Mon mari et moi, la trentaine tous les deux, sommes mariés depuis maintenant plus de cinq ans, et nôtre vie de couple se passe à merveille. Sexuellement, nous sommes très conventionnels, et ne faisons aucune excentricité. Toujours aussi prude, je ne fais aucun écart vestimentaire, qui pourrait s’apparenter à de l’exhibitionnisme. Cela ne me frustre pas, car je suis plus épanouie, préférant vivre toutes les expériences.
Ainsi continuait nôtre vie tranquille, jusqu’à ce matin d’août.
Ce matin là, vers dix heures trente, alors que je finissais de prendre ma douche, la sonnette retentit. Mon mari va ouvrir, et découvre un homme, la quarantaine, deux grosse mallettes à côté de lui. Il se présente comme, Denis, représentant en lingerie fine. Un sourire éclaire le visage de mon mari, et indique qu’il n’est pas intéressé, mais que son épouse peut l’être, s’il désire patienter quelques minutes. Il l’installe dans le salon, et vient me prévenir.
- C’est un représentant en lingerie fine, me dit-il...ça t’intéresse?
- J’ai tout entendu, répond dis-je. Pourquoi pas...t’en penses quoi?
- C’est toi qui vois ma chérie. Je te laisse gérer, je dois y aller.
En effet, mon époux a différents corvées ce matin, notamment, s’occuper des papiers.
J’arrive au salon, vêtue d’un peignoir, et d’une serviette enturbannée sur la tête. Les présentations faites, mon mari s’éclipse. Je me retrouve seule avec ce représentant dans le salon, avec pour seul vêtement, une culotte, et un peignoir.
Denis, c’est bien ça, ne traîne pas, et me présente rapidement les différentes marques, qu’il propose à ses clientes. Ensemble simple, culotte et soutien gorge.
J’en retiens un, et passe à le chambre pour l’essayer. Je retire ma culotte et le peignoir, et enfile l’ensemble. C’est une taille trop petite, et l’annonce au représentant par le couloir. Ce dernier ne manque pas de culot, et entre dans la chambre quelques secondes plus tard, alors que je retirais mon soutien gorge. Je cache mes seins, même si cela ne sert à rien, puisque il a tout vu.
Il s’excuse, pensant que je souhaitais qu’il m’apporte la taille au-dessus, ce qu’il fait immédiatement, avant de retourner au salon. Bref, la culotte me va mieux, et boudine moins mes hanches parfaites, mais le soutien gorge flotte un peu. Je passe le peignoir pour être décente, et retourne faire mes observations à Denis.
Ouvrant le haut du peignoir, je lui montre le défaut, au niveau de ma poitrine. Il me demande comment c’était avec le modèle précédent. C’était beaucoup mieux en effet, et pour lui montrer, je passe rapidement dans le couloir, pour renfiler le soutien gorge. Je reviens au salon, et me dénude le torse à nouveau, pour lui montrer que cet article me sied mieux. Il en convient, alors que je me rends compte de l’indécence de ma posture, seins en avant, en sous vêtement, devant un parfait inconnu. Pour combler le tout, je sens entre dans mon sexe une douce chaleur m’envahir. Mais, que m’arrive-t-il ?
Denis me conseille de garder cet ensemble, et me propose d’en essayer un autre. Une culotte avec un soutien gorge pigeonnant.
Je les prends et commence à me diriger vers la chambre, avant de réaliser, qu’à ce jeu là, on en avait pour la journée.
- Je vais me changer ici, dis-je à Denis en me tournant...ça ne vous dérange pas?
Quelle conne. En plus, j’ai le rouge aux joues en disant ça. Bien sur que ça ne va pas le déranger, c’est un homme, et voir une jolie femme à moitié nue ne peux que l’exciter. Trop tard, je me retourne, retire le soutien gorge et la culotte, en restant cachée par le peignoir, et j’enfile la nouvelle parure.
Voilà qu’au bout d’un quart d’heure, mon mari réapparaît, prétextant avoir oublier ses papiers. Il me trouve à moitié nue devant le représentant, des sous vêtements jetés sur le canapé. Après de profondes excuses, il se retire.
Après son départ, Denis me présente d’autres ensembles, puis un string seul. Les différents essayages, et la frivolité des dessous, à moins que ce ne soit la douce chaleur au creux de mon ventre, m’ont rapidement convaincu que le peignoir n’était pas pratique, ni vraiment utile. Ainsi, lorsque Denis m’a présenté une guêpière, et un mini-string transparent, j’ai définitivement mis toute pudeur de côté, et me suis directement changée devant lui, entièrement nue, après avoir ôté le string précédent, lui présentant, sans me cacher, ma chatte au fin duvet, taillé en V.
Je dois dire que ça m’a aussi très excitée et du coin de l’œil, je ne perdais pas une miette de l’attitude, très professionnelle de Denis, même si le devant de son pantalon a subitement grossi. Il m’a aidée à passer la guêpière en me l’accrochant dans le dos. C’était son premier contact avec moi depuis notre poignée de main et je dois dire que ses doigts dans mon dos étaient légèrement électriques.
La guêpière et le string enfilés, je me suis assise sur le canapé pour enfiler la paire de bas que Denis me tendait. Il ne me les a pas donnés mais me les a enfilés, doucement, me caressant un peu trop les jambes au passage. Ce moment lui a permis de découvrir entièrement mon intimité à coup sûr, le string étant vraiment trop petit et transparent.
Denis s’est ensuite attelé à l’attache des jarretelles accompagnant ce geste de caresses légères sur les cuisses. Après m’avoir relevée, il a fignolé la disposition du string tant au regard de la guêpière sur les hanches que de la position de ce petit bout de tissu dans mon dos entre mes fesses et, plus surprenant, dans mon entrejambe. Sentir sa main entre mes jambes et ses doigts glisser à quelques centimètres de ma chatte a fini de m’exciter.
J’avais subitement envie de faire l’amour, mais en femme responsable et fidèle, je me suis rappelé que ce n’était pas possible. Comme j’aurai aimé que mon mari soit là, qu’il me baise tout de suite, dans la chambre, la cuisine, le salon, peu importe que Denis soit là. Ma chatte est tellement mouillée, que le string en est trempé.
Denis me propose d’essayer d’autres articles. Pendant qu’il cherche dans ses mallettes, j’enlève la guêpière et le string, conservant les bas. Il a certainement remarqué que le string est trempé lorsque je le lui remets en main propre, les seins tendus insolemment devant lui.
Bon sang, je suis complètement nue devant un inconnu, avec une furieuse envie de lui sauter dessus, pour lui faire l’amour.
Denis me propose alors d’enfiler un porte-jarretelles, pour maintenir les bas, en m’annonçant qu’il présente aussi d’autres articles, plus libertins, et présume que je pourrais être intéressée en espérant que je ne me sentirai offusquée. Je ne vois pas d’objection à jeter un œil, et Denis sort alors d’une mallette, une culotte fendue, que j’essaie.
Comme pour le string précédemment, Denis m’assiste pour positionner correctement cette étole, m’effleurant sans équivoque ma fente des mains par-dessus le tissu. Je crois que je ne vais pas tenir et que je vais finir par faire une bêtise. Mon sexe coule de désir. Denis, à genoux devant moi, m’explique, toujours professionnel, que la culotte est fendue dans le sens de la hauteur et fermée par trois petits boutons pression. Il se propose alors d’ouvrir la culotte pour me montrer le principe et, ce faisant, glisse la main entre la culotte et mon sexe pour détacher les trois boutons. Cette caresse appuyée est beaucoup plus insistante que nécessaire et me fait malencontreusement lâcher un petit gémissement. Mes seins dardent de désir et je suis maintenant incapable de cacher mon excitation.
Denis retire sa main légèrement humide sur le dessus. Il se propose de me montrer le résultat concernant la culotte en écartant des deux mains le tissu sur les côtés, m’ouvrant ainsi la chatte révélant toute ma moiteur contenue et libérant mon clitoris. Je pose une jambe sur le canapé pour mieux le laisser agir. J’ai l’impression de me comporter comme une traînée avec le minou à l’air, trempé et ouvert aux yeux d’un inconnu dont le visage n’est qu’à quelques centimètres de me lécher et de me faire jouir de sa bouche. Mais surtout, je le souhaite et pourtant non, il ne faut pas. Mais je suis sur le point de jouir.
Je demande à Denis de me montrer comment refermer la culotte et le manège recommence. Denis ferme les trois pressions en glissant la main dans mon entrejambe. Il en profite pour laisser glisser un doigt le long de ma fente ce qui m’arrache cette fois encore un gémissement que je ne retiens pas. Je ne me cache plus, Denis sait qu’il peut faire de moi ce qu’il veut. Mes seins me font mal et ma chatte ruisselle maintenant de mouille. J’ai même le petit trou en feu. Son doigt glisse sur mes lèvres et je le sens s’introduire de quelques millimètres dans ma chatte, alors qu’il referme les boutons de la culotte. Sans bruit., saisie de tremblement, je jouis alors qu’il me touche à peine. Je n’ai jamais vécu ça auparavant. Est-ce cela le plaisir de l’interdit ?
Les mains appuyées sur les épaules de Denis, je retrouve mes esprits. Il a retiré sa main depuis un moment et me regarde avec délectation. Je le remercie. Je m’excuse aussi. Je retire la culotte trempée, et lui demande s’il a d’autres articles. Denis, excité comme un fou, me présente alors toute une gamme de culottes fendues, strings ou non. Je lui fais remarquer qu’il m’a proposé de voir des articles assez libertins et que je me sens prête à beaucoup de choses. Cet orgasme a été terrible mais ne m’a pas satisfaite pour autant, tant mon excitation est grande. J’ai toujours les seins qui me font mal et j’ai envie que l’on me prenne. Si mon mari ne rentre pas tout de suite, je demanderai à Denis de s’occuper de moi.
Denis sort du fond d’une de ses mallettes une petite pochette qu’il ouvre devant moi en m’indiquant que ces articles sont dans un autre registre, mais qu’il les femmes les achète aussi. Toute une série de godes et de vibromasseurs de tailles variables. C’est la première fois que j’en vois en vrai. Je ne suis pas nunuche non plus et j’ai déjà joué avec divers objets comme des bougies, mais le réalisme de ces sextoys est tel que dans mon état j’en veux un tout de suite.
Je me mets à genoux par terre et prends la sacoche des mains de Denis, toujours assis sur le canapé. J’en sors un gode, le regarde, et le repose.
J’en choisi un autre que je laisse glisser doucement et langoureusement entre les seins, en regardant Denis, avant de le reposer.
Renversant la sacoche, j’éparpille ces objets et porte mon choix sur l’un d’entre eux particulièrement réaliste en termes de taille et de forme. Je le porte à ma bouche tout en me redressant sur les genoux et mime un semblant de fellation avant de le laisser glisser sur mon corps, titillant un bourgeon, le portant à l’entrée de ma chatte. Denis est immobile de contemplation. J’écarte légèrement les jambes et lui lance un regard de défi et de désir. Il ne perd pas une miette du spectacle et regarde le godemiché disparaître lentement, avalé par ma chatte.
Bon sang que c’est bon ! Ça y est ! Je me sens enfin prise ! Je ne vais pas tarder à jouir à nouveau et pourtant je sais que ça ne sera pas encore suffisant. Mais quelle matinée je vis là. Je fais glisser doucement le gode de haut en bas dans mon sexe me procurant un plaisir intense. Denis ouvre la braguette de son pantalon, sort son sexe tendu et gonflé au maximum et commence à se branler. Oui, il a raison. Il ne doit plus tenir lui non plus. Je m’imagine sans problème que ce queue est en fait au plus profond de moi.
Nous restons ainsi quelques instants tous les deux à nous observer mutuellement tout en nous masturbant, augmentant nôtre désir pour l’autre. Je ne vais pas tenir longtemps et je sens déjà mes jambes qui vacillent. Je me relève et m’allonge sur le canapé, le gode toujours dans la chatte. Je continue les va-et-vient d’une main, et de l’autre, je m’empare de la bite de Denis que je guide dans ma bouche pour lui tailler une pipe libératrice, après cette demi-heure d’excitation. Je vais bientôt jouir et lui aussi.
Après quelques secondes, j’explose enfin de plaisir, suivie rapidement par Denis. Je reçois alors de longues giclées de sperme au fond de la gorge, que j’avale avec délice.
Je suis affalée sur le canapé, les jambes écartées et le gode toujours en moi. Je n’ai plus de force et une grande sensation de vide me saisit. J’ai joui comme jamais, trempant le canapé sous moi. Incroyable ! Jamais je n’aurais cru cela possible.
Denis s’est relevé. Il semble avoir apprécié mon attention pour lui. Je le regarde se déshabiller entièrement. Il est pas trop mal. Je dois ressembler à une putain dans cette position. Denis se penche sur moi et m’embrasse doucement, sa main caresse mon épaule et glisse lentement vers ma poitrine. Je reste amorphe jusqu’à son contact avec mon téton qui réveille toute l’excitation contenue. Ma chatte se contracte immédiatement sur le gode et je jouis à nouveau de cette simple caresse. C’est terriblement bon ! Denis approche sa main de ma chatte qui dégouline complètement. Tant pis pour le canapé. Il caresse ma toison, contourne mon clitoris gonflé et attrape le godemiché qu’il fait doucement aller et venir en moi, m’arrachant des petits gémissements, tout en me le retirant doucement. Ma chatte se contracte complètement au passage de cet objet tellement j’ai les sens à vif.
Denis couvre mon corps de baisers, mes seins, mon ventre, mes jambes et remonte sur mes cuisses. Il darde sa langue sur mon clitoris, ce qui réveille toutes les envies de mon corps, de ma bouche à mon petit trou encore vierge. Il me lèche maintenant avec dextérité réveillant mon désir mais ne me laissant pas jouir à nouveau. Il sait y faire. De mon côté, avec mon bras pendant hors du canapé, j’ai attrapé ses testicules que je malaxe et prends ensuite sa bite pour la branler doucement.
Mon plaisir ne va pas tarder et je branle de plus en plus fort la queue de Denis. Il est à nouveau bien dur lorsque je l’arrête et lui demande de venir s’allonger sur moi. J’ai complètement relevé les jambes et attrapé ses hanches pour mieux le laisser me pénétrer. Je veux enfin un vrai calibre bien dure en moi, le sentir bouger et palpiter, le sentir jouir et m’inonder. Tant pis pour mon mari, il n’avait qu’à être là. Denis présente son gland à l’entrée de ma chatte. Il le glisse dessus, jouant avec mon clito. Je gémis. Je le veux en moi tout de suite. La position ne lui plaît pas. Il se retire, et s’allonge sur le canapé, la queue dressée au plafond. Il me saisit par les hanches, et m’oblige à m’empaler sur lui. Dans cette position, je suis entièrement offerte. Il peut caresser aussi bien mes seins, que doigter mon clitoris, ou encore insérer un doigt dans mon petit trou. Et pourquoi un mec ne se présenterait-il pas à l’improviste, la queue bien raide, bien grosse, et me sodomiserait ? Mon dieu, quel plaisir de penser à une double pénétration...hélas, ce n’est que du rêve, mais ça m’excite de sentir ce calibre au plus profond de moi, qui me fais jouir sans discontinuer. C’est diablement bon. Je suis épuisée et ne suis plus capable du moindre mouvement. Denis va-et-vient en moi sans arrêt, toujours aussi fort et toujours aussi bon. J’ai la chatte en feu, le clitoris presque irrité par le désir et les frottements quand Denis se déverse enfin en moi. Je sens sa jouissance qui fait tressaillir sa queue. Je sens sa semence gicler dans mon ventre. Tout mon corps se contracte, emprisonnant sa queue entre mes lèvres intimes, la gardant au plus profond de moi. Nous restons ainsi, sans bouger, échangeant juste un torride baiser.
Après cinq bonnes minutes, je libère Denis qui se retire de moi. Son sexe est redevenu flasque et est gluant de sperme et de sécrétions. Ma chatte est à nouveau toute contractée, rouge d’irritation, les lèvres gonflées de désir. Et elle coule. Un liquide où se mélangent ma cyprine et le sperme de Denis.
Nous filons à la douche que nous prenons ensemble, et qui devient vite coquine.
Il faut se dépêcher car mon mari va rentrer dans une dizaine de minutes. Une fois rhabillé, Denis range tout son matériel et je lui achète deux ensembles culotte/soutien-gorge et une culotte fendue. Il me fait cadeau des bas et du porte-jarretelles qui sont dans la salle de bain. Au dernier moment, je lui achète aussi le gode mais il refuse, prétextant que si je le veux, il faudra le laisser revenir pour me l’offrir. Je lui dis que je ne cherche pas d’amant et je ne sais pas si une prochaine rencontre serait aussi forte. Il souhaite tout de même avoir une chance de revenir et me prend mon numéro de portable tout en me laissant sa carte.
Denis est parti il y a quelques secondes et je me tourne vers le canapé. Bon sang, il n’y a rien à faire, il est complètement taché sur un carré de près de trente centimètres de côté. Impossible de retourner le coussin. Je prends deux verres et verse de l’eau dedans avant de jeter le contenu de l’un d’eux sur le canapé. Tant pis, on fera avec.
Je reste en peignoir et passe ma culotte du matin et attends l’arrivée de mon mari, mes achats rangés dans un sac. Il arrive deux minutes plus tard et me demande comment tout s’est passé, regarde mes achats en me disant d’un air coquin que l’on devrait faire une séance d’essayage.
- Ce soir, on verra si tu es sage, lui dis-je. Là, je dois tout ranger, et toi finir tes papiers.
- C’est quoi la grosse tâche sur le canapé ? Fait-il remarquer.
- Rien...juste un verre renversé. Je lui ai offert à boire. Maladroite, j’ai renversé le mien. D’ailleurs, je vais chercher une serviette pour l’éponger.
Mon mari propose d’aller lui même chercher la serviette. A tout les coups, il va découvrir mes achats, que j’ai laissé pendus derrière la porte. Il revient au salon, le regard plein de doutes. Il me demande si j’ai pris une douche après le départ de Denis, en me disant ce qu’il avait découvert dans la salle de bains. En plus, je lui avait menti, en ne disant pas tous ce que j’avais acheté.
- Oui, avec l’essayage et le verre d’eau, j’étais un peu en sueur. Alors oui, je suis allé me doucher. Deux secondes, rien de plus, et j’ai oublié ça dans la salle de bains.
- Donc, tu les avais encore sur toi, quand il est parti, et il ne t’a rien dit?. Tu ne les as pas payer?
Je sens le rouge monter aux joues, et prends mon temps pour répondre.
- En fait, je suis allée prendre ma douche pendant qu’il calculait le montant de mes achats. Alors oui, il était encore là et on a oublié le porte-jarretelles. Cool, ça me fait un cadeau.
- Ah oui, ça c’est cool.
Je nettoie le canapé avec la serviette, pendant qu’il s’installe sur un chaise près de la table, avant de lancer.
- Tiens quand tu auras fini le canapé, il faudrait aussi nettoyer près de la porte. On a dû renverser quelque chose par terre...j’ai vu que c’était mouillé en passant.
Ce salaud joue sa dernière carte, pour tester ma fidélité. Je termine le canapé, avant de passer à la porte. Je la referme, et m’attache au nettoyage. Après une courte minute, je reviens dans le salon, tandis qu’il me défie du regard. J’ai compris.
- Tu étais là, demande ai-je?
- Quand ? Lorsque Denis te baisait la chatte et jouissait en toi, ou lorsque tu le suçais, et nettoyais son gland, après avoir avalé tout son sperme?
- Je suis désolé...je ne sais pas ce qu’il m’a pris.
Je m’effondrais, et ne savais comment m’excuser. Je ne dis rien pendant de longues minutes, puis je l’invitais à me rejoindre sur le canapé, en lui disant que je voulais me faire pardonner. Je lui taillais une bonne pipe, et l’autorisais à me sodomiser, ce que je lui avais toujours refusé. De toute façon, ma petit chatte ne pouvait supporter d’autres assauts, après avoir subit ceux de l’énorme queue de Denis.
Quant à Denis, il est revenu plusieurs fois, sans savoir que mon mari était au courant de nôtre relation. On faisait l’amour pendant des heures, sans essayage cette fois.
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