Connaître des problèmes pour atteindre l’orgasme avec son mari, est chose rare, quand on a à peine quarante ans. D’autant que d’après mes amis, je suis encore très désirable, et que pas mal d’hommes, aimeraient bien m’avoir dans leur lit. C’est même une idée, qui m’a longtemps effleuré l’esprit, surtout avec Guy, le pire ennemi de mon mari, très séduisant.
Je décidais, de prendre rendez-vous, avec un sexologue, en présence de mon époux.
Je n’avais pas osé prendre rendez-vous avec mon médecin traitant pour évoquer les problèmes sexuels que je rencontrais depuis un certain temps déjà avec mon mari, et l’idée de consulter un sexologue m’effrayait. Lorsque j’ai exposé mes soucis à un sexologue trouvé dans l’annuaire, il a paru circonspect. Que pouvait-il faire, face aux problèmes d’une femme qui ne jouissait plus ? Après un temps de réflexion qui m’a semblé infini, et devant l’air tout penaud de mon chéri, le doc a commencé par me bombarder d’une série de questions sur ma santé physique et intime.
Derrière son discours courtois, il dissimulait un petit air coquin qui, dans cette ambiance un peu froide, mettait mes sens à rude épreuve. Puis, les questions intimes se sont orientées vers mon mari, et j’ai bien cru que le pauvre allait s’évanouir. Le doc a enchaîné en me demandant de me dévêtir afin de m’examiner.
En tout cas, j’avais de plus en plus chaud ! Je me suis exécutée comme une docile petite patiente. Dès que les mains de docteur se sont posées sur ma poitrine pour la palper, j’ai vite su que j’allais m’abandonner. Ce simple contact éveillait déjà plus de sensations en moi que les baises bâclées de mon mari.
Imaginez donc comme ma tête a tourné lorsque, d’un ton qui ne laissait aucune place à la réflexion, le doc m’a demandé de baisser ma culotte et de me mettre à quatre pattes sur sa table d’examen !
Après avoir détaillé mon intimité offerte, le toubib a écarté mes fesses pour y enfoncer un thermomètre. Regarder mon mari, assis à quelques centimètres de mon visage, alors que je me faisais introduire cet objet dans le fondement par un autre homme, provoquait en moi une excitation sans précédent. Je devais me contenir pour ne pas laisser échapper un gémissement inapproprié. Jamais je ne m’étais sentie aussi offerte et prête à tous les vices imaginables. Je dois bien avouer que la présence de mon époux dans la pièce décuplait mes désirs enfouis.
Je voulais lui montrer à quel point j’étais en attente d’un plaisir que, hélas, il n’était plus capable de me donner. Alors que j’étais déjà tout à lui, le docteur m’a demandé de me tourner et me placer sur le dos afin d’y introduire un objet métallique.
Mon mari, lui, de plus en plus gêné par la situation, marmonnait des mots incompréhensibles. Il transpirait à grosses gouttes. J’étais moi aussi bien humide, mais pas au même endroit, si vous voyez ce que je veux dire ! Depuis le temps que je me complaisais dans mon rôle d’épouse modèle et que le sexe, le vrai, n’était plus qu’un vague souvenir…
Pour une fois, même si la situation ne s’y prêtait pas forcément, je me laissais aller, je lâchais prise pour ne plus penser qu’à une chose...mon plaisir ! J’étais maintenant en nage de partout, et les légers va-et-vient que le médecin effectuait entre mes cuisses étaient un délice que je gérais de moins en moins. Il donnait désormais une véritable leçon d’extase à mon époux, qui s’était approché afin d’assister au spectacle de sa femme, jouissant sous les caresses d’un professionnel à tous les niveaux. Étant visiblement lui aussi gagné par un fort degré d’excitation, le médecin a décidé de substituer l’objet coulissant par ses doigts qui, non seulement, fouillaient mon intimité mais doigtaient également mon clitoris gonflé à l’extrême.
-Vous voyez, expliquait-il à mon mari,comme cela, doucement, en appuyant bien à ce niveau-là. Vous pouvez bien entendu également le faire avec vôtre langue…
Et là, le sexologue joint le geste à la parole !
Sa langue habile sur mon petit bouton m’a fait décoller en un temps record. Mon époux semblait éberlué, lui qui me mange une fois par mois et avec autant d’appétit qu’un végétarien devant une côte de bœuf !
Lorsque le médecin, poussant le professionnalisme à l’extrême, a baissé son pantalon pour parcourir ma chatte trempée de son gros gland, mon mari nous a balancé un petit.
-Mais...je ne vous permets pas ! De jalousie aussi ridicule qu’inutile.
-Regarde et prends des notes, lui ai-je simplement rétorqué.
À partir de là, il s’est tenu tranquille et a profité du spectacle qui, de mon point de vue, était une délicieuse représentation. Je n’ai pu contenir un gémissement lorsque la grosse queue du médecin m’a pénétrée jusqu’au couilles.
Enfin, après tant d’années de disette, je goûtais à nouveau aux joies d’une bonne baise ! Malaxant mon clitoris et écartant mes cuisses le plus possible, le doc a alors entamé un ballet au fond de mon intimité, que je lui offrais avec une joie non dissimulée. Avec précaution, le docteur poursuivait son cours poussé d’anatomie en livrant à mon mari ses secrets de fabrication. Passée sa crise de jalousie très déplacée, mon époux a suivi l’action au plus près du terrain.
Il observait scrupuleusement les moindres gestes du docteur, qui s’activait de plus en plus rapidement au fond de ma chatte. Je regardais avec une gourmandise non feinte cette belle queue qui disparaissait en moi. Les sensations que j’éprouvais étaient au-delà du réel, tant la situation semblait surréaliste. Aussi, lorsque le docteur a déposé du gel lubrifiant sur ses doigts, afin de me les planter dans mon petit trou, j’ai frémi de tout mon être… Mon mari n’avait jamais eu droit à cet orifice, mais là, je me sentais prête à tout essayer.
Afin de parfaire la visite de mon rectum et vérifier sa “réactivité”, le médecin a rapidement décidé de remplacer ses doigts par sa vigoureuse bite. De nouveau, mon époux a fait des siennes et a ronchonné, mais le côté très explicatif du doc a su le convaincre que tout ceci était surtout pour son bien à lui !
Donner, ne serait-ce qu’une once de frémissement à sa femme, devenait chose pressante, sous peine d’une répétition rapide et sans sommation de cette séance thérapeutique en compagnie d’autres mecs bien montés, dont un qu’il connaissait très bien, pour être son pire ennemi.
Le doc s’activait de plus en plus rapidement au fond de mes fesses bien dilatées par sa grosse tige. Ses mains ne restaient pas inactives et couvraient mon corps de délicieuses caresses qui ne faisaient que démultiplier les sensations de cette douce pénétration anale. Dans sa bienveillance, mon médecin prodiguait quelques savants conseils à mon mari, visiblement éberlué par les râles de sa douce et jolie épouse.
- Pensez à rester actif avec vos mains. Pincez-lui le bout des seins, écartez-lui les fesses, décalottez son clitoris...doigtez-le. Il n’y a pas que du sexe, dans le sexe.
Quel poète cet homme. Le traitement qu’il assénait à mon petit trou me plongeait dans un état second, et j’avoue avoir un instant perdu conscience, de ce qui se passait autour de moi. Le souffle de plus en plus prononcé de mon soigneur, m’a indiqué que, malheureusement, la séance thérapeutique, touchait à sa fin.
Quelques instants plus tard, nous nous sommes rejoints dans un orgasme d’une incroyable puissance, moi hurlant alors que la semence tiède du doc couvrait ma cuisse et ma chatte comblée.
Mon mari, complètement médusé, fixait bouche bée ce sperme qui coulait lentement sur la chair de son épouse enfin repue. Le médecin m’a tendu des serviettes en papier afin d’essuyer le jus qui couvrait mon corps.
Nous nous sommes tous deux rajustés, et le sexologue de la jouissance m’a prescrit une ordonnance de gel pour m’aider à lubrifier. Puis, s’adressant à mon mari, il a précisé.
-J’espère que vous aurez appris deux ou trois petites choses essentielles afin de conduire votre divine épouse vers les cimes du plaisir. Comme vous l’avez constaté, ce n’est pas sorcier si l’on sait être à l’écoute !
La séance fut prolifique. Mon mari n’en revenait pas, que ce sexologue ait pu, en à peine une heure, me faire jouir trois fois, alors, que lui met tout une nuit, pour m’arracher un simple orgasme, parfois même, simulé.
Le docteur me proposa un autre rendez-vous, que mon mari refusa, trouvant la séance onéreuse.
- Très bien, dit le sexologue. Dans ce cas, madame, je vous conseille, dans un premier temps, de prendre un amant, de trouver un bon étalon.
- J’en connais un...mais je ne sais pas si mon mari sera d’accord. Il s’appelle Guy, et c’est son plus grand rival. Il paraît que c’est un super coup au lit.
- Tant mieux, poursuit le docteur. Cela devrait vous exciter encore plus de baiser avec le rival de vôtre époux. Reste à savoir s’il accepte qu’il vous baise, vous encule, que vous lui tailliez des pipes, devant lui.
-J’accepte, dit mon mari, qu’elle se fasse baiser par mon pire ennemi. Je sais qu’il va prendre du plaisir à l’enfiler dans toutes les positions, dans tous les trous. Je sais qu’il va m’humilier avec sa queue de vingt centimètres, alors que la mienne n’en fait que seize.
Grâce au sexologue, et avec l’accord de mon mari, je suis donc en phase de
guérison.
Mon mari tint sa promesse. Touts les week-end, il invitait Guy, son pire ennemi à venir me baiser. Certainement pour économiser une visite du docteur.
Guy prenait du plaisir à me baiser, m’enculer, ou même se faire tailler des pipes devant mon mari. Il lui montrait son énorme queue, le narguait.
« T’aimerais en avoir une grosse comme ça, hein ? Et mes couilles, t’as vu comme elles sont énormes, et bien pleines. Ta femme va se faire un plaisir de les vider...»
Mon mari était sidéré de voir le plaisir que me donnait son rival. Il n’en pouvait plus d’entendre crier son nom. « Guy...Guy...oh oui Guy...c’est bon Guy »
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