Thor

Récit érotique écrit par iovan le 09-03-2022
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Catégorie Zoophilie

Thor

Pauline, très belle jeune fille dix-sept ans, a été confiée, par sa mère, à sa tante, la belle Rachel, prétextant ne plus pouvoir supporter sa fille, afin que celle-ci se charge de finir son éducation..

Les deux jeunes femmes sont tombées amoureuses et Pauline est devenue la maîtresse de Rachel, grâce à laquelle elle s'éveille au monde et connaît un bonheur qui la fait renaître à la vie.



La veille au soir, Marlène, une amie de Rachel, passe en coup de vent, après s'être annoncée au téléphone, pour demander à celle-ci, de lui rendre un service.

Marlène est une belle femme, grande, brune, avec des manières un peu brusques. Elle se montre charmante avec Pauline, quand Rachel la lui présente, la complimentant sur sa grande beauté et lui faisant toutes sortes de mines, mais la belle enfant ne la trouve pas vraiment sympathique...ses côtés virago la déragent.

Rachel et elle discutent un long moment, au cours duquel Pauline remarque que Marlène la considère, parfois, avec un regard amusé, alors que Rachel lui parle.

Elle n'y accorde pas plus d'importance que cela, mais lui trouve, à nouveau ce regard lorsqu'elle prend congé, l'embrassant, un peu trop près de la bouche, avec un petit rire de gorge.

Marlène partie, la porte refermée, Rachel s'approche de sa jolie nièce, un trousseau de clé et un badge à la main, la prend par le bras et posant un baiser dans ses cheveux, lui dit :

—Ma chérie, me voilà occupée pour la journée de mardi... Marlène, qui possède un élevage canin , m'a demandé de m' occuper de ses pensionnaires pendant son absence, elle doit se rendre à A... pour la journée et ne peut laisser ses animaux sans soins. Je suis donc de corvée...Tu veux bien m'y accompagner, amour ?

—Bien sûr, Tante chérie... Tu sais bien que je ne resterais pas une minute loin de toi...

— Ma chérie...Tu es adorable !


Ce que Rachel ne dit pas, à sa jolie nièce, c'est qu'elle a, elle même, demandé à Marlène, quelques jours auparavant, de s'éloigner et de lui laisser le champ libre pour lui permettre de mener à bien un projet qu'elle a mûri, et qui concerne de près, sa jolie maîtresse.


Ce mardi, elles arrivent donc à dix heures chez l'éleveuse, qui vit dans une propriété retirée, entourée de grilles, elle consiste en un grand pavillon entouré d'un vaste terrain sur lequel se trouvent plusieurs bâtiments.

Rachel fait jouer la télécommande et le portail automatique s'ouvre. Elle gare la Mercédes et elles en descendent. Des aboiements se font entendre, indiquant la présence de nombreux chiens

Sa belle maîtresse lui fait faire le tour du propriétaire saluant les chiens, parlant même à certains avec des accents câlins. Pauline s'étonne de l'aisance de Rachel, entrant dans les boxes, caressant les bêtes, avec une assurance qui témoigne d'une certaine habitude...

Comme Pauline le lui fait remarquer, elle explique :

— Je viens souvent aider Marlène, tu sais, chérie.

Pauline note aussi deux détails qui l'intriguent : Il n'y a dans cet élevage que des gros chiens... aucun caniche ni teckel. De plus, alors qu'un élevage canin ne se consacre, généralement, qu'à une race, elle en a compté six différentes, sur un total de onze chiens. Elle en fait la remarque à sa maîtresse, qui lui répond:

—Tu es observatrice ma chérie. C'est vrai, Marlène est assez ...diversifiée.

Elle a un petit rire clair.


Cela l'amuse beaucoup...En fait, la première fois qu'elle rencontra Marlène, il y a de cela , maintenant quatre ans, ce fut en tant que cliente de son très spécial « élevage canin » qui est en fait une couverture pour une activité moins reconnue mais beaucoup plus lucrative : Marlène propose à sa clientèle, souvent de riches bourgeoises, mais pas uniquement, à la recherche de sexe hors norme, les services de ses pensionnaires, dressés pour satisfaire leurs besoins et envies.

Rachel avait découvert l' « établissement » très particulier de Marlène au cours de furetages sur le net, et s' y était rendue par curiosité. Cette première visite l'ayant émoustillée, elle y était retournée bien décidée à tenter une expérience canine et ayant pris goût à la chose, y était revenue.

Marlène succomba vite aux charmes de Rachel et c'est en tant qu'invitée que la belle put, alors, venir assouvir ses impérieux besoins de sexe bestial chez sa nouvelle amante. L'un après l'autre, elle avait goûté à tous les pensionnaires du chenil, mais avait vite élu son champion.


— Viens, chérie que je te présente au plus beau de tous, mon favori, Thor...

Elle se dirige vers un bâtiment à l'enduit blanc, aux ouvertures sans fenêtres devant lequel est couché, à la chaîne, un Danois gris tacheté de blanc, monstrueux, qui se dresse, imposant , à l'arrivée des deux femmes. Pauline est impressionnée par l'énorme animal, elle le trouve beau.

Rachel se dirige droit vers lui, prend l'énorme tête entre ses mains fines, alors que la bête agite la queue, se trémoussant de contentement.

— Oui...!Oui... Tu me fais fête mon tout beau ! Sois content, je t'amène une copine ! Regarde comme elle est jolie... Tout en caressant le molosse, Rachel regarde sa jolie nièce en coin, avec un sourire.

Pauline fait alors, un pas en arrière et se fige, couvrant le bas de son visage de se s mains en coupe, dans un geste d'incrédulité.

—Rachel ? Tu m'as amenée chez Marlène pour me faire baiser par son chien !

Ce n'est pas une question, elle en a la certitude. Sa belle Rachel plante ses yeux dans les siens, sauvage :

— Oui ! Et tu vas le faire ! Je veux te voir faire ça !

Pauline reçoit un choc... Sa Rachel n'a pas fait la moindre allusion à ce plan d'une monstruosité qui la stupéfie: sa maîtresse adorée exige d'elle qu'elle...s 'accouple avec un animal ! Elle est terrorisée . De plus, elle a toujours ressenti une peur irraisonnée, mais bien réelle, de ces animaux, surtout des gros chiens, comme celui-ci...Et pourtant, curieusement, elle se sent troublée.

— Ma Rachel chérie, tu sais que je t'obéis en tout...mais là … je ne me sens vraiment pas de..

Sa maîtresse lui coupe la parole, et jette, autoritaire :

—Tu feras ce que je te dirai petite salope ! Et ne t'avise pas d'essayer de me résister... Je t'ai dit que je voulais te voir te faire baiser par ce chien comme la petite pute que tu es ! Et tu vas le faire ! Je veux le voir te baiser comme sa chienne !

Puis, elle se met à minauder:

— Mon amour... ! Sois mignonne... Fais plaisir à ta Tante chérie.

La jolie nièce, se sent envahie par un désarroi qui la bourrelle d'angoisse mais, qui en même temps éveille en elle une excitation inconnue. La puissance que dégage l'animal l'impressionne. Troublée, elle sent une onde de chaleur vibrante envahit son ventre. L'abominable expérience à laquelle sa maîtresse veut la soumettre, titille, maintenant, sa curiosité, et elle sait, désormais, que, tôt ou tard, elle franchira le pas...Alors, elle cède...

— Oui, ma Rachel … ! Oui, je veux bien essayer. Tu m'aideras, n'est-ce pas ? Je ne suis pas rassurée avec les chiens. Tu es sûre qu'il ne va pas me mordre... ?

— Mais, non, chérie ! Ne t'inquiète pas, mon amour, tout se passera bien. Mais, tout d'abord, suis-moi. On va faire les présentations. Il ne s'agirait pas que ton nouvel amant trouve que tu manques d'éducation, n'est ce pas ?

En riant, elle prend Pauline par la main et l'entraîne vers le molosse qui bondit de joie au bout de sa chaîne....Il fait fête à Rachel, comme si elle était... sa maîtresse.

— Approche, caresse -le ! Allons, n'aie crainte ! Je suis là...Il me connaît bien, tu sais...

Pauline regarde sa maîtresse qui lui sourit avec un regard entendu.

—Allons courage, mon amour...je peux t'assurer que tu me remercieras...

Elle a vers son amante un nouveau regard explicite, qui confirme Pauline dans ce qu'elle a déjà deviné.

Elle s'approche de l'énorme bête dont le garrot lui arrive plus haut que la taille et commença à la gratter derrière les oreilles, puis lui caressa le dos et les flancs ; le chien se laisse faire. Elle s'enhardit et s'accroupit devant la bête, face à l'énorme gueule, le monstre la regarde avec de bons yeux et semble calme. Subjuguée par l'impression de puissance que dégage l'animal, la belle enfant poursuit caresses et flatteries, lui parlant maintenant doucement. Rachel s'est approchée et caresse les cheveux de son aimée, lui murmurant des encouragements.

Le chien inclinant la tête de côté, regarde Pauline avec une expression si drôle, presque humaine, qu'elle a un petit rire clair. Tout soudain, le molosse d'un coup de sa longue langue, lui léche le visage, et Pauline, qui avec une exclamation de surprise, se recul, surprise, et quelque peu dégoûtée, essuie sa joue en riant. Dans ce mouvement de recul, la mignonne a posé un genou à terre pour garder l'équilibre et a, de ce fait, écarté les jambes. Le chien d' un pas en avant, s'approche, et fourre son museau sous la courte jupe, reniflant son string. Pauline sent le contact de la truffe fraîche sur la peau de ses cuisses, et laisse échapper un cri de surprise, et un petit rire nerveux.

Rachel, ravie de ce qui vient de se produire, murmure à sa jolie nièce que le chien a senti qu'elle était prête, et l'incit à s'enhardir :

—Allez, ma chérie ! Caresse le où il faut... fais lui sentir ce que tu veux de lui !

Pauline s'agenouille et se déplace vers le flanc de la bête jetant des yeux inquiets sur sa belle maîtresse qui l'encourage en lui souriant. Elle risque une main sous son ventre et commença à caresser son étui pénien, le branlant et le pressant doucement. Elle s'approcha davantage et se mit à malaxer ses testicules qu' il a fort gros. Le dogue ne bronche pas, immobile, apparemment sans trop réagir à ses sollicitations. La belle sent l'excitation s'emparer d'elle. Elle sent sa cyprine ruisseler sur le haut de ses cuisses.

Rachel s'est agenouillée près d'elle, et le souffle accourci, caresse le tendre petit con de son amante.

— Ooh ! Mais...mon amour...! Tu es toute excitée...mes doigts sont trempés ! Oh ! chérie, comme tu me fais plaisir ! Si tu savais la jouissance que c'est pour moi de te voir avec ce chien et de savoir que tu vas te soumettre à lui... C'est un bonheur ! Ça va être super !

Elles s’embrassent avec passion.

Rachel détache Thor, qui se mie à bondir et aboyer autour d'elles.


Elles se dirigent vers la demeure. Thor ne quitte plus Pauline qui se sent emportée par un tourbillon de crainte et d'excitation qui lui donnent le vertige. Rachel débranche l'alarme et déverrouille la porte. Elles entrent. Le molosse, lui, reste figé sur le seuil qu'il semble avoir l'habitude de ne pas franchir. Rachel le fait entrer.




Elles se trouvent dans une vaste pièce meublée avec goût, de façon rustique embaumant le feu de bois. Au fond se dresse une grande cheminée, devant laquelle trônent deux grands fauteuils. Rachel se laisse tomber dans l'un d'eux. Déjà, elle dégrafe sa jupe. Thor s'est couché, impressionnant, près de son fauteuil et elle caresse distraitement, sa tête massive. Pauline se tient debout sur un riche tapis de laine à trois pas , le visage couvert de ses mains le regard de ses grands yeux bleus criant son désarroi

Rachel qui la scrute de son regard impérieux, se lève du large fauteuil, belle et provocante, vêtue seulement de son porte jarretelles, son string et ses bas noirs, son ample chemisier orné de dentelle ouvert sur ses seins magnifiques, les talons de ses escarpins rouges claquant sur le pavé, elle s'approche de sa frêle amante qui la contemple, admirative, le regard ébloui d'amour .

— Ma Rachel...Mon amour... ! Que tu es belle... ! Ooh, chérie comme je t'aime... !

— Ma Pauline adorée... Mon si bel amour... Je t'aime aussi...Tu me fais très plaisir, tu sais...Je vais avoir beaucoup de plaisir à te regarder te faire prendre... je suis fière de toi, mon amour... !

Elle enlace sa belle proie, embrassant passionnément la jolie bouche soumise qui s'abandonne à sa tourmenteuse.

Enlaçant toujours sa jolie Pauline, Rachel entreprend de tirer sur le chemisier de sa belle, dont elle sort les pans de la petite jupe... elle le déboutonne tout en embrassant sa jolie nièce, dont le souffle s'est accourci et qui sent son cœur battre la chamade. Dans une gracieuse contorsion, Pauline aidae son amante à se débarrasser du chemisier, dévoilant ses petits seins au regard ravi de Rachel, qui se met à les picorer de légers baisers, s'attardant sur les petits mamelons rosés.

— Détends toi, mon amour... N'aie pas peur...

Pauline soupire :

— Ooh... ! J'ai peur ma Rachel...Mais je me sens toute excitée... Je me sens si bizarre, chérie... !

—Tttt ! Tttt ! Allons, ma très belle... Ne t'inquiète pas...Je suis là... !

Tout en l'embrassant, elle a dégrafé la petite jupe qui s'étale en corolle aux pieds de la belle, qui est maintenant presque nue, ne gardant que son string, son porte-jarretelles, et ses bas.

Caressant le petit triangle de dentelle Rachel s'exclame:

— C'est vrai, tu es très excitée... tu en as trempé ton string, petite pute ! Tu as envie qu'il te baise, maintenant, hein ? Enlève-le, et donne-le moi, salope !

Pauline baisse son string et d'un mouvement souple de ses longues jambes, se libère de la mignonne pièce de lingerie qu'elle tend à Rachel. Celle-ci s'en empare et la portant à son nez, inspire longuement son odeur.

— Mmh... ! Ma chérie, tu as une odeur merveilleuse... Quel délicieux parfum... !Je suis certaine que ton amant va apprécier.

Elle se retourne, fait les deux pas qui la séparent de Thor, et lui présente le string mouillé de cyprine. Le chien se met immédiatement à le renifler et à le lécher, ne le quittant plus ; Rachel, satisfaite le laisse entre ses pattes pour revenir enlacer sa jolie maîtresse qui succombe, à nouveau, à sa lascive étreinte.

Alors Rachel prenant sa belle amante par les épaules, lui imprime un mouvement vers le bas et murmura à sa belle proie :

—Allonge-toi, amour...j'ai une envie folle de ta jolie chatte...Viens !

Docilement, Pauline s'allonge et restant en appui sur les coudes, écarte ses jambes gainées de soie, offrant à sa maîtresse une vue indécente et délicieuse sur son petit con aux lèvres turgescentes. Rachel qui s'est assise entre ses jambes contemple émerveillée les pétales nacrés du joli bouton de rose, à peine épanoui, ruisselant de désir.

N'y tenant plus, sans davantage de préliminaires Rachel se précipite de sa bouche impatiente sur le précieux petit bourgeon turgide de la belle enfant, qu'elle se met à sucer incontinent, avec avidité.Un orgasme aussi soudain que violent secoue la frêle enfant. La folle tension érotique qui la tordait se libérant brusquement, Pauline crispe ses mains sur la chevelure de son impérieuse maîtresse et la supplie de continuer sa caresse, tendue sur une jouissance qui arque tout son corps et fait chavirer ses yeux. Son souffle haché s'entrecoupe de petits cris rauques et de gémissements incoercibles. La volupté qui la tord comme un pantin, la fait hurler sans qu'elle puisse s'arrêter.

C'est à ce moment, que le chien intrigué par les ébats bruyants et l'agitation des deux amantes se lève, et s'approche, après s'être étiré, imposant, par l'impression de force brute qu'il dégage.

Il s'approche des deux filles enlacées, et s'intéresse d'abord à la croupe de Rachel, qu'il commence par renifler, puis lécher, ce qui a pour effet d'interrompre la belle dans la caresse lubrique qu'elle prodigue à son amante. Surprise, elle se redresse, puis avec un petit rire, le caressant :

Mon tout beau...Regarde si elle est mignonne... tu vas te régaler ! lui dit-elle, tout en regardant Pauline, encore embrumée de stupre et de jouissance, avec un sourire farouche. Puis s'adressant à elle, alors qu'elle se redresse :

— Il va te baiser, petite pute ! Il va te faire jouir comme jamais... mais avant...

Lèche la Thor, lèche la mon chien !

Le molosse, obéissant plus à son odorat, qu'à l'injonction de Rachel, se dirige droit sur l'entre-jambes offert de la belle Pauline, et se met aussitôt à lécher à grands bruits, la chatte implorante de sa longue langue. La surprise lui fait pousser une brusque exclamation, bientôt suivie par des gémissements et de longs râles, témoignant d'un nouvel orgasme.

Insatiable, l'animal continue pendant de longues minutes, plongeant la mignonne dans un chaos de jouissance ininterrompue. Pauline a saisi la grosse tête de l'animal et la maintenait sur son entre-jambes, qu'elle écartèle sur le mufle se tendant sur la bestiale et exquise caresse. Elle ne reprend quelque peu ses esprits, que lorsque l'animal se détourne vers Rachel qui, agenouillée , jambes écartées, le majeur et l'annulaire réunis, plongés dans sa chatte dégoulinante, se masturbe en les contemplant, avec l'intention de s'occuper d'elle. Celle-ci se laisse faire, laissant la grosse langue agile, lui procurer un orgasme aussi rapide qu'intense.

Émergeant de son désordre, hors d'haleine, Pauline se redresse sur un coude et à nouveau emportée par la scène qui s'offrait à son regard, plonge trois doigts dans sa chatte en fusion, se déclenchant un nouvel orgasme.

Son orgasme achevé, Rachel se redresse s'approche de sa belle amante, et la rudoyant, lui arracha porte-jarretelles et bas avec violence, et feule, le regard fou :

Occupe toi de lui, maintenant ! Fais le bander , salope ! Je veux qu'il te baise !


Pauline est maintenant entièrement nue devant le molosse qui tourneautour d'elle, la renifle. Elle s'agenouilla sur le tapis, tremblant d'appréhension et de désir lubrique ; secouée par ses précédents orgasmes, elle se met à caresser le ventre du dogue. Pendant ce temps, Rachel s'affale, le souffle court, dans un des fauteuils, et jambes écartées, commence à doigter et caresser son con trempé , aux lèvres gonflées de désir. Comme elle l'a fait auparavant, Pauline se met à caresser l'étui pénien de la bête, tout en malaxant doucement ses testicules, puis elle entame un lent mouvement de va-et-vient, pressant légèrement l'étui pour le branler. Elle s'applique, sentant sa respiration se désordonner sous le coup du trouble qui, à nouveau, s'empare d'elle. Elle est récompensée de ses efforts, car elle sent entre ses doigts une pointe de chair humide et incroyablement chaude. Sous l'emprise d'une excitation impérieuse, elle s'allonge sous la bête, tout en continuant à la caresser.


Sous ses sollicitations, le pénis du chien est maintenant entièrement sorti de son fourreau et a atteint sa pleine grosseur. Le mandrin de la bête est, maintenant, totalement déployé. C'est la première fois qu'elle voit le pénis d'un chien , elle est impressionnée par sa taille. Il a une forme de massue, s'amincissant à sa base, et se renfle vers le sommet pour atteindre une impressionnante grosseur ; il se termine par un gland aplati, que prolonge un bourgeon de chair. Tumescent et violacé, il est parcouru par un dense réseau de veinules rouges. Elle sort sa langue et le lèche sur toute sa longueur, constatant que des gouttes de liquide séminal s'en écoulent déjà. Rachel a quitté son fauteuil et s'étant approché pour mieux voir, s'est agenouillée près de Pauline a commencé par caresser et embrasser ses fesses et son sexe et maintenant, immisce ses doigts entre les nymphes de la petite chatte noyée de plaisir . Le molosse commence à être très agité, poussant gémissements et grognements d'excitation.

— Sage Thor !

Rachel, joignant le geste à la parole, donna un tape sèche, sur le crâne de la bête qui se calme aussitôt.

Puis, saisissant sa belle amante par les cheveux , elle lui tire la tête en arrière, et lui grinça :

— Vas-y, petite pute ! Suce-le !


Oubliant les réticences qui l'ont assaillie un peu plus tôt, totalement emportée par un désir fou, Pauline se met à sucer à pleine bouche le pénis turgide, exhalant des bruits de gorge et des râles de concupiscence, alors que le liquide pré-séminal de la bête y gicle à longs traits répétés. Elle aurait pensé être profondément écœurée, si on lui en avait parlé quelques heures auparavant, pourtant cette expérience la projette au plus haut de ses sensations érotiques. Elle lâche un instant le sexe tumescent du monstre pour laisser son amante se délecter de la scène, le sperme dégoulinant de sa bouche sur son menton et ses mignons petits seins... Elle en est littéralement trempée. Dans les yeux de Rachel...la lueur d'une jouissance...


Elle reprend très vite la queue ballante et congestionnée et se remet à la sucer avec frénésie, avalant la semence canine, au goût âcre et salé. ses gémissements de plaisir se mêlent aux grognements de Thor, que Rachel, tout en poussant de rauques exclamations, excitée par la scène lubrique, caresse afin de le maîtriser. Combien de temps cela dura-t-il ? Sa fièvre de débauche ne semblait pas pouvoir finir...


Un aboiement plus fort de Thor sort la belle, inondée de sperme, de la transe qui s'est emparée d'elle, elle lâche la grosse queue de la bête, se redresse et cherche un appui auprès de Rachel. Elle est épuisée et ravie...

Pauline regarde sa maîtresse qui voit à son expression éperdue, ce qu'elle ressent.

— Salope...Tu jouis, hein ?

Pauline s'assoit, se tourne vers le molosse, prend sa grosse tête dans ses mains en lui murmurant des compliments enfiévrés. Elle embrasse longuement sa gueule dans un baiser de gratitude. Et là... Il sort sa longue langue et se met à lécher ses lèvres, gémissante, elle les ouvre et lui offre sa bouche... Pendant un long moment, la belle échange avec son bestial amant, les baisers les plus obscènes et les plus fous qu'il lui ait été donné de goûter.

Éperdue de jouissance et de fièvre érotique, elle s'aperçoit qu'elle lui murmure des mots d'amour. Elle est plongée dans un état second...

Rachel tenant d'une main le molosse par le collier , caressant de l'autre, de deux doigts enfoncés, sa jolie chatte baignée de mouille, les contemple, se mordant la lèvre, les yeux écarquillés.

Assise sur le tapis, Pauline reprend lentement ses esprits. C'est alors qu'elle s'aperçoit que le dogue tourne autour d'elle, excité, essayant à plusieurs reprises monter sur ses épaules. Rachel la prend par un bras et la fait mettre à quatre pattes.

—Oui, mets-toi comme ça , ma chérie! Ça y est... il veut... Il va te baiser. Allez, mon tout beau, allez mon Thor! Vas-y ! Baise-la !



Le molosse saute sur son dos, il était assez grand pour qu'elle passe sous lui. Ce qu'elle fait. Les antérieures du chien se trouvent au niveau de ses épaules et l'enserrent, elle sent les fortes cuisses velues contre ses fesses, qu'elle lève, offrant sa petite chatte ruisselante, au gros mandrin congestionné. Éperdue de désir et d'impatience, la belle se tend vers le pénis, éructant des mots sans suite alors que la bête excitée, donne des coups de reins désordonnés, cherchant à la pénétrer. Elle sent le sexe humide et chaud de l'animal toucher ses cuisses, et ses fesses, les inondant de son sperme clair, mais il ne parvient pas la pénétrer.

Rachel se saisit alors du mandrin de l'animal et en écartant les nymphes turgides, ruisselantes de cyprine, l'abouche à l'entrée du vagin. Dès que l'animal le sent, d'un coup de reins puissant, il s' enfonce dans le fourreau baigné de mouille. La pénétration par le pieu chaud électrise la mignonne, provoquant, en elle, une onde cataclysmique de sensations lubriques. Elle est tétanisée de jouissance. Croupe cambrée, reins creusés, visage plaqué au sol, bouche grande ouverte, cherchant son souffle, elle ploie sous les assauts de la bête qui pilonne son petit con avec une vigueur incroyable et à un rythme effréné, la faisait hurler...

Elle le maintient en position, agrippant fermement ses pattes postérieures pendant qu'il la martèle avec une force phénoménale. Le dogue halète, gueule ouverte, mouillant ses épaules de sa bave, et laisse parfois échapper un grognement sourd. Les coups de boutoir puissants et rapides de Thor, le va-et-vient précipité de son gros mandrin visqueux et tiède dans son fourreau vaginal déclenchent une frénésie lubrique qui explose en orgasmes incontrôlables.. Elle éjacule à longs jets, une invraisemblable quantité de cyprine, hurlant d'un plaisir fou, prête à défaillir.

Brusquement un changement se fait sentir. L'animal s'est immobilisé, et Pauline sent sa chatte envahie par une grosseur énorme :le nœud pénien du chien se forme, enfle, et enserré par l'entrée du vagin, verrouille à lui, sa femelle. Le molosse maintenant comme statufié, dégorge, immobile, à lourdes giclées, tout son sperme dans son ventre.

Pauline croit qu'elle va défaillir sous la violence de l'orgasme qui la secoue...tout en râlant son plaisir, elle éructe des mots incohérents, flashes hurlant dans son plaisir cataclysmique.

— Oh ! Ça... y est ! Il me... ! Oui... !Oh ! Je... sens !Ooh ! Oouiii... !!

Il jouit ?

Elle ne peut qu'acquiescer en hochant la tête, le visage toujours collé au sol. Elle jouit, tétanisée de plaisir, en sentant les longues saccades de semence que la bête répand en elle.

A un orgasme en succède un autre, épuisée de plaisir et de stupre, la belle s'installe dans la longue jouissance, dans laquelle son bestial amant la cloue ; les yeux clos, à moité masqués par sa chevelure emmêlée, son doux visage illuminé par un sourire ineffable, elle caresse son amant avec reconnaissance, lui murmurant des mots d'amour pleins de gratitude. Elle est toujours à quatre pattes et le chien la maintient verrouillée à lui par son bulbe pénien, et la belle enfant n'en finit pas de jouir, geignant doucement dans une plénitude érotique qu'elle n'avait jamais atteinte avant....Cela dure...longtemps, très longtemps... Pauline flotte dans un nirvana complet qui la comble, en témoigne l'expression de béatitude de son visage ; ce dont Rachel s'aperçoit et elle a soin de ne pas perturber cet instant de grâce

Au bout d'un long moment, lassé, le chien commence à s'agiter et à tirer sur son nœud pénien, ce qui provoque gémissements et plaintes de Pauline, puis il se met à tirer de plus en plus fort, faisant râler et la belle enfant , qui sanglote de douleur. Alors, dans un effort plus appuyé, il tire brutalement sur son nœud, distendant démesurément, l'entrée de son vagin. Pauline hurle sous la douleur et se met à pleurer. En quelques secondes, Thor s'est libéré, dilatant violemment l'orbe de plaisir. Son nœud pénien a la taille d'une orange.

Rachel caresse et embrasse le doux visage tourmenté, ses yeux, ses lèvres, sèche ses larmes, lui murmurant des paroles réconfortantes, des compliments et des mots d'amour ; sa belle chérie sanglote , achevant de chasser sa douleur.

Elle reste ainsi, secouée par les derniers sanglots, tête ballante, épaules creusées, rompue par l'intensité de ce coït bestial. Le dogue l'a gratifiée d'une impressionnante quantité de sperme qui englue son petit con froissé, sa rosette et ses fesses, et dégouline le long de ses cuisses et trempe ses mollets, formant flaque sur le tapis.

Elle met sa main en coupe, y recueillant le sperme, la porte à sa bouche où elle goûte, avec une dévotion lubrique, les yeux révulsés, l'offrande dont son bestial amant vient de la récompenser .

Thor, après lui avoir léché les fesses, s'approche et se met à lui lécher le visage, comme par gratitude. Elle lui murmure des mots d'amour, des compliments enflammés, le caresse encore, et l'enserrant de ses bras graciles, l'embrasse de nouveau. Gémissant de plaisir et de reconnaissance, elle le laisse, de sa longue langue pénétrer sa bouche, et l'emplir des sensations érotiques folles que provoquent ces baisers contre nature, mais si délicieux, prolongeant par ce point d'orgue, toute la folie érotique qu'elle vient de vivre.

— Tu as été extraordinaire ma belle chérie ! ...Tu es merveilleuse... !

S'écrie Rachel.

— La prochaine fois, on tournera une vidéo, je ne veux pas oublier ces instants extraordinaires.

Pauline se relève vacillante, et les oreilles bourdonnantes, la tête pleine d'images affolées, affolantes. Elle monte, fourbue, les marches de l'escalier qui mènent à l'étage. Elle a demandé à se rafraîchir et Rachel lui a indiqué la salle de bains, en haut. Se retournant à mi-chemin, elle voit Thor qui la regarde. Des larmes embuent ses yeux, alors qu'elle lui balbutie des mots d'amour... elle sait, alors, que désormais, elle n'aura plus jamais peur des chiens.


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