucer. Quand à son tour, elle eu bien jouis, il voulut la sodomiser, mais elle refusa prétextant qu’il était trop gros.
Pour finir leur torride relation, il lui demande de lui tailler une pipe, et de tout avaler.
Après un bain dans la piscine et un verre de champagne, elle monta se coucher. Dans bas, José, sourire aux lèvres, me fit un doigt vainqueur.
C’est vrai que c’est ce que je voulais.J’ai vu Amélie, prendre énormément de plaisir, avoir des orgasmes en cascade. Mais ne suis pas prête à subir ça une deuxième fois.
Amélie ne sut jamais, que j’avais assisté ses ébats, de la chambre ,que je l’ai entendu crier son nom, quand il la faisait jouir. C’était trop pour moi.
Le lendemain Amélie se réveilla, blottit dans mes bras. Après quelques bisous, nous fîmes l’amour. Elle était très excitée, et enchaîna orgasmes, sur orgasmes, pour mon plus grand plaisir.
Pendant qu’on était sous la douche, elle n’arrêtait pas de dire qu’elle m’aimait, et me dit qu’un jour, elle aimerait bien que je la sodomise.
Etait-ce pour se faire pardonner la nuit sulfureuse passée avec José?Je trouvais son comportement bizarre.
Pour la tester, je lui demandait ce qu’il lui arrivait de dire sans arrêt, qu’elle m’aimait, et pourquoi du jour au lendemain, elle voulait que je l’encule. Elle m’avouait simplement, que j’étais son mari, et qu’elle avait envie de çà. Peut être, pour éviter que José soit le premier à le faire.
Après une douche un brin coquine, on descendit vers midi. José était sorti, avait laissé un mot. Il nous disait qu’il nous laissait seuls en amoureux pour cette belle journée et la soirée. Il organisait pour le lendemain une sortie en bateau avec visite de criques.
Amélie et moi, passons la journée à nous promener dans la ville, puis la soirée à boire, et la nuit à baiser. J’en profitais pour lui demander si sa proposition tenait toujours. Elle me souffla un « oui » langoureux à mon oreille. J’osais pas...j’hésitais un instant avant de pointer ma queue en érection, à l’entré de son petit trou. Elle insistait pour que je la pénètre. C’est cette nuit là, qu’elle connu sa première sodomie.
Le lendemain, je me levais le premier, laissant Amélie se reposer, après une folle nuit de de baises. Je trouvais José, en train d’arroser la pelouse. On discuta un moment, puis il me demanda si j’avais vu ma femme lui succomber l’autre nuit. Je lui répondais que oui, et lui confiait que j’avais été très excité, mais un peu jaloux. Je lui disais toutefois que je ne tenais pas à ce que ça se reproduise, car je l’aimais et ne voulait pas la perdre. J’ajoutais que si elle s’offrait à lui, sans mon accord, elle mettrait son couple en danger, et serait seule responsable des conséquences.
Il se détourna du sujet, me disant que j’avais beaucoup de chance d’avoir une femme comme Amélie, belle, intelligente et folle de sexe. Elle était juste un peu coincée. Il me demandais si ça allait mieux entre nous au lit. Je lui dit que je faisais mon possible, mais que ce n’était pas simple. Il rit, me dit que c’était normal, que j’étais trop amoureux et respectueux, et que je n’osais pas la brusquer, la forcer un peu. J’ai dit oui, certainement. Il me dit que si je voulais, il était prêt à la décoincer d’avantage, un soir à ma convenance.
Il me dit même, que je pourrais les surprendre en train de baiser, faire mine d’être en colère, qu’ après, elle serait docile, soumise, et que je pourras faire ce que je veux avec elle, assouvir tout tes fantasmes.
Je rejetais sa proposition en bloc.
Il me demanda de réfléchir, en me disant que personne ne serait au courant de nos agissements. Sans qu’elle se doute de quoi que ce soit, je posais des questions coquines à Amélie, comme lui demandais si elle était attirée physiquement par José, si elle aimerai faire l’amour avec lui. Elle m’avoua qu’il lui plaisait bien, mais de là, me tromper avec lui...non.
Après une belle journée passée dans les crique, ou Amélie ne repoussait pas José, entrain de la draguer, on rentra, et on dîna tous les trois.
Vers vingt trois heures, j’allais me coucher prétextant une grosse fatigue, en disant à José que j’étais ko. Ils burent ensuite quelques verres et il se faisait un plaisir de lui faire découvrir des parfums, des odeurs de plantes, de différend cônes glacés, mais aussi, des alcools corses.
Vers minuit ma femme dit qu’elle allait bientôt se coucher. Il lui dit très bien, mais on finit la dernière dégustation de bâton de glace, les yeux fermés cette fois, pour voir si tu les reconnais. Elle accepta, mais voyant qu’elle trichait, il lui banda les yeux et à l’aide d’un foulard. Elle devait à l’aveugle, découvrir le parfum. Ils s’amusaient comme des gosses.
Bien-sûr José en profita pour sortir sa queue, et enduit le gland d’une confiture locale, et posa sur la langue de ma femme, d’abord juste le bout. Elle se rendit compte de rien, puis ne trouvant pas, il lui enfonça le gland dans la bouche. Elle recula et lui dit qu’il était fou et d’arrêter. Il éclata de rire, en lui disant qu’elle devait bien se doutait que ça allait finir comme ça. Alors maintenant, tu vas me tailler une pipe, conclu-t-il.
Elle lui dit non hier c’était une bêtise j’aime mon mari je veux plus. Il lui dit écoute tu veux pas que ton mari sache ce qui s’est passé avant hier je peux lui dire que tu as une beau petit bout de peau sur la fesse droite.
Elle le supplia de la laisser. J’étais excité mais aussi pas tranquille pour ma femme. Je décidais d’intervenir, mais quand José me vit, il me fit signe de me taire et de me cacher. Puis il dit à Amélie, qu’il allait la baiser, l’enculer, comme si elle était sa petite salope, qu’il allait la faire jouir comme jamais, et qu’elle pourrai rejoindre son petit mari, et lui demander de nettoyer son sperme, en léchant sa petite chatte.
Mais tu vas d’abord remettre le bandeau. Une fois les yeux bandés, il lui ordonna de lui tailler une pipe. Il présenta sa queue et lui força la bouche. Ma femme résista un instant puis se mit à le sucer. Il lui disait tu vois tu avais envie de ma queue. Je m’aperçus qu’Amélie prenait du plaisir à sucer sa bite. Elle était déchaînée, répondait à ses désirs, lui disait qu’elle aimait sa queue, qu’elle voulait qu’il la prenne.
Il l’emmena sous l’abri jardin, et la baisa violemment. Elle eu plusieurs orgasmes, il descendit le foulard sur sa bouche, et il lui dit qu’il allait l’enculer. Elle voulait résister, craignant que l’énorme queue ne la déchire. Mais il l’encula avec force, et elle prit beaucoup de plaisir. José sentait que ça l’excitait. Puis il jouit dans son cul en me faisant signe de venir.
Il traitait Amélie de grosse salope qui aime avoir une grosse bite dans le cul, alors qu’il la pénétrait à nouveau. C’est elle insistait pour qu’il la lui mette bien profond en elle.
Quand elle me vit elle fut a deux doigt de s’écrouler, tétanisée. Je ne dis pas un mot, et regagnais la chambre.
J’étais entrain de plier mes affaires, ne parvenant pas à maîtriser mes émotions. La jalousie avait pris le dessus.
Quand elle arriva en pleurs, elle voulut me retenir, me supplia de ne pas la laisser seule ici, avec José, insistant sur le laite, qu’elle ne l’aimait, que c’est moi l’amour d sa vie. Elle ne comprenais pas comment elle en était arrivé là. J’eus de la pité, car après tout, le seul responsable.
Je l’attirai à moi, la serra dans mes bras. Pendant que je caressais se cheveux, elle me supplia de partir, que quitter cet endroit.
Je décidais d’aller voir José, et lui expliquer que nous allions quitter la Corses. Il s’excusa, m’accusant d’être le seul responsable, de ce qu’ils s’étaient passé. Il m’avoua aussi, qu’Amélie était une tuerie au lit, qu’elle aimait le sexe, et qu’elle taillait des pipes, comme personne.
Les adieux furent sobres, l’ambiance malsaine. Aucun bisou, que des serrements de mains, même de la part d’Amélie, distante envers José.
Dans le TGV de retour, Amélie se blottit contre moi, et s’assoupit.
Nous n’avons plus jamais reparler de ces vacances en Corses.
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