Visite au monastère

Récit érotique écrit par mazaudier le 19-10-2021
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Catégorie Infidélité

J’ai tout de suite vu, qu’il tournait autour de ma femme. Depuis un bon moment déjà, il entourait des ses attentions, l’amusait par ses pitreries, la flattait, l’effleurait à la moindre occasion. Il commençait à sérieusement m’énerver. Et ce qui décuplait ma fureur, c’était de constater que ma femme semblait sensible, flattée même, de toutes cette prévenances. J’avais certes une absolue confiance quant à sa fidélité...mais allez savoir.

D’autant qu je devais admettre que, physiquement, il n’était pas mal du tout. Grand, bien proportionné, avec, ce qui ne gâche rien, un visage d’homme à femmes.

Nous étions un petit groupe, à visiter le site, et tout au long de la montée, il s’était tenu auprès de Coline, mon épouse.

Très galant, il ne manquait pas une occasion pour l’effleurer de la main. La lui tendant pour faciliter sa montée, lui tenant le coude légèrement pour lui indiquer une vue. Je na savais pas que penser, et que faire. Malgré tout, il n’avait pas dépassé les limites de la courtoisie, et ne m’avait réellement pas donné, un prétexte à faire une esclandre.

Avec rage, j’écoutais ma femme s’esclaffer de rire à ses plaisanteries, son humour, bref, elle était littéralement sous le charme. J’avais honte pour elle et pour moi, car il me semblait que sa drague pressante, n’échappait pas à nos compagnons d’excursion. Je me sentais ridicule, et lisais de l’amusement, sur certains visages.

A un moment, le guide nous a montré l’éloignement de la mer à l’horizon. Coline et les autres, se sont penchés sur la rampe, pour mieux observer. Elle était courbée, et sa robe légère moulait harmonieusement ses fesses. J’ai vu le regard de nôtre Don Juan se porter vicieusement sur le petit cul bombé de ma femme. Il semblait hésiter.

Soudain, il a plaqué son bas ventre contre elle, faisant mine de se pencher à son tour, pour mieux observer lui aussi. Il s’est tout bonnement frotté contre elle.

Pendant un moment, je suis resté comme paralysé, sans pouvoir réagir.

Avec ruse, il s’était penché lui aussi, et ce faisant, avait posé une main sur son épaule, et de l’autre, faisant mine de lui indiquer l’horizon. Complètement plaqué contre elle, il s’était parfaitement ajusté contre ses fesses qu’il pressait fortement.

J’étais fou de rage, et ce qui me rendait encore plus fou, c’est que ma femme semblait apprécier l’hommage , ses fesses maintenant tendues comme une offrande, et sur le visage, une expression de bonheur.

Je ne savais comment réagir. Me battre, au risque de me couvrir de ridicule, le pousser pour faire cesser cette caresse volée.

Au moment ou elle s’est retourné vers lui pour lui indiquer à son tour quelque chose, leurs visages se sont retrouvés tout proche, leurs lèvres à quelques centimètres les une des autres. J’ai lu le trouble sur le visage de mon épouse. Pendant un bref instant, j’ai même cru qu’ils allaient s’embrasser. Et je crois que c’est là, qu’elle s’est reprise.

D’un mouvement leste, elle s’est dérobée au baiser et à la caresse de tout le corps de ce bel inconnu, complètement plaqué contre elle.

En même temps, nos regard se sont croisés, et elle a remarqué l’état dans lequel j’étais.

Elle m’a rejoint et a glissé son bras sous le mien, comme pour se faire pardonner. Je l’ai entraînée à l’écart du groupe, ivre de fureur.

- Qu’est-ce qu’il te prend ? Tu as vu comment tu te comportes avec lui ? Il t’a presque baisée, droite.

- Il n’arrête pas de te tripoter, et tu sembles en extase devant ses caresses.

- Tu exagères ! Te voila jaloux maintenant ? Toi qui n’arrêtes pas de me parler de ton fantasme de me voir te faire cocu avec un autre homme ! Toi qui voulait m’entraîner dans un club échangiste, pour que d’autres hommes me baises ?

- Je ne savais pas ce que je disais. Je t’aime, et d’avoir vu cet inconnu plaquer sa queue contre tes fesses, m’a rendu furieux.

- Voilà que tu deviens vulgaire…

- Tu ne vas pas prétendre que tu ne le sentais pas dur, contre toi.

- Oui, et alors. D’ailleurs, ce n’était pas désagréable du tout. Cela t’excite tellement quand je te raconte mes fantasmes, tu m’as tellement dit combien tu rêvais de me voir rentrer la chatte pleine de sperme, que je n’ai pas pensé que ce léger flirt, allait te mettre dans cet état.

C’était à son tour d’être en colère. Ses yeux fulminaient. Je me sentais coupable, et il est vrai que c’était devenu excitant, quand nous nous retrouvions au lit, d’imaginer ces sortes de rôles, ou elle serait rentrée, souillée du sperme d’un autre homme, me forçant à lécher le jus de son amant.

- Tu as raison...n’empêche que ce mec ne me plaît pas.

- Eh bien, figures-toi, qu’à moi, il me plaît beaucoup, et que je le trouve plein de charme.

- Tu as envie de coucher avec lui ?

- Exactement…

- Tu n’es pas sérieuse?

- Si, parfaitement ! Et tu n’avais qu’à pas me mettre dans la tête des idées pareilles.

Je ne savais plus que dire, ni faire. Je l’ai attirée contre moi.

- Allez, ne fait pas cette tête, tu sais bien que je t’aime.

Nos lèvres se sont jointes, nos langues emmêlées

- Pardonnes-moi…

- Tu es bête, me dit-elle, d’un air plein de tendresse.

Je me senti rassuré. Puis, nous avons rejoint le groupe. La visite se poursuivait. Nous écoutions le guide avec attention. De lui même, le mec s’était mis à l’écart de nous. Ma femme me donnait le bras désormais. Par moment, il jetait de brefs regards vers nous, et admettais à nouveau, qu’il n’était pas mal gaulé.

Il avait désiré mon épouse, elle avait envie de lui, elle l’avait avoué.

Et si c’était l’occasion ou jamais ? Passer du fantasme à la réalité. Voilà des années que je l’imaginait en femme adultère. Et là, au pied du mur, allais-je me dégonfler ?

A nouveau, la vision du mec collé contre Coline, a traversé mon esprit., et ce qui tout à l’heure m’avait mis en colère, m’excitait désormais. J’aurais voulu remonter le temps, à l’instant ou il se frottait contre elle, pour mieux profiter de la vision se son pantalon tendu, entre ses fesses rebondies.

Alors, en douceur, je me suis séparé de ma femme, faisant mine de m’intéresser à autre chose. Je me suis mis sciemment à l’écart du groupe. Tout en l’observant à la dérobé. Un moment, elle a paru désarçonnée. Je m’étais montré jaloux, et voila que je la laissais seule. Déjà, l’inconnu se rapprochait d’elle.

Coline est intelligente. Je m’étais mis à l’écart, alors que l’autre se rapprochait d’elle.

Une lueur éclaira son esprit. Elle a compris que je l’autorisais, que je la poussais dans les bras de mon rival, que j’étais décidé à vivre jusque au bout, mon fantasme.

Alors, d’un pas décidé, elle a franchi les quelques mètres qui les séparaient, et d’un geste charmant et naturel, a glissé son bras sous le sien. Dans un premier temps, il a paru surpris, mais le sourire de Coline l’a rassuré. Elle lui a soufflé quelques mots à l’oreille, et ils ont ri, avec une complicité qui m’a pincé le cœur.

Quels troubles et sensations que celles que j’éprouvais. Au bonheur de voir ma femme, se mêlait un sentiment de jalousie. Tout à l’heure, cet homme allait sans nul doute, fouiller de toute la longueur de sa queue, la chatte de ma femme, et m’en réjouissais.

N’était-ce pas étrange chose de la part d’un mari amoureux de sa femme ? Et pourtant, cette seule idée me mettait dans un drôle d’état.

Nous nous apprêtions tous à quitter le monastère, et je m’étais tenu en retrait, pour mieux les observer. A l’arrière du groupe, ils se tenaient par la main. Et franchissant la porte de sortie, il a glissé sa main droite à la hauteur de ses fesses, les a pelotées. Mon cœur s’est mis à battre à tout rompre dans ma poitrine, d’autant que dans le même temps, ma femme se tournait, vers lui, et se jetait dans ses bras. Soudain, leurs lèvres se soudèrent dans un long baiser.

Ce genre de scène, lorsque nous l’imaginions, avait le pouvoir de nous exciter. Ma femme mouillait abondamment ces soirs-là, et moi triquais comme un âne. Mais j’étais loin de me douter de la force d’émotion, que m’aurait procuré la réalité.

Ce n’était pourtant pas la première fois que je la voyais flirter, après l’y avoir poussé. Notamment en boîte, quand elle frottait un peu plus n’était, avec un partenaire des plus entreprenant. Mais là, ouvertement, ils s’embrassaient à pleine bouche, pendant que les mains baladeuses de son amant, parcouraient sont corps complice.

Elle doit être toute mouillée, me disais-je, avec excitation. Et leurs langues que je devinais emmêlées, et leurs corps soudés, dans cette longue étreinte, ventre contre ventre, sexe contre sexe, ses seins écrasés contre sa virile poitrine, me donnait le vertige.

Jamais, jusque là, je n’avais ressenti d’émotion sexuelle aussi intense.

Nous avions poursuivi la visite de l’abbaye et, désormais sans la moindre considération pour moi, ils s’affichaient ouvertement.

Je devinais le regard moqueur de certains membres du groupe, mais je m’en fichais, au contraire, j’y puisais un certain plaisir.

L’endroit portait à la sérénité, mais la tempête était dans mon cœur.

Plus tard, comme nous avions entamé une longue descente qui terminait la visite du monastère, ma femme l’a quitté pour me rejoindre. Au fur et à mesure qu’elle avançait vers moi, je discernais dans son regard, une lueur espiègle, et moqueuse.

- Alors, lui demandais-je, vous avez l’intention de baiser ?

J’avais employé volontairement ce langage vulgaire, avec à la fois un mélange de plaisir à les dire, et l’envie de lui faire mal. Elle n’a pas relevé le triat perfide, au contraire, un sourire à orné ses lèvres.

- Oui mon chéri, mais tu sais, il y a un problème.

- A oui...et lequel ?

- Serge est venu visiter la région dans le cadre d’un voyage organisé d’entreprise, et ils sont deux par chambre. Donc, pas moyen d’aller chez lui, et pas la moindre chambre d’hôtel disponible.

- Dans ce cas, tu laisses tomber.

- Ah non...pas maintenant, au point ou nous en sommes arrivés.

J’aurais aimé savoir, à cet instant, si ce nous, voulait signifier elle et moi, ou elle et lui.

- Tu es vraiment décidé, ais-je insisté inquiet.

- J’ai très envie de lui.

Alors, en guise d’acquiescement, je l’ai prise par le bras et nous avons rejoint le fameux rival. La situation était nouvelle pour moi, je m’apprêtais à devenir cocu, et cela même m’excitait.

- Chéri, je te présente Serge...je l’ai invité à venir prendre un verre à la maison.

- Excellente idée, ais-je répondu.

Il y eu un moment de gène, alors j’ai parlé pour faire diversion.

- Fabuleuse visite n’est-ce pas ? Faisant allusion à la visite du monastère.

- En effet, répondit-il, fabuleuse. Quelle merveille…

Il avait de l’humour en plus. Nous avons ri tous les trois, et l’atmosphère c’est du coup détendue. Sous le regard médusé du reste du groupe, nous avons rejoint le parking.

- Je monte à l’arrière avec Serge me dit Coline

- Bien entendu ma chérie, pas de problème.

Elle s’est installé sur la banquette arrière du véhicule, Serge à sa droite. J’ai fait mine de régler le rétroviseur, mais en fait, l’ai positionné directement sur eux.

A peine avais-je commencé à rouler, que mon épouse l’attirait déjà à elle. A mon grand émoi, je les ai vu s’embrasser fiévreusement. Mon épouse pendue à son cou lui prenait goulûment la bouche.

C’est ma femme qui m’a initié aux plaisir du baiser.

Pour moi, ce n’était qu’une caresse d’approche, un préliminaire léger. Pour elle, c’était un acte sexuel à part entière. J’avais appris avec elle, à goûter avec ivresse sa langue de miel. Nous pouvions passer de longues minutes, lèvres contre lèvres, à nous dévorer avec délice. C’était un préliminaire obligé. Tout au long de nos ébats, nous restions le plus souvent unis à défier nos langues. Et voila qu’elle initiait un autre homme.

J’avais un mal fou à fixer la rote avec attention, tant mon regard se trouvait attiré par les deux corps qui, à l’arrière, s’étreignaient. Je le voyais tripoter les seins de Coline. Il avait, avec adresse, déboutonné le haut de la robe, et massait voluptueusement sa poitrine libérée. Je les écoutais geindre et haleter, avec une excitation grandissante, et ma conduite en devenait dangereuse. Il avait maintenant glissé une main entre ses cuisses, et j’avais grand mal à détourner mes yeux du spectacle de Coline, se faisant doigter.

Heureusement que la distance nous séparant de nôtre maison, n’était qu’à une poignée de kilomètres, car je pense que nous aurions fini dans le ravin.

Serge a demandé de faire une halte à la pharmacie. Il devait se fournir de préservatifs. Coline et moi, nous sommes retrouvés seul un bref instant. En me retournant vers elle, j’ai constaté, avec trouble son débraillé vestimentaire. Heureusement que la rue était déserte, car elle était restée telle qui l’avait laissé. Totalement impudique, les seins en dehors du soutien gorge, la robe largement ouverte, jambes écartées, avec la culotte sur le côté de la fente, le clitoris découvert.

- Que t’es belle comme ça.

- C’est vrai...tu aimes ?

- Tu fais très salope. J’ai l’impression qu’il ta bien doigtée ma cochonne.

- C’était trop bon..

- Il me semble que tu es bien mouillée...fais voir.

J’ai passé un bras entre les deux sièges, le doigt tendu vers sa chatte. Elle a fait glissé son bassin, pour venir au devant de mon majeur. J’ai fouillé l’intérieur tout gluant.

- Tu n’as pas honte ma chérie, ta chatte est pleine de mouille...ça ne t’a pas gênée de te faire branler devant ton mari ?

- Nullement, au contraire, ça m’a énormément excités. D’ailleurs, je suis certaine que tu es dans le même état...montres un peu...tu vois, fais voir que je te décalotte…

- J’ai apporté des provisions, nous surpris Serge en exhibant une boîte de préservatifs

- Je vois qu’il y a de quoi faire, ai-je ajouté.

Nous avons ri tous les trois, puis nous avons repris la route, Coline déjà lovée entre les bras de son amant. Un ami nous avait prêté pour une semaine, sa somptueuse villa. Et nous nous apprêtions à la partager avec un autre homme. Et cela m’enchantait. Après ma crise de jalousie du départ, mes fantasmes avaient repris le dessus, et je rêvais de voir ma femme se faire prendre par cet inconnu.

Quand nous nous sommes installés au salon, j’ai proposé un verre. Coline m’a demandé un whisky bien tassé, ainsi que Serge.

Ils étaient assis côte à côte sur le canapé, se tenant par la main. Volontairement, j’ai pris tout mon temps à servir les verres. J’avais rempli copieusement celui de ma femme, car je savais par expérience que cela la rendait plus amoureuse. Je les avais laissé seul un long moment, pour faciliter leur approche. Surpris, j’ai failli renverser le plateau, quand je suis revenu au salon. Les choses avaient évolués entre eux.

Il tétait goulûment un seins, et sa main gauche avait largement écarté le fond de la culotte. Je voyais avec fascination ses doigts habiles s’activer avec douceur entre les lèvres humides de la fentes béante. Ma femme, la tête renversée, les yeux mi-clos, gémissait de plaisir, alors qu’il titillait son petit bouton. Ses cuisses étaient largement ouvertes pour mieux apprécier la caresse.

Mon interruption sans le salon ne l’a, semble-t-il, pas gêné, car après avoir relevé la tête, il a continué a glissé de plus en plus fort ses doigts, dans la chatte luisante de mon épouse. Cela faisait bizarre de regarder l’être le plus cher et intime qui soit, se laisser ainsi aller, entre les bras d’un autre. J’ai posé le plateau sur la table.

- Ces messieurs dames sont servis.

Je fixais avec trouble le doigt aller et venir entre les lèvres humides de Coline. Celle-ci ondulait du bassin de manière obscène, son clitoris entièrement décalotté. Je pensais que mon retour au salon, allait les interrompre, mais au contraire, mon épouse, jusque là passive, a glissé une main vers l’entre cuisse de son amant, et étreint fortement sa queue, entre ses doigts. C’était la première fois que je voyais Coline branlait un homme devant moi. Je n’en croyais pas mes yeux.

L’émotion me suffoquait. Un instant, elle a entrouvert les yeux, et comme nos regards se sont croisés, elle m’a souri avec complicité. Alors qu’elle faisait coulissait le prépuce, décalottant le gland, je ne sais ce qu’il ma pris..

- Sors-lui la queue…

Elle ne se fit pas prier. Avec fébrilité, elle a extrait le jolie mandrin, qu’elle avait si vicieusement malaxé. Ses doigts ont parcourus le long calibre de chair avec sensualité. Serge s’était cabré sous la caresse. Il avait une queue plus grosse que la mienne, et j’ai lu dans le regard avide de ma femme, un certain contentement, qui m’a fait mal, un instant. Elle allait certainement apprécier se gros calibre dans a petite chatte.

Maintenant, ils se prodiguaient l’un à l’autre, du plaisir, et leur souffle s’exprimaient à l’unisson. Nous avions tant rêvé de vivre une situation pareille, tant fantasmé, elle d’un nouvel homme, et moi, la voir dans les bras d’un autre.

Son regard toujours accroché au mien, un léger sourire narquois au coin des lèvres, elle astiquait avec un plaisir non dissimulé, la belle queue. Sa main habile triturait avec adresse et sensualité, la belle bite. Ses doigts tournaient sur la longue tige, englobant par moment l’énorme gland gluant, luisant du liquide pré-séminal.

J’avais souvent imaginé ce genre de situation, mais de là la vivre, dépassait tout. Comme hypnotisés, mes yeux ne quittaient pas la main experte de mon épouse.

Serge geignait de plus en plus bruyamment. Il ondulait du bassin langoureusement. Alors, comme au ralenti, j’ai vu mon épouse se pencher vers le sexe durci et la bouche entrouverte, l’engloutir avec douceur !

Quel fabuleux spectacle ! C’était trop fort, il me fallait me soulager. J’ai, avec difficulté, extirpé de mon pantalon ma bite prête à exploser et me suis caressé.

Gourmande, ma femme s’efforçait d’engloutir l’énorme engin de Serge. Avec délices, visiblement, elle l’avalait du mieux qu’elle pouvait. Je le voyais entrer et sortir de sa bouche, de plus en plus gonflé.

Je n’en pouvais plus. Elle était courbée, à quatre pattes et comme sa robe fluide la recouvrait à nouveau, Serge d’un geste ample l’a remontée franchement découvrant son petit cul à peine couvert. Puis, pendant que ma garce de femme le pompait avidement, sa main a parcouru en tous sens son splendide derrière.

Avec dextérité, il a baissé sa culotte, et ses doigts se sont immiscés le long de sa chatte, la fouillant vicieusement. Les yeux mi-clos, le souffle court, tout en appréciant la caresse buccale qui lui était prodigué, il s’était d’avantage étendu, pour la doigter plus aisément.

Je ne savais plus ou donner des yeux. Pendant un moment, je me suis senti hypnotisé par la grosse tige allant et venant dans la gorge affamée de Coline, puis je me suis déplacé pour mieux profiter du spectacle des doigts fureteurs qui fouillaient allégrement le minou. Bon sang, comme elle semblait se régaler du traitement qu’il lui infligeait. Elle ondulait de plus en plus, gémissait de plus en plus fort. Sa bouche courait maintenant de plus en plus vite sur l’énorme membre.

- Passe-moi un préservatif, me demanda Serge.

C’était un comble, il me demandait à moi, le mari, de quoi baiser ma femme en toute sécurité. Mais vous pensez comme cela me fit plaisir. Avec complaisance, je le lui tendis. La croupe offerte de ma femme attendait à présent, soumise, pendant qu’il faisait coulisser le latex sur sa grosse queue.

Coline était comme un chienne dans l’attente d’être saillie. Je m’étais déplacé pour ne rien perdre du spectacle, qui s’annonçait fabuleux.

Pensez, voir ma femme se faire baiser par un autre homme. Depuis le temps que j’en rêvais. Quand il l’a prise par les hanches, elle a largement écarté ses cuisses, offerte, la croupe cambrée. Les lèvres de sa chatte entrouvertes et gonflées, était en position pour accueillir l’énorme pieu.

Je n’en croyais pas mes yeux, quand le gland décalotté, gorgé de sang, s’est pointé contre sa chatte. J’ai criais malgré moi, quand, lentement, il l’a pénétrée, comme si c’était en moi qu’il s’introduisait. Quelque chose d’irrémédiable s’était produit. Un autre mâle que moi la baisait. Et elle semblait apprécier caque coup de queues, la garce. Elle se donnait sans retenu, aux coup de boutoirs de son amant. La grosse bite allait et venait en rythme régulier, je la voyais entrer et sortir de plus en plus violemment, luisante de mouille. Ma femme geignait et criait, elle poussait sur ses hanches, pour aller au devant du plaisir qui la submergeait. Elle hurlait…

- Oh oui...c’est bon, vas-y...baises-moi...baise-moi plus fort…

je ne l’avais jamais vue comme ça, fondante de plaisir, tremblante, cassée par moment au gré de la montée de son orgasme. Parfois, il sortait totalement sa queue, comme pour la faire râler. Puis, devant son impatience à le sentir, s’enfonçait en elle à nouveau.

- N’arrêtes pas, s’il te plaît, suppliait-elle à chaque interruption…

- Je vais jouir...je vais jouir, criait à son tour Serge.

- Non...attends un instant...il faut que je me calme.

Ma femme en aurait presque pleurer de dépit. Elle s’est alors retournée vers moi.

- Prends-moi...ne me laisse pas comme ça…

Je ne me le suis fait pas dire deux fois. J’ai écarté mon rival d’un coup d’épaule, et avec bonheur, je me suis glissé dans l’antre chaud de la chatte de ma chérie. Quelle était bonne. C’était incroyable de plaisir. Je ne la remplissait sans doute pas autant que Serge, mais je la connaissais si bien.

Je la retourné sur la dos, les cuisses relevées, et je me suis planté en elle. Je l’ai limée comme un forcené, en criant.

- Je t’aime mon amour...je t’aime.

Puis un moment au dépourvu, Serge, pour ne pas être en manque de plaisir, a, d’un geste fif, ôté son préservatif, et a faufilé sa queue, entre les lèvres offertes de Coline. Enfin prise des deux côtés...combien de fois n’avions nous pas fantasmé sur cette scène. Comblé par la bouche, la chatte bien baisée, elle se donnait désormais entièrement. Nous formions un trio fait de sexe.

C’est Serge qui a cédé le premier. Il s’est vidé les couilles dans la gorge de ma femme, en un long feulement de bête. Il a rempli sa bouche de son sperme épais, et onctueux. Ma femme, avec gourmandise, semblait se délecter. Je me suis alors penché sur elle, et j’ai pris sa bouche baveuse de sperme. Elle avait un goût doux et âpre, qui rajoutait un goût de miel sur sa langue. C’était ça qui déclenché je crois, son fol orgasme. Je l’ai sentie qui se cassait en deux, entre mes bras, dans un long tremblement de plaisir. Dans un cri rauque, mêlé au sien, je me suis alors vidé les couilles, dans sa chatte.

Jamais nous n’avions éprouvé de telles sensations. Nous nous sommes serrés fortement, pour mieux partager ce plaisir inouï. La réalité avait dépassé le rêve. Serge, un instant exclu, nous a vite rejoint. Coline, amoureusement, avait tendu la main pour l’attirer à elle.

Elle nous a partagé indifféremment dans ses baisers. Repus pour un moment, nous avons trinquais. Insatiable, ma femme adultère, après nous avoir redonné vigueur, s’empalait sur Serge, à mon trouble plaisir.

Je vous laisse imaginer la nuit que nous avons passée. Une nuit ou Coline s’est comportée comme une petite salope.


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